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Afficher la version complète : AMOUR-Trois pages du "livre d'un chasseur"par Guy de Maupassant



Marc62180
16/01/2007, 21h49
A vous tous, pour ceux qui connaissent ce récit et pour les autres qui ne le connaissent pas...Pour détendre tout le monde en cette année pauvre en gibier, et calmer certains débats. Ce texte n'est pas de moi comme vous pouvez le voir dans le titre. Je pense que tout y est, et qu'il nous représente tous. Bonne lecture!!!

...Je viens de lire dans un fait divers de journal un drame de passion. Il l'a tuée, puis il s'est tué, donc il l'aimait. Qu'importent Il et Elle? Leur amour seul m'importe; et il ne m'intéresse point parce qu'il m'attendrit ou parce qu'il m'étonne, ou parce qu'il m'émeut ou parce qu'il me fait songer, mais parce qu'il me rappelle un souvenir de ma jeunesse, un étrange souvenir de chasse où m'est apparu l'Amour comme apparaissaient aux premiers chrétiens des croix au milieu du ciel.
Je suis né avec tous les instincts et les sens de l'homme primitif tempérés par des raisonnements et des émotions de civilisé. J'aime la chasse avec passion; et la bête saignante, le sang sur les plumes, le sang sur mes mains, me crispent le coeur à le faire défaillir.
Cette année-là, vers la fin de l'automne, les froids arrivèrent brusquement , et je fus appelé par un de mes cousins, Karl de Rauville, pour venir avec lui tuer des canards dans les marais, au lever du jour.
Mon cousin, gaillard de quarante ans, roux, très fort et très barbu, gentilhomme de campagne, demi-brute aimable, d'un caractère gai, doué de cet esprit gaulois qui rend agréable la médiocrité, habitait une sorte de ferme-château dans une vallée large où coulait une rivière. Des bois couvraient les collines de droite et de gauche, vieux bois seigneuriaux où restaient des arbres magnifiques et où l'on trouvait les plus rares gibiers à plume de toute cette partie de la France. On y tuait des aigles quelquefois; et les oiseaux de passage, ceux qui presque jamais ne viennent en nos pays trop peuplés, s'arrêtaient presque infailliblement dans ces branchages séculaires comme s'ils eussent connu ou reconnu un petit coin de forêt des anciens temps demeuré là pour leur servir d'abri en leur courte étape nocturne.
Dans la vallée, c'étaient de grands herbages arrosés par des rigoles et séparés par des haies; puis, plus loin, la rivière, canalisée jusque là, s'épandait en un vaste marais. Ce marais, la plus admirable région de chasse que j'aie jamais vu, était tout le soucis de mon cousin qui l'entretenait comme un parc. A travers l'immense peuple de roseaux qui le couvrait, le faisait vivant, bruissant, houleux, on avait tracé d'étroites avenues où les barques plates, conduites et dirigées avec des perches, passaient, muettes, sur l'eau morte, frôlaient les joncs, faisait fuir les poissons rapides à travers les herbes et plonger les poules sauvages dont la tête noire et pointue disparaissait brusquement.
J'aime l'eau d'une passion désordonnée : la mer, bien que trop grande, trop remuante, impossible à posséder, les rivières si jolies mais qui passent, qui fuient, qui s'en vont, et les marais surtout où palpite toute l'existence inconnue des bêtes aquatiques. Le marais, c'est un monde entier sur la terre, monde différent, qui a sa vie propre, ses habitants sédentaires, et ses voyageurs de passage, ses voix, ses bruits et son mystère surtout. Rien n'est plus troublant, plus inquiétant, plus effrayant, parfois, qu'un marécage. Pourquoi cette peur qui plane sur ces plaines basses couvertes d'eau? Sont-ce les vagues rumeurs des roseaux, les étranges feux follets, le silence profond qui les enveloppe dans les nuits calmes, ou bien les brumes bizarres, qui traînent sur les joncs comme des robes mortes, ou bien encore l'imperceptible clapotement, si léger, doux, et plus terrifiant parfois que le canon des hommes ou que le tonnerre du ciel, qui fais ressembler les marais à des pays de rêves, à des pays redoutables, cachant un secret inconnaissable et dangereux.
Non. Autre chose s'en dégage, un autre mystère, plus profond, plus grave, flotte dans les brouillards épais, le mystère même de la création peut-être! Car n'est-ce pas dans l'eau stagnante et fangeuse, dans la lourde humidité des terres mouillées sous la chaleur du soleil, que remua, que vibra, que s'ouvrit au jour le premier germe de vie?

