en même temps
tu ne verras pas un coiffeur verbalise , parce qu'il a coiffé un lundi (c'est interdit ) par qu'il aurait repondu a l'appel de son syndicat
schraen pourrait appelé a chasser tout en précisant que ceux qui le font restent verbalisables
ceux qui le feraient , sauraient a quoi s'attendre et ne le feraient sans doute pas
mais la symbolique serait la .
on l'a vu , les organisations écologistes crient victoire , et entendent faire de cette affaire une brèche pour y passer tout le reste .
j'ose même imaginer la tète de nos représentants quand ils vont se pointer au ministère pour quelque projet que soit
qu'importe notre réaction mais il en faut une !
+1, car venir nous dire , on annule toutes réactions car cela nuirait aux futures négociations, alors que ca fait 10 ans que l'on négocie et que l'on se plie a toutes les demandes nécessaires.
c'est étrange, alors soit notre président nous explique, soit il avoue être dépassé et impuissant.
et les écolos ont bien raison de penser que ,si la situation reste en l'état, il s'agit d'une brèche qui permettra dans le futur de faire passer n'importe quoi!
le vent se lève...
le mort c'est pas à notre dame de la lande.
donc le président FNC dit qu'il ne faut pas manifester les assos qui ont appelé à manifester le 27 disent avoir l'obligation morale d'annuler l'appel à manifester....et ça ne va toujours pas???Les bécassiers ils ont pété quoi pour chasser jusqu'au 20, ils ont jété des cailloux sur quel député???
Quand ils ont vu qu'avec les dates on allé dans le mur, ils ont joué fin...des milliers de bécasses baguées pour études, mise en place du carnet avec le truc à la patte, les alertes par sms en fonction des conditions climatiques pour limiter les prélèvements etc etc. Les bécassiers ne se sont pas réveillés il y a 2 ans...Ca fait un moment que c'est en place .Mais ça ronchonne quand même chez les bécassiers car on parle de baisser les prélèvements.Mais le bécassier a compris qu'il vaut mieux sortir avec son chien et n'en prendre qu'une dans la semaine que rester à la maison.La chasse avait tout misé sur Fillon, et même au plus fort de l'histoire de pénélope CPNT a continué a rouler pur Fillon alors qu'il allait dans le mur.A la nomination d'Hulot, le président FNC écrit( en simplifiant) au président pour dire qu'il faut en changer....A c'est sur qu'Hulot il n'a pas du l'oublier celle là...Le truc pour les oies par téléphone c'était très bien, mais ça arrive un peu tard.
rassemblement le 3 fevrier a rochefort et le 10 au pont de normandie en baie de seine et occupation du terrain ac fusil et les gabions pendant fevrier
En plus, les pêcheurs à pieds s'y mettent aussi, même jour, même lieu
oui, pour rebondir sur la dessus !
"Les comités Normands des pécheurs plaisanciers appellent a manifester le 10 février de 1Oh à 12h sur le Pont de Normandie contre la décision prise par la commission européenne d'interdire la pêche du bar au dessus du 48eme parallèle"
Venez nombreux !
PPK
Willy Schraen
10 h
Chers amis chasseurs,
quelques jours se sont écoulés depuis ma dernière publication après le revers que nous avons essuyé concernant la chasse des oies en février. Ce fut un moment difficile, où j'ai appris que l'échec n'était pas facile à vivre, ni pour vous, ni pour moi. j'accepte les reproches des uns et des autres, et je vous redis que ce dossier reste prioritaire. Il est légitime de réguler les oies en février, et je porterai devant le président de la république, ce dossier qui est devenu un des grands symboles des chasseurs de gibier français. Ce n'est pas le seul, et je continue à me battre sur tous les tableaux. D'autres acquis feront l'objet de futures attaques, et je sais que les nuits seront courtes, mais je ne peux rien lâcher, et je ne lâcherai rien. J'ai voulu que les choses soient transparentes vis à vis de vous, et je continuerai à vous informer de l'ensemble de la situation. Je sais que la chasse du grand tétras semble lourdement menacée, comme le renard que certains rêvent de protéger partout en France, et cela dans les plus brefs délais.
je commence demain un grand tour des régions françaises pour présenter aux présidents de fédération le projet de réforme du permis national à 200€. Là encore, les choses mériteront un engagement sans limite de toute mon équipe pour que nous arrivions à convaincre tous nos collègues que c'est le sens de l'histoire que de redonner une plus grande accessibilité financière a la chasse, si nous voulons que celle-ci se développe à nouveau. Nouveau challenge, et pas dès moindre!
Un dernier point. Je rencontrerai le président de la république le 15 février prochain dans un tête à tête que lui même a souhaité. J'ai beaucoup de choses à évoquer avec lui, et je sais que comme moi, vous attendez des réponses claires à toutes nos questions et préoccupations ( oies, nuisibles, chasses traditionnelles, permis à 200€...).
