marechal ,nous voila!!!!ou le retour du collabo
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La fin mars 2018 sera pas mal aussi en terme de froid ... Ceux qui vivent des caprices de mère nature risquent de morfler encore ...
Numéro de permis de chasse : 62 1-20790
Salut jjb
As tu vu la météo annoncée en fin de semaine.
Dommage deux Paris-Moscou en 15 jours mais en dehors de la période de chasse: mars serait-il aussi un mois d'hiver
L'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crane
Salut Vince,
i
Oui et j'ai vu....et ça me fait sourire. N'empêche que les anciens qui m'avaient annoncé fin janvier un hiver qui allait durer ne s'étaient pas trompés.
Pas cons les vieux qui méritent notre respect. Les petits blancs becs feraient bien de prendre modèle sur eux tant sur le plan connaissance de la nature que sur leurs capacités à mettre leur sens de l'analyse, du discernement et leur sagesse au service de la réussite professionnelle car là aussi ils sont dans le top.
Comme quoi les chiens ne font pas des chats.....et les bons sont bons partout dans ce qu'ils entreprennent...mais eux, c'étaient de gros bosseurs et la chasse z'avaient pas trop le temps sauf un qui était Régisseur d'une des plus belles chasses au sanglier de France.
C'est avec ce genre de mecs là que j'aime chasser car ils excellent dans bien des domaines et les repas de chasse sont toujours l'occasion d'apprendre.
http://wxcharts.eu/charts/gfs/europe...jpg?2018031406
JJB:
Faut dire qu'avec de belles cartes comme ça...on aurait eu cet anticyclone scandinave aussi bien placé en décembre ou janvier....nous aurions sans doute eu de beaux passages
Article publié le 12/05/2018
Après un maximum glaciaire hivernal particulièrement bas atteint le 17 mars dernier, le début de la fonte estivale est désormais actée sur l'océan Arctique (>>).Dans la lignée d'un début d'année toujours aussi morose en terme d'étendue glaciaire, le mois d'avril voit la situation empirer. En effet, avec une banquise ayant atteint en moyenne une superficie de 13.71 millions de km2, ce mois est un record absolu de faible étendue glaciaire, en 40 ans de mesures satellitaires ! Il se situe à quasi-égalité avec le mois d'avril 2016 (seulement 20 000km2 d'écart, mais compte tenu de la marge d'erreur des mesures, le NSIDC considère ces deux mois comme co-détenteurs du record).C'est au final près d'un million de km2 de moins que la moyenne qui a été observée en avril lors de la période 1981-2010 (soit une anomalie de 7%).
Données peu encourageantes mais à relativiser tout de même. Cette région a déjà connu, dans un passé très lointain (optimum médiéval), ce genre de situation climatologique.
Espérons que la nidification des oiseaux profitera de ces espaces libérés de la glace
http://www.meteopassion.com/banquise-arctique.php
JJB:
Vu l'été très chaud que nous vivons, j'ai été surpris de découvrir que la banquise arctique n'avait pas connu une fonte comme en 2012 ou 2016.
JJB:
Vu l'été très chaud que nous vivons, j'ai été surpris de découvrir que la banquise arctique n'avait pas connu une fonte comme en 2012 ou 2016.[/QUOTE]
JJB:
"aggiornamento" !!!
Ptain tu prends des cours du soir ??? LOL
Toujours dans la provocation inutile... m'enfin passons et pour te répondre poliment parce que c'est dans ma nature.
Bien sûr je ne suis pas un lettré comme toi capable de rédiger une revue de presse matinale comme tu le fais si bien cependant, je te ferai remarquer quelques grossières erreurs relevant du cours moyen.
Dans le figaro on écrit pas : Vu l'été très chaud que nous vivons, j'ai été surpris de découvrir que la banquise
mais : je suis surpris de découvrir.
En effet le passé composé est réservé aux actions passées et non en cours justifiant le présent.
Idem pour : la banquise arctique n'avait pas connu
mais : la banquise arctique n'a pas connu.
Pour éviter que tes intéressantes revues de presse ne prennent le chemin d'une simple revue de pisse, je ne peux que te recommander, en toute modestie, de suivre mon exemple dans le dur parcours laborieux vers la connaissance. A savoir, comme tu l'as très bien fait remarquer : prendre des cours du soir, fréquenter les universités populaires (où ton grand savoir serait un avantage pour tous) mais surtout par dessus tout, rester solidaire des chasseurs du DPM en ne proposant pas de leur supprimer 3 semaines de chasse au mois d'Aout comme tu t'entêtes à le faire à travers tes réseaux depuis tant d'années.
ps : j'ai qq fautes volontairement espérant que tu les repères.
Phiphi, tu soulèves tout le problème de l'autodidacte complexé qui fait étalage de ses nouvelles connaissances.