J'arrivai le soir chez mon cousin. Il gelait à fendre les pierres.
Pendant le dîner, dans la grande salle dont les buffets, les murs, le plafond étaient couverts d'oiseaux empaillés, aux ailes étendues, ou perchés sur des branches accrochées par des clous, éperviers, hérons, hiboux, engoulevents, buses, tiercelets, vautours, faucons, mon cousin pareil lui-même à un étrange animal des pays froids, vêtu d'une jaquette en peau de phoque, me racontait les dispositions qu'il avait prises pour cette nuit.
Nous devions partir à trois heures et demie du matin, afin d'arriver vers quatre heures et demie au point choisi pour notre affût. On avait construit à cet endroit une hutte avec des morceaux de glace pour nous abriter un peu contre le vent terrible qui précède le jour, ce vent chargé de froid qui déchire la chair comme des scies, la coupe comme des lames, la pique comme des aiguillons empoisonnés, la tord comme des tenailles, et la brûle comme du feu.
Mon cousin se frottait les mains : "Je n'ai jamais vu une gelée pareille, disait-il, nous avions déjà douze degrés sous zéro à six heures du soir."
J'allai me jeter sur mon lit aussitôt après le repas, et je m'endormis à la lueur d'une grande flamme flambant dans ma cheminée.
A trois heures sonnantes on me réveilla. J'endossai , à mon tour, une peau de mouton et je trouvai mon cousin Karl couvert d'une fourrure d'ours. Après avoir avalé chacun deux tasses de café brûlant suivies de deux verres de fine de champagne, nous partîmes accompagnés d'un garde et de nos chiens : Plongeon et Pierrot.
Dès les premiers pas dehors, je me sentis glacé jusqu'aux os. C'était une de ces nuits où la terre semble morte de froid. L'air gelé devient résistant, palpable tant il fait mal; aucun souffle ne l'agite; il est figé, immobile; il mord, traverse, dessèche, tue les arbres, les plantes, les insectes, les petits oiseaux eux-mêmes qui tombent des branches sur le sol dur, et deviennent dur eux aussi, comme lui, sous l'étreinte du froid.
La lune, à son dernier quartier, toute penchée sur le côté, toute pâle, paraissait défaillante au milieu de l'espace, et si faible qu'elle ne pouvait plus s'en aller, qu'elle restait là-haut, saisie aussi, paralysée par la rigueur du ciel. Elle répandait une lumière sèche et triste sur le monde, cette lueur mourante et blafarde qu'elle nous jette chaque mois, à la fin de sa résurrection.
Nous allions, côte à côte, Karl et moi, le dos courbé, les mains dans nos poches et le fusil sous le bras. Nos chaussures enveloppées de laine afin de pouvoir marcher sans glisser sur la rivière gelée ne faisaient aucun bruit; et je regardais la fumée blanche que faisait l'haleine de nos chiens.
Nous fûmes bientôt au bord du marais, et nous nous engageâmes dans une des allées de roseaux secs qui s'avançait à travers une forêt basse.
Nos coudes, frôlant les longues feuilles en rubans, laissaient derrière nous un léger bruit; et je me santi saisi, comme je ne l'avais jamais été, par l'émotion puissante et singulière que font naître en moi les marécages. Il était mort, celui-là, mort de froid, puisque nous marchions dessus, au milieu de son peuple de joncs desséchés.
Tout à coup, au détour d'une des allées, j'aperçus la hutte de glace qu'on avait construite pour nous mettre à l'abri. J'y entrai, et comme nous avions encore près d'une heure à attendre le réveil des oiseaux errants, je me roulai dans ma couverture pour essayer de me réchauffer.
Alors, couché sur le dos, je me mis à regarder la lune déformée, qui avait quatre cornes à travers les parois vaguement transparantes de cette maison polaire.
Mais le froid du marais gelé, le froid de ces murailles, le froid tombé du firmament me pénétra bientôt d'une façon si terrible, que je me mis à tousser.
Mon cousin Karl fut pris d'inquiétude :"Tant pis si nous ne tuons pas grand-chose aujourd'hui, dit-il, je ne veux pas que tu t'enrhumes; nous allons faire du feu." Et il donna l'ordre au garde de couper des roseaux.
On en fit un tas aumilieu de notre hutte défoncée au sommet pour laisser échapper la fumée; et lorsque la flamme rouge monta le long des cloisons claires de cristal,elles se mirent à fondre, doucement, à peine, comme si ces pierres de glace avaient sué. Karl, resté dehors, me cria : "Viens donc voir!" Je sortis et je restais éperdu d'étonnement. Notre cabane, en forme de cône, avait l'air d'un monstrueux diamant au coeur de feu poussé soudain sur l'eau gelée du marais. Et dedans, on voyait deux formes fantastiques, celles de nos chiens qui se chauffaient.
Mais un cri bizarre, un cri perdu, un cri errant, passa, sur nos têtes. La lueur de notre foyer réveillait les oiseaux sauvages.
Rien ne m'émeut comme cette première clameur de vie qu'on ne voit point at qui court dans l'air sombre, si vite, si loin, avant qu'apparaisse à l'horizon la première clarté des jours d'hivers. Il me semble à cette heure glaciale de l'aube, que ce cri fuyant emporté par les plumes d'une bête est un soupir de l'âme du monde!
Karl disait : "Eteignez le feu. Voici l'aurore."
Le ciel en effet commançait à pâlir, et les bandes de canards traînaient de longues taches rapides, vite effacée, sur le firmament.
Une lueur éclata dans la nuit, Karl venait de tirer; et les deux chiens s'élancèrent.
Alors, de minute en minute, tantôt lui, tantôt moi, nous ajustions vivement dès qu'apparaissait au-dessus des roseaux l'ombre d'une tribu volante. Et Pierrot et Plongeon, essouflés et joyeux, nous rapportaient des bêtes sanglantes dont l'oeil quelquefois nous regardait encore.
Le jour s'était levé, un jour clair et bleu; le soleil apparaissait au fond de la vallée et nous songions à repartir, quand deux oiseaux, le col droit et les ailes tendues, glissèrent brusquement sur nos têtes. Je tirai. Un d'eux tomba presque à mes pieds. C'était une sarcelle au ventre d'argent. Alors, dans l'espace au-dessus de moi, une voix, une voix d'oiseau cria. Ce fut une plainte courte, répétée, déchirante; et la bête, la petite bête épargnée se mit à tourner dans le bleu du ciel au-dessus de nous en regardant sa compagne morte que je tenais entre mes mains.
Karl, à genoux, le fusil à l'épaule, l'oeil ardent, la guettait, attendant qu'elle fût assez proche.
"Tu as tué la femelle, dit-il, le mâle ne s'en ira pas".
Certes, il ne s'en allait point; il tournoyait toujours, et pleurait autour de nous. Jamais gémissement de souffrance ne me déchira le coeur comme l'appel désolé, comme le reproche lamentable de ce pauvre animal perdu dans l'espace.
Parfois, il s'enfuyait sous la menace du fusil qui suivait son vol; il semblait prêt à continuer sa route, tout seul à travers le ciel. Mais ne s'y pouvant décider il revenait bientôt pour chercher sa femelle.
"Laisse-la par terre, me dit Karl, il approchera tout à l'heure."
Il approchait, en effet, insouciant du danger, affolé par son amour de bête pour l'autre bête que j'avais tuée.
Karl tira; ce fut comme si on avait coupé la corde qui tenait suspendu l'oiseau. Je vis une chose noire qui tombait; j'entendis dans les roseaux le bruit d'une chute. Et Pierrot me le rapporta.
Je les mis, froids déjà, dans le même carnier... et je repartis, ce jour-là, pour Paris.

