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alouette080
20/11/2012, 11h00
Bonjour,

Je suis actuellement à la recherche de documents d'informations sur l’aménagement des zones humides en faveur des anatidés (études sur les réserves naturelles sur le cycle annuel et journalier des anatidés).
De même je recherche des document sur le suivi de migration (radio-tracking, balise argos...).

Je vous remercie d'avance

bambimboum
20/11/2012, 11h34
Bonjour,

Je suis actuellement à la recherche de documents d'informations sur l’aménagement des zones humides en faveur des anatidés (études sur les réserves naturelles sur le cycle annuel et journalier des anatidés).
De même je recherche des document sur le suivi de migration (radio-tracking, balise argos...).

Je vous remercie d'avance si tes sur le 80 prend rdv au parc avec mr carruette ça vaut de l or prepare tes questions:fou:

bambimboum
20/11/2012, 11h35
si tes sur le 80 prend rdv au parc avec mr carruette ça vaut de l or prepare tes questions:fou: parc du marquenterre

bambimboum
24/02/2013, 11h21
on dit toujours que l'on a pas de référence sur la gestion de la chasse sur les canards marins,et bien en voila un exemple .
http://www.ec.gc.ca/Publications/AD495B80-12F3-48B3-A5A7-B4CA04954001%5CPlanQuebecoisDeGestionDeLeiderADuve t.pdf
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coinc59
24/02/2013, 14h49
alouette80.
On prend RV ensemble?

bambimboum
24/02/2013, 17h18
type de gestion de milieu pour l'oie
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/pdf/FS278_aiguillon_oie_cendree.pdf
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bambimboum
24/02/2013, 17h24
des canards sur le dpm ,mais quand et qui?
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/FS269_fouque.pdf
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bambimboum
25/02/2013, 11h47
l'afrique ou sont les canards?
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/FS275_trolliet.pdf
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bambimboum
25/02/2013, 12h14
probléme de l'ibis sacré,lire la page 4 du document ,ya de quoi frémir
http://www.pays-de-la-loire.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/csrpn_17_12_07finalsigne_cle5f8d23.pdf

bambimboum
25/02/2013, 12h47
problème du cygne tuberculé lire page 3 a lire frémir aussi .le problème cygne y est clairement déclarer a l'etat
http://www.pays-de-la-loire.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/csrpn_17_12_07finalsigne_cle5f8d23.pdf
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bambimboum
25/02/2013, 12h49
2 bonnes cartouches pour nous !

coinc59
25/02/2013, 14h57
problème du cygne tuberculé lire page 3 a lire frémir aussi .le problème cygne y est clairement déclarer a l'etat
http://www.pays-de-la-loire.equipement.gouv.fr/IMG/pdf/csrpn_17_12_07finalsigne_cle5f8d23.pdf
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Qu'on pourrait étendre à l'audomarois et à la Moselle par exemple

bambimboum
25/02/2013, 18h08
Qu'on pourrait étendre à l'audomarois et à la Moselle par exemple ce qui est intéressant ces 2 personnes qui parle 1 directeur oiseau d'eau en France et 1 conservateur d'une réserve lpo.et le tout dit a un responsable de l’état .donc pour les especes invasive ils peuvent venir ces petite lignes valent de l'or .a garder ;)

bambimboum
25/02/2013, 20h42
les noms des sites majeurs africains pour les oiseaux d'eaux
et les chiffres sont les derniers publier 2005 je crois .

Sites ayant accueilli plus de 20 000 oiseaux d’eau lors des DEOA, 2002-2004
Sites reporting more than 20,000 waterbirds during the AfWC 2002-2004
SITE NAME
Highest
Count
Year SITE NAME
Highest
Count
Year
BOTSWANA SEYCHELLES
Nata Delta 203577 2001 Bird Island Lodge 1619808 2003
SUA SPIT NATURAL RESERVE 75595 2002 ARIDE ISLAND 893179 2003
CAMEROUN SOUTH AFRICA
BAS-CHARI 278985 2003 Bloemhof Dam 47001 2004
LAC TCHAD - QUADRAT 93 82281 2003 Spitskop Dam 40666 2003
LAC TCHAD - QUADRAT 86 29962 2003 Langebaan Lagoon 38187 2002
DJIBOUTI Krugersdrift Dam 31579 2003
LAC ABHE 22500 2004 Langebaan Beach 29772 2003
ETHIOPIA Kamfers Dam 29749 2004
ABIJATA-SHALLA LAKES NATIONAL PARK 52541 2002 Barberspan 29275 2003
Shesher-Wollala 28415 2004 Botriviervlei 26490 2003
GAMBIA Kalkfontein Dam 25587 2003
BIJOL ISLAND 24694 2004 Vaalbank Farm Dam 22508 2003
GHANA Strandfontein Sewage Works 21472 2002
KETA LAGOON COMPLEX 47724 2002 SUDAN
Densu Delta, Panbros Salt Pans 27539 2002 BAGGA SITES 48292 2003
GUINEE TANZANIA
Vasieres de Khonibenki et Yongo Sale 89607 2002 LAKE KITANGIRI 1103764 2004
KENYA LAKE MANYARA 383901 2004
Lake Nakuru N. P. 1760715 2002 NGORONGORO CRATER LAKES 25292 2004
LAKE BOGORIA 283451 2002 LAKE BALANGIDA LELU 21251 2004
LAKE ELMENTEITA 48485 2003 TCHAD
LAKE MAGADI 46222 2004 VALLE DU LOGONE 128882 2003
SABAKI RIVER MOUTH 20307 2004 LAC TCHAD - QUADRAT 71 121192 2003
MALI LAC FITRI 117522 2003
Lac Walado Debo 110730 2003 LAC TCHAD - QUADRAT 17 70369 2003
Delta Quad 93 (Walado Debo) 27596 2001 LOGONE (AVAL DE BONGOR) 56607 2003
MAURITANIE BAS-CHARI 44424 2003
Mahmouda 100144 2004 FLEUVE CHARI (AMONT NDJAMENA) 32891 2003
Trarza, Aftout Es Saheli 41813 2004 HOLOM - KARASKA 25978 2003
BAIE D'IWIK 35624 2004 Logone Gana (Fleuve Logone) 21286 2003
Rosso, étang du Diawling 34267 2004 UGANDA
BAIE D'ABDEL KHAZNAYA 30333 2004 Lutembe Bay 154542 2004
BELL 27541 2003 Musambwa Islands 69130 2004
Lac d'Aleg 22229 2004 ZAMBIA
NAMIBIA LOCHINVAR NP 90955 2002
SANDWICH HARBOUR 202081 2004
WALVIS BAY RAMSAR SITE 329007 2003
OPONONO 20003 2002
NIGER
Mare de Albarkaîze 47279 2004
Namga 34185 2004
LAC TCHAD - QUADRAT 16 29771 2003
BANGOUBI 27122 2004
NIGERIA
LAC TCHAD - QUADRAT 51 116148 2003
SENEGAL
Parc National des Oiseaux de Djoudj 266222 2003
Parc National du Delta du Saloum 107083 2003
Langue du Barbarie P.N. 21607 2004
c

bambimboum
25/02/2013, 20h46
et pour l'afrique de l'ouest ,benin.

Sites visités, effectifs des oiseaux d’eau et nombre d'espèces observées (entre parenthèses) / Sites covered,
count totals and the number of species recorded (in brackets)
Janvier 2002 Janvier 2003 Janvier 2004
BAS DELTA DU MONO 1127 (39) 1444 (34) 678 (31)
FLEUVE OUEME 760 (28) 1752 (31) 2087 (23)
LAC AHEME 2324 (32) 959 (25) 371 (26)
LAC DATI 55 (9)
LAC DJETO 57 (4)
LAC DOUKAN 26 (6)
LAC GODOGBA 52 (10)
LAC HONTOUE 107 (12)
LAC NOKOUE 11626 (55) 11162 (44) 18800 (40)
LAC TAHO 131 (9)
LAC TOGBADJI 87 (9)
LAC WOZO 44 (6)
LAGUNE COTIERE 535 (29) 752 (33) 2923 (22)
LAGUNE DE PORTO NOVO 363 (25) 1558 (25) 1623 (27)
LAGUNES ANCIENNES 125 (19) 476 (19) 124 (14)
SÔ 2857 (32) 2889 (30) 853 (22)
TOTAL 19717 (70) 20992 (57) 28018 (51)

bambimboum
26/02/2013, 10h31
information sur le principale site d'hivernage de la barge a queue noire !!
http://biodiversite.parc-marais-poitevin.fr/IMG/pdf/Suivi_de_la_migration_pre-nuptiale_de_la_Barge_a_queue_noire_2010.pdf
clique sur le lien

bambimboum
26/02/2013, 10h36
une idée sur l’état, les chiffres, et les dates ,pour le principal site d'hivernage de limicoles en France.


http://biodiversite.parc-marais-poitevin.fr/IMG/pdf/Rapport_Limicoles_2005_2006_ONCFS-2.pdf
clique sur le lien

bambimboum
26/02/2013, 10h38
la migration pré nuptial du courlis corlieu?
http://biodiversite.parc-marais-poitevin.fr/IMG/pdf/Rapport_courlis_corlieu_2007_LPO85_ONCFS.pdf
clique sur le lien

bambimboum
26/02/2013, 10h45
les envahisseurs des marais !
http://biodiversite.parc-marais-poitevin.fr/IMG/pdf/Guide_EEE_2012_Marais_poitevin.pdf
clique sur le lien

bambimboum
26/02/2013, 17h56
petit bilan oies cendrés 2012, avec un mention pour la Camargue , a surveiller sérieusement .


C’est de loin notre oie grise la plus abondante, mais après le pic de l’an passé (28.342
individus), on assiste au retour à un effectif similaire à 2010 cet hiver : 19 612 individus,
contre 19 716 en 2010. Le nombre de sites occupés est aussi plus conforme à la norme : 86,
contre 99 lors du pic de 2011.
La Camargue et le Plan du Bourg tout proche constituent de loin les secteurs d’hivernage
les plus importants du pays, totalisant 5 333 individus à eux deux (respectivement 4 700 et
633 individus). Mais cela reste inférieur au seuil d’importance internationale. Il n’y a que
quatre autres sites qui dépassent 1 000 individus cette année : le lac du Der (2 823), la baie
de l’Aiguillon/Pointe d’Arçay (1 961), les étangs de Moselle (1 468) et les lacs de la Forêt
d’Orient (1 455). Dix-huit sites comptent entre 100 et 1 000 individus. Tous les autres en
hébergent moins de 100, dont 31 sites avec moins de 10.

pioupiou64
26/02/2013, 18h32
bonjour bambimboum, interressant les derniers documents; y'a aussi un truc sur migraction sur les barges a queue noire.

souchet.14
26/02/2013, 18h55
vraiment top ton lien sur les envahisseurs des marais bambimboum ;)

bambimboum
27/02/2013, 11h22
du canrad siffleur qui niche en france en 2010
Canard siffleur Anas penelope
Canard siffleur Anas penelope (Linné, 1758)
Classification (Ordre, Famille) : Ansériformes, Anatidés
Répartition et effectifs nicheurs en France
Le Canard siffleur se reproduit de manière très occasionnelle en France. Deux couples ont
niché à Grand-Lieu, Loire-Atlantique, en 2005. Quelques autres cas ont été soupçonnés
aussi, dans le quart nord-est du pays, sans preuve (DUBOIS et al., 2008).
Etat des populations et tendances d’évolution des effectifs nicheurs
Son statut de conservation est jugé favorable en Europe (BIRDLIFE INTERNATIONAL, 2004b).
La population européenne est comprise entre 93 000 et 116 000 couples auxquels il faut
ajouter 170 000 à 230 000 couples en Russie. Ses principaux pays de reproduction sont la
Finlande (60 000 à 80 000 couples), la Suède (20 000 à 30 000 couples), l’Islande (4 000 à 6
000 couples) (HAGEMEIJER & BLAIR, 1997). Selon ces auteurs, l’effectif nicheur serait
globalement stable

bambimboum
27/02/2013, 11h24
petite tendance pour le canard chipeau !
Canard chipeau Anas strepera (Linné, 1758)
Classification (Ordre, Famille) : Ansériformes, Anatidés
Répartition et effectifs nicheurs en France
L’espèce est présente en période de reproduction, de migration et d’hivernage.
Elle niche principalement dans les grandes régions d’étangs et de marais : la Dombes, le
Forez, les marais de l’Ouest (de la Brière à l’estuaire de la Gironde), la Brenne, la Camargue,
la Sologne, le lac du Der et ses étangs latéraux, en Lorraine et le long du cours du Rhin en
Alsace. La Dombes et le Forez abritent près de 70 % de la population reproductrice française
(ROUX, 1991 ; BERNARD, 1994).
Etat des populations et tendances d’évolution des effectifs
Le statut de conservation de l’espèce est défavorable en Europe mais favorable au sein des
pays de l’Union Européenne (25 pays) (BIRDLIFE INTERNATIONAL, 2004c). L’effectif
européen serait compris entre 60 000 et 96 000 couples. Les principaux pays de
reproduction sont la Russie (32 000-55 000 couples), les Pays-Bas (6 000-7 000 couples), la
Roumanie (environ 3 500- 5 000 couples), l’Allemagne (2 700-5 000 couples), et l’Espagne
avec 2 500 à 3 900 couples (BIRDLIFE INTERNATIONAL, 2004b).
L’espèce a conquis de nombreux territoires au cours des XIXe et XXe siècle en Europe
centrale de l’ouest et du sud-ouest. Cette expansion a été particulièrement nette en Europe
occidentale au cours des décennies 1940 et 1950, en probable liaison avec l’assèchement
des grands lacs du sud-est de l’Europe et de l’Asie (HAGEMEIJER & BLAIR, 1997). Pendant les
années 1970-1990, les effectifs européens ont fortement décliné, et ce déclin a perduré dans
quelques pays pendant les années 1990-2000. La tendance des effectifs nicheurs en Russie,
est inconnue mais l’espèce est supposée être globalement stable et n’ayant pas encore
recouvré le niveau d’effectif précédent le déclin (BIRDLIFE INTERNATIONAL, 2004b).
En France, l’espèce est considérée comme vulnérable en période de nidification. La
population nicheuse française est estimée entre 900 et 1 000 couples en 2000 (BIRDLIFE
INTERNATIONAL, 2004b), ce qui place ce pays en douzième position, par ordre d’importance
en Europe. La tendance de la population française se caractérise par une diminution de
l’ordre de 20 à 50% depuis les années 1970 (ROCAMORA & YEATMAN-BERTHELOT, 1999).
Si la population forézienne paraissait stable à la fin du XXe siècle, avec environ 200 couples
nicheurs, il n’en allait pas de même de la population dombiste qui est passée de 1 300
couples à la fin des années 1970 à à peine plus de 400 couples à la fin des années 1980
(BERNARD, 1994)

bambimboum
27/02/2013, 11h45
pour les oiseaux d'eau de l’Auvergne !!!


http://www.lpo-auvergne.org/conservation/RN/CANARDSHIVERNANTS.pdf
clique sur le lien

bambimboum
27/02/2013, 19h31
ces mignon comme tout les mésanges
http://www.iltasanomat.fi/videot/kotimaa/vid-1288538785461.html?fb_action_ids=521760631202483&fb_action_types=og.recommends&fb_ref=artikkeli_likea&fb_source=aggregation&fb_aggregation_id=288381481237582
clic sur le lien

ludo44
27/02/2013, 19h37
Surement croisé avec un aigle.

pioupiou64
27/02/2013, 23h03
bonsoir pour les infos villafafilla oies marqués colliers....site VILLAFAFILA.COM.....page d acceuil a gauche cliquer sur FAUNA......ensuite sur ANSAR.....puis ANSAR COMUN.....allerr tout en bas de la page.....cliquer sur PAGINA DE MARCAJES (écrit en rouge)...dans le tableau des codes, on clique sur un code......ensuite on clique sur PULSAR PARA VER LA VIDA HISTORIA.....et on a toutes les dates et pays origine de l'observation...bonne soirée

bambimboum
28/02/2013, 10h46
site espagnol d'hivernage d'oie cendres .villafafila
trouver par pioupiou 64
http://www.villafafila.com/
clic sur le lien
photo baguage couleurs a voir

bambimboum
28/02/2013, 10h53
un petit mot sur la barge a queue noire

http://lienss.univ-larochelle.fr/IMG/jpg/barge_en_europe.jpg

bambimboum
28/02/2013, 10h54
texte de la carte
La Barge à queue noire Limosa limosa est un oiseau limicole appartenant à la famille des scolopacidés possédant une aire de distribution très large dans le Paléarctique depuis l’Islande jusqu’à l’est de la Sibérie. Sur les côtes Atlantiques Européennes on distingue deux sous-espèces pouvant être observées de manière simultanée en France pendant les phases migratoires, les deux sous espèces ne fréquentent pas les mêmes milieux lors de leurs hivernages.
La sous-espèce dite « continentale » Limosa limosa limosa fréquente principalement les zones de marais ou prairie et migre de l’ouest de l’Afrique au centre Est de l’Europe
La sous-espèce dite « islandaise » Limosa limosa islandica s’alimente presque exclusivement sur les vasières pendant l’hiver au Portugal, France, Irlande Angleterre. Les Barges islandaises arrivent en Islande sur les sites de reproduction à partir de mi-avril pour achever leur cycle reproducteur fin juin. Elles amorcent alors leur migration post-nuptiale vers les côtes ouest européennes où elles vont occuper principalement les vasières pour une période d’environ sept mois.

bambimboum
28/02/2013, 10h57
légende de la carte
Axe de migration des sous espèces de barge européenne, la dite « l’islandaise » en vert, la « continentale » en jaune. En Bleu principales aire d’hivernage et en orange les principales aires de reproduction des barge à queue noire.

bambimboum
28/02/2013, 11h00
baguage couleurs de la barge a queue noire en europe
http://baguage.lpo-anjou.org/bqn_bag.htm
clic sur le lien

bambimboum
28/02/2013, 11h05
la bête en vol
http://sphotos-e.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-snc7/483865_456806387702071_2025459821_n.jpg

bambimboum
28/02/2013, 11h09
et leurs age comment on fait ?
http://www.alula.fr/article-identification-des-sexes-et-age-chez-les-barge-a-queue-noire-et-rousse-47819495.html
clic sur le lien

bambimboum
28/02/2013, 11h14
a ne pas confondre avec la barge rousse
Difficultés d’identification (similitudes)
La seule espèce susceptible de ressembler à la Barge à queue noire est la Barge rousse (Limosa lapponica), au moins lorsqu’il s’agit d’oiseaux posés. Toutefois, la Barge rousse est un peu plus petite et moins haute sur pattes. En outre, l’aspect de ses parties supérieures est nettement écaillé et la teinte rousse de son plumage nuptial s’étend sur la totalité du ventre. Les difficultés d’identification entre Barge à queue noire et Barge rousse sont encore plus grandes lorsqu’il s’agit de la sous-espèce L. l. islandica, caractérisée par une teinte rousse des parties inférieures plus soutenue et plus étendue, rappelant la Barge rousse. En plumage d’hiver, l’identification dépend surtout de la silhouette à distance et de l’examen des parties supérieures (uniformes ou écailleuses), quand les conditions d’observation le permettent.
Par ailleurs, le bec de la Barge rousse est plus court et davantage incurvé vers le haut.
En vol, le noir et blanc de la queue et la large bande alaire de la Barge à queue noire la distinguent à

bambimboum
28/02/2013, 11h16
desolé il manquais la derniere phrase du texte ci dessous.