Tant que ce rendez-vous ne sera pas passé, je ne ferai aucune démarche publique successible de mettre en danger les négociations qui ont déjà débutées. Je vous rappelle que manifester pour exprimer sa colère est légitime, mais que si les choses devaient déraper, vous risqueriez de compromettre l'avenir de tous. Je ne suis pas contre la manifestation, il faut juste choisir le bon moment, le bon endroit, et surtout savoir rassembler l'ensemble des composantes de la ruralité pour que la démarche porte ses fruits. Rien ne justifie cela pour l'instant, même si nous n'avons pas pu chasser les oies cette année! Rien n'est perdu pour l'avenir, je vous demande encore un peu de patience, et surtout votre soutien sans fialle, car c'est dans celui-ci que je puise toute mon énergie a me battre pour la chasse et les chasseurs de France.
amitiés en st Hubert
willy Schraen
le vent se lève...
precision, degradation a la suite de la manif du pont de normandie:
e vendredi 23 février 2018, six chasseurs normands ont été condamnés à de la prison avec sursis après avoir commis des dégradations sur le pont de Normandie, le 10 février. Les dommages-intérêts ont été fixés à près de 60 400 euros.
Ce vendredi 23 février 2018, huit chasseurs ont été présentés au tribunal correctionnel du Havre après avoir été déférés ce jeudi pour avoir commis des dégradations lors de la manifestation sur le pont de Normandie, le 10 février 2018. Sept d’entre eux ont été jugés, le huitième a demandé un délai pour préparer sa défense. Les sept jeunes normands ont été condamnés à de la prison avec sursis. Le seul détenant un casier judiciaire a écopé de douze mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve. Un autre a été condamné à huit mois de prison avec sursis. Quatre autres ont pris cinq mois avec sursis. Le septième prévenu devra seulement payer une amende de 800 euros. Six d’entre eux sont solidairement condamnés à payer un total de 60 384, 33 € en réparation des dommages causés au préjudice de la gendarmerie et de la CCI
Dernière modification de coinc59, 24/02/2018 à 15h54
Correctionnelle. Sept hommes originaires de la Manche et du Calvados étaient jugés ce vendredi pour leur entrave à la circulation sur le pont de Normandie et pour de lourdes dégradations.
Quand les prévenus s’alignent à la barre de la correctionnelle du Havre ce vendredi, c’est une majorité de visages juvéniles qui apparaît. «On se fierait à leurs bonnes mines. Mais ne vous fiez pas aux apparences. On a frôlé une véritable catastrophe», énonce l’avocate de la chambre de commerce et d’industrie Seine-Estuaire qui exploite le pont de Normandie.
Originaires de la Manche et du Calvados, sept prévenus âgés de 18 à 30 ans comparaissent pour avoir participé aux dégâts occasionnés par la manifestation de chasseurs le 10 février dernier sur ledit pont (lire nos éditions précédentes). Ils réclamaient une extension de la période de chasse de l’oie cendrée. Il n’est plus question que de loi à l’audience. De l’« entrave à la circulation » aux multiples dégradations. La présidente tire la bobine et chacun des sept reconnaît des responsabilités. «Je regrette. Euh, comment... Moi, ce que j’ai fait? C’est comment? Merde...»
Romain désigné comme un leader en perd ses mots. «Je ne suis pas le plus virulent. Mais l’un des premiers à être devant», différencie le seul des prévenus à avoir été placé en détention provisoire. Son casier judiciaire comporte quinze mentions, dont dix condamnations. «Je prends parfois pour les autres. Parce que je suis toujours à l’avant.» Quand les gendarmes s’adressent à lui sur le pont, certains se détachent parmi les six cents protestataires. «Toute sorte de projectiles volent», déplore la présidente. On cogne dans six voitures de gendarmerie. L’une est renversée. Au cours de la manifestation, «un extincteur qui faisait 50kilos a été déplacé et vidé. Les forces étaient décuplées. Un bac de sable a été soulevé à trois seulement. Sous constat d’huissier, énumère l’avocate de la chambre de commerce et d’industrie. Des bacs de béton ont été explosés. Des caméras cassées.»
«C’est parti en vrille»
Les prévenus ont tous la même version. «En quelques secondes, ça a tourné», «un mouvement de foule», «c’est parti en vrille». Cette explication ne suffit pas au procureur. «Ils ont complètement oublié les règles élémentaires de la vie en société, martèle-t-il. La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres. La liberté d’association, la liberté d’expression, la liberté de manifester ne peuvent pas impliquer de bloquer la circulation. Ce n’est pas parce qu’on n’est pas d’accord avec le gouvernement qu’on peut se permettre de dégrader des biens destinés à l’utilité publique, de prendre à partie les forces de l’ordre.» Toutefois, Me Richard Fiquet s’étonne que les cinq prévenus qu’il assiste ne soient pas entourés à l’audience par un public de chasseurs. «Peut-être qu’ils se sont fait avoir. Peut-être qu’on s’est servis d’eux. Je ne dis pas qu’on les a obligés à aller au pont de Normandie, mais j’ai un peu le sentiment qu’on les a abandonnés.»
En l’absence de soutien, ils sont tous condamnés à de la prison avec sursis sauf un qui écope de 800 € d’amende. Romain, le seul ayant un casier, écope de la peine la plus importante avec douze mois de prison avec sursis et mise à l’épreuve. Un autre prend huit mois avec sursis. Les quatre derniers écopent de cinq mois de prison avec sursis. Six des sept prévenus auront à payer solidairement 60 384,33 € de dommages-intérêts.
Suzelle GAUBE
Matthias Chaventré
Alors, les va't'en guerre du forum, on ne les entend plus ? Quelle solidarité !