Il est bon de savoir s'adapter à son environnement. C'est même une règle de politesse et d'urbanité.
Crois-tu franchement que si tu vas à une AG de chasseurs et que tu parles de faire son "aggiornamento", le message va passer ?
Le must pour les gens instruits, c'est l'humilité....mais ça, c'est pour ton prochain cours du soir...
Donc, vu que tu te soucies plus de l'aspect du verre que du contenu.....alors que c'est le contenu qui a du sens....ton esprit aurait du davantage se concentrer sur la fonte de la banquise arctique qui est demeurée très moyenne cet été. Curieux tout de même vu la chaleur de cettte été en Europe et des discours alarmistes qui circulent dans les médias.
Vu l'été très chaud que nous vivons, j'ai été surpris de découvrir que la banquise
mais : je suis surpris de découvrir.
JJB:
Non, c'est volontaire car le présent voudrait dire que je suis encore surpris actuellement. Là, justement, je veux souligner que le sentiment de surprise a été momentané dans le passé mais n'est plus d'actualité car , tout compte fait, cela me semble normal.
idem pour : la banquise arctique n'avait pas connu
mais : la banquise arctique n'a pas connu.
JJB:
Là encore, le choix du temps me permet de souligner une période durable et est moins affirmatif qu'un présent. Effet recherché et plus agréable à l'oreille....
Effectivement, le Français est une langue difficile à manier mais qui offre un panel de nuances rien que par l'emploi des temps
What else ?
Le 20 septembre 2012
Il y a quelques jours, le NSIDC & la NASA délivraient des images impressionnantes de l’état actuel de la banquise arctique. À 4,1 millions de km2 la surface de la glace de mer n’avait jamais été aussi réduite… Mais le minimum de la banquise arctique n’était pas encore atteint : ce triste record battu, la banquise a continué de se rétracter, jusqu’à diminuer à une surface de 3.41 millions de km2 – soit une chute d’environ 45% depuis 1979 à la même période.
La fonte de la banquise arctique est l’un des impacts les plus visibles des changements climatiques, avec des conséquences importantes non seulement pour les populations autochtones, la faune et la flore de cette région, mais également pour l’ensemble de la planète.
La fonte des glaces durant l’été est un excellent indicateur du réchauffement climatique mais c’est aussi une véritable clé du phénomène.
"article de Greenpeace"
Posté(e) hier à 10:24 (modifié)
Bonjour à tous !
En ce premier jour d'automne météorologique, il est temps d'ouvrir ce topic, et donc de voir ce que donnent les premières tendances pour l'hiver qui arrive.
D'après ce que j'ai pû voir sur plusieurs sites météo, certains scénarios laissent entrevoir un très bon hiver (hivernophilement parlant).
Mais ne nous enflammons pas, rien n'est fait pour le moment, les choses ont le temps de changer d'ici l'hiver (et c'est d'ailleurs tout l'intérêt de ce topic!)
Et je m'excuse de ne pas faire d'analyse comme certains le font, mais je n'ai pas les connaissances pour.
Je laisse donc place aux autres intervenants !
- 3
s
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Posté(e) hier à 10:56 (modifié)
Bonjour à tous,
comme Clément, je ne suis pas un expert non plus; je reporte ici la tendance (réactualisée régulièrement, la dernière en date d'hier) par Guillaume Séchet, elle va à l'encontre de celles que tu as vues : je cite : pour "décembre, la plupart des scénarios semblent indiquer une forte anomalie de douceur et d'humidité sur une bonne partie de l'Europe (hormis les régions méditerranéennes). Puissant courant d'ouest avec de possibles tempêtes".
Pour "janvier : persistance d'un puissant courant d'ouest très perturbé et très doux. Les régions méditerranéennes seraient moins touchées".
Ce qui aurait pour conséquence un enneigement une nouvelle fois, comme la saison passée, exceptionnel en haute montagne, et pour la plaine, oubliée la sécheresse qui touche certains secteurs depuis quelque temps... et bonne recharge des nappes à l'approche de la saison chaude suivante.
Qu'en pensez-vous ?
Modifié hier à 10:59 par sebinnis
ClementWIG
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Posté(e) il y a 2 heures
Le 1/9/2018 à 10:56, sebinnis a dit :Je ne remet en aucun cas en doute ses compétences, mais j'aimerai bien comprendre pourquoi tous ses bulletins saisonniers se ressemblent... Tous ses bulletins sont toujours "Doux", "Très doux", parfois "de saison" mais c'est plus rare. Les "frais" ou "très frais" ne se bousculent jamais dans ses bulletins..