En vol, le noir et blanc de la queue et la large bande alaire de la Barge à queue noire la distinguent à coup sûr de la Barge rousse dont la teinte générale est plus uniforme et dont le croupion blanc remonte en pointe sur le dos.

bambimboum
28/02/2013, 11h19
barge rousse en plumage nuptial
http://www.ouessant-digiscoping.fr/IMG/jpg/Barge_rousse_1BB_PN_02052007_-_Ouessant.jpg

bambimboum
28/02/2013, 11h20
barge rousse en hiver
http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/image/jpeg;base64,/9j/4AAQSkZJRgABAQAAAQABAAD/2wCEAAkGBhQSERUUExQWFBUVFxgYGBcXFxcXGBcXGBQXFBcXFx gXHCYeFxkkHBQXHy8gJCcpLCwsFx4xNTAqNSYrLCkBCQoKDgwO Gg8PGiwkHyQtLCwpKSwpLCwsLCwpLCwpLCwsLCksKSwsKSwsKS ksKSwpLCwsKSwpLCksLCwsLCwsKf/AABEIALcBEwMBIgACEQEDEQH/xAAbAAACAwEBAQAAAAAAAAAAAAADBAACBQEGB//EADsQAAIBAwMCBAQEBAUDBQAAAAECEQADIQQSMQVBEyJRYTJxg aEGFJGxI0JSwTNi0eHwcoKSFRaDotL/xAAZAQADAQEBAAAAAAAAAAAAAAABAgMABAX/xAApEQACAgICAQQCAQUBAAAAAAAAAQIREiEDMUEEEyJRYXEUMo GRwfFC/9oADAMBAAIRAxEAPwAYNXtW5NLG5TeibNWUkKh23oqpd0gp63e EUtfv001FoAk2mqyLRC1Da7XO4VsIQjFK3IohuUC7QczFTVlE0 vuqweh7gBwCrRSXj1cXqOSaMNeGKpctiqi5Q7lyslQbKOM1dbN csoTWlY09OrYUJroqh6ca1dkV25cEUGkNoxW0sVxVpq9cpMzOK 53diliK4RXBNFUTRpjIpVlFXWzRBZoOLGxBbKqVpgJVTbpKfgF AFJoqmu7KsaysxN9V8SoRVSKLTMdLVQmhs1SgrBQXfXDdoD4oT vRphQ14oqUpHvUpdhFDqatZ6jFIm2ags10ETaXqdV/OEms60lHtqRWtsA/b1tVfV0utDKGi50MhsaiuPcmllNWAJpU0ayxNUNw0XwTQLq0Gr AFttTCVn27uaZFygviFB3qyCaVk0W1cg0XMNo2NLbp1YrJt6um 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U054ySghnN19CnS9HZLltpdrRaF+HcxhtwwCwLArJjil9NpDaZ 12lAQDIPl5gEN35iKdsILrblUBkmGUQSf79+aYtae41wblIkRJ GIn0/wCc0JSmpNd/6Nm2HsODbBuAGOR77YPPbn5+tZtjQlpaTtGfua172n2k7himdK thrbANGPWuj06zuKVfZv2Yem6YzvxCmtnU6NdnhxAAoOicKhEy expe31M7vNmuWXE5ciRmkmNaT8F2gBcdj8pq2p6Dy1sAr7/2rT6bZNxUMwD2J7UHU6gW7hBbyg9q9D2IxacuhriecXodx3+H9 aa6vtsoqxDetG6p1Fif4QP7V5zq9y8cMM0so0qgI/weie2hseJu3GK8jqOqQYqune5IQzB7Vot+GCTJFB8MpMWrZnp1 tlggZ7GtS3+ImI/iDdW50X8CBk3P9Kpf/DVtG27vnVnwasdxE+m+FdMho9q0LV4Ww2ce9Zl3TJYuQsGha65 uEcfKuKbSljVCydumK/npuMOxopuBhAxRLfTreyJkmhWtAqHL0soqLWL/AGZrejNtaG54hJyKPomuNdKoOO57VqC8sx6VNNeCMSDE0j5Leh qSWg+mtspIb6mi6HYhPiDcrUnauEk5wavevyIoQ5anb2Mknovr wn8hMdhVjqzG1gQIpYsFz3otzqACEkTXornT0lQ34M0tcHDY+d StO3r7BAkV2qe2g2YdvUt5NvcCSZ8x+Ik/f9BV31ku0A2mb4mtnMHaCwkCCTEgcyZrtSvLTadr6OXJx6Oan8 Pm4G3tuUm3DjDEEjcYntMf6wK5/wCzmN/wzcO0MCDjCxAx64ipUp+GbyjHx/w6r0j2vTOk2rVi6Ljs4WcEdisR8u1Y+k6l+YZlKgKkBQc+UnZ/cVKldXquON4rWv8AYErsH1OzBhAojGBAj2mvNW9SysfEUFT+v0 rlSuThm3KmQXY9f6mkhbaEACAMACtDTdKvahdzkKo4zJj6cV2p 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28/02/2013, 11h22
desolé pour le raté:/:
http://www.pasapastenerife.com/wp-content/uploads/2012/11/16-Barge-rousse.jpg

bambimboum
28/02/2013, 11h36
la barge a queue noire pour vos yeux
http://www.unep-aewa.org/publications/books/btg_fr_sm.pdf
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28/02/2013, 13h47
reprise de bague couleur sarcelle d'hiver
http://baguage.lpo-anjou.org/sarhiv_bag.htm
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bambimboum
28/02/2013, 19h44
la vie du canard siffleur
Biologie
Ecologie
En hiver, le Canard siffleur hiverne le long du littoral et sur les grands lacs, dans les estuaires et les baies. Il doit
consacrer de 12 à 16 heures par jour à s’alimenter correctement à partir de végétaux de valeur nutritive peu
importante. Sur les zones herbeuses, le Canard siffleur montre une préférence pour les endroits où la biomasse est Cahiers d’Habitat « Oiseaux » - MEEDDAT- MNHN – Fiche projet
comprise entre 80 et 120 g de matière sèche par m² ; le minimum pour qu’il n’y ait pas de risques de mortalité ou
d’émigration pour l’espèce est de 8 g/m² [16].
En Camargue, le Canard siffleur est distribué sur des milieux de salinité faible à modérée, de surface comprise entre
plusieurs dizaines à plusieurs centaines d’ha, riches en plantes aquatiques immergées qui leur procurent leur
nourriture et toujours peu dérangés par les activités humaines [17]. Les localités dont la surface est comprise entre
100 et 250 ha sont préférées en octobre-novembre, celles de 500 et 1 000 ha entre décembre et février. Les densités
de Canards siffleurs sont maximales sur les localités de surface comprise entre 50 et 250 ha. Les zones saumâtres (5
à 20 g/l) sont plus attractives que les milieux doux ou à l’inverse franchement salés en liaison avec l’abondance des
ressources trophiques.
Comportements
Au cours de la phase d’alimentation, les Canards siffleurs sélectionnent les zones les plus proches de l’eau et sont
plus vigilants sur les espaces terrestres que sur les plans d’eau, ce qui est interprété comme un comportement antiprédateur [6]. L’optimum de prises alimentaires est atteint avec des hauteurs de végétation de 30mm [11]. Lorsque
les oiseaux s’alimentent régulièrement sur les mêmes zones à proximité de l’eau, ils diminuent leur sensibilité aux
prédateurs et augmentent leurs possibilités d’ingérer des protéines en fin d’hiver grâce au renouvellement constant de
l’herbe. En effet, Les travaux de MAYHEW & HOUSTON [10] mettent bien en évidence que les canards siffleurs
retournent aux mêmes places de nourrissage, ce qui a pour effet d’augmenter la qualité nutritive des repousses de la
végétation et ce qui confère à cette espèce une réelle stratégie de prise alimentaire de l’automne au printemps.
Les premiers oiseaux hivernant sur la façade atlantique arrivent à partir de fin août et le pic d’abondance se situe en
décembre ou janvier, en relation étroite avec les vagues de froid qui peuvent obliger des oiseaux hivernant au
Danemark ou aux Pays-Bas à rechercher des contrées plus tempérées. Les oiseaux entament leur migration vers le
nord à partir de début février [bg51], voire fin janvier pour les plus précoces [bg71].
Sur la façade méditerranéenne, et plus particulièrement sur le plus grand site d’hivernage français de cette zone, la
Camargue, les oiseaux n’arrivent pas avant la mi-septembre et l’essentiel des effectifs n’est présent qu’entre mioctobre et mi-novembre, période pendant laquelle de nombreux oiseaux ne font que transiter pour gagner des zones
situées plus au sud. Le pic d’abondance se situe en décembre et les départs sont notés en janvier et février, mois au
cours desquels passent également les oiseaux hivernant en Espagne [bg71].
Reproduction et dynamique de population
Non nicheur en France, en dehors de quelques exceptions dues à des oiseaux probablement blessés ou relâchés
[bg19], le Canard siffleur affectionne les eaux douces et peu profondes, étangs dont les rives présentent une
végétation arbustive clairsemée et n’est vraiment fréquent que sur les lacs de superficie supérieure à 100 ha [7]. La
densité peut atteindre trois à cinq couples au km², et est généralement comprise entre 0,1 et 0,4 couples/km². La
ponte comporte en moyenne huit à neuf œufs incubés pendant 24 à 25 jours. Les jeunes sont volants à l’âge de 40-45
jours. Les couples se forment sur les zones d’hivernage.
Le succès de la reproduction n’est pas lié à la taille de la population ni à sa densité [13].
La longévité maximale observée grâce aux données de baguage est d’environ 34 ans [bg60].
Régime alimentaire
Différents végétaux aquatiques (potamot sp, ruppia sp), des salicornes et diverses graminées sont consommés. Sur la
façade atlantique, les oiseaux exploitent préférentiellement les zones abritées riches en zostères ou en prés salés. Ils
peuvent également fréquenter des prairies humides à végétation rase. Les oiseaux doivent consommer en moyenne
120,8 g de matière sèche par jour ce qui implique qu’ils s’alimentent pendant 13 heures par jour [9].
En Camargue, les Canards siffleurs consomment essentiellement des potamots (Potamogeton pectinatus, P. pusillus),
des myriophylles (Myriophyllum sp.) et des algues (Chaetomorpha sp), selon ALLOUCHE & TAMISIER [1]. En
Angleterre (Ouse Washes), 75% de l’alimentation repose sur des feuilles de Glyceria fluitans, Alopecurus
geniculatus, Agrostis stolonifera [18]. Au lac du Der, beaucoup d’Agrostis stolonifera sont consommés, les siffleurs
exploitent la végétation se développant sur les vasières exondées en été [M. GUILLEMAIN, comm. pers.].
Le Canard siffleur consomme également des tiges et des graines de salicornes et d’arroches en zone littorale. En
Camargue, les deux espèces se trouvent cependant dans des habitats différents.

pioupiou64
28/02/2013, 20h25
bonsoir bimbamboum,mais dis moi tu vas finir par me convertir à l'écologie avec toute ta doc LPO et habitat natura 2000:fou:...copier coller siffleurs:Les oiseaux entament leur migration vers le
nord à partir de début février [bg51], voire fin janvier pour les plus précoces [bg71].

pioupiou64
28/02/2013, 20h28
je plaisante:fou:

bambimboum
28/02/2013, 21h10
faut prendre l'info, ou elle est, je site normalement mes sources sauf oublie, mais pour toujours vous fournir de quoi alimenter des débats futurs avec nos contradicteurs.
un chasseur averti en vaux deux;).
quand a pioupiou change de pseudo:) je plaisante;)

bambimboum
28/02/2013, 21h15
les infos que je relate sont toutes publiés.rien de secret alors profitons en !

bambimboum
28/02/2013, 21h18
bonsoir bimbamboum,mais dis moi tu vas finir par me convertir à l'écologie avec toute ta doc LPO et habitat natura 2000:fou:...copier coller siffleurs:Les oiseaux entament leur migration vers le
nord à partir de début février [bg51], voire fin janvier pour les plus précoces [bg71].

pour les dates voir ces gens .MEEDDAT-MNHN.

pioupiou64
28/02/2013, 21h19
OUI c'est bien comme ça que je l'ai compris...et PIOUPIOU j'aime bien, ça fait un peu abruti mais j'aime bien....sinon t'as jeter un coup d'oeil sur les oies? C'est fastidieux d'éplucher les données mais il y a quand même quelques liens entre obs donana et ensuite villafafila...mais l'inverse j'ai pas trouvé...en même temps ça ma vite gonflé.a plus

bambimboum
28/02/2013, 21h22
oui ya des données sympa surtout sur la liaison donana villafafila;) pour janvier.

bambimboum
28/02/2013, 21h32
ah ! la, tu frise l'éclatement de chevilles:).

pioupiou64
28/02/2013, 21h52
m'en fous je suis en tong...bonne soirée:fou:

bambimboum
01/03/2013, 10h12
la vie du canard siffleur
Biologie
Ecologie
En hiver, le Canard siffleur hiverne le long du littoral et sur les grands lacs, dans les estuaires et les baies. Il doit
consacrer de 12 à 16 heures par jour à s’alimenter correctement à partir de végétaux de valeur nutritive peu
importante. Sur les zones herbeuses, le Canard siffleur montre une préférence pour les endroits où la biomasse est Cahiers d’Habitat « Oiseaux » - MEEDDAT- MNHN – Fiche projet
comprise entre 80 et 120 g de matière sèche par m² ; le minimum pour qu’il n’y ait pas de risques de mortalité ou
d’émigration pour l’espèce est de 8 g/m² [16].
En Camargue, le Canard siffleur est distribué sur des milieux de salinité faible à modérée, de surface comprise entre
plusieurs dizaines à plusieurs centaines d’ha, riches en plantes aquatiques immergées qui leur procurent leur
nourriture et toujours peu dérangés par les activités humaines [17]. Les localités dont la surface est comprise entre
100 et 250 ha sont préférées en octobre-novembre, celles de 500 et 1 000 ha entre décembre et février. Les densités
de Canards siffleurs sont maximales sur les localités de surface comprise entre 50 et 250 ha. Les zones saumâtres (5
à 20 g/l) sont plus attractives que les milieux doux ou à l’inverse franchement salés en liaison avec l’abondance des
ressources trophiques.
Comportements
Au cours de la phase d’alimentation, les Canards siffleurs sélectionnent les zones les plus proches de l’eau et sont
plus vigilants sur les espaces terrestres que sur les plans d’eau, ce qui est interprété comme un comportement antiprédateur [6]. L’optimum de prises alimentaires est atteint avec des hauteurs de végétation de 30mm [11]. Lorsque
les oiseaux s’alimentent régulièrement sur les mêmes zones à proximité de l’eau, ils diminuent leur sensibilité aux
prédateurs et augmentent leurs possibilités d’ingérer des protéines en fin d’hiver grâce au renouvellement constant de
l’herbe. En effet, Les travaux de MAYHEW & HOUSTON [10] mettent bien en évidence que les canards siffleurs
retournent aux mêmes places de nourrissage, ce qui a pour effet d’augmenter la qualité nutritive des repousses de la
végétation et ce qui confère à cette espèce une réelle stratégie de prise alimentaire de l’automne au printemps.
Les premiers oiseaux hivernant sur la façade atlantique arrivent à partir de fin août et le pic d’abondance se situe en
décembre ou janvier, en relation étroite avec les vagues de froid qui peuvent obliger des oiseaux hivernant au
Danemark ou aux Pays-Bas à rechercher des contrées plus tempérées. Les oiseaux entament leur migration vers le
nord à partir de début février [bg51], voire fin janvier pour les plus précoces [bg71].
Sur la façade méditerranéenne, et plus particulièrement sur le plus grand site d’hivernage français de cette zone, la
Camargue, les oiseaux n’arrivent pas avant la mi-septembre et l’essentiel des effectifs n’est présent qu’entre mioctobre et mi-novembre, période pendant laquelle de nombreux oiseaux ne font que transiter pour gagner des zones
situées plus au sud. Le pic d’abondance se situe en décembre et les départs sont notés en janvier et février, mois au
cours desquels passent également les oiseaux hivernant en Espagne [bg71].
Reproduction et dynamique de population
Non nicheur en France, en dehors de quelques exceptions dues à des oiseaux probablement blessés ou relâchés
[bg19], le Canard siffleur affectionne les eaux douces et peu profondes, étangs dont les rives présentent une
végétation arbustive clairsemée et n’est vraiment fréquent que sur les lacs de superficie supérieure à 100 ha [7]. La
densité peut atteindre trois à cinq couples au km², et est généralement comprise entre 0,1 et 0,4 couples/km². La
ponte comporte en moyenne huit à neuf œufs incubés pendant 24 à 25 jours. Les jeunes sont volants à l’âge de 40-45
jours. Les couples se forment sur les zones d’hivernage.
Le succès de la reproduction n’est pas lié à la taille de la population ni à sa densité [13].
La longévité maximale observée grâce aux données de baguage est d’environ 34 ans [bg60].
Régime alimentaire
Différents végétaux aquatiques (potamot sp, ruppia sp), des salicornes et diverses graminées sont consommés. Sur la
façade atlantique, les oiseaux exploitent préférentiellement les zones abritées riches en zostères ou en prés salés. Ils
peuvent également fréquenter des prairies humides à végétation rase. Les oiseaux doivent consommer en moyenne
120,8 g de matière sèche par jour ce qui implique qu’ils s’alimentent pendant 13 heures par jour [9].
En Camargue, les Canards siffleurs consomment essentiellement des potamots (Potamogeton pectinatus, P. pusillus),
des myriophylles (Myriophyllum sp.) et des algues (Chaetomorpha sp), selon ALLOUCHE & TAMISIER [1]. En
Angleterre (Ouse Washes), 75% de l’alimentation repose sur des feuilles de Glyceria fluitans, Alopecurus
geniculatus, Agrostis stolonifera [18]. Au lac du Der, beaucoup d’Agrostis stolonifera sont consommés, les siffleurs
exploitent la végétation se développant sur les vasières exondées en été [M. GUILLEMAIN, comm. pers.].
Le Canard siffleur consomme également des tiges et des graines de salicornes et d’arroches en zone littorale. En
Camargue, les deux espèces se trouvent cependant dans des habitats différents.

fiche technique http://www.avifauna.asso.fr/especes/siffleur.pdf
clic sur le lien.

bambimboum
01/03/2013, 10h13
reconnaître les canards par les ailes !
http://www.chassons.com/41-Gibiers/62-Europe/11-Petit-Gibier/313-Les-ailes-que-nous-apprennent-elles.html
clic sur le lien.

bambimboum
02/03/2013, 11h07
http://www.ouessant-digiscoping.fr/IMG/jpg/Canard_siffleur_m_ad_1BBB_VIGN_19022010_-_Japon.jpg

bambimboum
02/03/2013, 11h08
http://rene.dumoulin.oiseaux.net/images/canard.siffleur.redu.7g.jpg

bambimboum
02/03/2013, 11h10
http://www.notre-planete.info/actualites/images/animaux/canard_siffleur.jpg

bambimboum
02/03/2013, 11h13
http://www.jmponcelet.be/oiseaux/2006/IMG_3695canard%20siffleur(MF).jpg

bambimboum
02/03/2013, 11h15
reconnaître les canards par les ailes !
http://www.chassons.com/41-Gibiers/62-Europe/11-Petit-Gibier/313-Les-ailes-que-nous-apprennent-elles.html
clic sur le lien.
http://www.stephanlevoye.com/800-600/images/galerie-photo/faune-sauvage/canards.jpg

bambimboum
02/03/2013, 11h22
la barge a queue noire pour vos yeux
http://www.unep-aewa.org/publications/books/btg_fr_sm.pdf
clic sur le lien
http://inpn.mnhn.fr/tofs/JFS_9896_2563.jpg

Philippe 62
02/03/2013, 13h54
C'est bien les photos d'oiseaux mais tu n'as rien sur les plantes des milieux humides ?

