Qu'un chasseur souhaite supprimer la corrid
Qu'un chasseur souhaite supprimer la corrid
Moi j'ai ma réponse....
JJB président, politique de tolérance et de compréhension de nos traditions,de nos cultures.
Personne ne parle de la France dans cette campagne, personne ne parle du pays des traditions, de l'art de vivre et des passions françaises. On nous parle d’Europe institution pro écolo plus qu'autre chose... On place l'économie au cœur de tous les sujets, ca et l'immigration...on aime bien, ça déchaîne les défoules non pas parce que ça nous intéresse, mais parce que l'on voudrait que l'on parle de nous... les gens qui se lèvent tous les matins pour aller bosser, pour qui la vie n'est pas toujours simple (impôts, emmerdes et tout le reste) mais dans le fond, on est quand même heureux, on vit, et tout ce que l'on demande, c'est que notre pays soit riche de cultures et d'hommes, que l'on puisse profiter de notre territoire, que les anciens et les nouveaux qui pratiquent certaines techniques de chasse, de corrida soient respectés car ils ne font que perpétuer leurs traditions...
Je ne suis pas pro-corrida, mais je respecte cette culture, la société évolue c'est vrai...Doit elle cependant remettre en cause les passions, les traditions?
Je ne pense pas....
Alors quel candidat aujourd'hui? je ne sais pas, le peuple sans doute, le seul qui se prendra en main...enfin j'hésite encore car quand j'en vois certains....
Oups... J'ai glissé chef.. Donc! souhaite supprimer la corrida au motif que c'est cruel, réfléchisse un peu à la vision des anti-chasse.... Qui osera dire qu'un canard qui crève dans les roseaux, avec les poumons pleins de sang également, parce qu'il a été tiré à 50 m, ne souffre pas? Oui, mais "il risquait plus que moi", "on ne sait jamais, j'ai tenté", ...etc. Et il y en a un certain nombre (de chasseurs) qui fonctionne comme cela.
Quant à trouver le "bon" candidat (du strict point de vue de la chasse), il faut vraisemblablement essayer de trouver le moins mauvais. Aucun n'ira dans le sens de ce que souhaite la majorité des chasseurs de GE. Je pense que les solutions sont davantage auprès des députés.
Oh là, j'appelle surtout à voter pour untel ou untel. Je regarde juste le programme de nos prétendants sur la chasse.
La FNC les a invités et ils se sont exprimés. C'est toujours intéressant de savoir comment ils se positionnent sur notre passion.
Et pis comme ça Fillon a découvert la barge à queue noire et Macron que la Guyane n'était pas une ile. LOL
Je vous avoue que la tentation Macron est grande pour moi, il est jeune dynamique, et j'ai l'impression qu'il est assez humain et tourné vers nos traditions.
J'ai cru lire que beaucoup de son entourage chassaient.
Fillon est un bon candidat pour la chasse je pense...mais à ce jour il me fait peur avec tous ses mensonges et ses marches arrières...
Très clairement et sans rentrer dans un débat politique agressif, J'aimerais savoir ce que vous en pensez vraiment.
Macron peut il être un allié, une opportunité, quelqu’un qui nous fout la paix ou au contraire une arnaque?
COLÈRE VERTE
Quand Macron clashe «en mode gros lourd» les écolos, dixit Duflot
Par Guillaume Gendron — 15 mars 2017 à 16:34
Emmanuel Macron en déplacement à Lille, le 14 mars. Photo Denis Charlet. AFPDevant la Fédération des chasseurs, le candidat d'En marche a dit ne pas être allé plus loin que «la ligne sur le nucléaire» dans sa lecture du programme d'Europe Ecologie-Les Verts, provoquant la fureur des écologistes.
- Quand Macron clashe «en mode gros lourd» les écolos, dixit Duflot
Certains y verront une hybris grandissante ou l’affirmation d’une stratégie visant à tourner ostensiblement le dos à la gauche, dont les transfuges de plus en plus nombreux et décomplexés commencent à embarrasser Emmanuel Macron. Mardi après-midi, invité par la Fédération nationale des chasseurs, le candidat d’En marche n’a pas fait preuve de la «bienveillance» qu’il vante tant au sujet d’Europe Ecologie-Les Verts. Répondant à un chasseur inquiet d’un éventuel rapprochement avec le parti écologiste après le ralliement de Daniel Cohn-Bendit, Macron s’est lâché : «Je me suis arrêté à la ligne sur le nucléaire et ça m’a suffi. Je sais là-dessus à quoi m’en tenir.»
