Bjour Vincent,
Il n'y a pas que la partie "hard" dans ce type de recherche.
Là, c'est la partie logicielle qui est développée et qui donne satisfaction.
La portée est moins grande que sur les radars météo
Coût du matos: 180 000 €
Bjour Vincent,
Il n'y a pas que la partie "hard" dans ce type de recherche.
Là, c'est la partie logicielle qui est développée et qui donne satisfaction.
La portée est moins grande que sur les radars météo
Coût du matos: 180 000 €
Dernière modification de coinc59, 22/07/2017 à 12h44
C est l isnea qui gère et non l ancge et puis l isnea est méfiante avec les organismes qui ont pignon sur rue ont c est fait avoir par eux.....
Merci coinc. Mais, il y a tout de même des choses qui ont été réalisées et plutôt intéressantes me semble t'il ? http://www.flysafe-birdtam.eu/migrat...r&subwindow=nw
Il ne faudrait pas réinventer l'eau chaude...
Salut Vincent,
En fait, il semblerait que ce soit plus précis que ça. Il s'agirait d'un système de radar (SFM) qui prendrait les oiseaux entre 50 et 1500 m d'altitude avec un système d'enregistrement d'écho-signature, les espèces pouvant être discriminées en fonction de leur taille, forme, vitesse, fréquence des battements d'ailes... concrètement le radar est configuré à partir d'observations humaines rapportées au signal radar. Il y aurait 110 espèces enregistrées à l'heure actuelle. Je ne sais pas comment il sera possible de distinguer les espèces proches physiologiquement ou les espèces migrant en groupes mélangés, ça paraît douteux sur ce point sinon il sortira des choses intéressantes à n'en point douter.
Je vous sens perplexes ?
La mariée serait-elle trop belle ?
Pour une fois qu'on va être en avance sur les autres, ça semble ne pas vous convenir pleinement….Ben oui, on va découvrir des choses et par forcément celles qu'on nous martèle. C'est pourquoi il faut aider financièrement l'ISNEA dans ses recherches quelqu'en soit le résultat.
Perso, je crois à la reconnaissance spécifique d'une espèce par rapport à l'écho radar si le programme du système embarqué est bien construit (paramètres). Les nouvelles technologies dépassent notre entendement mais plus c'est top, plus c'est cher.
Et là, c'est la curiosité intellectuelle qui doit parler car connaitre davantage sur les mvts migratoires dépasse l'intérêt cynégétique pour bon nombre d'entre nous dont mon chtio Olive que vous avez châtié car ses questionnements dérangent , tout comme les recherches de l'ISNEA. Fini le petit "ronron" qu'on nous vend depuis des années et qui ne déroge pas au fonds de commerce du Muséum et tout une doctrine officielle dans laquelle certains y trouvent job et confort.
Je suis impatient de connaitre la suite des travaux d'ISNEA qui auront forcément un impact àl(instar de ceux de l'IMPCF
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faudra être vigilants à ce que qques têtes bien pensantes et autres escrolos ne pipent pas les dès ou pire fassent capoter cette initiative .
un bon coup bas pour protéger tous les pantouflards et autres sous-rats de ministères obscurs et calculateurs assoiffés de causes et d'argent Public .
c'est comme maintenir les bracelets et boutons pour les sangliers alors que dans bien des départements il est nuisible , vous pouvez m'expliquer ?
ceux qui chassent le Canard dans des marais connaissent bien le problème , c'est ahurissant .
On estime qu'il pourrait produire 700 000 informations par an dont 200 000 concernant les oiseaux.
JJB: là est dans doute le problème majeur qu'on retrouve avec ce genre de technologie….la multitude de données à gérer….d'où l'utilité d'une bonne programmation et d'un bon logiciel.
CynégétiquePatrick Massenet a présenté aux chasseurs de la Région une technique de suivi des migrationsPublié le 28/06/2017
Patrick Massenet, président de l’ISNEA, souhaite voir ce radar déployé sur tout le réseau des chasseurs. Dans la Région Auvergne-Rhône-Alpes, il imagine trois sites d’installation, liés aux radars météo, parmi lesquels Clermont-Ferrand. © Agence AURILLAC
L’ISNEA, institut scientifique sur lequel s’appuient les chasseurs, a mis au point un radar offrant des données précises sur les oiseaux migrateurs qui traversent la France. Il a été présenté à Salers.
«C'est une révolution en matière de comptage. » Patrick Massenet n'a pas lésiné sur les qualificatifs pour convaincre les chasseurs de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, rassemblés à Salers, de l'avancée que représente ce nouveau radar aéro-ornithologique. Un outil de haute technologie, utilisé par l'Isnea (institut scientifique nord est Atlantique) - qu'il préside - pour l'étude du mouvement des oiseaux.