Philippe 62
02/03/2013, 13h55
Au fait, tu évoques souvent la Roumanie. Tu connais, tu y es déjà allé ?

bambimboum
02/03/2013, 14h00
C'est bien les photos d'oiseaux mais tu n'as rien sur les plantes des milieux humides ?
si, j'ai, sur les plantes de marais .

bambimboum
02/03/2013, 14h01
Au fait, tu évoques souvent la Roumanie. Tu connais, tu y es déjà allé ?
je parle des choses que je connais, ou j'écoute pour apprendre;)

Sidnam
02/03/2013, 14h01
Au fait, tu évoques souvent la Roumanie. Tu connais, tu y es déjà allé ?

Dis philippe62, vu tout ce que tu as déjà évoqué sur differents topics de HV, tu te bases uniquement sur ce que tu as vu ou connais? :)) Ou essentiellement sur des docs que tu pioches à droite à gauche:D

bambimboum
02/03/2013, 14h11
les plantes exotique qui envahissent les marais
es envahisseurs des marais !
http://biodiversite.parc-marais-poit...s_poitevin.pdf (http://biodiversite.parc-marais-poitevin.fr/IMG/pdf/Guide_EEE_2012_Marais_poitevin.pdf)
clique sur le lien

bambimboum
02/03/2013, 14h13
commence par celles la ,ces le plus urgent .prend tes bottes et élimine en quelques kilo.

Philippe 62
02/03/2013, 14h15
Dis philippe62, vu tout ce que tu as déjà évoqué sur differents topics de HV, tu te bases uniquement sur ce que tu as vu ou connais? :)) Ou essentiellement sur des docs que tu pioches à droite à gauche:D

ça c'est du bon gros discours de chasseur ! Sinon j'ai vu des massacres d'oiseaux à la hutte, des types qui desherbaient, qui faisaient baisser les niveaux ou asséchaient pour ne pas avoir d'herbes afin de mieux observer la nature de nuit ou d'autres qui donnaient des conseils pour échapper aux obligation de la loi sur l'eau, j'en ai vu aussi qui utilisaient des espèces exotiques à la chasse ou d'autres faisant crever des oiseaux et mammifères marins avec leurs millions de bourres en plastique expédiées à la mer .
J'ai tjs privilégié le terrain .

Philippe 62
02/03/2013, 14h19
commence par celles la ,ces le plus urgent .prend tes bottes et élimine en quelques kilo.

Et pourquoi moa ? Je n'ai pas la prétention contrairement à d'autres d'être le garant des espaces ! D'ailleurs on se demande comment ces plantes ont bien pu prospérer à ce point avec ton savoir faire !

bambimboum
02/03/2013, 14h20
ça c'est du bon gros discours de chasseur ! Sinon j'ai vu des massacres d'oiseaux à la hutte, des types qui desherbaient, qui faisaient baisser les niveaux ou asséchaient pour ne pas avoir d'herbes afin de mieux observer la nature de nuit ou d'autres qui donnaient des conseils pour échapper aux obligation de la loi sur l'eau, j'en ai vu aussi qui utilisaient des espèces exotiques à la chasse ou d'autres faisant crever des oiseaux et mammifères marins avec leurs millions de bourres en plastique expédiées à la mer .
J'ai tjs privilégié le terrain .et bien moi j'ai vu des ecolo rentrer dans des reserve avec leurs chien alors que ces interdis,j'ai vu des ecolo detruire le travail de piegeur de ragondin ,j'ai vu des ecolo rentrer dans des reserve et y deranger les oies pour voir une autre espece,j'ai vu des ecolo deranger des oiseau qui couvait pour faire la photo.bref ...

bambimboum
02/03/2013, 14h22
ici ces pas le sujet .sur ce post ces de l'information pas de la propagande verdatre ou de la désinformation ou le club des joyeux bobo mangeur de carotte ,ya d'autre site pour ça

Philippe 62
02/03/2013, 14h25
et bien moi j'ai vu des ecolo rentrer dans des reserve avec leurs chien alors que ces interdis,j'ai vu des ecolo detruire le travail de piegeur de ragondin ,j'ai vu des ecolo rentrer dans des reserve et y deranger les oies pour voir une autre espece,j'ai vu des ecolo deranger des oiseau qui couvait pour faire la photo.bref ...

Chui d'accord, personne ne respecte plus rien . Tiens moi j'en vois chasser dans une réserve , t'as qu'à voir, entre ceux qui dérangent avec un chien et ceux qui tirent !

Philippe 62
02/03/2013, 14h28
ici ces pas le sujet .sur ce post ces de l'information pas de la propagande verdatre ou de la désinformation ou le club des joyeux bobo mangeur de carotte ,ya d'autre site pour ça

D'accord, informes nous sur les plantes des marais et je voudrai bien aussi connaitre les coléoptères aquatiques votre majesté.

bambimboum
02/03/2013, 14h29
ici ce n'ai pas l'endroit pour ces propos ,ouvre un post

Philippe 62
02/03/2013, 14h31
ici ce n'ai pas l'endroit pour ces propos ,ouvre un post

M'enfin les plantes, les invertébrés, la migration, les zones humides tout ce tient puisque les oiseaux les consomment.

bambimboum
02/03/2013, 14h35
tu m'saoule va trouver un autre pénible vous serez deux le Temp passeras plu vite ;)

bambimboum
02/03/2013, 14h38
ah j'oubliais, bonne bourre !

Philippe 62
02/03/2013, 14h51
tu m'saoule va trouver un autre pénible vous serez deux le Temp passeras plu vite ;)

Bien sûr, plus facile de paraître pour ce qu'on est pas que ce que l'on est ;)

T'es un spécialiste de que dalle mon pote , à part reprendre tout est n'importe quoi pour ne rien dire.
ça ne te fais rien de penser que t'as passé ta vie dans les marais sans en connaitre grand chose, somme toute.

Et la Roumanie, tu connais ou pas puisque tu en causes en expert ?

Philippe 62
02/03/2013, 14h55
ah j'oubliais, bonne bourre !

Tiens tes belles bourres en plastique regardes ce qu'elles produisent et ne baisses pas les yeux, assumes le spécialiste !

http://youtu.be/1SO89Bj2Fvc

gachettedor
02/03/2013, 15h14
Tiens tes belles bourres en plastique regardes ce qu'elles produisent et ne baisses pas les yeux, assumes le spécialiste !

http://youtu.be/1SO89Bj2Fvc

FAROE PARADISE c'est pas un club d'hommo?

hirondelle 85
02/03/2013, 15h58
Salut Philippe62,

Ne perds pas ton temps avec BAMBIM et consorts, c'est surtout un spécialiste de la pêche aux infos sur les sites d'écolos qui, je cite < N'Y CONNAISSENT RIEN>.
C'était plutôt rigolo les fiches d'identification des barges, les chasseurs ne sauraient-ils pas distinguer les deux espèces ???? .........

chourdé
02/03/2013, 16h11
Tu devrais nous parler un peu du temps OU tu chassais Philippe . Dis , tu les ramassaient toi tes bourres ?

boby80570
02/03/2013, 16h19
hirondelle85 philippe62 que fait vous sur HV bande d escrolo!!!!!!!! les oies qui se fon gazé an hollande vous faite quoi ? RIEN bande de mouche a MERDE

JJB
02/03/2013, 16h40
Tu nous la joue victime maintenant ?

Réponds à Guit un peu qu'on voit ce que tu as à dire.............

JJB
02/03/2013, 16h42
dsl, je me suis trompé de post.

ludo44
02/03/2013, 17h54
Tiens tes belles bourres en plastique regardes ce qu'elles produisent et ne baisses pas les yeux, assumes le spécialiste !

http://youtu.be/1SO89Bj2Fvc

Jolie les bouchons car si sa c des bourre arrête l'alcool!
La famille guignol s'agrandit, surement les premières hirondelle de l'année. Dommage qu'ils mangent pas de bourre.
Vue cette semaine 1 renard, 2 lapin et 1 lièvre mort sur la route, saleté de bourre.

chourdé
02/03/2013, 18h10
On ne peut pas nier que les bourres plastique ne sont pas un probleme pour notre DPM ... Esperons que nos representants cherchent une solution moins " polluante " ...

ludo44
02/03/2013, 18h26
Le plastique est un problème en général, même le plastique bio car réaliser avec du maïs et se n'est pas une culture respectueuse de l'environnement.

Stéphane.
02/03/2013, 18h41
Tiens tes belles bourres en plastique regardes ce qu'elles produisent et ne baisses pas les yeux, assumes le spécialiste !

http://youtu.be/1SO89Bj2Fvc


Ba, z'on qu'a pas couver sur une décharge d'une...
et oui choudé:
tu les ramassais tes bourres Phillipe? (perso je pense pas!)
Et vu que tu nous "prend" le jonc avec sa...donne nous une bonne solution et nous parle pas de bourre grasse, déjà qu'avec l'acier c'est limite, mais alors l'acier + bourre grasse, j'imagine même pas :cri: et surtout v'la le prix...
aller, j'attend ton "remède" miracle

Beuze50
02/03/2013, 19h30
Oui et les blaireaux aussi sous les voitures mais toi tu y a echappe en cherchant des bourres non.

gachettedor
02/03/2013, 20h11
Le plastique c'est fantastique le caoutchouc c'est super doux...

Philippe 62
02/03/2013, 20h45
Tu devrais nous parler un peu du temps OU tu chassais Philippe . Dis , tu les ramassaient toi tes bourres ?

Jules,

Que j'en ai expédié en mer, c'est une évidence ! Que ton père, ton beauf, ton copain l'aient également fait, c'est une raison pour continuer ?

Que mes bourres aient contribué à cette pollution, qu'elles y contribuent et y contribueront au regard de leur durée de vie est tout aussi évident. C'est une raison pour continuer ?


On ne peut pas nier que les bourres plastique ne sont pas un probleme pour notre DPM ... Esperons que nos representants cherchent une solution moins " polluante " ...


La baie de Somme tu la connais mieux que moi comme tu sais que les bourres s'y trouvent là comme ailleurs en quantité dans les laisses.

Le plastique ce sont des polymères qui se dégradent. Ils se fragmentent en morceaux de plus en plus petits à une échelle de vie relativement longue. Les morceaux les plus importants vont affecter l'écosystème marin en impactant les oiseaux et mammifères puis d'autres espèces au gré de leur dégradation, les mollusques, invertébrés et l'être humain dont les prémices d'études sur le sujet laissent craindre des implications en terme de santé.

Les études sont relativement récentes sur le sujet.

http://www.lefigaro.fr/environnement/2013/01/03/01029-20130103ARTFIG00509-les-fourmis-sont-contaminees-par-les-phtalates.php

Je te laisse juger de l'impact économique s'il s'agissait de coques ou de crevettes au lieu de fourmis...Au rythme effrené auquel le plastique est employé et se retrouve en mer ou sur nos côtes il y a fort à parier que l'on découvre tôt ou tard que certaines molécules ont envahis tous les compartiments marins.


Le problème dépasse celui du DPM puisque les crues décennales ou trentennales emmènent les bourres prisonnières des marais sans communication ou presque pour se retrouver à la mer.

Quant aux représentants cynégétiques, s'ils avaient voulu régler le problème, ce serait fait, à l'instar des PMA...

La seule solution, les interdire au plus tôt pour contraindre l'alternative industrielle.
C'est d'ailleurs dommage et fortement contestable que le topic que j'avais ouvert sur le sujet fut bloqué et non réouvert dans le seul objectif réel de faire taire arbitrairement les discussions sur le sujet.
Une attitude ne laissant aucun doute sur la volonté affichée de traiter cette pollution provenant exclusivement des chasseurs.
Une volonté que l'on retrouve dans certaines réflexions d'internautes dotés d'un QI d'huitres dont on peut se demander s'ils ne sont pas les premières victimes déjà affectées cérébralement.

Général
02/03/2013, 20h53
Tiens tes belles bourres en plastique regardes ce qu'elles produisent et ne baisses pas les yeux, assumes le spécialiste !

http://youtu.be/1SO89Bj2Fvc

Tu comptes combien de bourre dans l'estomac ?

Le plastique est une ******rie bien sûr que oui mais dire que les chasseurs sont une cause d'un % important d'albatros aux iles féroés, là t'y va un peu fort ?

N'oublies pas que certaines fédé ont travaillées sur le sujets à leurs frais et sans aides, pas comme ces études pour écolos bobos !!!

T'inquiètes les bourres dégradables existeront un jours !!!

Général
02/03/2013, 20h59
Le pire s'est qu'elle existe mais l'industrie n'en veux pas !! Cherches un peu.
Nous subissons cette industrie !

virgil
02/03/2013, 21h08
Ils crevent a cause des vers tes albatros phifou...
Et les tas de plastique dans le bide, on leur a foutu...
Pu c'est beau toute ces couleurs.
Salut

Philippe 62
02/03/2013, 22h13
Tu comptes combien de bourre dans l'estomac ?

Le plastique est une ******rie bien sûr que oui mais dire que les chasseurs sont une cause d'un % important d'albatros aux iles féroés, là t'y va un peu fort ?

N'oublies pas que certaines fédé ont travaillées sur le sujets à leurs frais et sans aides, pas comme ces études pour écolos bobos !!!

T'inquiètes les bourres dégradables existeront un jours !!!


Bonjour Mon Général,

Mes amitiés à Jeanine, qu'elle soit calorique ou calorifique. Ce que j'écris c'est que la plastique abandonné par les chasseurs est une source de pollution plastique comme d'autres dont nous connaissons les conséquences dramatiques sur les oiseaux et les mammifères marins mais il semblerait que tu n'aies pas tout suivi.

Alors recommençons une fois de plus avec pédagogie.

Les généraux portent des étoiles mais moins que celles qui brillent dans le ciel, 2, 3, 4 et même 5.
2 étoiles, sait compter
3 étoiles, sait compter et lire
4 étoiles, sait compter lire écrire
5 étoiles, sait compter, lire, écrire et fumer.

L'équivalent en marine de contre amiral, vice amiral, vice amiral d'escadre et amiral.
De toute évidence, tu n'as jamais mis les pieds sur un bateau pour aller qq part !

Cette vidéo mentionne island midway dans le pacifique nord. En tant que général tu devrais pourtant connaitre le film avec Fonda, Coburn, Mitchum : la bataille de Midway avec les japonais, la chaleur etc. ben c'est là.

Les iles Féroé, c'est la mer de Norvège c'est pas tout à fait l'même climat. Tu prends Ouest/Nord Ouest comme les vikings à partir d' la Norvège et t'y es facilement quand le temps n'est pas trop mauvais.
Quant aux albatros sur cette zone... je te dirai si j'en vois un ou deux car je vais aller y naviguer cet été à voile et un peu à vapeur sans doute pour faire plaisir à gachette d'or qui orthographie hommo avec deux M car c'est sans doute l'anniversaire de çui du milieu.


Maintenant si les FD y ont travaillé, je suis rassuré ! ce n'est plus qu'une question de décennies. Elles ont demandé de peindre les bourres en vert de quelle nuance ?

gachettedor
02/03/2013, 23h23
philippe62:Quant aux albatros sur cette zone... je te dirai si j'en vois un ou deux car je vais aller y naviguer cet été à voile et un peu à vapeur sans doute pour faire plaisir à gachette d'or qui orthographie hommo avec deux M car c'est sans doute l'anniversaire de çui du milieu.

Désolé j'ai mon doigt qui à ripé:/:...

bambimboum
03/03/2013, 07h45
bon alors on en étais ou, sur ce post



http://www.jbnature.com/images/stories/SToiseaux/STanatides/STsouchet/souchet-100208-0218x6.jpg

le matelot33
03/03/2013, 07h47
moi je sais ......moi je sais .....:D

bambimboum
03/03/2013, 07h48
avant d’être attaqué par le plastique

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/files/2012/02/000_Par2128661-530x339.jpg

gachettedor
03/03/2013, 09h41
pour philippe 62 : http://bn-naturephoto.fr/photo.php?id=4583 (http://bn-naturephoto.fr/photo.php?id=4583)

passage chez l'ophtalmo d'ici peu...

Sidnam
03/03/2013, 10h51
Philippe 62: Que j'en ai expédié en mer, c'est une évidence ! Que ton père, ton beauf, ton copain l'aient également fait, c'est une raison pour continuer ?
Que mes bourres aient contribué à cette pollution, qu'elles y contribuent et y contribueront au regard de leur durée de vie est tout aussi évident. C'est une raison pour continuer ?


Dans la même logique: ton véhicule pollue, les particules contribuent à la pollution. C'est une raison pour continuer à rouler avec? Pourtant tu as un véhicule..........
Et là ça agit directement sur l'homme, mais pourtant tu t'en fout, tu roules avec ton véhicule, et tu nous parles des bourres........ Au faite, combien de plastique est employé pour fabriquer un véhicule? Alors tu passes au vélo?

Et toujours dans la même logique, ton mode de chauffage, ton éclairage, et des quantités d'autres choses polluantes, eh bien tu en uses, alors arrêtes de nous emmerder avec tes bourres. On subit car on ne peut qu'utiliser que ce qu'il y a sur le marché, c'est ainsi. Stigmatises les frabiquant de munitions, pas les utilisateurs. Que l'on ait une munition à un prix accessible avec une bourre qui se dégrade vite. Mais une fois qu'on aura cette munition (et on l'aura un jour, mais quand?), tu nous diras certainement que la combustion de la poudre pollue..........

Sinon hier j'ai participé à sommepropre le long de la riviére somme, pas une seule bourre (normal c'est une réserve), mais parcontre tu t'imagines tout ce qu'il pouvait y avoir. Mais bon défoules-toi avec les bourres...........

Philippe 62
03/03/2013, 10h57
bon alors on en étais ou, sur ce post

Nous en étions aux zones humides et migration des albatros sur leur zone de reproduction, en lien direct avec l'objet du post.



moi je sais ......moi je sais .....:D

On sent bien toute l'expérience d'un amiral 6 étoiles ayant l'habitude de rompre l'isolement lors de ses traversées au long cours :))

bambimboum
03/03/2013, 11h10
je parle pas d'un oiseau que je connais pas :/:

Sidnam
03/03/2013, 11h12
tant qu'à être hors-sujet, un nouvel anti-chasse sur la HV: l'hirondelle. Bientôt ici ça ne va être qu'un repére d'anti-chasse, mais bon laissons faire........

niroca
03/03/2013, 11h13
Philippe 62: Que j'en ai expédié en mer, c'est une évidence ! Que ton père, ton beauf, ton copain l'aient également fait, c'est une raison pour continuer ?
Que mes bourres aient contribué à cette pollution, qu'elles y contribuent et y contribueront au regard de leur durée de vie est tout aussi évident. C'est une raison pour continuer ?


Dans la même logique: ton véhicule pollue, les particules contribuent à la pollution. C'est une raison pour continuer à rouler avec? Pourtant tu as un véhicule..........
Et là ça agit directement sur l'homme, mais pourtant tu t'en fout, tu roules avec ton véhicule, et tu nous parles des bourres........ Au faite, combien de plastique est employé pour fabriquer un véhicule? Alors tu passes au vélo?

Et toujours dans la même logique, ton mode de chauffage, ton éclairage, et des quantités d'autres choses polluantes, eh bien tu en uses, alors arrêtes de nous emmerder avec tes bourres. On subit car on ne peut qu'utiliser que ce qu'il y a sur le marché, c'est ainsi. Stigmatises les frabiquant de munitions, pas les utilisateurs. Que l'on ait une munition à un prix accessible avec une bourre qui se dégrade vite. Mais une fois qu'on aura cette munition (et on l'aura un jour, mais quand?), tu nous diras certainement que la combustion de la poudre pollue..........