beber
16/01/2007, 22h16
merci!!!! ;) ;) ;) :C :C

Marc62180
16/01/2007, 22h17
De rein beber... Une bonne nuit à tous!!!! ;)
A bientôt. :))
Marco

beber
16/01/2007, 22h21
bonne nuit à tous !!!!

@+

bieroc
16/01/2007, 22h34
ah!un normand qui parle de chasse :C rhaaaaaaaaa!!!!!!lovely!!!!!!! :fou:

Marc62180
17/01/2007, 11h37
J'espère que c'est pas moi que tu traites de normand bieroc... sinon je vais pa être très content ":("

bieroc
17/01/2007, 12h51
non c'est Guy :C :C !! :fou:

Marc62180
17/01/2007, 12h57
Ok, je me doutais que c'était ça.... J'étais plus très sûr qu'il soit normand en fait!!!"[;(]"

Florent
17/01/2007, 19h57
bien belle lecon d'humilité...ca prouve que donner la mort a un animal n'est pas rien, meme si il ne faut pas tomber dans la sensiblerie, nos chers coincs ont une ame, une famille,et certainement des émotions ouais, tres joli ch'cacheu del'canc ;)

jmax
18/01/2007, 13h42
très joli texte...

et dire qu'avant les gens était fier d'annoncer qu'ils étaient chasseur (artiste/politique)..

les temps changent.

