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Afficher la version complète : épagneul breton et crise d'épylepsie



jojodchnord
25/01/2007, 21h47
j'ai un male d'épagneul breton,agé de 4ans,qui me fait des crises d'épylepsie à tout va!seul reméde...un traitement à base de crisax!le véto m'a dit une fois que mon chien déprimait!!!au début je pensais qu'il se fouté de ma gueule...mais les crises reviennent assez souvent....8 par jour des fois...il bave,lache ses escréments en méme temps que la crise!!!avez vous eu ou avez vous entendu parler de méme cas? merci d'avance...

DOUPILOU
26/01/2007, 07h31
Salut Jojo.

Le chien de mon père, un setter anglais, faisait de nombreuses crises d'épilepsie.
Pour se manifester avant sa crise, il pleurait la matinée quand ça arrivait l'après-midi.
Pour les symptômes, il bavait et traînait de l'arrière-train. On avait pris l'habitude de le piquer, mais ça reste impressionnant à chaque fois.
La dernière crise d'épilepsie lui a été fatale puisque ça lui a provoqué une rupture d'anévrisme... Pourtant, il était en pleine force de l'âge (6 ans).

Yannos 17
26/01/2007, 15h20
Salut jojo,
Es tu sur que ce sont des crises d'épilepsie et pas des petits Accidents Vasculaires Cérébraux (AVC) ?
C'est vrai que 8/jour ça ferait beaucoup mais ça me rappelle étrangement les symptomes de mon chien qui est mort l'an dernier à 15 ans.

LBT
26/01/2007, 15h44
Perso j’ai eu un breton qui m’en a fait toute sa vie (mort à 13 ans), son père en faisait également et les descendants ont tendance à en faire. Mon beau frère a une lointaine parente qui en fait également. Il était sous Mysolane (6 cachets par jour) et en cas de crise qui durait dans le temps, c’était Valium en voie rectale. C’est hyper flippant la première fois, mais à près tu as l’habitude, même si tu flippes quand même somme un malade de peur que le coeur ou autre chose ne lâche...

Concernant la chasse, il n’y avait pas de souci, son niveau n’a jamais baissé. Même après une crise au cours d’une partie de chasse, il s’y remettait une fois que la crise était terminée. Le plus chiant c’était de le retrouver au bois ou dans des champs de maïs. De plus, j'avais toujours peur qu'il ne m'en fasse une lors d'un rapport à l'eau.