Bonjour à tous,
comme Clément, je ne suis pas un expert non plus; je reporte ici la tendance (réactualisée régulièrement, la dernière en date d'hier) par Guillaume Séchet, elle va à l'encontre de celles que tu as vues : je cite : pour "décembre, la plupart des scénarios semblent indiquer une forte anomalie de douceur et d'humidité sur une bonne partie de l'Europe (hormis les régions méditerranéennes). Puissant courant d'ouest avec de possibles tempêtes".
Pour "janvier : persistance d'un puissant courant d'ouest très perturbé et très doux. Les régions méditerranéennes seraient moins touchées".
Ce qui aurait pour conséquence un enneigement une nouvelle fois, comme la saison passée, exceptionnel en haute montagne, et pour la plaine, oubliée la sécheresse qui touche certains secteurs depuis quelque temps... et bonne recharge des nappes à l'approche de la saison chaude suivante.
Qu'en pensez-vous ?
Certes, je suis conscient qu'on vit dans une période où on bat plus souvent des records de chaleur que de froid, et où les années plus chaudes les unes que les autres s'enchaînent.
Mais il n'empêche que, s'il y a bien une période de l'année où les températures mensuelles sont régulièrement en dessous des "normales", c'est bien l'hiver, parfois même l'automne (septembre 2017).
De plus, pour une fois, pas mal de sites évoquent la possibilité d'un hiver précoce (novembre, ce qui n'est pas à une échéance si lointaine, bien que rien ne soit fixé, loin de là mais c'est le topic automne), et d'un hiver potentiellement froid (janvier-février). Je veux dire, je ne parle pas ici des fameux articles auxquels on a le droit tous les ans type "L'hiver le + froid de l'humanité arrive", mais bien de sites sérieux qui maintiennent cette tendance depuis plusieurs mois, bien que l'échéance soit lointaine. Mais en général, les tendances au froid ne durent jamais bien longtemps, même en prévi saiso. Le bleu se transforme rapidement en rouge en général, ce qui ne semble pas à être le cas cette année (pour le moment en tous cas).
Après avoir connu le second été le plus chaud depuis le début de relevés, pourquoi ne pas connaître un "vrai" hiver comme en voit quasiment plus ?
dahu
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Posté(e) il y a 32 minutes
Il y a 2 heures, ClementWIG a dit :J'ai effectivement vu cela sur lameteo.org (Fred Decker), quels sont les autres sources qui évoquent également cette tendance ? Merci������
pour une fois, pas mal de sites évoquent la possibilité d'un hiver précoce (novembre, ce qui n'est pas à une échéance si lointaine, bien que rien ne soit fixé, loin de là mais c'est le topic automne), et d'un hiver potentiellement froid (janvier-février). Je veux dire, je ne parle pas ici des fameux articles auxquels on a le droit tous les ans type "L'hiver le + froid de l'humanité arrive", mais bien de sites sérieux qui maintiennent cette tendance depuis plusieurs mois, bien que l'échéance soit lointaine.
JJB:
Voici des premières tendances qui contrastent avec l'été que nous avons vécu. A noter que El Nino pourrait être actif mais que le soleil est en perte d'activité.
Météo agricole : quel temps pour les mois à venir ?
(Source: MeteoNews)
OCTOBRE 2018
En Europe :
Des hautes pressions récurrentes devraient s'étaler des iles Britanniques à la Russie, apportant un temps calme, sec et souvent ensoleillé sur ces régions, mais frais voire froid avec des gelées précoces et fréquentes. A l'inverse des basses pressions concerneraient l'est de la Méditerranée et le Portugal. Le temps serait donc bien instable voire pluvieux sur l'ensemble des pays méditerranéens, humidité qui débordait vers les Balkans. Un temps doux voire assez chaud serait toutefois au programme. Plus mitigé et de saison entre ces deux zones.
En France :
Ecart de température : +0,2 degré - Précipitations : proches des normales - Ensoleillement : assez important
Située au carrefour de plusieurs influences radicalement opposées, la France devrait connaître un mois d'octobre très irrégulier et variable. L'influence anticyclonique se ferait surtout ressentir sur la moitié nord avec un temps assez sec et lumineux, plus humide vers la Bretagne en marge du système dépressionnaire portugais, le tout sous des températures de saison ou faiblement déficitaires avec des gelées assez précoces et nombreuses. Dans le sud, davantage d'humidité et d'instabilité qu'au nord avec une tendance orageuse assez marquée, mais sous des températures plus élevées, même excédentaires sur les régions méridionales. L'ensoleillement s'annonce globalement supérieur aux chiffres de saison.