Sinon hier j'ai participé à sommepropre le long de la riviére somme, pas une seule bourre (normal c'est une réserve), mais parcontre tu t'imagines tout ce qu'il pouvait y avoir. Mais bon défoules-toi avec les bourres...........+100000000 sidnam :Dmais comme tu peux le constater a ca il c est pas repondre est esquive a chaque fois je voudrait bien le rencontré se type que je lui cloue le bec et si ca pouvait etre face a une camera sa serait encore mieux ..mais je ne m inquiete pas la discussion derriere un clavier et ne rien faire c est facile:(

niroca
03/03/2013, 11h20
http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/images/misc/quote_icon.png Envoyé par hirondelle 85 http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/images/buttons/viewpost-right.png (http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/showthread.php?p=1601372#post1601372)
Salut Philippe62,

Ne perds pas ton temps avec BAMBIM et consorts, c'est surtout un spécialiste de la pêche aux infos sur les sites d'écolos qui, je cite < N'Y CONNAISSENT RIEN>.
C'était plutôt rigolo les fiches d'identification des barges, les chasseurs ne sauraient-ils pas distinguer les deux espèces ???? .........ce qui est incroyable c est qu on laisse sur un cite de chasse des anti chasse foutent le bordel ...le fhillippe62 vire des modos comme dans la vie ils se fait vire de partout:cri:

bambimboum
03/03/2013, 11h26
si les écolos publient leurs données ces leurs problèmes ,elles sont public donc utilisable par tous, y compris les chasseurs.
- je confirme 95% des écolos n'y connaissent rien aux zones humides et a ceux qui y habite.
-ya une différence entre reconnaître une espèce et la connaitre ...

niroca
03/03/2013, 11h31
si les écolos publient leurs données ces leurs problèmes ,elles sont public donc utilisable par tous, y compris les chasseurs.
- je confirme 95% des écolos n'y connaissent rien aux zones humides et a ceux qui y habite.
-ya une différence entre reconnaître une espèce et la connaitre ...ca c est pas nouveau!!!!!on le voit bien en rando c est clair;)

gachettedor
03/03/2013, 11h32
http://www.youtube.com/watch?feature=player_detailpage&v=e47xhBbW3VI

bambimboum
03/03/2013, 11h52
un artiste de la baie de somme qui mérite d’être encourager

http://www.marquenterrenature.com/article-zone-de-conservation-112272183.html
clic sur le lien

bambimboum
03/03/2013, 17h58
quelques info sur la flore de vos marais
http://www.haute-garonne.chambagri.fr/IMG/pdf/MAET_ZH_HersTouch_GuideDesPlantes.pdf
clic sur le lien

bambimboum
04/03/2013, 10h28
replanter des haies dans le marais,que choisir?
http://www.caue44.com/IMG/pdf/maraispoitevin.pdf
clic sur le lien

bambimboum
04/03/2013, 10h35
technique de plantation de haie bocagère

http://www.parc-opale.fr/bibliotheque/GTBocage.pdf
clic sur le lien

bambimboum
04/03/2013, 10h43
l'entretient d'une zone humide. techniques .
http://www.parc-opale.fr/bibliotheque/entretienZonesHumides.pdf
clic sur le lien

bambimboum
04/03/2013, 10h47
l’intérêt de la qualité de la flore pour les oiseaux d'eau
http://www.oncfs.gouv.fr/Decouvrir-les-habitats-ru41/Les-marais-et-prairies-humides-ar1045
clic sur le lien

bambimboum
04/03/2013, 11h06
l’intérêt du pâturage pour les zone humides et les oiseaux d'eau et comment l'organiser?
http://www.pole-zhi.org/sites/default/files/documents/Bilan_paturage-zone-humie.pdf
clic sur le lien.

bambimboum
04/03/2013, 17h39
http://sphotos-b.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-snc7/422594_462131767169533_1098041939_n.jpg

hirondelle 85
04/03/2013, 18h51
Hôoooooooo, la belle sarcelle !!!!! Bravo Bimbam:D

bambimboum
04/03/2013, 19h47
merçi ;)

Philippe 62
05/03/2013, 20h16
http://www.google.com/imgres?q=bergeronnette&num=10&hl=en&authuser=0&biw=1366&bih=599&tbm=isch&tbnid=2-akBTUxD6BEcM:&imgrefurl=http://fotooizo.free.fr/html/Motacilla%2520alba.html&docid=Ezc4DAPuo5CKRM&imgurl=http://fotooizo.free.fr/images/1210978453_bergeogrise4.jpg&w=800&h=600&ei=yEI2Ufm2L8i7Pf2ngOgJ&zoom=1&ved=1t:3588,r:0,s:0,i:82&iact=rc&dur=2868&sig=110243663176496898038&page=1&tbnh=187&tbnw=259&start=0&ndsp=15&tx=142&ty=100

Nicolas Somme 80
06/03/2013, 01h50
de hirondelle "Hôoooooooo, la belle sarcelle !!!!! Bravo Bimbam:D"

attention ce n'est pas n'importe quelle sarcelles , celle ci est la tres rare sarcelle de printemps à cou roux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! une premiere en France !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ;-)) lol.

bambimboum
06/03/2013, 09h35
combien ha en zone protégé en France?
http://inpn.mnhn.fr/espace/protege/stats
clic sur le lien
site très utile !!

bambimboum
08/03/2013, 10h00
comment on fait pour déterminer la valeur d'une zone humide et par quelles phases, on peut préparer un plan de gestion ?
http://www.eau-loire-bretagne.fr/espace_documentaire/documents_en_ligne/guides_zones_humides/Guide_inventaire_ZH.pdf
clic sur le lien

bambimboum
08/03/2013, 10h03
la boite a outils du futur gestionnaire de zone humide
http://www.forum-marais-atl.com/telechargement-cahiers-technique.html
clic sur le lien

bambimboum
12/03/2013, 19h01
http://sphotos-b.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-prn1/71931_469847699731273_240522648_n.jpg

Général
12/03/2013, 20h13
Bonjour Mon Général,

Mes amitiés à Jeanine, qu'elle soit calorique ou calorifique. Ce que j'écris c'est que la plastique abandonné par les chasseurs est une source de pollution plastique comme d'autres dont nous connaissons les conséquences dramatiques sur les oiseaux et les mammifères marins mais il semblerait que tu n'aies pas tout suivi.

Alors recommençons une fois de plus avec pédagogie.

Les généraux portent des étoiles mais moins que celles qui brillent dans le ciel, 2, 3, 4 et même 5.
2 étoiles, sait compter
3 étoiles, sait compter et lire
4 étoiles, sait compter lire écrire
5 étoiles, sait compter, lire, écrire et fumer.

L'équivalent en marine de contre amiral, vice amiral, vice amiral d'escadre et amiral.
De toute évidence, tu n'as jamais mis les pieds sur un bateau pour aller qq part !

Cette vidéo mentionne island midway dans le pacifique nord. En tant que général tu devrais pourtant connaitre le film avec Fonda, Coburn, Mitchum : la bataille de Midway avec les japonais, la chaleur etc. ben c'est là.

Les iles Féroé, c'est la mer de Norvège c'est pas tout à fait l'même climat. Tu prends Ouest/Nord Ouest comme les vikings à partir d' la Norvège et t'y es facilement quand le temps n'est pas trop mauvais.
Quant aux albatros sur cette zone... je te dirai si j'en vois un ou deux car je vais aller y naviguer cet été à voile et un peu à vapeur sans doute pour faire plaisir à gachette d'or qui orthographie hommo avec deux M car c'est sans doute l'anniversaire de çui du milieu.


Maintenant si les FD y ont travaillé, je suis rassuré ! ce n'est plus qu'une question de décennies. Elles ont demandé de peindre les bourres en vert de quelle nuance ?

Si tu pouvais m'éviter !!!? par contre que je te croise pas !!!

Ce site est un site pour chasseurs de GE ?

gachettedor
12/03/2013, 20h51
http://sphotos-b.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-prn1/71931_469847699731273_240522648_n.jpg

sa te resemble;):))

ludo44
12/03/2013, 20h56
Tu crois que c lui tout petit.:fou:
http://img248.imageshack.us/img248/4553/seve011.jpg

gachettedor
12/03/2013, 20h58
Tu crois que c lui tout petit.:fou:
http://img248.imageshack.us/img248/4553/seve011.jpg


maintenant oui je le reconnais bien:))

ludo44
12/03/2013, 21h05
Un beau petit gars.:C

bambimboum
12/03/2013, 23h17
un petit vote pour participer
ANCGE
http://www.1001-votes.com/vote/mvoteres11.php?idv=97526&lg=fr
clic sur le lien

avalptnor
13/03/2013, 08h05
Respire pas la santé te bestiole!

bambimboum
13/03/2013, 10h52
création d'une mare ?
http://environnement.wallonie.be/publi/education/creer_mare.pdf
clic sur le lien

bambimboum
13/03/2013, 18h49
http://sphotos-c.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-ash4/309903_452029331513110_667854252_n.jpg

bambimboum
15/03/2013, 07h46
pour la méditerranée.
La moitié des zones humides
a disparu en 100 ans
Ayant débuté en Grèce dès l’Antiquité, les drainages se sont
intensifiés et répandus à partir de l’époque romaine, d’abord
en Afrique du nord et en Italie (Hollis, 1992), puis à l’ensemble
du bassin. Ces destructions se sont accélérées au cours du 20ème
siècle avec une perte supplémentaire en zones humides estimée
à 50% (OZHM, 2012). La Turquie est peut-être le pays qui a
perdu la plus grande surface de zones humides au cours du
siècle passé, mais les données sont insuffisantes pour l’Égypte
ou la France, où de larges étendues de zones humides naturelles
ont également été drainées. De même au Maghreb, de vastes
surfaces ont été perdues lors de la période coloniale (1850-
1930), mais les informations disponibles (archives coloniales,
cadastre de Constantine, etc.) sont trop dispersées pour pouvoir
être chiffrées. Les pertes réelles sont probablement plus
élevées que les estimations disponibles, les petites zones humides,
comme les mares, n’étant généralement pas inventoriées.
Lorsque les données existent, elles montrent des pertes très
élevées, de l’ordre de 60 à 90 % (OZHM, 2012). Parmi les exem -
ples célèbres et désastreux de drainage de zones humides qui
ont eu lieu dans les années 1950-1970, citons le cas du lac Hula
en Israël qui a abouti à l’extinction de deux poissons endémiques
(Tristramel intermedia et Acanthobroma hulensis), ou
encore les lacs Amik (350 km2) dans le sud-est de la Turquie
et Karla (160 km2) en Grèce qui abritaient des concentrations
de poissons et d’oiseaux d’eau exceptionnelles (Skinner &
Zalewski, 1995).

bambimboum
15/03/2013, 14h35
zones humides
Impacts et bénéficesLes sociétés humaines et leurs systèmes économiques dépendent in fine des écosystèmes naturels, et notamment des zones humides. Le fait que les théories économiques usuelles négligent cet aspect a été identifié comme une des principales causes de la dégradation actuelle de l’environnement. Reconnecter les systèmes économiques avec les systèmes écologiques sous-jacents est l’un des objectifs des économistes écologiques et environnementaux. Dans ce but, ils ont commencé à développer le concept de « service écologique » dans les années 1970.
Les services écologiques sont définis comme les « bénéfices que les individus tirent des écosystèmes ». Ce concept est peu connu des réseaux socio-économiques et des politiques de développement, pour lesquels les notions de bénéfice et d'impact sont basées sur d'autres concepts, en particulier celui des "moyens d'existence durable". L'observatoire a donc développé la corrélation entre ces deux concepts pour une compréhension partagée des indicateurs choisis. Malgré l’importance croissante du concept de service écologique au cours des dernières années, notamment dans les pays développés, aucun indicateur n’a encore été défini au niveau international pour les suivre. Toutefois, un effort important est actuellement en cours pour combler cette lacune. L’Observatoire se propose à terme de suivre quatre d’entre eux, pour lesquels des résultats ne sont toutefois pas encore disponibles à l’échelle pan-méditerranéenne :

bambimboum
15/03/2013, 14h40
voici un outil pour les etudes oiseau d'eau en afrique
http://fr.calameo.com/read/000881634f00a6c156c04
clic sur le lien

bambimboum
15/03/2013, 14h44
différent types de zones humides ?

http://inpn.mnhn.fr/docs/cahab/tome3.pdf
clic sur le lien

bambimboum
15/03/2013, 14h47
plouf !!!
http://sphotos-b.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-ash4/486034_470472576335452_646702494_n.jpg

bambimboum
18/03/2013, 11h39
chiffres et suivi des populations oiseau d'eau
http://wpe.wetlands.org/
clic sur le lien

bambimboum
19/03/2013, 10h10
sondage !
http://www.ancge.fr/#Accueil_ANCGE.A
clic sur le lien

bambimboum
22/03/2013, 17h59
pour les piegeurs
impact sur les oiseau d'eau de la prédation et la chasse

\´après les données de la littérature scientifique, selon que l\´impact de la prédation sur le succès reproducteur est réduit ou non, l\´effectif d\´une population de canards peut être soit augmentée soit diminué de 30-40% par rapport à l\´année précédente en considérant une pression de chasse égale. Il est donc aisé de constater que les aménagements visant à réduire l\´impact des prédateurs sur les sites de reproduction sont essentiels pour influer sur le déclin ou l\´accroissement d\´une population.

Pour en savoir plus :

Owen et Black, 1990 (\«Waterfowl Ecology\»)
Losito et al., 1995 (Journal of Wildlife Management)
Flint et Grand 1996 (Journal of Wildlife Management)
Beauchamps et al. 1996 (Journal of Wildlife Management)

bambimboum
22/03/2013, 18h02
a régulation raisonnée des prédateurs et la gestion des milieux : deux solutions pour favoriser le succès reproducteur des oiseaux d\´eau.

Comme cela fut traité dans deux articles précédents (voir mai et juin 2003), il ne s\´agit pas d\´inciter à l\´éradication des prédateurs, d\´autant plus qu\´ils contribuent à l\´apparition d\´autres espèces et à la conservation de la biodiversité. Toutefois, dans certaines zones propices à la reproduction des canards leur régulation raisonnée peut contribuer à améliorer l\´état des populations d\´oiseaux d\´eau.
Par ailleurs il est important de souligner que l\´impact de la prédation est d\´autant plus fort que le couvert végétal est peu dense. Ainsi, les prairies à foin sont les plus favorables pour la nidification car le camouflage des nids par les hautes herbes y est plus efficace ; le succès de la nidification y atteint 40% contre 3% dans des sites principalement arbustifs.

Ainsi concernant l\´amélioration du succès reproducteur, voici les mesures concordantes pouvant être mises en œuvre :
- conserver et/ou créer des prairies à foin avec des herbes hautes, à quelques centaines de mètres de zones humides ou inondées qui offriront une nourriture essentielle (larves, insectes) pour la cane et les canetons,
- éviter sur les sites de nidification la fauche et le pâturage des prairies, entre la mi-mars et la fin juillet,
- éviter qu\´il y ait une trop grande densité de nids (phénomène qui habituellement accentue la prédation). Ceci suppose des zones de nidification aménagées sur une large étendue,
- réduire l\´accessibilité aux nids ainsi que le dérangement par l\´homme, en plaçant des clôtures autour des nids ou des plates-formes de nidification,
- installer des nids artificiels.
- réguler par le piégeage les animaux considérés comme nuisibles.

bambimboum
22/03/2013, 18h11
canard ,manger ou être mangé?


http://www.cebc.cnrs.fr/Fthese/PUBLI/Legagneux.pdf
clic sur le lien

bambimboum
26/03/2013, 11h21
ces la saison ou, on peu penser a aider les passereaux de vos marais aussi !
http://www.jardiner-naturellement.org/pdf/Fiches-6-et-7-Accueil-de-la-faune.pdf
clic sur le lien.

bambimboum
31/03/2013, 18h55
pour alouette 80
http://www.chasseurs-npdc.fr/docatelecharger/guide/53-86_gestion.pdf

bambimboum
31/03/2013, 19h00
pour alouette 80
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/FS281_fouque.pdf

bambimboum
31/03/2013, 19h01
pour alouette 80
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/FS285_maloubier.pdf

bambimboum
31/03/2013, 19h05
pour alouette80
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/article_PDF/article_a1045.pdf

bambimboum
31/03/2013, 19h07
pour alouette80
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/habitats/zone-humide/rs10_habitats_ZH.pdf

bambimboum
31/03/2013, 19h12
pour alouette 80
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/FS269_fouque.pdf

bambimboum
01/04/2013, 19h13
arrivée d'un nouvelle ouvrage
guide d'identification en mains ornithologie.
manuel de baguage
http://www.guidebaguage.sitew.fr/#Accueil.A
clic sur le lien

bambimboum
01/04/2013, 19h25
ouvrage recommander pour la lecture d'ailes(canards, oies ,limicoles et autres..) avec les mises a jour récentes et évolutives par internet, suivant l’évolution des connaissances.

pioupiou64
01/04/2013, 19h44
c'est bien bimbamboum ce petit coup de pub pour Demongin; et ne pas oublier des années de travail.

bambimboum
04/04/2013, 09h49
pour alouette80
trouver par guit40
http://www.chasseurs-npdc.fr/docatelecharger/Etude_mdh.pdf
clic sur le lien

bambimboum
04/04/2013, 09h51
pardon l'article si dessous n'est pas une trouvaille de guit 40 mais de jmax désolé.:/:

alouette080
05/04/2013, 16h25
Je vous remercie bien ...

coinc59
06/04/2013, 22h49
ouvrage recommander pour la lecture d'ailes(canards, oies ,limicoles et autres..) avec les mises a jour récentes et évolutives par internet, suivant l’évolution des connaissances.
Bsoir bambimboum. Comme je suis arrivé après la bagarre, tu peux reonner le titre et l'auteur du bouquin?
Merci

bambimboum
07/04/2013, 07h35
Bsoir bambimboum. Comme je suis arrivé après la bagarre, tu peux reonner le titre et l'auteur du bouquin?
Merci
voila
http://www.guidebaguage.sitew.fr/#Accueil.A
clic sur le lien

bambimboum
07/04/2013, 07h42
tout les codes des bagueurs
http://www2.mnhn.fr/crbpo/IMG/pdf/guide_de_saisie_v171007.pdf
clic sur le lien

bambimboum
07/04/2013, 07h57
video demo du travail de bagueur
http://www.youtube.com/watch?v=Y6lfUDbyiCw
clic sur le lien

pioupiou64
07/04/2013, 13h20
sympa ces infos sur le pèlerin;les rapaces sont vraiment impressionnant,içi u
ne vidéo de la BBC " Autour des palombes "
https://www.youtube.com/watch?v=2CFckjfP-1E

YV40
07/04/2013, 14h17
Magnifique oiseau ce pélerin :D

bambimboum
07/04/2013, 15h00
l'autour des palombes du reportage a pioupiou
http://www.vogelwarte.ch/assets/images/vogeldb/artbilder/700px/1110_0.jpg

bambimboum
07/04/2013, 15h04
et le faucon pelerin vu dans la video de mickael 50
http://energie.edf.com/fichiers/fckeditor/Commun/En_Direct_Centrales/Thermique/Centres/Porcheville/visuels/actus/faucon_pelerin_porcheville-sm.jpg

bambimboum
10/04/2013, 10h08
Cérémonie de lancement du 1er guide sur les oiseaux aquatiques d'Afrique du NordLancement du 1er guide d’identification des oiseaux d’eau migrateurs du Nord de l’Afrique en langue arabe.Tunis
Tunisie


http://www.ornithomedia.com/images_spaw/130322cdc0df42120045-guide-oiseaux-adn-200x1000.jpgLancement du 1er guide d’identification des oiseaux d’eau migrateurs du Nord de l’Afrique en langue arabe
Lors d’un atelier organisé le samedi 2 mars 2013 à Tunis par l’Association "Les Amis des Oiseaux" (AAO) en présence de ses partenaires nationaux et internationaux, un nouveau guide d’identification des oiseaux d’eau en langue arabe a été présenté au public. La soixantaine de participants de l’événement, majoritairement des représentants d’institutions et d’organisations œuvrant pour la biodiversité et les milieux naturels, s’est accordée à constater que ce bel ouvrage va combler un besoin ressenti dans le domaine de la conservation des oiseaux d’eau et des zones humides au Nord de l’Afrique, celui de disposer d’outils de travail en langue arabe.

