valois
09/05/2004, 23h02
c'etait au mois de decembre 98, comme souvent le samedi je decidait de partir à la hutte en baie de somme.
je passait donc prendre la clef chez un ami concessionnaire.
Lorsqu'il me vit arriver celui-ci marqua un temps d'arret comme surpris.
je lui demandé alors pourquoi il semblait etonne de me voir venir chercher la clef de sa hutte.
il me dit:" tiot,tais bien sur, cha fait trois jours qui fait un temps epouvantabe, et avec ça c'est des maree d'99".
je lui confirmais,et apres avoir entendu toute les recommandations d'usages et beaucoup de retissance je parti en baie.
Mon ami avait raison d'etre inquiet car arrive sur la moliere de l'avant je me rendi compte que le paysage avait change, les marees avaient rabote le sol au point de laisser apparaitre le sable là où 15 jours auparavant etait le gason.
je me depechai d'attacher avant la volee sous des pluies battantes et un violent vent d'ouest qui commencait deja à m'inquieter.
la vole passait le vent sembla encore se renforcer le ciel etait noir et on n'y voyait rien au jumelle.
Minuit raisonna comme un cout de fusildans ma tete, car la pleine mer n'etait prevu qu'a 3 h, or l'eau arriva dans le noc de la hutte à 00h.
je me jetais au vision pour tenter de voir ou etait la mer , le vent soufflait tjrs tres fort.
Quand, à ma grde surprise alors que je pensais sortir chercher mes cannes, un calme impressionnant se fit, le vent devint faible et s'orienta au sud.
mes appelants se mirent presqu'aussitot à forcer et en qques minutes j'eu 7 poses, sarcelles (15) puis pilets (8) siffleurs (6)...etc.
ce calme ne dura que 30 mns c'est a dire le temps pour la mer d'embarquer. Je fu alors oblige de courir pour pouvoir detacher et recuperer les 2 sarcelles et le seule pilet que j'etais parvenu à prelever.
Aussitot apres l'arrivee de l'eau dans la mare une veritable tempete s'abattit sur la baie au point que je decidait de ne pas rattacher apres la mer.
au jour je me rendit compte que j'etais tout seul en baie, et pour cause trois gabions au moins avaient casses leurs cables et etaient coinces.
comme quoi une nuit peut parfois se resumer à trentes minutes.
je passait donc prendre la clef chez un ami concessionnaire.
Lorsqu'il me vit arriver celui-ci marqua un temps d'arret comme surpris.
je lui demandé alors pourquoi il semblait etonne de me voir venir chercher la clef de sa hutte.
il me dit:" tiot,tais bien sur, cha fait trois jours qui fait un temps epouvantabe, et avec ça c'est des maree d'99".
je lui confirmais,et apres avoir entendu toute les recommandations d'usages et beaucoup de retissance je parti en baie.
Mon ami avait raison d'etre inquiet car arrive sur la moliere de l'avant je me rendi compte que le paysage avait change, les marees avaient rabote le sol au point de laisser apparaitre le sable là où 15 jours auparavant etait le gason.
je me depechai d'attacher avant la volee sous des pluies battantes et un violent vent d'ouest qui commencait deja à m'inquieter.
la vole passait le vent sembla encore se renforcer le ciel etait noir et on n'y voyait rien au jumelle.
Minuit raisonna comme un cout de fusildans ma tete, car la pleine mer n'etait prevu qu'a 3 h, or l'eau arriva dans le noc de la hutte à 00h.
je me jetais au vision pour tenter de voir ou etait la mer , le vent soufflait tjrs tres fort.
Quand, à ma grde surprise alors que je pensais sortir chercher mes cannes, un calme impressionnant se fit, le vent devint faible et s'orienta au sud.
mes appelants se mirent presqu'aussitot à forcer et en qques minutes j'eu 7 poses, sarcelles (15) puis pilets (8) siffleurs (6)...etc.
ce calme ne dura que 30 mns c'est a dire le temps pour la mer d'embarquer. Je fu alors oblige de courir pour pouvoir detacher et recuperer les 2 sarcelles et le seule pilet que j'etais parvenu à prelever.
Aussitot apres l'arrivee de l'eau dans la mare une veritable tempete s'abattit sur la baie au point que je decidait de ne pas rattacher apres la mer.
au jour je me rendit compte que j'etais tout seul en baie, et pour cause trois gabions au moins avaient casses leurs cables et etaient coinces.
comme quoi une nuit peut parfois se resumer à trentes minutes.