le taquineur
16/05/2007, 22h00
Ayant 22 ans et donc 6 années de chasse derrière moi, je trouve avoir un certain talent pour la chasse (ou une énorme réussite selon certain, ça dépend comment on le voit). Je vais vous démontrer cela par quelques anecdotes qui me sont arrivées.
- Ce devait être ma seconde année de chasse, c’était au mois de septembre, j'étais partis a la hutte avec un copain non chasseur avec qui j’avais passé un peu moins de 10 nuits a la hutte où nous étions toujours sorti bredouille et nous souhaitions conjurer le sort. Le soir et la nuit passèrent nous étions toujours bredouille. Il était 8h30 du matin, le jour était levé depuis une bonne heure quand tout à coup une sarcelle se posa. Ni une, ni deux elle s'effondra pour enfin congédier le sort (enfin). Il était 9h lorsque je sorti et commençai a dépiquer, content d'avoir enfin fait une pièce avec mon copain (qui lui pendant ce temps la péchait la grenouille, on s'occupe comme on peut), quant j'entendis les cannes forcer. Une autre sarcelle avait posé entre moi qui était dans la mare et mon collègue qui était de l'autre coté. Je remonta rapidement a la hutte je demanda a mon copain de me rejoindre en ce cachant derrière les roseaux. La sarcelle, pendant ce temps, s’était éloignée vers le fond de la mare. Je pris les jumelles et je la vis en train de bronzer au soleil. Mes sarcelles étant encore dans la mare, je convint mon copain de contourner la mare pour refaire décoller la sarcelle persuader qu’elle reposera. Il fit donc le tour et la sarcelle décolla pour se reposer plus loin dans l’herbage derrière. Je fit comprendre a mon acolyte d’un geste qu’il aille la rechercher pour la refaire décoller. Elle repartit, fit un tour et posa à 30m devant les guichets. Je pris le fusil, je tire et la elle redécolle. Je la perds de vue, sort a toute vitesse dehors, je regarde mon compère pour savoir ce qu’il en était. Il me montra un point dans l’herbage. Je lui fit signe d’y aller pour la refaire décoller et lorsqu’il arriva au point indiquer, il ramassa la sarcelle. Depuis ce jour, je prends mon copain pour qu’il me serve de chien de rapport.
- Durant cette même année, je tirais les mac bruns chez mon oncle sans grande réussite (j’avais griller une 20aine de cartouche pour aucun prélèvement). Je vis arriver un paquet d’une 12aine de mac arriver. Je décidai par lassitude de les tirer les yeux fermés. Je pris le fusil, les épaula, ferma les yeux et PAN. Je rouvris les yeux et vis s’écraser un mac sur le sol. Je préférai ranger le fusil et repartir sentant que je n’étais pas dans un grand jour.
- J’ai eu l’occasion cette année de revivre l’histoire de la sarcelle qui a posé à côté de moi alors que je dépiquait mais celle-ci fut plus maligne que l’autre et eut le temps de repartir. 2 fois en 6 ans çà fait beaucoup, je trouve.
- Cette année encore, nous étions, mon père, mon bof, son père et moi, en train de tirer les pigeons qui envahissent les hangars de mon oncle quand un pigeon vint vers moi. Planquer le long du hangar, je tirai le pigeon qui mit un coup d’aile, descendit de 1m pour esquiver le plombs et ……. alla s’écraser contre le mur du hangar. Une belle pièce sans plomb.
- Pour finir, toujours cette année, je faisais la fermeture de la perdrix seul avec mon chien, personne n’ayant pu m’accompagner. Nous avions pour l’instant prélever seulement 2 perdrix sur les 10 que nous avions d’attribuer. Je battait une pièce de moutarde quand une compagnie de 8/10 perdrix décolla à 25/30m. J’épaula sur une puis changea de cible quand le coup partit. Et là stupéfaction : 2 perdrix tombèrent désailées, espacées d’environ 1m sur le coup de fusil. Mon chien me les rapporta et lors de l’inspection des 2 pièces, je pu constater qu’elles avait pris chacune un plomb dans l’aile et un dans la patte pour l’une d’elle. Sacré coup de fusil dont je ne cesse de me vanter.