NOVEMBRE 2018
En Europe :
Un anticyclone devrait fréquemment s'étendre du nord de la Russie et du sud de la Scandinavie à l'Europe occidentale, faisant craindre un « Moscou-Paris » précoce et un risque de vague de froid sur une large partie du continent, jusqu'en France et même jusqu'au Maghreb. Novembre s'annonce froid vers très froid de la Russie aux îles Britanniques, en France, sur la péninsule Ibérique et l'Afrique du Nord, en passant par la Suisse, le Benelux ou encore l'Allemagne et la Pologne. La douceur se cantonnerait au Proche-Orient jusqu'aux Balkans et. du nord de la Finlande à l'Islande et surtout au Groenland. Temps sec attendu du coup sous les hautes pressions en dehors d'éventuels épisodes neigeux, plutôt rares malgré le froid. Une dépression récurrente entre le Golfe de Gênes et la Croatie apporterait en revanche d'importantes précipitations du sud-est de la France et de la Sardaigne jusqu'en Grèce.
En France :
Ecart de température : -1,7 degrés - Précipitations : faibles, abondantes dans le sud-est - Ensoleillement : important
Les hautes pressions de la Mer Baltique pourraient diriger de l'air très froid jusqu'en France, faisant craindre une vague de froid précoce et potentiellement forte sous un « Moscou-Paris ». Gelées, fortes gelées et jours sans dégel seraient ainsi largement plus fréquents qu'habituellement. Cet air froid serait aussi très sec, apportant peu de précipitations et finalement peu de neige malgré des petits épisode probables. Des fortes pluies pourraient en revanche concerner les régions du sud-est jusqu'en Corse, donnant de la neige à très basse altitude sur le sud des Alpes et l'île de beauté. Bon ensoleillement dans l'ensemble, plus particulièrement sur la moitié nord.
DECEMBRE 2018
En Europe :
Les conditions anticycloniques s'étaleraient surtout du nord de l'Atlantique au nord de la Scandinavie ou encore sur le Maghreb où un temps assez sec s'imposerait en dehors de quelques pluies faibles ou flocons, dans une ambiance froide sur les îles Britanniques et l'extrême ouest de la péninsule Ibérique. Les dépressions quant à elles seraient assez récurrentes au large du Portugal, de l'Italie à la Turquie et sur l'ouest de la Russie. Les pluies s'annoncent fréquentes et abondantes tout autour de la Méditerranée jusqu'aux Balkans. Côté thermomètre, un excédent est attendu de la Finlande à la mer Noire jusqu'en Turquie. Le reste du vieux continent passerait ce mois de décembre sous des valeurs proches des chiffres de saison.
En France :
Ecart de température : -0,4 degré - Précipitations : de saison, excédentaires dans le sud - Ensoleillement : de saison à faible
Les grands centres d'actions resteraient à distance de la France, influençant à tour de rôle les conditions climatiques sur nos régions. Résultat : une alternance de doux et de froid, donnant un mois proche des chiffres de saison côté thermomètre. Les précipitations seraient proches des moyennes saisonnières également, excédentaires toutefois sur les régions méridionales, de l'Aquitaine à la Méditerranée. Enfin, l'ensoleillement devrait se situer dans les normes voire un peu en-dessous.
JANVIER 2019
En Europe :
Le général hiver pourrait revenir en force avec un barrage de hautes pressions du nord de l'Atlantique à la Russie, dirigeant de l'air froid à glacial sur une très large partie de l'Europe durant deux à trois semaines, voire davantage. Ce froid n'épargnerait que l'Islande et l'extrême nord de la Scandinavie. Températures davantage de saison voire élevées pour un mois de janvier aussi du Maghreb et de l'Andalousie aux Balkans jusqu'au Proche-Orient. Côté précipitations, le froid serait sec des îles Britanniques à la Russie en dehors d'effets côtiers le long de la mer Baltique. Les dépressions méridionales pourraient en revanche apporter des épisodes neigeux fréquents et conséquents des plateaux espagnols à la France jusqu'au nord de la Mer Noire. Beaucoup d'intempéries d'autre part tout autour de la Méditerranée avec des pluies et orages fréquents, faisant craindre des inondations.
En France :
Ecart de température : -2,2 degrés - Précipitations : fréquentes et abondantes, souvent sous forme de neige - Ensoleillement : de saison à faible
Le premier mois de l'année 2019 pourrait être glacial. Une première tendance indique en effet un déficit thermique très conséquent, supérieur à 2 degrés, en raison de la présence de hautes pressions des îles Britanniques à la région Moscovite. Un « Moscou-Paris » pourrait ainsi souffler le froid et même le glacial sur notre pays. Des dépressions entre le Portugal, l'Italie et la Grèce pourraient d'autre part largement déborder sur la France, entrant en conflit avec l'air froid et donner ainsi des chutes de neige fréquentes et abondantes sur la plupart des régions, un peu moins le long des frontières du nord-est. Près de la Méditerranée, fortes pluies et parfois neige seraient au programme. L'ensoleillement s'annonce faible à normal selon les régions.
JJB:
A noter que la banquise a bcp moins fondu cet été avec une surface largement supérieur à 2012, année référence de fonte maximum de la banquise arctique ( surface)