La publication de ce guide a été réalisée en partenariat entre l’AAO et l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage français (ONCFS) avec le soutien financier du Ministère français de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie3 et de la fondation MAVA pour la Nature.

Au cours des allocutions les représentants du Ministère tunisien de l’Environnement, M. Boubaker Houman, et du Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie, Mme Marianne Courouble, ont souligné l’importance de cet ouvrage notamment dans le cadre de la mise en œuvre de l’Accord pour la Conservation des Oiseaux d’eau migrateurs en Afrique-Eurasie (AEWA), dont la Tunisie et la France sont signataires. A la même occasion le représentant de la Direction Générale des Forêts (DGF), M. Habib Abid, a rappelé que les oiseaux d’eau sont parmi les indicateurs et les bénéficiaires de la désignation de zones humides d’importance internationale sous la convention Ramsar et que la Tunisie compte désormais 40 sites reconnus par cette convention.

Richement illustré, le petit guide de poche permet l’identification de 200 espèces d’oiseaux d’eau présentes du nord du Soudan jusqu’à la Mauritanie, en passant par l’Egypte, la Libye, la Tunisie, l’Algérie et le Maroc. Chaque espèce est présentée avec ses noms arabes vernaculaires utilisés dans les 7 pays, des dessins et des textes d’identification, une carte de répartition ainsi que des informations sur son statut dans la région. Entre auteurs, dessinateurs, traducteurs, experts nationaux, experte SIG et infographistes, plus que 20 personnes ont contribué à la réalisation de cet ouvrage.

Ce guide a notamment vocation à stimuler le recensement international des oiseaux d’eau dans la région et constitue, à ce titre, une contribution à la mise en œuvre de l’AEWA et en particulier à l’initiative africaine visant à promouvoir cet accord sur le continent africain.

bambimboum
10/04/2013, 10h10
Journée mondiale des oiseaux migrateurs 2013 à Oulan-Bator (Mongolie)La Mongolian Ornithological Society et ses partenaires organisent la journée mondiale des oiseaux migrateurs à Oulan-Bator.Oulan-Bator
Mongolie


http://www.ornithomedia.com/images_spaw/13031693989084090504-world-migratory-bird-day-20-200x1000.jpgJournée mondiale des oiseaux migrateurs 2013 à Oulan-Bator (Mongolie)
Sur les 476 espèces d'oiseaux recensées en Mongolie, 391 sont migratrices.
En collaboration avec le Ministère de la Nature, de l'Environnement et du Tourisme, du Muséum d'Histoire Naturelle de Mongolie, de l'East-Asian Australia-Asian Flyway Partnership, du Secrétariat de la Convention sur la conservation des espèces migratrices d'animaux sauvages et du laboratoire d'ornithologie de l'université de Mongolie, la Mongolian Ornithological Society organise les 11 et 12 mai 2013 la journée mondiale des oiseaux migrateurs.
Le thème de cette année est le travail en réseau pour les oiseaux migrateurs.
Le programe est varié : lectures et conférences présentées par des ornithologues mongols et internationaux, projections de films, sorties sur le terrain, expositions de photographes, activités pour le public.
http://www.ornithomedia.com/images/puce/separateur.gifRenseignement(s) complémentaire(s)Contact et informationsMongolian Ornithological Society - Ornithological Laboratory of the National University of Mongolia
P.O. Box 537, Ulaanbaatar 210646A
E-mail : info@mos.mn
Site web : http://www.mos.mn (http://www.mos.mn/)

bambimboum
10/04/2013, 10h11
des nouvelles de l’étranger ,comme notre gibier est migrateur.

bambimboum
10/04/2013, 10h19
état et tendances des populations d'oiseau en France
.en partenariat avec le Muséum national d’histoire naturelle une analyse de l’état et de l’évolution des populations des oiseaux nicheurs de France métropolitaine.Sur 287 espèces nicheuses régulières en France, 234 bénéficient de suivis permettant d’analyser les tendances de leurs effectifs au niveau national. D’une manière globale, après une baisse moyenne de 1989 à 2001, une amélioration s’est amorcée, principalement due à la progression des espèces protégées et l’arrivée de nouvelles espèces. Toutefois, la tendance finale reste cependant négative sur vingt ans, avec une chute de 12%.
Si la situation d’une majorité d’espèces nicheuses rares s’améliore, les pressions sur les écosystèmes en général restent importantes et particulièrement dans les milieux agricoles.
Les programmes de conservation ont été bénéfiques aux espèces rares et localisées. La Directive Oiseaux y a contribué, au même titre que la loi de protection de la nature de 1976, instaurant la protection des espèces et la création de sites protégés. L’essor des espèces rares et menacées reste cependant plus qualitatif que quantitatif, leurs effectifs demeurant faibles. Le déclin des oiseaux communs mis en évidence par les données du programme STOC correspond à la disparition d’un grand nombre d’individus. Les effectifs de ces oiseaux ont globalement diminué de 14% en 20 ans. Seules les espèces généralistes augmentent. Cela illustre un phénomène d’homogénéisation de la faune aviaire au profit des espèces les moins spécialisées.
Ces résultats reposent sur les données issues du travail de nombreux ornithologues professionnels ou bénévoles émanant des associations et organismes qui agissent pour l'étude et la conservation de la Nature en France.
L’étude de laquelle sont tirés ces résultats est intitulée « Etat et tendances de l’avifaune nicheuse de France métropolitaine ». Elle a été réalisée avec le soutien du Ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement.
La brochure est disponible en télécharement sur le site atlas :http://www.atlas-ornitho.fr/index.php?m_id=214Source : Bernard Deceuninck & Vincent Dupuis

jmax
10/04/2013, 10h40
http://www.ramsar.org/cda/fr/ramsar-news-archives-2013-iceland-three/main/ramsar/1-26-45-590%5E26132_4000_1__

bambimboum
10/04/2013, 10h42
jmax: miam miam le site ,pour les oies:C

bambimboum
20/04/2013, 22h26
Le Sahara occidental est un territoire situé au sud du Maroc et bordé par l’Atlantique. Cette ancienne colonie espagnole n'a toujours pas trouvé de statut définitif sur le plan juridique, plus de trente-sept ans après le départ des Espagnols en 1976.
Le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. Le royaume occupe aujourd'hui près de 80 % du territoire, les 20 % restants étant sous administration sahraouie. Une bonne route goudronnée longe la côte atlantique et permet d’atteindre facilement le secteur de la baie de Dakhla, et il est fortement déconseillé de s’écarter de celle-ci sans un accord préalable de la gendarmerie marocaine ou des Forces Armées Royales (F.A.R.).
Etant donné cette situation politique particulière et l’éloignement des grandes régions touristiques marocaines, le Sahara occidental est très peu visité par les observateurs, et logiquement, les informations disponibles sur sonavifaune sont relativement peu nombreuses. Il s’agit pourtant d’une région fascinante, où il est possible d’observer des oiseaux pratiquement invisibles ailleurs dans le Paléarctique occidental comme la Sterne royale, laMoinelette à front blanc, la Prinia à front écailleux ou leCorbeau pie.
Nous vous présentons dans cet article plusieurs bons secteurs pour observer les oiseaux. Nous remercions Alexandre Beauquenne (Voyageschezlesoiseaux.eu (http://www.voyageschezlesoiseaux.eu/)), Dan Brown et Alex Lees (Punkbirder (http://www.freewebs.com/punkbirder)) pour leurs informations et leurs photographies.

bambimboum
20/04/2013, 22h27
sahara occidentale(suite)
La baie de Dakhla (Ad-Dakhla)Les échancrures sont rares le long de la côte du Sahara occidental, plutôt rectiligne, mais on y trouve un endroit unique en Afrique du Nord, la baie de Dakhla. Il s'agit d'une grande étendue marine atlantique allongée (37 sur 13,5 km) abritée qui constitue une enclave paléarctique à la limite nord du domaine tropical.
Une langue de terre haute de cinq mètres en moyenne et large de 1,5 à 4 km, couverte de dunes sableuses, sépare la baie de la mer ; la rive orientale est formée de falaises escarpées relativement élevées. La profondeur de la baie varie de 1 à 20 mètres (les plus fortes profondeurs sont atteintes au niveau de quelques chenaux entretenus par le balancement des marées). Une vaste sebkha, située au nord-ouest de la baie, est coupée en deux parties par la route goudronnée menant à la ville d’Ad-Dakhla. Un nouveau port a été construit près de l’embouchure de la baie sur la rive orientale à 12 km au sud de la ville d ’Ad-Dakhla.
Plusieurs habitats se succèdent le long de ses rives : bancs de sable, herbiers marins à zostères, steppes salées à Spartinaet à salicornes, vasières.

http://www.ornithomedia.com/magazine/voyages/sahara-limicoles.jpg

Rassemblement de limicoles dans la baie de Dakhla (Sahara occidental), janvier 2010.
Photographie : Alex Lees / Punkbirder (http://www.freewebs.com/punkbirder)


Il s’agit d’une Zone d’Importance Internationale pour la Conservation des Oiseaux et un parc national y a été créé. Elle constitue en effet un site d’hivernage d’importance internationale pour les limicoles, en particulier pour le Bécasseau variable (Calidris alpina), la Barge rousse (Limosa lapponica), le Bécasseau maubèche (Calidris canutus) et le Pluvier argenté (Pluvialis squatarola), le Grand Gravelot (Charadrius hiaticula), le Gravelot à collier interrompu (Charadrius alexandrinus), les Laridés, notamment le Goéland brun (Larus fuscus) et le Goéland d’Audouin (L. audouinii), le Flamant rose (Phoenicopterus ruber), le Grand Cormoran marocain (Phalacrocorax carbo maroccanus), la Sterne caspienne (Sterna caspia).
Parmi les nicheurs, citons le Grand Cormoran marocain, le Gravelot à collier interrompu (Charadrius alexandrinus), le Goéland railleur (Larus genei), les Sternes caspienne (Sterna caspia) et pierregarin (S. hirundo) ...

bambimboum
20/04/2013, 22h33
en plein désert du sahara des zones humides temporaires


La plupart d’entre elles sont temporaires, les sebkhas (ou sebkhets). Il s’agit de dépressions fermées ou parfois en communication avec le milieu marin. Dans la plaine côtière, certaines sont bordées d’une ceinture de végétation palustre qui peut être étendue (par exemple autour de la Sebkha Imlily, au sud de la baie de Dakhla), où se développent des efflorescences salines durant les périodes sèches, et qui peuvent être inondées par des eaux de crue ou des remontées d'eaux profondes. L’évaporation est toutefois importante.
Des poissons peuvent tout de même vivre dans ces milieux : les biologistes ont ainsi découvert des populations de Tilapias de Guinée (Tilapia guineensis) dans la Sebkha Imlily. Ils se nourrissent en particulier des larves de moustiques.
Quand elles sont en eau, essentiellement en hiver, ces dépressions peuvent accueillir de nombreux oiseaux aquatiques (canards, limicoles).
75 sebkhas majeures figurent sur les cartes routières : citons parmi les plus riches la Sebkhet Arridal, à l’est de Boujdour, qui est alimentée par de petits cours d’eau intermittents, la Sebkhet Tah, à l’est de Trafaya, qui mesure 28 km de long et 6 km de large, qui est fréquemment inondée. Dans les lits de certains oueds peuvent se former des gueltas, qui correspondent à des mares qui subsistent après la crue ou qui sont alimentées par des sources. Elles sont fréquentées par les oiseaux du désert (gangas, alouettes, traquets, …) et par les migrateurs qui doivent traverser le Sahara.

bambimboum
21/04/2013, 07h30
la Loire un fleuve libre
documentaire
http://www.youtube.com/watch?v=8GSXeVm75o0
clic sur le lien

bambimboum
21/04/2013, 07h42
la loire fleuve sauvage et sans pub
ces mieux
http://www.youtube.com/watch?v=kNUVTPWZuX8&playnext=1&list=PLEDz10d-mv5_yoij9ecDkt8FzRl8blJWQ
clic sur le lien

*RM*ri-ri
21/04/2013, 16h37
Une question pour Bambimboum : pourquoi tu nous abreuves de données en vrac ? Chacune d'elles est intéressante mais quelle est la cohérence ? Que veux-tu dire TOi au travers de tous ces résultats d'études diverses et variées ? Parce que ça m'intéresse de connaître tes idées à toi qui as l'air bien affuté sur tous ces sujets...;)

bambimboum
21/04/2013, 17h42
Une question pour Bambimboum : pourquoi tu nous abreuves de données en vrac ? Chacune d'elles est intéressante mais quelle est la cohérence ? Que veux-tu dire TOi au travers de tous ces résultats d'études diverses et variées ? Parce que ça m'intéresse de connaître tes idées à toi qui as l'air bien affuté sur tous ces sujets...;)
bonjour ri ri
-la cohérence est l'intitulé du post
-j'essai de ne pas mettre les études en entier, car personnes ne les liraient (parfois 100 pages).
-un chasseur averti en vaut 2.
bonne journée.

bambimboum
24/04/2013, 18h41
ISRAEL
Depuis l'International Birdwatching Center (kibboutz Kfar Ruppin, vallée du Jourdain)

http://www.ornithomedia.com/magazine/etudes/israel0313-echasses.jpg

Echasses blanches (Himantopus himantopus), vallée du Jourdain (Israël), mars 2013.
Photographie : Oren Yehuda


Le mois de mars correspond à un pic migratoire dans la vallée du Jourdain : les hivernants quittent la région et les mouvements d'oiseaux aquatiques sont importants. Des groupes de Cigognes blanches (Ciconia ciconia) de Cigognes noires (C. nigra), des Pélicans blancs (Pelecanus onocrotalus) et des rapaces sont vus presque tous les jours. Les bruyantes Grues cendrées (Grus grus), qui hivernent ici (en particulier un peu plus au nord, près de la réserve naturelle d'Hula - lire Hula Bird Festival 2012 : grues, aigles et compagnie (http://www.ornithomedia.com/magazine/voyages/hula-bird-festival-2012-grues-aigles-compagnie-00481.html)), survolent la vallée jour et nuit. Parmi les nombreux oiseaux qui font une halte près des étangs, citons la Spatule blanche (Platalea leucorodia), la Cigogne noire, le Héron pourpré (Ardea purpurea), la Buse des steppes (Buteo vulpinus), le Bécasseau minute (Calidris minuta), le Grand Gravelot (Charadrius hiaticula), l'Echasse blanche (Himantopus himantopus) et le Combattant varié (Philomachus pugnax). Au cours d'une visite, 10 Balbuzards pêcheurs (Pandion haliaetus) ont été comptés dans les piscicultures de Kfar Ruppin et de Tirat Zvi.
La saison de nidification de plusieurs espèces a débuté et l'on peut entendre les chants et les cris du Bulbul d'Arabie (Pycnonotus xanthopygos), du Moineau domestique (Passer domesticus), de la Prinia gracile (Prinia gracile), Souimanga de la Palestine (Nectarinia osea), de la Huppe fasciée (Upupa epops), du Vanneau éperonné (Vanellus spinosus) et du Francolin noir (Francolinus francolinus). La population de cette dernière espèce a augmenté au cours des dernières années, et des couples ont été vus dans la vallée d'Harod et même à Tel Adashim, à l'ouest d'Afula (au centre-nord du pays). Le chant monotone du Petit-duc scops (Otus scops) est entendu tous les soirs et même pendant la journée, et les cris de l'Effraie des clochers (Tyto alba) sont audibles depuis le début du mois de mars.Depuis la réserve naturelle de GamlaLa réserve naturelle des gorges de Gamla, sur le plateau du Golan (nord d'Israël) accueille la plus importante colonie de Vautours fauves (Gyps fulvus) du pays, mais elle est hélas en déclin depuis plusieurs années : 20 oiseaux ont été comptés en mars dans les gorges de Gamla et de Daliyot, et sept nids (deux avec des poussins, cinq avec des oeufs) sont actifs. Deux jeunes vautours (nés en 2010 et 2011) sont présents dans les volières de réhabilitation de la réserve, ils seront relâchés quand ils auront 4 ans environ. Des congénères viennent les visiter de temps en temps ...
Au cours du mois, la station de nourrissage a été très fréquentée, et les oiseaux marqués "A44", "L94" et "A68" y ont été notés.

hirondelle 85
25/04/2013, 07h25
Salut BBB, ce serait sympa de citer tes sources d'observations , si tu vois ce que je veux dire........., les données ne peuvent être publiées sans l'autorisation de l'auteur.

bambimboum
25/04/2013, 07h57
Salut BBB, ce serait sympa de citer tes sources d'observations , si tu vois ce que je veux dire........., les données ne peuvent être publiées sans l'autorisation de l'auteur.
je suis parfaitement au courant de ceci ,les fragments de données postées ici sont toute disponible au public et déjà publiées sur le net. . il suffit de savoir les chercher.
a t'a demande voila

La page Facebook de l'I.O.C. : www.facebook.com/pages/Israel-IOC-Birds-and-Birding (http://www.facebook.com/pages/Israel-IOC-Birds-and-Birding/255991381078737?ref=ts&fref=ts)
Les sites web de l'Israel Ornithological Center (I.O.C.) : www.birds.org.il (http://www.birds.org.il/) / www.israbirdcenter.org (http://www.israbirdcenter.org/)
Le blog de Yoav Perlman : nubijar.blogspot.com (http://www.ornithomedia.com/nubijar.blogspot.com)
Le site web du Jerusalem Bird Observatory (J.B.O.) : www.jbo.org.il (http://www.jbo.org.il/)
Le blog Eilat Birding blog : http://eilatbirding.blogspot.co.il (http://eilatbirding.blogspot.co.il/)
Le blog du Ramat HaNegev Birding Center : http://ramathanegevbirdingcentre.blogspot.fr/
Le site web de l'International Birdwatching Center : www.birdwatching.org.il (http://www.birdwatching.org.il/)

bambimboum
25/04/2013, 08h18
si vous voulez en savoir + sur des infos que je post ici je suis toujours prêt a vous orienté .

bambimboum
30/04/2013, 11h43
en vendée








Rivière Lay
Le Lay est le plus long et le plus grand de tous les Rivières de la Vendée, avec sa source à Saint-Pierre-du-Chemin à une hauteur de 195 mètres d'altitude. Il s'écoule généralement vers le sud pendant 120,3 kilomtres dans le golfe de Gascogne, entre La Faute-sur-Mer (http://www.vendee-guide.com/la-faute-sur-mer.htm) et L'Aiguillon-sur-Mer (http://www.vendee-guide.com/l%27aiguillon-sur-mer.htm). Il est rejoint par le Petit Lay juste à l'ouest deChantonnay (http://www.vendee-guide.com/chantonnay.htm) et de la Rivière Smagne à Dissais avant de passer par Mareuil-sur-Lay (http://www.vendee-guide.com/mareuil-sur-lay.htm) et de la région viticole. Il est ensuite rejoint par la rivière Yon avant de finalement franchir la limite nord du Marais Poitevin (http://www.vendee-guide.com/marais-poitevin.htm).
Historiquement, la rivière Lay a été très important tant pour l'assèchement des marais du Marais Poitevin et pour le commerce. Outre les ports de l'Aiguillon et La Faute il y avait à l'époque romaine et médiévale, les petits ports à Angle (http://www.vendee-guide.com/angle.htm) où la forteresse de Moricq défendu la rivière des attaques et à St.Benoist (http://www.vendee-guide.com/st-benoist.htm) et Curzon (http://www.vendee-guide.com/curzon.htm), qui a également eu des fortifications. Le fleuve et ses affluents a également fourni la puissance au moyen des moulins à eau qui ont été nombreux surtout pour le broyage des céréales.Le Petit Lay. N'eut été l'intervention des politiciens de Fontenay-le-Comte, le Ministère aurait été appelés les Deux Lays et non la Vendée quand il a été créé pendant la Révolution.
Le Petit jeter s'élève au nord-est de les Herbiers (http://www.vendee-guide.com/les-herbiers.htm), à proximité du Puy du Fou (http://www.vendee-guide.com/puy-du-fou.htm), il coule ensuite vers le sud-ouest comme elle recueille les eaux de drainage du Haut Bocacge (http://www.vendee-guide.com/haut-bocage.htm)via ses nombreux affluents. Il passe en dessous le village de Mouchamps (http://www.vendee-guide.com/mouchamps.htm) et pénètre dans le Bas Bocage (http://www.vendee-guide.com/bas-bocage.htm) sur son chemin à travers St.Cecile comme il serpente autour St.Hilaire-le-Vouhis, avant de rejoindre le Grand Lay au sud du réservoir du Moulin-Neuf en un point appelé L'Assemblée des Deux Lay.