aby
18/01/2007, 15h25
Oui tres tres joli texte. :C Merci de l avoir poste. :C Quand je lis ca je me dis que j ai rate mon epoque. :cri: Des marais gele a ce point la ca ne se fait plus. L ambiance vieille france aussi, y a rien de mieux pour preceder la chasse :C :C :C :C des Karl comme lui il y en a encore et j ai la chance d en connaitre un :)

jiji du 14
18/01/2007, 15h59
c tré jolie .merci :C :C :C :C :C :C :C :C :C

Marc62180
18/01/2007, 17h57
Ravi que ça vous plaise les gars.... Vu le temps que ça m'a pris pour le recopier en plus!!! Mais quand on aime, on ne compte pas!!! :D :D :C :C :C

morette 17
18/01/2007, 18h17
aprés avoir lu on ferme les yeux et on y est.....

aby
18/01/2007, 18h22
t as recopie le texte le cachou de la canche? :)) tu as du y passer du temps effectivement :cri: mais le resultat est agreable :D merci ;)

Marc62180
18/01/2007, 18h25
ouais je l'airecopier... le temps d'un match de foot à la télé en fait, mi-temps comprise.... :fou: :fou: :fou: Mais c'est avec grand plaisir que je l'ai fais...... :D :D ;)

aby
18/01/2007, 18h32
sinon tu as lu les contes de la becasse du meme auteur? y a aussi des histoires de chasse au gibier d eau c est tres bien raconte aussi! :C un vrai plaisir c t auteur :C

Marc62180
18/01/2007, 18h34
Non pas encore mais ma chérie me ramène ça aux prochaines vacances... ;)
Donc, ça occupera mes soirées de mars!!!! :D :D ;)

JJB
18/01/2007, 18h41
Salut ABY,

Dans les contes de la bécasse, il y a une histoire horrible , celle du petit chien abandonné dans une marnière désaffectée

Sinon, Dersou Ouzala de Victor Arseniev est un super bouquin. ;)

Et puis Raboliot de M Genevoix.

aby
18/01/2007, 18h51
ben tu vois j ai lu raboliot mais franchement j ai pas aime le style d ecriture de genevoix meme si l histoire est tres interessante.
Maupassant ca reste pour moi la reference lecture tres facile et une ecriture fluide et tres imagee, on a l impression de lire une BD avant l heure avec lui :))
« J’aime Maupassant parce qu’il me semble écrire pour moi, non pour lui. »
Jules Renard. y a pas plus vrai :C

JJB
18/01/2007, 18h55
C'est vrai que Genevoix se perd dans les descritions lourdes. En plus, il faut avoir du vocabulaire. :)) :))

aby
18/01/2007, 19h00
enfoire :cri: :cri: :)) non c est son style hache, ca donne mal a la tete :cri:

JJB
18/01/2007, 19h47
Et en BD, t'as essayé ABY ? :))

aby
20/01/2007, 07h25
t as raison rigole vieux crabe :G :G :G :G :))

aby
20/01/2007, 08h07
tiens regarde JJB, je te presente dame nature ;)

http://img251.imageshack.us/img251/9276/damenature2fq.jpg (http://imageshack.us)

aby
20/01/2007, 08h08
:))

[img=http://img251.imageshack.us/img251/9276/damenature2fq.jpg] (http://imageshack.us)

aby
20/01/2007, 08h10
bon j ai essaye au moins :cri: :))

aby
20/01/2007, 08h28
[img=http://img154.imageshack.us/img154/7374/damenature3mg.th.jpg] (http://img154.imageshack.us/my.php?image=damenature3mg.jpg)

aby
20/01/2007, 08h28
ca ca doit etre un coup des moderateurs :G

bieroc
20/01/2007, 08h30
cent fois sur le metier remettez votre ouvrage.....! :)) :)) :fou:

aby
20/01/2007, 08h31
au lieu d te marrer vieux brigand tu pourrais me dire comment on fait :G :D

aby
20/01/2007, 08h31
mais tu sais probablement pas encore un mec qui chasse aux gougins :))

yoyo50
20/01/2007, 08h33
http://img154.imageshack.us/img154/7374/damenature3mg.th.jpg

yoyo50
20/01/2007, 08h33
on fait comme ça aby :C :C :)) :)) :)) :)) :))

aby
20/01/2007, 08h34
oh la vache ca donne rien c t image sur le site :)) merci quand meme yoyo

bieroc
20/01/2007, 08h35
c'est quoi?Aby?????souvenir d'un lendemain de fete sur ta moquette??? :)) :fou: :fou:

yoyo50
20/01/2007, 08h36
non je suis d'accord avec toi ça donne rien :)) :)) :))

l'autre lien en dessous c'est la meme image??