Mercredi, la publication de cette phrase sur Twitter par un journaliste du Monde a ulcéré les cercles écologistes. A commencer par Cécile Duflot, qui accuse l’ex-ministre de l’Economie de «taper les écolos en mode gros lourd, à l’ancienne», après avoir fait des «risettes aux pandas», en référence à la visite de courtoisie du candidat à l’association WWF début février.
«Il est vraiment top, votre gars», a ironisé à son tour le secrétaire national d’EE-LV, David Cormand, à l’attention des transfuges écolo-centristes Daniel Cohn-Bendit, Jean-Paul Besset, Corinne Lepage et Matthieu Orphelin, ex-porte-parole de Nicolas Hulot – deux d’entre eux signent d’ailleurs une tribune ce mercredi dans Libération,affirmant que Macron réussira la «transition écologique». «Si ça pouvait permettre de relativiser une fois pour toutes le concept particulièrement moisi de "vote utile"», a ajouté le trésorier du parti, Thierry Brochot.
L’écologie reste un des angles morts d’Emmanuel Macron, qui aime à dire en meeting qu’il ne considère pas «le nucléaire comme une maladie». La plupart des mesures de son programme consistent en un recyclage des engagements pris par François Hollande, notamment sur le cap de 50% du nucléaire dans la production d’électricité d’ici à 2025. Devant les chasseurs, il s’est par ailleurs dit «favorable» à la réouverture des «chasses présidentielles» supprimées par Sarkozy (pour l’anecdote, le dernier chef d’Etat invité a en avoir profité fut Kadhafi en 2007). «Il ne faut pas être honteux, il faut les reconnaître comme un élément d’attractivité, a assuré Emmanuel Macron devant les chasseurs. C’est quelque chose qui fascine partout, ça représente la culture française, c’est un point d’ancrage.
Libération
Les plus favorables à la chasse sont Macron et Fillon.
Pour ma part, je pense que la chasse est le cadet de leurs soucis. Ils n'ont pas vraiment de convictions sincères sur le sujet. Une fois élu, quelque soit le président, il suivra donc le sens du vent, c'est à dire, la pression de la société.
Si la société est pro-chasse, il favorisera les chasseurs et le contraire est vrai...
Il vaut mieux choisir son candidat sur d'autres critères.
Et c'est bien pour cela que je ne cite que ces deux partis qui donnent des garanties pour la chasse car leurs proches chassent. Larcher chasse et Macron rétablissant les chasses présidentielles reconnait ainsi la chasse au plus haute de l'Etat.
Quant au FN, certains sont proches de la cause animale.
Les autres partis Hamon, Mélenchon s'en foutent complètement et ont fait alliance avec les Verts
lire: ….. au plus haut niveau de l'Etat.
Salut vivement juin qu on en ai fini avec tout ces charlatans qui se presente. On s aurai qui les medias aurons fais elir et qui nous arnaquera notre pognons.....
Chasse et corrida, deux questions plus complexes
Restent quelques sujets qui fâchent. Marine Le Pen, qui a placé un ancien président de la fédération de chasse de l'Aisne et le présidentde l'association des chasseurs au gibier d'eau sur ses listes aux régionales dans le Nord-Pas-de-Calais-Picardie, prend bien soin de préciser qu' "il faut discuter avec les chasseurs" et qu'elle ne se situe "pas dans un combat" contre eux. La présidente du FN refuse également d'exprimer son point de vue sur l'interdiction de mise à mort des taureaux à la fin des corridas, pourtant explicitement revendiquée par Sophie Montel. "Nous serons amenés à prendre position", botte-t-elle en touche alors que le député (Rassemblement Bleu Marine) du Gard Gilbert Collard est l'un des plus fervents avocats de la corrida.
"Une corrida, sans mise à mort, ne serait plus une corrida", met en garde pour sa part le maire de Béziers, Robert Ménard, contacté par L'Express. "Cette proposition est un mauvais coup porté à la dimension culturelle de nos régions. On ne peut pas reprocher à Bruxelles de se mêler de tout et soi-même le faire", fulmine l'édile qui se souvient que Marine Le Pen a décliné l'été dernier son invitation à assister à une corrida dans sa commune. "Je préfère la vie d'un taureau de combat à celle d'un boeuf dans un abattoir", résume Robert Ménard, qui se transforme en ardent défenseur de la cause animale à l'extérieur des arènes.