bambimboum
30/04/2013, 11h48
le port de l'aiguillon sur mer ,embouchure du lay
http://www.vendee-guide.com/riviere-lay_files/aiguillon4.jpg

bambimboum
30/04/2013, 11h49
le Lay pas loin de la source
http://www.vendeens.com/images/Reaumur/14ReaumurPetitRuSuite.jpg

bambimboum
30/04/2013, 11h51
vu général de l'estuaire du Lay
maintenant tristement célèbre a cause de xinthya
http://www.senat.fr/rap/r09-647-1/r09-647-12.gif

bambimboum
30/04/2013, 11h56
la pointe d'arcay
a l'ouest de l'embouchure du Lay
fléche littoral

http://www.lafautesurmer.com/index.php?module=Galerie_photos&type=show&func=viewimage&iid=621&thumbnail=1

bambimboum
30/04/2013, 12h02
état des lieux hydraulique du sud vendée
http://www.gesteau.eaufrance.fr/DOC/SAGE/SAGE04003-EtatLieux.pdf
clic

bambimboum
30/04/2013, 13h54
 La chasse à la tonne :
Les milieux favorables au développement des populations cynégétiques sont principalement liés à
la présence dans les prairies humides de plans d'eau peu profonds.
Ceci a entraîné, avec la privatisation des terrains de chasse, le développement de la chasse à la
tonne depuis la fin des années 1960/1970.SAGE du Lay – Etat des lieux des connaissances - 168 -
La chasse à la tonne consiste à se placer dans un abri, la tonne, près d'un plan d'eau naturel ou
artificiel situé sur le trajet des oiseaux.
Les dimensions des plans d'eau sont très variables : de 50 ares (voire moins) à 2 ou 3 hectares avec
une profondeur comprise entre 10 cm et 1 m.
Selon le service d'hydrogéologie du Conseil Général de Vendée, les premières tonnes furent créées
vers 1961 mais elles se sont multipliées à partir des années 80. Ce même service chiffrait le nombre de
plans d'eau à 200 à l'ouest du Canal de Luçon (1998).
Ces données restent toutefois approximatives car le milieu se modifie très vite d'une année sur l'autre. En
effet, le Parc Inter Régional du Marais Poitevin avait, quant à lui, comptabilisé 160 tonnes en Vendée
dont au moins 96 permanentes (d’après le recensement de la Fédération de Chasse non achevé en 2001) et
68 temporaires.
En effet, si une partie des mares sont artificielles et nécessitent l'intervention d'une pelleteuse et son
remplissage à partir des eaux des canaux voisins, la Fédération Départementale des Chasseurs de Vendée
précise que d'autres se forment naturellement dans les baisses de prairies humides du marais : dans ce cas,
les tonnes sont de simples affûts précaires.
Evolution du nombre de plans d'eau à vocation cynégétique dans le marais poitevin
(à l'échelle du département).
1979 1981 1984 1990 1995
Nombre 36 41 37 97 160
(Source : Parc Naturel Régional, 1995)
En 1998, le service d'hydrogéologie précisait le nombre de tonnes par commune :
Communes Nombre de tonnes
Longeville sur Mer 17
Angles 14
St Benoist sur Mer 1 ou 3 ?
Grue 5
Triaize 56
Les Magnils Reigniers 2
 Gestion de l'eau pour les tonnes :
Pour remplir les plans d'eau artificiels, des prélèvements importants d'eau sont nécessaires. Ceux-ci
s'effectuent à partir du mois d'août avant l'ouverture anticipée de la chasse au gibier d'eau et parfois
malgré les arrêtés préfectoraux d'interdiction de prélèvement.
Une mare est remplie en 3 à 4 jours, de nuit, car sans autorisation.
Ces plans d'eau peu profonds présentent des surfaces évaporantes très importantes et nécessitent donc une
alimentation régulière pour maintenir les niveaux.
Selon le service d'hydrogéologie, les volumes ainsi prélevés atteindraient 1,6 Mm
3
en août - septembre,
époque de l'année pour laquelle les niveaux sont les plus bas.

bambimboum
30/04/2013, 13h55
toujours pour la vendée

 Localisation des tonnes de chasse :
Les données ci-dessous sont extraites du rapport "Evolution des plans d'eau à vocation cynégétique
et des espaces prairies inondables dans le Marais Poitevin" du Parc Naturel Régional du Marais Poitevin
(janvier 1996).
« Les tonnes de chasse se situent uniquement dans la partie ouest du Marais Poitevin du fait de la
proximité du littoral atlantique, des sites d'intérêt ornithologique (Baie de l'Aiguillon et Pointe d'Arçay)
et de la présence des derniers grands ensembles de prairies naturelles humides.
La répartition des tonnes de chasse dans le Marais Poitevin présente une distribution agrégative ;
en effet, leur localisation se révèle stratégique par rapport aux milieux exploités par les canards au cours
de leurs déplacements. On les trouve tout d'abord, à proximité des zones de réserve de chasse ou de
réserve naturelle, comme la Baie de l'Aiguillon, la Pointe d'Arçay, la Réserve Naturelle de Saint Denis du
Payré et la Réserve Naturelle Volontaire de Choisy à Saint Michel en L'Herm. Ce sont les zones de
remise diurne des populations d'anatidés hivernants dont l'intérêt ornithologique est reconnu
internationalement. Certains plans d'eau de loisir non chassés (étang des Guifettes à Luçon) peuvent
également jouer le même rôle et concentrent des installations dans leurs environs.
Les autres tonnes se répartissent ensuite sur l'ensemble des prairies naturelles humides du Marais
Poitevin occidental, mais leur concentration est plus importante sur les marais de Triaize, et d'Angles -
Longeville. Ces derniers grands ensembles de prairies naturelles humides constituent, en effet, des sites
d'alimentation nocturne privilégiés pour les anatidés.
Enfin, elles se répartissent aussi le long des axes de déplacement journalier (entre "remises et
gagnages"), constitués notamment par le réseau hydraulique principal (Lay, Chenal Vieux, Canal de
Luçon…). »
Remarque : Devant l'accroissement rapide du nombre de plans d'eau et par conséquent du pompage
de l'eau souvent sans autorisation, la Fédération de Chasse du département a lancé en 2001 le recensement
des tonnes (permanentes ou non) afin d'établir les besoins en eau pour la chasse. Ces données devraient
valider, ou non, les chiffres de 1996 évoqués précédemment.

bambimboum
30/04/2013, 13h58
sud vendée
Importance patrimoniale de l'usage
Il est très difficile d'évaluer le nombre de chasseurs dans les marais de la zone d'étude car le Marais
Poitevin attire des chasseurs venant de l'ensemble du département mais également de Charente Maritime,
des Deux Sèvres, de Loire Atlantique.
Près de 19 000 chasseurs sont inscrits en Vendée mais ce chiffre semble diminuer de 2 à 3 %
chaque année du fait de l'âge moyen élevé des chasseurs, d'une part, et d'une perte des coutumes rurales
d'autres part. L'augmentation des zones urbaines (et par conséquent la diminution des surfaces chassables)
explique également ce phénomène.
Cependant, la chasse à la tonne reste un usage ayant une forte image patrimoniale et culturelle dans
le marais.
Pour la Fédération de Vendée, la validation départementale se vend 590 F et 1 640 F pour une
validation nationale. La redevance "gibier d'eau" est au prix de 96 F.
Sur le secteur étudié, les surfaces chassables sont estimées à 216 573 ha. 124 territoires appartiennent à
des sociétés communales et plus de 650 à des chasses privées. Bien que les chasseurs inscrits dans une
commune puissent chasser partout, 6 122 chasseurs sont inscrits dans les sociétés communales et plus de
1 500 sur les chasses privées (Fédération Départementale de la Chasse, 2001).

bambimboum
30/04/2013, 14h08
quelques images des marais
http://www.vendee.fr/layout/set/print/Territoire-et-environnement/Environnement/Le-coffret-DVD-Vendee-Sauvage-un-cadeau-original-pour-les-fetes/Presentation-de-Philippe-GARGUIL
clic

bambimboum
03/05/2013, 11h31
la vase et comment ce crée les estuaires
etude
http://tel.archives-ouvertes.fr/docs/00/36/43/16/PDF/These_Martin_SANCHEZ_1992.pdf
clic

bambimboum
03/05/2013, 11h32
http://bretagne.france3.fr/sites/regions_france3/files/styles/top_big/public/assets/images/vase.jpg

bambimboum
03/05/2013, 11h34
petite pensée a ceux qui lutte ;)
http://www.s-g-n.eg2.fr/Documents%20site%20SGN/Estuaire_Seine_2005.jpg

bambimboum
03/05/2013, 11h36
http://ars.els-cdn.com/content/image/1-s2.0-S0035159808000159-gr3.jpg

bambimboum
03/05/2013, 11h38
http://4.bp.blogspot.com/-l4lErdrSuC4/TWVICaGr2tI/AAAAAAAAATc/b3Asku1iQR4/s1600/estuaire%2Bdelta.jpg

bambimboum
08/05/2013, 07h47
très bonne émission sur un bilan hydraulique de la France
http://pluzz.francetv.fr/videos/c_dans_lair.html
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bambimboum
09/05/2013, 11h10
installer ou rénover une roseliere.
http://cenrhonealpes.org/sitecren/images/stories/documents/CTpdf/cahiertechnique/CTroselieres.pdf
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bambimboum
09/05/2013, 11h15
flore des roselières



5.2 Relevés floristiques
Les échantillonnages montrent que les roselières du Grand-Village et du Niton sont des
peuplements de Roseau commun Phragmites australis, dans lesquels on retrouve des plantes comme
Solanum dulcanara, Thelypteris palusris et Typha angustifolia. Pour le site du Grand-Village, la
turbidité de l’eau est importante (Hauteur 6 cm ; soit 200 JTU ; Unité de Turbidité de Jackson),
caractérisée par une couleur très foncée et une forte odeur de vase. La portance du sol est relativement
bonne, notamment à cause de l’effet d’atterrissement de la roselière et du faible niveau d’eau. La
couche de matière végétale (tiges, feuilles) est presque inexistante, signe d’une bonne décomposition
de la litière (environ 3 cm d’épaisseur). Concernant les mesures sur les plants de roseaux, la densité
moyenne de roseaux verts est de 38,75/0,50 m² ; et 74,5/0,50m² pour les roseaux secs. La densité
moyenne totale des tiges est de 113,2/0,50m². La hauteur et le diamètre moyens des tiges de roseaux
secs complets sont respectivement de 208,5 cm (n=16) et 2,9 mm (n=16). Le nombre moyen de tiges
sèches avec panicules est de 2,25 (n=9). Pour les roseaux verts la hauteur moyenne des tiges est de
224,3 cm (n=8) pour un diamètre moyen de 3,3 mm (n=8). Le ratio moyen tiges sèches/ tiges vertes
calculé est de 1.92, ce qui correspond à un coefficient assez élevé. Les relevés effectués le long des
deux diagonales, à un intervalle de deux mètres, montrent une absence de l’eau et la présence continue
d’espèces terrestres (e.g. Solanum dulcanara). On note également l’absence d’invertébrés aquatiques
et d’algues filamenteuses, corrélée aux très faibles niveaux d’eau.
Figure 2. (a) Hauteur en cm des tiges de roseaux secs pour le site du GrandVillage (median. 211,
écart-type. 26,308) du Niton (median. 241.5, écart-type. 16.532) et d’Orouet (median. 265, écart-type.
15.461). (b) Hauteur en cm des tiges de roseaux verts pour le site du GrandVillage (median. 230,
écart-type. 19,331) du Niton (median. 247, écart-type. 13,596) et d’Orouet (median. 270, écart-type.
16,938).
(a) (b)12
Sur la roselière du Niton l’analyse de la qualité de l’eau montre une turbidité d’environ 20
JTU, soit une hauteur de 35 cm. La couleur de l’eau est légèrement jaunâtre avec une odeur de tourbe
peu prononcée. La portance du sol est moyenne (enfoncement à mi-cheville), du principalement à une
litière comprise entre 5 et 10 cm d’épaisseur et composée de débris de tiges de roseaux. La densité
moyenne de roseaux verts est de 41,5/0,50m² et 48,7/0,50 m² pour les roseaux secs, soit une densité
moyenne totale des tiges de 90,2/0,50m². Le nombre moyen de tiges sèches avec panicules s’élève à
7,7 (n=31). Le ratio moyen tiges sèches/tiges vertes est de 1.1. La hauteur et le diamètre moyens des
tiges de roseaux secs complets sont de 239,6 cm (n=16) et 3,9 mm (n=16). Pour les tiges de roseaux
verts la hauteur moyenne est de 243 cm (n=8) et le diamètre moyen est de 4,8 mm (n=8). Les relevés
montrent également une corrélation entre les niveaux d’eau et la végétation présente. Ainsi lorsque la
profondeur est supérieure à 22 cm, on note une présence des herbiers (Azolla filiculoides) et une
absence des phragmites. Inversement un niveau d’eau inférieur à 20 cm se caractérise par la présence
de roseaux et l’absence d’autres plantes aquatiques. Les invertébrés aquatiques sont représentés par
des larves (diptères, odonates) et quelques mollusques non identifiés.
Figure 3. (a) Rapport entre la hauteur et le diamètre des tiges de roseaux secs sur les trois sites d’étude
(GrandVillage : noir ; Niton : rouge ; Orouet : Bleu). (b) Rapport entre la hauteur et le diamètre des
tiges de roseaux verts sur les trois sites d’étude (GrandVillage : noir ; Niton : rouge ; Orouet : bleu).
La roselière d’Orouet est un peuplement monospécifique à Phragmites australis, d’où sont
absentes d’autres espèces végétales, au moins pendant la période où les niveaux d’eau sont les plus
hauts. La turbidité est d’environ 90 JTU (12 cm). L’eau à une couleur noirâtre et une forte odeur de
souffre, caractéristique d’un milieu anoxique (Poulin et al. 2001). La portance du sol est mauvaise
avec la présence d’une litière importante (supérieure à 15 cm) signe d’une absence de décomposition
des débris de roseaux. Sur ce site la densité moyenne de roseaux secs est de 95,5/0,50m² et de
(a) (b)13
37/0,50m² pour les roseaux verts ce qui représente une densité moyenne totale de 132,5/0,50m². Le
nombre moyen de tiges sèches avec panicules est de 4,7 (n=19). Le ratio tiges sèches/tiges vertes
calculé est de 2,6, soit le plus élevé des trois roselières. La hauteur et le diamètre moyens des tiges de
roseaux secs complets sont de 261,5 cm (n=16) et 5,1 mm (n=16). Pour les tiges de roseaux verts la
hauteur moyenne est de 266,8 cm (n=8) et le diamètre moyen est de 6,8 mm (n=8). Concernant les
autres relevés, on remarque des niveaux d’eau quasiment nuls, l’absence d’organismes aquatiques et
l’apparition de plantules sur les zones de sol nu.

bambimboum
10/05/2013, 10h19
quesqu'une flèche littoral
http://www.asf.epoc.u-bordeaux1.fr/theses/Manuscrits/ALLARD_2008.pdf
clic
étude
exemple la pointe d'arcay(85 vendée)

bambimboum
10/05/2013, 10h20
http://t3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQjQ-bK2m6gG82AfwAEha7y-s-Lc5NIrAG5GX28JW2yvoz7UXrT

bambimboum
10/05/2013, 10h21
http://1.bp.blogspot.com/_yBVRtiIwFQc/SMVYf-1CzOI/AAAAAAAACas/tC-SLsNoi7o/s400/70392818.VvA80PCI.jpg

bambimboum
16/05/2013, 10h06
comment gérer les prés salés pour l'oie cendrée
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/FS278_aiguillon_oie_cendree.pdf
clic

bambimboum
16/05/2013, 10h08
migration pré nuptial sarcelle d'hiver en france
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/guillemin_rs05.pdf
clic

bambimboum
20/05/2013, 21h06
aménagement des mares de chasse et leurs valeurs pour la biodiversité.
http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/FS281_fouque.pdf
clic

bambimboum
30/05/2013, 07h53
la scirpe maritime et l'oie etude
http://www.ephe.sorbonne.fr/images/stories/scd_ephe/monographies_svt/mil_org_evol/ephe_dip_desnouhes_bev04.pdf
clic

bambimboum
06/06/2013, 06h52
capacité d’accueil de la France pour les oiseaux d'eau

http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/oiseaux/oiseaux-eau/FS289_barussaud.pdf
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alouette080
06/06/2013, 12h19
avez vous des données sur la fermeture du milieu, sur la dynamique de végétation conduisant à l'atterrissement du milieu, ou autre ...

merci

bambimboum
06/06/2013, 12h30
http://www.fedechasseurslandes.com/IMG/pdf/la_haute_lande.pdf
clic
fermeture des milieux et gestion 1 exemple

bambimboum
06/06/2013, 12h32
Bibliographie.
AMON D. (1991) Bilan phytosociologique et cartographie de la végétation appliqués à
l’évaluation de la valeur biologique et à la gestion d’un marais tourbeux : le cas du marais de
Vesles et Caumont (Aisne), Mémoire de DESS « Espace et milieux », Université de Paris VII,
141p.
ARNOULD P. , DAQUIN J.P., DERIOZ P.& FIDON M. (1998) La populiculture entre
exigences écologiques, conditions économiques et pesanteurs sociologiques, Bulletin de
l’Association des Géographes Français ( B.A.G.F.), n°3, pp203-215.
BOCK C. (1989) Rapport sur la flore et la végétation des marais de la Souche, Laboratoire
de Biogéographie-Ecologie de l’E.N.S. Fontenay Saint-Cloud, 123p.
GAVORY L. & Al (1988) Etude faunistique du marais de la Souche, D.R.A.E. Picardie, 65p.
SAJAJOLI B. (1998) Les marais continentaux de plaine, pionniers de la friche et du
défrichement ? L’exemple des zones humides laonnoises, Centre de Biogéographie-Ecologie
de l’E.N.S. Fontenay Saint-Cloud, Université d’Orléans, 9p.

bambimboum
06/06/2013, 12h36
etude de comblement des estuaires
http://www.pole-lagunes.org/ftp/LettreLagunes/2009/LL_juin2009/Rapport_final_comblement.pdf
clic

bambimboum
12/06/2013, 20h44
un outil spécialisé pour l'entretien de vos marais
une race prête a servir
http://www.vache-maraichine.org/Caracteristiques-de-la-race-bovine.html
clic
La maraichineDernier ajout : 8 octobre 2009.http://www.vache-maraichine.org/local/cache-vignettes/L200xH132/rubon1-62361.jpgLa Maraîchine est une race bovine rustique issue de la même souche ancestrale que la race nantaise et parthenaise. L’élevage des animaux de cette race a toujours été lié au marais et sa sélection par les éleveurs est le fruit d’adaptation à des conditions d’élevage propres à ce milieu, caractéristiques dites « de rusticité » (résistance aux variations annuelles du climat, aptitude à mieux valoriser les fourrages issus du marais, vêlages faciles…), mais également pour ses qualités laitières intéressantes et sa puissance de traction sur les sols lourds de marais. A la fin du 19ème siècle, les ravages du phylloxera sur les vignobles des « terres hautes » des marais les libèrent pour la céréaliculture et permettent un développement de l’élevage dans les terres basses transformées en polder. Cette activité connaît alors un développement important dans la région. Le nombre de bovins aux aptitudes spécifiques à l’élevage en marais s’accroît. Les sélections et le relatif isolement des populations du marais entraînent une progressive différenciation génétique. Ainsi au début du 20ème siècle, on ne rencontre quasiment plus que des animaux de cette population bovine dans les marais entre l’embouchure de la Loire et celle de la Gironde.

bambimboum
12/06/2013, 20h46
http://www.vache-maraichine.org/spip/IMG/jpg/PhD-18385-dah.jpg

bambimboum
12/06/2013, 20h57
des nouvelles de crues qui vont arrivée sur l'estuaire du Danube ,la Roumanie inquiète
...https://fbcdn-sphotos-d-a.akamaihd.net/hphotos-ak-frc1/p480x480/1006236_10151427195477117_1213120990_n.jpg

bambimboum
13/06/2013, 10h05
un autre outil de gestion des marais l’élevage d'oie, pour la viande et le duvet, en liberté sur les zones humides.