aby
20/01/2007, 08h36
:)) :)) :)) :)) :))

yoyo50
20/01/2007, 08h36
http://img251.imageshack.us/img251/9276/damenature2fq.jpg

yoyo50
20/01/2007, 08h37
aaaaaaaaaaaaahhhhhh c'est mieux comme ça :)

aby
20/01/2007, 08h37
vas y ressaye yoyo :)) on va voir si ca ressemble encore a de la gerbe

aby
20/01/2007, 08h38
ah ben voila maintenant tu vas pouvoir chercher le canard sur le dessin, c est ta recompense pour avoir ete gentil avec tonton aby :D

au fait tu fais comment?

yoyo50
20/01/2007, 08h38
voilà mon aby d'amour :C :C :C :C :)) :))

ça te plait comme ça ;) :fou:

bieroc
20/01/2007, 08h38
de la beaute ds.ce monde de brutes :G :C :C :C :C :fou:

aby
20/01/2007, 08h39
donc la photo represente dame nature! jolie hein! :C moi j aime bien c est meme mon fond d ecran :C :D

aby
20/01/2007, 08h39
ah oui ca me plait mon yoyo merci beacoup j te fais plein de bisous

yoyo50
20/01/2007, 08h39
regarde juste en dessous de l'image tu as besoin que de ce lien là pour afficher ton image que tu met ensuite entre :fou:

bieroc
20/01/2007, 08h40
joli oui!quand a trouver un canard??????!!!!!!! :/ tu sais bien que ce n'est pas ma specialite!!!! :triste: :fou:

yoyo50
20/01/2007, 08h41
je vois pas mal de chose mais pas le canard :/ :)) :)) :)) :)) :cri:

aby
20/01/2007, 08h41
ok j vais faire une tentative yoyo avec une autre belle image

yoyo50
20/01/2007, 08h42
oki je reste pas loin pour te corriger ;) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :))

aby
20/01/2007, 08h42
eh si les gars il y a un colvert sur l image :D cherchez encore :))

yoyo50
20/01/2007, 08h43
vu :D :D :D :D :D :D :C

aby
20/01/2007, 08h44
http://img297.imageshack.us/img297/8349/canardmania9tt.jpg

yoyo50
20/01/2007, 08h45
bravo aby :) :D :D :)) :)) :)) :)) :)) :))

cachayo
20/01/2007, 08h46
boujou bieroc

aby
20/01/2007, 08h47
d apres la photo les canards sont noirs le jour et blanc la nuit (encore une astuce que je vous apprend) :D et ils naissent dans les champs certains vont a gauche d autres a droite (conseil tres utile pour les ornithologues qui cherchent a comprendre la migration) :D

aby
20/01/2007, 08h48
merci yoyo qu es ce que je ferais sans toi :C :cri: :D

JJB
20/01/2007, 08h55
Posté le Ce matin 09:28

Inscrit le 01/07/2004
[img=http://i mg154.imageshack.us/img154/7374/damenature3mg.th.jpg] (http://img154.imageshack.us/my.php?image=damenature3mg.jpg)
aby Posté le Ce matin 09:10

Inscrit le 01/07/2004
bon j ai essaye au moins
aby Posté le Ce matin 09:08

Inscrit le 01/07/2004


[img=http://img251.imageshack.us/img251/9276/damena ture2fq.jpg] (http://imageshack.us)
aby Posté le Ce matin 09:07

Inscrit le 01/07/2004
tiens regarde JJB, je te presente dame nature

http://img251.imageshack.us/img251/9276/damenatur e2fq.jpg (http://imageshack.us)


JJB: Tu parles philippin ?

JJB
20/01/2007, 08h56
Enfin je veux dire le Le Tagalog, ABY?????????????? :)) :)) :))

aby
20/01/2007, 08h57
"nakasisiguro gamot ay laging bago" :D

la seule phrase en tagalog (dialecte officiel) que je connaisse :fou:

aby
20/01/2007, 08h58
:)) et le tagueule tu connais? :G

JJB
20/01/2007, 09h02
C'est : ta goule ???????????????

aby
20/01/2007, 09h04
humour je precise ;) :C :cri: :))

JJB
20/01/2007, 09h08
Moi, non!!!!!!!!!!!!!!!! :G :G :G :G :G

JJB
20/01/2007, 09h09
Un peu de respect pour les vieux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Lui, au moins Gégé, il les respecte :)) :)) :)) :)) :))

JJB
20/01/2007, 09h09
:)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) ;)