La nouveauté réside dans l'extrême précision de l'observation qui permet une identification au vol. « Contrairement aux radars existants qui calculent un volume mais ne sont pas capables de dire ce qui passe, notre radar va, lui, distinguer les espèces. Par une technique que nous avons mise au point, on détermine la fréquence des vols des oiseaux par les battements d'ailes et les temps des pauses. Cela nous permet d'identifier toutes les espèces chassables jusqu'à l'alouette des champs. Sur un kilomètre de front, l'an dernier, on a discriminé 573.500 oiseaux », s'enthousiasme Patrick Massenet, qui préside aussi la fédération des chasseurs de Meurthe-et-Moselle.
Cet outil donne notamment le sens de vol, la vitese, l'altitude jusqu'à 2.000 mètres. « On distingue même les insectes jusqu'à 800 mètres d'altitude et jusqu'à un demi-centimètre, ainsi que les chiroptères. »
Des arguments pour défendre la chasse
Mais l'observation est encore plus poussée. « Cela nous permettra de comptabiliser lors de la migration à la descente (automne), ce qui rentre en France et ça nous permettra de janvier à avril-mai, de savoir ce qui ressort ! Et là, on aura la perte hivernale qui comprend la chasse, mais aussi les conditions climatiques, la prédation par les espèces nuisibles, les chats domestiques, les accidents de la route, d'éolienne On aura le pourcentage de pertes que l'on rapportera aux tableaux de chasse », signale Patrick Massenet. Autrement dit, cela permettra de mesurer l'impact réel ou non de la chasse sur l'état des populations. Avec les données « objectives », « il sera alors difficile d'attaquer la pratique sur des motifs fallacieux ».
Cet argument a fait mouche auprès du président de la fédération régionale, Gérard Aubret, qui voit là le moyen de défendre la pratique cynégétique. « Un de nos sujets de préoccupation, c'est de prouver que la chasse n'est pas un élément perturbateur à 100 %, ou du moins pas le seul, par rapport à la faune. Actuellement, les données que l'on a sur les espèces sont des données empiriques, les gens comptent. On dit : "il y en a tant". Et si on en voit moins : "on dit la chasse a trop prélevé" ».
« Où passent les pigeons ramiers ? »Si la fédération régionale devait adhérer à l'INSEA pour bénéficier d'un tel radar d'un coût de 180.000 , elle aurait le soutien de son homologue cantalienne, dont les membres voient en cet outil une source d'informations dans le cadre de la préservation des espèces, comme le soulignent Jean Nicolaudie et Roger Faubladier, de la fédération du Cantal. « On était sur une voie de migration importante pour les pigeons ramiers. Mais on a une baisse constatée de cette migration et les tableaux de chasse sont moins élevés qu'il y a une trentaine d'années. Avec cet outil, on pourrait peut-être savoir où passe cette migration car la population globale des pigeons ramiers ne baisse pas. »
Fiche-projet. Un an après la « fusion réussie notamment sur le plan humain », la fédération régionale de chasse, comptant douze départements, a tenu son assemblée générale à Salers. L'occasion pour le président, Gérard Aubré, d'évoquer la convention signée avec le conseil régional. « Cela nous apporte une aide financière, de 1 M, par an, pendant trois ans, sur de vrais projets. Exemple, tout le monde sait que la haie est un élément important des paysages bocagers, aussi bien pour la faune que la flore Dans chaque département, on plante des haies sauf que cela a un coût important au mètre linéaire et on n'avait pas de fonds dédiés. Grâce à l'aide de la Région, on a déjà planté 8 kilomètres de haies dans deux ou trois départements ». Cette convention permet de financer des fiches-projets à thèmes dans lesquelles s'inscrivent les fédérations départementales. Outre la haie, la fiche qui intéresse tout le monde, porte sur la sécurité des miradors (pour la sécurisation des tirs lors des battues) dont l'installation est financée à 50 % par la région.
Chemcha Rabhi
bonjour, pour la technologie du radar ça doit être un truc de ce type là "http://www.lemonde.fr/sciences/article/2012/03/02/un-radar-qui-identifie-les-oiseaux_1647731_1650684.html"
Et pour vincent L ".Je ne ne comprends pas cette logique d'isnea. Je veux travailler sur des bases scientifiques : je crée une structure nouvelle qui aura du mal à se faire reconnaître plutôt que de financer des labos de recherche qui ont pignon sur rue..."
c'est vrai qu'il y a une différence d'approche entre le sud ouest et là-haut.
Pour l'ortolan les assos du coin et la FDC 40 a fait appel au Muséum pour l'étudier.Ca n'a visiblement pas posé problème.
"Selon cette étude cofinancée par le Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN), le Conseil départemental des Landes, la région Aquitaine, la Fédération des chasseurs des Landes, l'association des chasses traditionnelles à la matole et le ministère de l'Environnement..."