L’Oie Grise du Marais Poitevin
http://www.cregene.org/local/cache-vignettes/L298xH338/oie_grise-58732.jpgElevée principalement sur les marais communaux, l’Oie Grise produit une viande de qualité, 100% naturelle, et un duvet qualifié de "plume vivante" par les cueilleurs. Malgré ses atouts, cette oie a bien failli disparaître. En 1993, le Parc du Interrégional Marais Poitevin a monté d’urgence un programme de sauvegarde. Trois ans plus tard, des animaux on été distribués aux éleveurs afin de reconstituer des cheptels. Ils font aujourd’hui un retour remarqué.
Très proche de l’oie sauvage, l’Oie Grise du Marais Poitevin montre une grande rusticité. Sur les vastes espaces prairiaux où elle grandit, elle joue son rôle écologique, un rôle complémentaire à celui des autres herbivores. Elle reste une valeur sûre de nos traditions festives et gastronomiques.
Recensement 2009 :
Il existe une vingtaine d’élevages sur lesquels environ 150 Oies Grises du Marais Poitevin ont été recensées à ce jour. Une soixantaine de jeunes sont nés en 2009


MâlesFemellesJeunesEleveursdont Nouveaux

29
69
29
19
7


Total
127





Caractéristiques de l’Oie Grise du Marais Poitevin

bambimboum
13/06/2013, 10h09
biologie de l'oie d’élevage du marais poitevin.
Actuellement, l’Oie Grise du Marais Poitevin n’a pas de standard spécifique homologué. Cependant, certains caractères spécifiques sont importants à prendre en compte dans la sélection.
Son allure, assez vive, dénote un caractère de vigilance, propre aux espèces sauvages et aux espèces domestiquées qui ont une très grande propension à faire respecter leur territoire. Sur le « qui vive », le mâle allonge le cou en le maintenant très droit, le bec vers le ciel. Sur la « défensive », il l’allonge en le maintenant très droit, parallèle au sol à environ 25/30 cm.

http://www.cregene.org/local/cache-vignettes/L427xH425/DSCF3172_m-d76ef.jpgEn position d’attaque, après une série d’avertissements (corps un peu décalé sur le côté, à l’exception du cou et de la tête toujours face à l’agresseur - sifflements et chuintements) il lance plusieurs cris : « abng ! abng ! abng ! », tout en venant pincer l’agresseur.
Le corps, assez lourd à l’arrière des cuisses, donne l’impression d’un postérieur un peu pesant. Les mâles plus grands que les femelles mesurent 70 cm de long et présentent une envergure de 160 cm. Ils pèsent entre 4 & 5 kg alors que les femelles n’atteignent que 4 à 4,5 kg.
La tête, forte, présente avec le cou, les caractéristiques du « brouteur d’herbe ». Le cou, assez court (25 à 32 cm), est orné de plumes grises formant des rangées qui ont l’aspect de stries ou de sillons. la partie supérieure dorsale est plus sombre sans excès, la partie inférieure ventrale est claire. Le cou d’une oie adulte ressemble à une serviette que l’on aurait essorée à la main. Cet aspect est moins marqué chez le jeune. Le Cercle orbital est rose, les yeux gris.
Le bec est gros, puissant et profilé en forme de coing avec parfois un étroit anneau de plumes blanches à la base ; de couleur rose, il est bordé d’un liseré blanc. L’onglet, partie renflée de l’extrémité supérieur du bec, est blanchâtre. Les narines, légèrement arquées à droites, sont ouvertes.

On remarque un liseré blanc sur le flanc. Les plumes du manteau ont une extrémité droite comme si elles avaient été coupées. Les plumes, dont le bord est blanchâtre, forment des lignes régulières sur toute la partie supérieure de l’oiseau ; chez le jeune, ces plumes sont plus étroites avec une pointe un peu arrondie et un liseré clair moins marqué, le dessin en résultant devient plus ondulant et flou. Les mêmes observations sont valables sur les plumes scapulaires et les plumes alaires. Les plumes claires des ailes sont grises, les mains grises, le manteau gris clair.

bambimboum
13/06/2013, 10h11
nos bandes d'oies cendrées sauvage en migration ce mêle très bien au troupeau paturants dans les marais.

bambimboum
13/06/2013, 10h13
http://www.cregene.org/local/cache-vignettes/L500xH434/DSCF3198-05f81.jpg

Gypaete
14/06/2013, 11h08
35 ans d'action des chasseurs landais: http://www.fedechasseurslandes.com/IMG/pdf/zh_bassedef.pdf

O (http://www.fedechasseurslandes.com/IMG/pdf/zh_bassedef.pdf)uvrage intéressant à faire connaître :)

bambimboum
17/06/2013, 18h27
etude sur la gestion des oiseaux sur les zones cotieres
http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/66/61/78/PDF/gestion_littorale.pdf
clic
très complet ;)
interdit a ceux qui n'aime pas lire :/:

bambimboum
19/06/2013, 19h51
très bonne vidéo : valorisation des zones humides chassées.
http://www.youtube.com/watch?v=LGo1TGsIIgE&feature=youtu.be
clic
peut servir de référence a pleins d'autres sites ;)

bambimboum
23/06/2013, 19h58
pour nos éleveurs et nos marais
http://www.dailymotion.com/video/xyybah_en-vendee-des-eleveurs-inquiets-et-decourages-par-la-hausse-des-charges_news#.Ucc0eOQtzlY
clic

bambimboum
23/06/2013, 20h03
pour nos eleveurs et nos marais
http://www.dailymotion.com/video/x116pmx_des-milliers-d-eleveurs-defilent-a-paris-pour-defendre-leur-metier_news#.Ucc2fuQtzlY
clic

bambimboum
02/07/2013, 07h34
sur les ailes du sahel
climat et deplacement des oiseaux
http://fr.mava-foundation.org/wp-content/uploads/2012/11/les_ailes_du_sahel_resume.pdf
clic

bambimboum
05/07/2013, 07h25
pour vos longues nuits d'hiver ou les proprietaires de marais

http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/66/61/78/PDF/gestion_littorale.pdf
manuel d'etude et de gestion des oiseaux et de leurs habitats sur les bandes cotieres

bambimboum
09/07/2013, 19h45
Comment fonctionne un marais salant ?Qu'il soit petit ou grand le principe est le même, moyennant quelques adpatations dues au contexte du terrain ou des technologies d'amenée d'eau ce qui ne change rien au principe : c'est le soleil et le vent qui font évaporer l'eau, le vent étant tout aussi efficace que le soleil pour ce « travail » !
http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/sources/images/dossier/rte/magic/3049_0eca19b9fd.jpg
Plan de marais salantDans ce dédale, plein de cases différentes dont les noms changent avec les régions, l'eau circule en descendant selon la coupe ci-dessous.
http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/sources/images/dossier/rte/magic/3049_1e0ab684c2.jpg
Coupe de marais salant.Bien entendu, dans ce schéma, les hauteurs sont très exagérées pour rendre la compréhension plus aisée. A mesure que l'eau voyage dans le circuit elle se concentre en sels par évaporation comme dans les lagunes naturelles de bord de mer, sauf qu'ici, on l'aide un peu !Les surfaces préparatoires occupent la plus grande partie de la surface d'un salin, il faut y évaporer environ 90% de l'eau initiale. Un système de vannes ferment (http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/dico/d/biologie-ferment-2692/) ces étangs qui utilisent au mieux la topographie pour limiter les constructions et les pompages.Les tables salantes occupent donc les 10% restant, elles doivent être parfaitement dessinées, leur sol soigneusement nivelé et compacté. Elles sont entourées de canaux qui amènent les eaux saturées et d'autres qui évacuent les eaux mères (et les pluies). Suivant les conditions météo de l'endroit la récolte se fait une ou deux fois par saison ou tous les jours.Les bilans précipitation-évaporation sont très différents selon les endroits :
http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/sources/images/dossier/rte/magic/3049_85634a3ef4.gif6 - La séquence d'évaporation.

Les premiers sels qui se dépose sont le calcaire (http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/dico/d/geologie-calcaire-1422/) et la dolomie (http://www.futura-sciences.com/magazines/terre/infos/dico/d/geologie-dolomie-1472/) à partir d'une concentration en NaCl de 30g/litre.
Puis le sulfate de calcium (http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/dico/d/chimie-calcium-5069/) sous forme hydratée : le gypse (http://www.futura-sciences.com/magazines/maison/infos/dico/d/maison-gypse-5842/). La précipitation commence à une densité de 1,109 soit une concentration de 150g de NaCl/litre 80% de ce sel est cristallisé quand commence .
la cristallisation du chlorure de sodium (http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/dico/d/chimie-sodium-823/) à d = 1, 216, soit une concentration de 350 g de NaCl/litre. Dans les marais salants la précipitation est arrêtée volontairement quand la densité atteint, par exemple, 1,262. La saumure (http://www.futura-sciences.com/magazines/environnement/infos/dico/d/oceanographie-saumure-5996/) contient alors 40 g/l de magnésium (http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/dico/d/biologie-magnesium-775/).
Le sel qui cristallise au delà est amer et l'évaporation devient trop lente. Les eaux sont donc évacuées. Pour produire 1 kg de sel il faut environ 37 kg d'eau de mer dont 90% sont évaporés avant cristallisation, 7% pendant la cristallisation et 3% d'eaux mères sont rejetées.

bambimboum
09/07/2013, 19h46
du sel rose ?
Toute une faune et une flore particulière vit dans les marais salant, adaptée à ce milieu particulier. Quelques exemples, seulement, sont mentionnés ci-dessous, parmi les plus célèbres de ces plantes et de ces animaux.Dunaliella salina est une microalgue, de forme ovoïde.
http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/sources/images/dossier/rte/magic/3049_e19d21acc3.jpg
Dunaliella salinaElle comporte deux flagelles (http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/dico/d/biologie-flagelle-312/) lui donnant un forte mobilité. Elle a une longueur de 11 µm et une largeur de 6 µm. Dunaliella salina est présente dans les milieux très salés, comme les salines, les lagunes, les lacs salés, comme par exemple, les grands lacs d'Australie près de Whyalla. Elle est aussi présente dans la Mer Morte.
http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/sources/images/dossier/rte/magic/3049_f5dc18410d.jpg
Oeillet rose de salinsPour s'adapter à la pression osmotique que subit sa cellule dans les milieux hypersalés, > 100/1000, l'algue (http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dico/d/botanique-algue-2178/) accumule dans sa cellule du glycérol (http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/dico/d/chimie-glycerol-3534/).Dans le cas d'une forte exposition à la lumière (http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/dico/d/physique-lumiere-326/), c'est à dire dans des eaux peu profondes et calmes, l'algue protège sa chlorophylle (http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dico/d/botanique-chlorophylle-112/) de la surexposition lumineuse par des pigments rouges qui limitent la pénétration lumineuse. Bien qu'étant classée comme algue verte par les naturalistes, elle prend alors une couleur (http://www.futura-sciences.com/magazines/matiere/infos/dico/d/physique-couleur-4126/) rouge sang et colore en rouge sombre l'eau en cas de forte concentration

bambimboum
09/07/2013, 19h48
la star du dpm

http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/sources/images/dossier/rte/magic/3049_32bf29bc43.jpg
Salicorne gros planLa Salicorne est une autre plante très connue et consommée en légumes, dont il existe de nombreuses espèces (http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/dico/d/zoologie-espece-2261/). Elle pousse au bord des lagunes d'eau salée et change de couleur pour devenir d'un beau rouge en fin de saison.
http://fr.cdn.v5.futura-sciences.com/sources/images/dossier/rte/magic/3049_d13440bd95.jpg
Lagune et salicorne

bambimboum
09/07/2013, 20h01
paradis des limicoles, le marais salant.
l’échasse blanche

https://fbcdn-sphotos-f-a.akamaihd.net/hphotos-ak-ash3/1044570_503704083012301_774130260_n.jpg

bambimboum
18/07/2013, 11h01
connaissance des différents types de sols dans les marais ;)
ftp://ftp.fao.org/fi/CDrom/FAO_Training/FAO_Training/General/x6706f/x6706f01.htm
clic

bambimboum
24/07/2013, 10h20
étude :entretenir une mare
http://www.parc-opale.fr/bibliotheque/Guide_mare_BD.pdf
clic

bambimboum
28/07/2013, 11h44
plu de partage d'info pour moi sur ce post .

gachettedor
28/07/2013, 13h24
cliqué dessous...

Île de Ré : quand le goéland bat de l'aile - SudOuest.fr (http://www.sudouest.fr/2013/07/28/quand-le-goeland-bat-de-l-aile-1126496-3507.php)

gachettedor
28/07/2013, 13h29
http://img.nundafoto.net/-/data/gallery/photos/14/4/1464l-goeland-argente-larus-argentatus.jpg

*RM*ri-ri
28/07/2013, 19h51
S'il avait autant diminué, ça se saurait...:/:

gachettedor
28/07/2013, 23h00
S'il avait autant diminué, ça se saurait...:/:

donc je recommence pour certain!!!bonsoir riri désolé de te dérangé tu à du mal lire revoie le premier chapitre bonne soirée à toi;)

La LPO est autorisée à tuer 480 oiseaux et à stériliser 2 500 nids. Mais, après l’invasion, l’espèce pourrait disparaître.

*RM*ri-ri
29/07/2013, 11h38
Ben non j'ai bien lu...:/:

*RM*ri-ri
30/07/2013, 10h31
Ma réflexion faisait référence à ce passage : « Sur le plan national, la population de goélands argentés a chuté de 17 à 30 % par an depuis 2010. Si ça continue, dans cinq ou dix ans, il aura presque disparu ! C’est ce qui se passe en Angleterre et ce qu’on voit arriver en Bretagne. » Et j'ai pas bu ! :cri:

*RM*ri-ri
30/07/2013, 14h20
Je peux me tromper mais je crois qu'en tant que gestionnaire de réserve, elle a une délégation. C'est ainsi en France, on délègue aux associations ce que l'Etat n'arrive pas à assumer directement, à grands coups de subventions du reste (cela revient moins cher que de créer de l'emploi permanent)...

*RM*ri-ri
01/08/2013, 15h02
La réponse ici couacpc : http://www.rue89.com/2013/07/31/les-goelands-cannibales-invites-surprise-vacances-244659

bambimboum
05/08/2013, 11h06
Les pesticides dans les eaux douces
par secteur hydrographique et par nappe
Si les pesticides ont initialement un rôle de protection des cultures, ils présentent in
fine, par leur migration dans les différents milieux, des dangers pour l’homme et les
écosystèmes, avec un impact immédiat ou à long terme. La contamination des cours
d’eau est quasi-généralisée en France, essentiellement par des herbicides en métropole
et des insecticides en outre-mer. Les secteurs aux teneurs les plus fortes correspondent
aux zones de grande culture céréalière, maraîchère ou viticole : nord de la France,
bassin parisien, Sud-Ouest, amont du Rhône, Martinique. De façon générale, les eaux
souterraines semblent moins contaminées par les pesticides que les cours d’eau mais
avec une large présence des produits de dégradation des pesticides.
.................................................. .................................................. ....................
Définition
Le terme "pesticide" désigne les substances ou produits destinés à lutter contre les organismes
jugés nuisibles, qu'il s'agisse de plantes, d'animaux, de champignons ou de bactéries.
Les pesticides sont majoritairement utilisés en agriculture ; on parle alors de produits
phytosanitaires ou phytopharmaceutiques. Ils font également l’objet d’un usage non agricole
par les gestionnaires d’équipements ou de réseaux de transport, les collectivités locales ou les
particuliers ; on parle alors de biocides. Ils peuvent être classés par type d’usage : herbicides,
insecticides, fongicides, nématicides, rotondicides, acaricides etc.
L’indicateur est la moyenne annuelle des concentrations totales en pesticides par secteur
hydrographique pour les cours d’eau et par aquifère (formation géologique contenant une
nappe) pour les eaux souterraines. Les secteurs hydrographiques correspondent à un
découpage géographique par bassins versants des rivières. Les entités hydrogéologiques
correspondent à un ensemble d’aquifères regroupés par lithologie et grand type de
fonctionnement. La France compte 222 secteurs hydrographiques, dont 35 en outre-mer
(Mayotte étant assimilée à un secteur) et 222 entités hydrogéologiques dont 46 dans les DOM.
Au-delà du seuil de 5 μg/l, l’eau est réglementairement impropre à la fabrication d’eau potable
et au-delà du seuil de 0,5 μg/l, elle est impropre à la consommation humaine.
.................................................. .................................................. ...................
Analyse
Résultats au regard de l’enjeu de développement durable
Les substances actives des pesticides et les molécules issues de leur dégradation, appelées
métabolites, sont susceptibles de se retrouver dans les différents compartiments de
l’environnement (air, sol, eaux, sédiments, etc.) ainsi que dans les aliments. Même si elles ont
initialement un rôle de protection des cultures, elles présentent in fine, par leur migration dans
les différents milieux, des dangers plus ou moins importants pour l’homme et les écosystèmes,
avec un impact immédiat ou à long terme.
En 2011, dans les cours d’eau, sur les 176 secteurs hydrographiques que le réseau de
surveillance permet de caractériser en France métropolitaine, 63 présentent une concentration
moyenne supérieure à 0,5 μg/l, dont 4 dépassent 2 μg/l. Certains secteurs présentent des
points de mesure aux concentrations moyennes supérieures à 5 μg/l, seuil réglementaire de
potabilisation. Ils sont situés dans les zones de grande culture : bassin parisien, sud-ouest, nord
de la France.
La contamination en pesticides n’épargne pas l’outre-mer : 7 secteurs sur les 12 caractérisés
dépassent 0,5 μg/l en moyenne.
De façon générale, les eaux souterraines semblent moins contaminées par les pesticides que les
cours d’eau. En 2011, seules 4 des 176 entités hydrogéologiques métropolitaines (nappe de
Beauce, nappe de la Gâtine occidentale, nappe purbeckienne des Charentes, nappe de la
molasse dans le Vaucluse et les Alpes de Haute-Provence) présentent une concentration totale
en pesticides qui dépasse la norme de 0,5 μg/l fixée par la DCE. En revanche, plusieurs nappes
des DOM, dont 70% des nappes martiniquaises, dépassent ce seuil. Dans 29 % des nappes
françaises les concentrations totales en pesticides atteignent ou dépassent 0,1 μg/l. 38 %
montrent une contamination faible, avec des concentrations inférieures à 0,1 μg/l, et 22 % des
nappes sont sans pesticide détecté. Mais 12% des nappes n’ont pas fait l’objet de mesure en
2011.
Etant donné les temps de transfert vers les nappes et la lenteur de leurs écoulements, les
molécules de dégradation des pesticides (métabolites), qui ne sont pas toutes connues en 2011,
y sont plus largement retrouvées que les molécules mères.
Disparités territoriales
La contamination des cours d’eau en pesticides est quasi-généralisée en France. Seuls 7% des
points en sont exempts. Ils sont majoritairement situés dans les régions peu agricoles ou à
agriculture peu intensive : quart sud-est, Auvergne.
A l’inverse, les régions céréalières, de maïsiculture ou de viticulture, notamment dans le bassin
parisien, en Adour-Garonne et le long du Rhône, ou à tradition maraîchère, comme en
Martinique et Guadeloupe présentent les plus fortes concentrations en pesticides.
Cette contamination est souvent le fait d’un grand nombre de pesticides : plus de 20 pesticides
différents ont été décelés sur 18% des points de mesure. Elle est également liée aux types de
cultures pratiquées et aux conditions climatiques : essentiellement des insecticides en Outremer
et des herbicides en France métropolitaine.
En 2011, les contaminations des nappes phréatiques par les pesticides sont essentiellement
localisées, pour les plus fortes, en région Centre, dans les Charentes, le Vaucluse, les Alpes de
Haute-Provence, en Martinique, ainsi qu’au Sud de la Guyane et de Basse Terre en Guadeloupe,
avec des concentrations totales de pesticides dépassant 0,5 μg/l (norme de qualité DCE). Au
nord de l’Hexagone, en nord Bretagne, dans le couloir rhodanien et le Sud-Ouest, les
concentrations totales en pesticides des nappes sont fréquemment supérieures à 0,1 μg/l.
Les nappes sous couverture argileuse (en Aquitaine et à l’est du bassin parisien) et les nappes
de montagne, est et sud du Massif Central, Pyrénées, Alpes, sont les plus préservées
puisqu’aucun pesticide n’y est détecté. Le reste du territoire, montre une contamination
généralisée des nappes, même si elle reste majoritairement faible, avec des concentrations
inférieures à 0,1 μg/l, respectant les normes de qualité DCE.

