rate
Rien vu sur les sites FDC 62 et FDC 80
La connerie de manifester chacun dans son département ca ne sert à rien du tout, tout le monde à Paris la c est différent, c est moins facile à gérer 250000 chasseurs sous la Tour Eiffel, diviser pour mieux régner, ils y arrivent... petit à petit avec de la vaseline, ca va rentrer....
slt , parce que tu crois qu'ils prennent grand soin de ton anatomie ? zobi !!! avec une brouette de gravier , ça oui , pour la majorité des chasseurs de ge la chasse se termine fin janvier point barre , ce que tu perds tu ne le reprends jamais , manif ou pas , études ou pas , mobilisation ou pas ...
je suis certains que nos opposants cherchent déjà la méthode pour nous entamer janvier , février pour eux c'est open bar et nous c'est game over
j’espère seulement qu'a ce moment la , on observera moins de posts sur hv mais une mobilisation sincère et fraternelle
un cacheur et un pêckeur ça fait 2 minteurs !!!
ya bin trop d'cravates ...
Ba vu les pressions dans certains coins pour y aller ça ne m’étonne pas
TI YÉ. UN DEUX BRAOUMMMM
Une manif c'est bien, les gens se rencontrent, on fait les gros bras, et après???
Si ça dérape, ça se retournera contre nous, et quelles conséquences pour les politiques actuellement en place? RIEN.
Par contre, le fric, notre fric c'est ça peut qui peut poser problème aux services de l'état (oncfs), qui dans ce domaine, taille dans le vif dans tous ses services.
Nous sommes la vache à lait, prenons (enfin, la FNC) les mesures pour couper le robinet, les négociations repartiront toutes seules notre sens.
J'évite d'intervenir sur ce topic, mais tiululu (que j'apprécie assez souvent pour son bon sens très terrien) me déroule un tapis rouge.
Il écrit : "je suis certains que nos opposants cherchent déjà la méthode pour nous entamer janvier , février pour eux c'est open bar et nous c'est game over..."
Or il est probable que les antichasse raisonne ainsi, par idéologie.
Mais on n'en est pas là, et de loin.
En Europe, les chasseurs pèsent lourd, et je peux vous garantir pour avoir lu les remontées d'infos dans le cadre de la grippe aviaire et de ses impacts socio-économiques.
Je pensais la France isolée dans sa position, et j'ai découvert qu'il n'en était rien.
La chasse au gibier d'eau pèse : et dans des pays où on ne l'attendrait pas, historiquement.
Je finalise mon argument :
Presque tous les pays européens ferment la chasse au gibier d'eau au 31 janvier, et c'est ce qui prive d'argument les antichasse français.
Les rares pays qui dérogent à cette date sont ceux pour qui la saison d'automne est très courte : au grand nord et à l'est. Mais, quand on y regarde de plus près, leur saison (réalisable) est plus courte que la nôtre.
Ceci dit, chacun reste libre de regretter le temps d'avant, sous réserve de chasser comme ceux d'avant. De mon point de vue...
Observateur de terrain
Pour rêver un peu.
https://youtu.be/VnBV6kcxDaU
Willy Schraen
· 18 Janvier, 14:29 ·
2018 sera donc la première année où nous ne chasserons pas les oies en février. Certes les années précédentes ne ressemblaient plus à grand-chose entre tolérance et référé suspension du Conseil d'Etat, au bout de quelques jours, mais nous avions au moins toujours l'espoir de concrétiser enfin cette période dérogatoire.
2017 avait été un peu court dans la préparation de notre dossier, mais comme je vous l'avais promis, j'ai mis toute mon énergie pour que 2018 voit enfin notre juste demande aboutir. La FNC, ISNEA et l'OMPO ont travaillé de concert dans la réalisation d'un dossier scientifique et juridique qui devait nous permettre de chasser, sous forme de dérogation de régulation, l’oie cendrée jusqu'au 28 février.
La dérogation de régulation qui avait fait l'objet d'une approche novatrice de la part de la FNC, sur le fond comme sur la forme, a été présentée le 20 décembre dernier au ministre.
Vous connaissez malheureusement la suite, et le blocage du ministre, alors que ses propres services et l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage, ont reconnu que les prélèvements dérogatoires jusqu'au 28 février étaient parfaitement cohérents. La surabondance des oies cendrées provoque des dizaines de millions d'euros de dégâts, elle menace les aires de reproduction de nombreuses autres espèces, et pour finir elle représente un danger sanitaire important vis-à-vis de certaines maladies comme la grippe aviaire. Ce sont autant d'arguments qui amènent aujourd'hui l'Europe à tirer la sonnette d'alarme sur cette espèce. La Commission européenne demande déjà aux pays qui chassent l'espèce d'être plus actifs dans les prélèvements. Au bas mot, on parle de 50 000 prélèvements supplémentaires pour espérer enrayer une situation qui se dégrade régulièrement.
Devant autant de bon sens généralisé, on se demande même pourquoi nous devons sans cesse nous battre pour quelques semaines de chasse, alors qu'on devrait nous payer pour notre mission, comme le font les Pays-Bas avec l'oie ou la Pologne avec le sanglier.
Malheureusement, nous avons un ministre qui n’a pas pris, sur ce sujet, la hauteur nécessaire à l'exercice de sa fonction. Être militant écologiste est une chose, être ministre de l'Ecologie en est une autre. L'exemple du "deal" proposé aux chasseurs par le ministre en est la meilleure caricature. On ouvre chaque dossier avec hauteur et pragmatisme. C'est ce que nous avons proposé au ministre en préambule du sujet des oies, avec le résultat négatif que l'on connaît. Certains m'ont reproché de crier avant d'avoir mal à son arrivée : avec le recul, je n'ai sûrement pas crié assez fort.
Mon amertume et ma colère sont grandes, comme celles de tous les chasseurs de France, et je comprends parfaitement votre volonté de les exprimer. Vous êtes nombreux à souhaiter aller manifester à la fin du mois de janvier dans quelques villes de province. Là encore je serai transparent dans mes propos.
J’ai l’intime conviction qu’à ce stade des négociations, avec le Président de la République et avec le Gouvernement, les manifestations de chasseurs en province ne sont pas la bonne solution.
J’ai d’ailleurs suffisamment d’informations sur leur organisation pour en déduire qu’il se prépare des actions qui échapperont à tous les contrôles et qui ne feront que desservir l’image de la chasse française.
De mon côté, je continuerai un combat acharné pour La défense des intérêts de la chasse et des chasseurs. Les dossiers sont multiples, mais sachez que celui des oies restera au-dessus de la pile. Je ne lâcherai rien sur ce sujet.
Des audiences, avec le Président de la République, puis avec le Premier Ministre et les autres ministres du Gouvernement, auront lieu prochainement afin d’ouvrir tous les chantiers indispensables à l’adaptation de la chasse française au cœur des politiques rurales et de la biodiversité.
Dans ce cadre, j’espère obtenir de mes prochains rendez-vous politiques que la diplomatie française se mobilise clairement avec nous, au niveau européen, pour que nous expérimentions enfin cette dérogation de régulation des oies dès 2019 et sur trois ans, parce qu’elle est la solution de bon sens que nous attendons.
Amitiés en Saint-Hubert,
Willy Schraen