- Ce devait être ma seconde année de chasse, c’était au mois de septembre, j'étais partis a la hutte avec un copain non chasseur avec qui j’avais passé un peu moins de 10 nuits a la hutte où nous étions toujours sorti bredouille et nous souhaitions conjurer le sort. Le soir et la nuit passèrent nous étions toujours bredouille. Il était 8h30 du matin, le jour était levé depuis une bonne heure quand tout à coup une sarcelle se posa. Ni une, ni deux elle s'effondra pour enfin congédier le sort (enfin). Il était 9h lorsque je sorti et commençai a dépiquer, content d'avoir enfin fait une pièce avec mon copain (qui lui pendant ce temps la péchait la grenouille, on s'occupe comme on peut), quant j'entendis les cannes forcer. Une autre sarcelle avait posé entre moi qui était dans la mare et mon collègue qui était de l'autre coté. Je remonta rapidement a la hutte je demanda a mon copain de me rejoindre en ce cachant derrière les roseaux. La sarcelle, pendant ce temps, s’était éloignée vers le fond de la mare. Je pris les jumelles et je la vis en train de bronzer au soleil. Mes sarcelles étant encore dans la mare, je convint mon copain de contourner la mare pour refaire décoller la sarcelle persuader qu’elle reposera. Il fit donc le tour et la sarcelle décolla pour se reposer plus loin dans l’herbage derrière. Je fit comprendre a mon acolyte d’un geste qu’il aille la rechercher pour la refaire décoller. Elle repartit, fit un tour et posa à 30m devant les guichets. Je pris le fusil, je tire et la elle redécolle. Je la perds de vue, sort a toute vitesse dehors, je regarde mon compère pour savoir ce qu’il en était. Il me montra un point dans l’herbage. Je lui fit signe d’y aller pour la refaire décoller et lorsqu’il arriva au point indiquer, il ramassa la sarcelle. Depuis ce jour, je prends mon copain pour qu’il me serve de chien de rapport.
- Durant cette même année, je tirais les mac bruns chez mon oncle sans grande réussite (j’avais griller une 20aine de cartouche pour aucun prélèvement). Je vis arriver un paquet d’une 12aine de mac arriver. Je décidai par lassitude de les tirer les yeux fermés. Je pris le fusil, les épaula, ferma les yeux et PAN. Je rouvris les yeux et vis s’écraser un mac sur le sol. Je préférai ranger le fusil et repartir sentant que je n’étais pas dans un grand jour.
- J’ai eu l’occasion cette année de revivre l’histoire de la sarcelle qui a posé à côté de moi alors que je dépiquait mais celle-ci fut plus maligne que l’autre et eut le temps de repartir. 2 fois en 6 ans çà fait beaucoup, je trouve.
- Cette année encore, nous étions, mon père, mon bof, son père et moi, en train de tirer les pigeons qui envahissent les hangars de mon oncle quand un pigeon vint vers moi. Planquer le long du hangar, je tirai le pigeon qui mit un coup d’aile, descendit de 1m pour esquiver le plombs et ……. alla s’écraser contre le mur du hangar. Une belle pièce sans plomb.
- Pour finir, toujours cette année, je faisais la fermeture de la perdrix seul avec mon chien, personne n’ayant pu m’accompagner. Nous avions pour l’instant prélever seulement 2 perdrix sur les 10 que nous avions d’attribuer. Je battait une pièce de moutarde quand une compagnie de 8/10 perdrix décolla à 25/30m. J’épaula sur une puis changea de cible quand le coup partit. Et là stupéfaction : 2 perdrix tombèrent désailées, espacées d’environ 1m sur le coup de fusil. Mon chien me les rapporta et lors de l’inspection des 2 pièces, je pu constater qu’elles avait pris chacune un plomb dans l’aile et un dans la patte pour l’une d’elle. Sacré coup de fusil dont je ne cesse de me vanter.