doudou
07/08/2006, 09h32
you know what i meen motherfucker???
no???
so i'll explain you in french.
donc apres une ouverture assez peu fructueuse(1 pie pour 7, peut mieux faire...), n'écoutant que mon courage, et me referant à mon savoir exceptionnel, je me retrouvais tout de meme en baie, dans un coin seul connut de moi: le taret.
petit coef, leger vent de nord ouest brume matinale et tete dans le cul, je me dirigeai donc vers un point strategique. oui car on peut etre talentueux, si on est mal placé ça sert à rien.
donc une fois la mer jugée assez haute, je place mes quelques formes de canards à un endroit non moins strategique: dans l'eau(pas con le mec...)
une attente tres longue débute alors. ça parrait interminable. ça fait maintenant 2 bonne minutes que j ai mit mes formes et toujours rien. je suis super énervé(on le serait à moins). je m'apprette à repartir, mais, il y a un mais, j'entend dans le lointain un pluvier isolé. je me décide donc à le siffler, comme seul les gens talentueux savent le faire, et la, sortis de nul part (enfinsi, du brouillard, mais de nul part j'aime bien, ça fait vachement énigmatique. tu dis ça à des gars, et ben ils sont pendus à tes levres, et ils cogitent. ils se demandent d'ou qu'il peu bien sortir le pluvier. ils font marcher la boite à cerveau. ça donne un semblant de vie à ton histoire quoi. notez hein. ça pourra vous servir plus tard...)
donc je reprend, le pluvier, sortis de nulle part me passe devant, et la pan, le miracle de la mort s'accomplit. je vais chercher mon pluvier, qui agonise, et qui fait désormais moins le malin. mon pluvier??? et bien non. s'était un maubeche. enfin bon ils sont cons aussi ces maubeches à imiter le pluvier. il aurait imiter la bernache, je me serai douter de rien. enfin bon moi je dis ça, c est tant pis pour lui...
enfin bon, je décide de rester. l'attente interminable reprend donc, et quelques instant plus tard, sortis de nulle part(c est marrant ils venaient de nulle part aussi, c est assez énigmatique, cette histoire comme à me donner des frissons...), 3 souchets plongent sur mes formes, me voient, et remonte pour me passer en à une cinquantaine de metre. ça sent le tripler à plein nez. mais je décide de les laisser repartir. j ai déja un maubeche donc faut pas abuser non plus. faut en laisser pour les autres. je les rate donc volontairement.
l'attente reprend ensuite, interminable. et la, sortis de vous savez ou(donc la j'insere la notion de doute dans le récit. t a ceux qui savent d'ou ils sortent, par déduction, et pis t a ceux qui savent pas, et pis qui doutent de leur capacités intelectuelles...et la c est vachement dur pour eux. je compatis.), 6 canards plongent sur mes formes. ce coup si, je décide d'en tuer un, parcqu il faut pas déconner non plus, et lache donc mon premier coup, 2 magnum, faut ce qu'il faut, sur un des 6 canards se trouvant à une cinquantaine de metres plus haut que moi...
donc plouf( bruit classique du canard tombant dans l'eau, je précise pour ceux qui sont mauvais, et qui n'ont encore jamais entendu ce bruit...), et je récupere une bourre siffleur...
et oui les gars. 1 siffleur. le 6 aout. on est bon ou on l'est pas...
s'en suivront encore deux attentes interminables, récompensées par un pluvier argenté à 60 metre environ avec mon désormais célebre coup de 2 magnum en 36g(ca pete vindjeu), ainsi que par un coup de fusil phenomal sur 3 imprudents gambettes à 30 metres. 3/3 en une cartouche6 1/2 en 34g.
je suis ensuite rentré chez moi avec le sentiment du devoir accomplit, me disant que j'étais sans doute le premier homme au monde à tuer un siffleur le 6 aout...
no???
so i'll explain you in french.
donc apres une ouverture assez peu fructueuse(1 pie pour 7, peut mieux faire...), n'écoutant que mon courage, et me referant à mon savoir exceptionnel, je me retrouvais tout de meme en baie, dans un coin seul connut de moi: le taret.
petit coef, leger vent de nord ouest brume matinale et tete dans le cul, je me dirigeai donc vers un point strategique. oui car on peut etre talentueux, si on est mal placé ça sert à rien.
donc une fois la mer jugée assez haute, je place mes quelques formes de canards à un endroit non moins strategique: dans l'eau(pas con le mec...)
une attente tres longue débute alors. ça parrait interminable. ça fait maintenant 2 bonne minutes que j ai mit mes formes et toujours rien. je suis super énervé(on le serait à moins). je m'apprette à repartir, mais, il y a un mais, j'entend dans le lointain un pluvier isolé. je me décide donc à le siffler, comme seul les gens talentueux savent le faire, et la, sortis de nul part (enfinsi, du brouillard, mais de nul part j'aime bien, ça fait vachement énigmatique. tu dis ça à des gars, et ben ils sont pendus à tes levres, et ils cogitent. ils se demandent d'ou qu'il peu bien sortir le pluvier. ils font marcher la boite à cerveau. ça donne un semblant de vie à ton histoire quoi. notez hein. ça pourra vous servir plus tard...)
donc je reprend, le pluvier, sortis de nulle part me passe devant, et la pan, le miracle de la mort s'accomplit. je vais chercher mon pluvier, qui agonise, et qui fait désormais moins le malin. mon pluvier??? et bien non. s'était un maubeche. enfin bon ils sont cons aussi ces maubeches à imiter le pluvier. il aurait imiter la bernache, je me serai douter de rien. enfin bon moi je dis ça, c est tant pis pour lui...
enfin bon, je décide de rester. l'attente interminable reprend donc, et quelques instant plus tard, sortis de nulle part(c est marrant ils venaient de nulle part aussi, c est assez énigmatique, cette histoire comme à me donner des frissons...), 3 souchets plongent sur mes formes, me voient, et remonte pour me passer en à une cinquantaine de metre. ça sent le tripler à plein nez. mais je décide de les laisser repartir. j ai déja un maubeche donc faut pas abuser non plus. faut en laisser pour les autres. je les rate donc volontairement.
l'attente reprend ensuite, interminable. et la, sortis de vous savez ou(donc la j'insere la notion de doute dans le récit. t a ceux qui savent d'ou ils sortent, par déduction, et pis t a ceux qui savent pas, et pis qui doutent de leur capacités intelectuelles...et la c est vachement dur pour eux. je compatis.), 6 canards plongent sur mes formes. ce coup si, je décide d'en tuer un, parcqu il faut pas déconner non plus, et lache donc mon premier coup, 2 magnum, faut ce qu'il faut, sur un des 6 canards se trouvant à une cinquantaine de metres plus haut que moi...
donc plouf( bruit classique du canard tombant dans l'eau, je précise pour ceux qui sont mauvais, et qui n'ont encore jamais entendu ce bruit...), et je récupere une bourre siffleur...
et oui les gars. 1 siffleur. le 6 aout. on est bon ou on l'est pas...
s'en suivront encore deux attentes interminables, récompensées par un pluvier argenté à 60 metre environ avec mon désormais célebre coup de 2 magnum en 36g(ca pete vindjeu), ainsi que par un coup de fusil phenomal sur 3 imprudents gambettes à 30 metres. 3/3 en une cartouche6 1/2 en 34g.
je suis ensuite rentré chez moi avec le sentiment du devoir accomplit, me disant que j'étais sans doute le premier homme au monde à tuer un siffleur le 6 aout...