bambimboum
05/08/2013, 11h09
article ci dessous pour 2011
Source
Les données proviennent des réseaux de surveillance mis en oeuvre par les agences de l’eau en
France métropolitaine et les offices de l’eau dans les départements d’outre-mer en application
notamment de la directive cadre sur l’eau (DCE).

bambimboum
05/08/2013, 18h07
Merci j'avais pas vu !
les goélands on été protéger par la loi au risque, encore( de confusion ) dans les années 70 a 80 ,alors que la population de goéland argenté explosait partout en France a cause de décharge publics a ciel ouvert. une abondance de nourriture qui faisaient que la population de cette oiseau n’entait plu proportionnel avec la capacité naturel des milieux. ensuite dans les années 2000 on a commencez a fermé ces décharges et la les goélands affamés ont eu 2 solutions de survie .
1-entrée et conquérir le milieu urbain , dernier lieu facile d’accès pour la nourriture de l'homme .
2 reconquérir les milieux naturels littoral et marais arrière littoraux ce qui provoquas de gros dégâts dans les populations d'autres espèces(limicoles coloniaux anatidés et autres...)
les capacités naturels des milieux n’étaient pas prêt a accueil de si grande densités.
aujourdhui ce n'est pas une disparition du goéland que l'on observe ces un rééquilibre des proportions avec la disponibilité alimentaire actuel.
fini les nids de goelands argentés au touche touche le long des toitures.
pour preuve les populations du goélands brun ou marin qui sont beaucoup plu proportionnel a la capacité naturel actuel.
le goeland doit reapprendre a pecher si il veut survivre car les goélands argentés de poubelles ces fini ;)
ce texte est un peu brute mais je dois etre loin de la verité.

bambimboum
05/08/2013, 18h15
si les quota de stérilisation ou d'abattage ne sont pas effectuer et bien les apn responsables, alors, en demande de l’état serais dans l'incapacité de réaliser l’équilibre demander entre les populations. en ce moment les limicoles souffrent a cause de cas.
pourtant des solutions existent.mais évidement sans choquer les quelques fond de commerce des adhérents des apn ,ça va être dur .
d'autre exemple existent pour d'autres espèces qui rentre en conquérance vitale.
rien est fait, pourquoi ? l'oiseau est tellement beau ,tellement migon et tellement rentable...

bambimboum
06/08/2013, 07h23
monographie du goeland argenté
http://denis.poignonec.free.fr/commun/rapports/goeland/goeland.html
clic

bambimboum
08/08/2013, 07h05
La Trame verte et bleue (par commodité on utilisera les initiales TVB dans la suite de cet article) est un concept et une réalité qui est devenu très à la mode ces dernières années. Issu des réformes découlant de la mise en application des Lois Grenelle I et II le projet est le suivant : identifier, gérer sur l’ensemble du territoire national les axes de circulation de la faune sauvage entre des zones de forte présence, suivant une méthodologie bien éprouvée à ce jour.Les chasseurs en tant que connaisseurs expérimentés de leur territoire sont des acteurs- ressource très précieux auprès des pouvoirs publics, des services de l’Etat, des bureaux d’études ou des associations pour aider à la définition sur le terrain de cette trame verte et bleue. Ils fournissent souvent gratuitement leurs données brutes pour permettre la réalisation des études préalables.Mais tout d’abord : qu’est ce qu’une trame verte et bleue ?C’est un réseau écologique (des zones nodales ou réservoirs de biodiversité encore appelés « cœur de nature ») plus une arborescence de couloirs qui relient ces réservoirs (« chemins » où se déplacent les animaux) et qui va permettre à la faune sauvage de circuler pour qu’elle puisse accomplir l’ensemble des activités nécessaires à sa survie durant une année biologique et assurer les nécessaires échanges génétiques entre populations. Ce réseau est propre à chaque espèce et à ses exigences pour la période de reproduction, de migration, de recherche alimentaire…Les scientifiques de l’ONCFS (Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage) et les écologues étudient depuis de nombreuses années les modalités de déplacement spatial de nombreuses espèces grâce à des techniques de pointe (piégeage photographique, radio tracking, GPS (Global Positioning System), baguage des oiseaux…) nous sommes aujourd’hui à même de mieux comprendre l’activité de certaines espèces qui recélaient il y encore peu de temps de nombreux mystères (Bécasse des bois, chamois, saumon…). La question principale demeurant : mais par où passent ils ? Pour relier un site de reproduction à un site d’hivernage. Pour migrer et rechercher une zone d’alimentation primordiale pour leur survie.Faire ce travail c’est mieux définir la qualité et la quantité des corridors écologiques sur un territoire. Chemins de vie pour que la faune accomplisse ses déplacements et qui doivent répondre à de nombreux critères écologiques (largeur, type de végétation, présence d’obstacles…) compatibles ou non avec l’urbanisation de plus en plus présente.Car à partir des réponses trouvées, imagées sous forme de cartes dynamiques qui indiquent les routes de la faune terrestre , aquatique et/ou aérienne ; les décideurs et aménageurs vont devoir tenir compte de ces enjeux écologiques .En effet, les chasseurs « locaux », de la commune, de l’ACCA sont souvent des personnes qui connaissent finement le fonctionnement naturel de leur territoire. Ces personnes, souvent nées sur place, travaillant la plupart du temps sur le même territoire, sont la mémoire vive et historique des milieux naturels et/ou agricoles qui seront diagnostiqués dans le cadre de la définition de la TVB. Ils représentent des acteurs clef du diagnostic, mais aussi de la mise en œuvre de ces TVB. D’ailleurs ils agissent depuis longtemps par le biais de nombreux programmes d’aménagements qui ont anticipé la réalisation de ces TVB (entretien et création de zones humides, plantations de haies etc.)Il est donc important pour les chasseurs, qui savent depuis longtemps que le maintien des populations de gibier passe par la conservation des habitats naturels et leur entretien ; de participer activement à l’ensemble des démarches participatives décidant de l’avenir de ces territoires qui représentent l’avenir des futurs chasseurs.

bambimboum
08/08/2013, 07h11
avec 1 euros par an de votre permis de chasse voici ce qui a ete fait pour proteger des territoires
La Fondation pour la Protection des Habitats de la Faune Sauvage a tenu ses assises les 11 et 12 juin prochains à la Maison de la Chasse et de la Nature à Bouchemaine (49) à l’occasion de son trentième anniversaire.Fondée en 1983 par Jacques Hamelin, cette fondation reconnue d’utilité publique œuvre à la préservation des milieux naturels et de la biodiversité grâce à des acquisitions foncières. C’est l’une des plus importantes fondations françaises dans le domaine de l’environnement. Elle est propriétaire de 220 sites représentant plus de 5 500 hectares préservés et mis en valeur dans 59 départements.Présidée depuis 2005 par Edouard-Alain Bidault, la Fondation pour la Protection des Habitats de la Faune Sauvage réunira à Angers les gestionnaires des sites protégés ainsi que ses donateurs et partenaires. Les travaux débuteront le mardi 11 juin par une conférence sur la préservation et la gestion des zones humides sur l’île Saint-Aubin, propriété de la fondation à Angers (49) et l’inauguration d’une exposition photographique de Jean-Claude Meslé consacrée aux oiseaux migrateurs entre Loire et Arctique.«L’acquisition d’un territoire n’est que la première étape dans la protection, souligne le président Bidault. Il faut ensuite que le gestionnaire du site s’implique et implique tous les acteurs, que tous les partenaires locaux se rencontrent et travaillent ensemble tant pour la gestion que pour l’animation du site. Le 11 juin, nous commencerons nos travaux en prenant l’exemple de la gestion concertée de l’île Saint-Aubin entre la collectivité urbaine d’Angers, les pêcheurs de l’ablette angevine, les agriculteurs, le syndicat des propriétaires de l’île et la Fédération des Chasseurs du Maine-et-Loire».Le mercredi matin 12 juin, les invités de la Fondation se retrouveront à Bouchemaine pour dresser le bilan des acquisitions et de la gestion des sites. Ces débats présidés par Edouard-Alain Bidault réuniront des personnalités nationales : Bernard Baudin président de la Fédération Nationale des Chasseurs, Jean-Pierre Poly directeur général de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, Victor Scherrer président du Saint-Hubert Club de France, Jacques Wintergest de la Direction de la protection et de la valorisation des espèces et de leurs milieux au Ministère de l’Ecologie, etc.L’après-midi sera consacré au rôle et à la place des fondations dans la protection de na nature. Les débats seront présidés par Béatrice de Durfort, déléguée générale du Centre français des fondations. Y participeront Jean-Jacques Blanchon coordinateur biodiversité agriculture et territoires à la Fondation Nicolas Hulot, Jérôme de Coninck directeur du fonds de dotation Terre de liens, Philippe Dulac président de la Maison de la Chasse, David Sève directeur de la Fondation Nature et Découvertes.Ces journées anniversaires se clôtureront le jeudi 13 juin par la visite du premier site acheté par la Fondation avec les dons (http://www.chasseurdefrance.com/Actualites/Actualites-nationales/30-ans-dacquisition-et-de-protection-de-la-nature.html#) des fédérations des chasseurs en 1984 : le lac de Grand-Lieu (44).

Site internet dédié : www.30ansfondationchasseurs.com (http://www.30ansfondationchasseurs.com/)

bambimboum
08/08/2013, 09h46
petite mise au point sur ce que vous entendez sur les noms des procédures environnementales.
NATURA 2000
Le nombre d’espèces animales et végétales connaît, depuis plusieurs décennies, une érosion très forte. Dès 1979, lors de la
convention de Berne, les États européens ont pris conscience de ce problème préoccupant. Cette tendance mondiale a été
reconnue par de nombreuses Nations de la planète qui ont alors décidé en 1992 à Rio de Janeiro de s’unir autour d’un but commun,
limiter cette tendance et sauvegarder le patrimoine naturel, bien commun de l’humanité.
Dans ce cadre global, l’Union Européenne a choisi de constituer un réseau de site Natura 2000, protégeant les milieux et les
espèces les plus remarquables. La politique européenne pour mettre en place ce réseau s'appuie sur l'application des directives
Oiseaux et Habitats, Faune, Flore, adoptées respectivement en 1979 et 1992 pour donner un cadre commun d'intervention. Le
réseau de sites terrestres a été complété en 2008, puis 2010, par un ensemble de sites marins, suite à la démarche de l'Europe
«Natura 2000 en mer»
A.1. La directive Oiseaux – 1979
La directive nº 79/409/CE du 2 avril 1979, dite «directive Oiseaux» concerne la conservation de l’avifaune sauvage. Cette dernière
identifie une liste d’espèces d’oiseaux qui, de par leurs caractéristiques de répartitions européenne et mondiale, doivent être
protégées. Il s’agit pour cela de garantir la conservation des zones utiles à leur nourrissage, nidification, migration… Ainsi, cette
directive vise à la protection d’espaces nécessaires au maintien de certaines espèces.
Ces espaces sont identifiés au titre de la directive comme des Zones de Protection Spéciales (ZPS).
A.2. La directive Habitats, Faune, Flore – 1992
Adoptée le 21 mai 1992 par les états membres de l’Union Européenne, la directive 92/43/CE, dite «directive Habitats, Faune, Flore»,
a pour but principal de maintenir ou restaurer les milieux naturels et les espèces végétales et animales dans un état de conservation
favorable, en particulier ceux et celles qui sont reconnus comme riches et rares au niveau européen. Cette préservation doit se faire
dans le respect des exigences économiques, sociales, culturelles et régionales propres à chaque site. La mise en application de ce
texte contribue donc à l’objectif général d’un développement durable des territoires.
Les espaces identifiés par chacun des états membres au titre de cette directive sont nommés Zones Spéciales de Conservation
(ZSC).
A.1. La directive Oiseaux – 1979
La directive nº 79/409/CE du 2 avril 1979, dite «directive Oiseaux» concerne la conservation de l’avifaune sauvage. Cette dernière
identifie une liste d’espèces d’oiseaux qui, de par leurs caractéristiques de répartitions européenne et mondiale, doivent être
protégées. Il s’agit pour cela de garantir la conservation des zones utiles à leur nourrissage, nidification, migration… Ainsi, cette
directive vise à la protection d’espaces nécessaires au maintien de certaines espèces.
Ces espaces sont identifiés au titre de la directive comme des Zones de Protection Spéciales (ZPS).
A.2. La directive Habitats, Faune, Flore – 1992
Adoptée le 21 mai 1992 par les états membres de l’Union Européenne, la directive 92/43/CE, dite «directive Habitats, Faune, Flore»,
a pour but principal de maintenir ou restaurer les milieux naturels et les espèces végétales et animales dans un état de conservation
favorable, en particulier ceux et celles qui sont reconnus comme riches et rares au niveau européen. Cette préservation doit se faire
dans le respect des exigences économiques, sociales, culturelles et régionales propres à chaque site. La mise en application de ce
texte contribue donc à l’objectif général d’un développement durable des territoires.
Les espaces identifiés par chacun des états membres au titre de cette directive sont nommés Zones Spéciales de Conservation
(ZSC).
A.3. Le réseau de site Natura 2000
La juxtaposition des Zones de Protection Spéciale (directive Oiseaux) et des Zones Spéciales de Conservation (directive Habitats,
Faune, Flore) forme le réseau de sites Natura 2000. Ce réseau se développe sur l’ensemble du territoire européen.
En 2008, le réseau européen est étendu sur le milieu marin pour les directives Oiseaux et Habitats, Faune, Flore, afin de mieux
prendre en compte sa protection.
B. LA DÉMARCHE NATURA 2000 EN FRANCE
B.1. Une démarche participative
La France a choisi, pour mettre en œuvre Natura 2000, de se baser sur une démarche concertée et transparente. Il ne s’agit pas de
créer des sanctuaires de nature, mais bien au contraire de garantir la conservation et la restauration d’habitats et d’espèces tout en
intégrant et conciliant à cet objectif, les activités socio-économiques propres à chaque site.
La politique nationale de conservation Natura 2000 s’appuie donc sur la législation existante et sur l’incitation à la participation des
acteurs, par le biais d’outils de contractualisation. Ainsi, les propriétaires ou les ayants droits peuvent s’engager sur des programmes
d’actions conservatoires rémunérés par l’État et l’Europe (Contrat Natura 2000) ou sur un accord de principe de respect des habitats
et des espèces d’intérêt communautaire (Charte Natura 2000). En amont de ces réalisations, un plan de gestion des milieux naturels
doit être établi en concertation avec les acteurs locaux. Ce dernier est nommé Document d’Objectifs (DocOb) et contient : un état
des lieux (diagnostic), les objectifs à atteindre pour garantir la conservation ou le maintien des habitats et des espèces d’intérêt
communautaire présents et enfin les actions à mettre en œuvre pour réaliser ces objectifs.
Ainsi, la mise en œuvre de Natura 2000 s’orchestre en deux phases, d’abord la rédaction du Document d’Objectif puis la mise en
œuvre des préconisations contenues dans ce dernier. Dans toutes les étapes, la concertation et la communication sont des
éléments fondamentaux. Le rythme de mise en œuvre de la démarche Natura 2000 n’est cependant pas homogène sur le territoire :
certains sites sont en cours de de rédaction du Document d’Objectifs ; d’autres ont un DocOb validé et sont en phase d’animation.
B.2. La participation des acteurs
L’intégration des acteurs dans la démarche (concertation) s’applique en premier lieu lors de la rédaction du DocOb.
- L’opérateur local est le maître d’ouvrage de la démarche Natura 2000 au niveau des territoires. Il a en charge les aspects
financiers, administratifs, techniques et de communication. Il est le responsable de la production du Document d’Objectifs, puis de la
mise en œuvre de la phase d’animation suivante.
- Le COmité de PILotage (COPIL) est l’organe central du processus de concertation. Il se réuni sous la présidence du préfet de
département ou pour les sites majoritairement marins sous la co-présidence des préfets de département et maritime. Les préfets
peuvent déléguer la présidence à un élu local. Le rôle du COPIL est d’examiner, d’amender et de valider les documents, notamment
le DocOb, et les propositions d’action. Il est composé d’une représentation la plus large possible des acteurs impliqués sur le site
Natura 2000 en question : acteurs locaux, administrations compétentes, propriétaires privé, institutionnels, scientifiques…
- Des groupes de travail sont organisés en fonction des besoins de chaque site et offrent une tribune plus libre et moins formelle
que le COPIL. Ils sont des lieux de débats et permettent de dégager les éléments à inclure dans le DocOb et les actions à mener par
la suite. La constitution de ces groupes permet non seulement aux membres du Comité de Pilotage de prendre part aux débats en
amont, mais elle permet également à d’autres acteurs de participer à la démarche.
- L'animateur Natura 2000 a en charge le suivi du dossier au sein de la structure nommée «opérateur local». Il est chargé des
contacts directs avec les acteurs, de rechercher et de synthétiser les données, de rédiger les documents techniques et de
communication, d’assister les acteurs dans l’élaboration de projets favorables à l’atteinte des objectifs inscrits dans le DocOb.
- Des experts et des scientifiques sont intégrés à la démarche afin qu’ils apportent leurs connaissances dans le but d’optimiser les
orientations choisies.