virgil
29/11/2012, 18h26
Bon nous sommes le mercredi 28 novembre 2012.
Coup de telephone, c'est andre, le proprietaire du gabion où je chasse au marais.
"dis moi, il y a du gibier au marais, mais je suis bloqué, je peux pas y aller mon coequipier n'est pas là.
Je comprends de suite qu'il faut que je fasse quelque chose.
On va essayer de negocier avec ma conjointe car deux nuits la semaine avec un bebe de trois mois...
C'est ok, je retelephone a andre et lui annonce la bonne nouvelle.
"je prevois le repas andre. On se rejoind au marais a 15h30.
Arrivé au marais, il fait un vent de nord soutenu, ca s'annonce plutot bien. En plus nous aurons de la lune...
On piquent les oiseaux et rentrons dans le gabion. C'est alors sue l'on commence a parler migration etc...
A la passee du soir, j'apercois une sarcelle qui trace sa route a toutes allures.
Nous passons une bonne demi heure aux guichettes.
Rien, mis a part ce vent de nord que noud prennons en pleine poire, mais que c'est bon...
Aller, a table apres un petit apero quand meme.
Nous mangeons et une fois le repas terminé, je decide de jeter un oeil, j'ai entendu le chant d'une sarcelle dans le micro qui m'intrigue. J'ouvre, et là, c'est posé a droite. Une sarcelle.
Je m'empresse d'aller le dire a andre. J'ouvre la porte de cuisine " c'est posé mon general, une sarcelle.
Mon general car notre amis est un ancien combattant parachutiste de la seconde geurre mondiale. Et oui 90 ans, le Monsieur.
Je prends le temps de bien expliquer où est cette sarcelle afin qu'il la tire.
On ouvre et ce n'est pas une mais trois qui sont posées.
Malheuresement notre general ne les trouve pas!
Apres plus de cinq minutes d'explications pour lui indiquer où elles se situent, on decident que je tire seul avant quelle repartent. Elles sont a trente metres, j'epaule le canardouze, tire et tur les trois d'un coup. Nous sommes heureux, deja trois sarcelles.
Un peu plus tard une autre sarcelle vient nous rendre visite, cette fois ci elle est a gauche mais andre toujours aveuglé par ce vent qui nous fouette le visage, ne la voit pas. Donc je m'apprete a tirer et la tue.
Idem avec une autre qui restera 45 minutes a 10 metres du gabion. Nous sommes ravi de la voir faire chier les appelants, allant meme jusqu'a piquer le plateau d'un des piafs.
Et là, c'est le drame mon portable sonne et dans un "quink quink" la demoiselle decolle et repose a 20 metres en face. Celle ci viendra rejoindre les autres dans le gabion.
Des tirs se font entendre a intervals reguliers toute la nuit.
C'est "la nuit"apres un mois de novembre assez creux...
Andre decide d'aller se coucher, je reste au guichettes, je suis remonté a bloque.
Et tout les dix minutes, andre me repete"tu n'as pas froid? Allonge toi tu sera mieux...
Je lui repond"ca va andre,vous en faites pas".
En milieu de nuit pose de 8 siffleurs a 60 metres. Je les regarde manger pendant plusieurs minutes, andre dort comme un bebe. Lol. Il dort mieux au gabion que chez lui, malgres les crampes qui le tiraille.
Et tout a coup,c'est bon, ils approchent."andre reveillez vous, 8 siffleurs.
Il se leve afin d'assister au spectacle que nous offre cette belle bande.
Andre ne prefere pas tirer car il craind de faire une betise sur les appelants, je lui dis que c'est bon, mais rien a y faire.
Arrivé a 25 metres, je lache mes deux coups, ils sont tous dans ma lunette.
Braoummmmm, 5 reste net a l'endroit du tir et 2 partent sur la gauche en claquant des ailes, je recharge et tue les deux blessés.
Je n'y crois pas et recompte les oiseaux inerte. Je viens de tuer 7 siffleurs d'un coup sur 8. Nous n'en revenons pas et andre me repete"bah mon vieux" lol.
Je m'empresse d'enfiler les cuissardes pour aller les chercher et reviens fier comme un pape.
Apres cette pose je reussirais a trouver le sommeil durant un heure pendant que coequipier veille. A mon reveil une sarcelle de posee dans la ligne de droite qui restera 5 minutes avant de repartir.
Voila une nuit en compagnie d'un ami qui restera gravee dans ma memoire.
Coup de telephone, c'est andre, le proprietaire du gabion où je chasse au marais.
"dis moi, il y a du gibier au marais, mais je suis bloqué, je peux pas y aller mon coequipier n'est pas là.
Je comprends de suite qu'il faut que je fasse quelque chose.
On va essayer de negocier avec ma conjointe car deux nuits la semaine avec un bebe de trois mois...
C'est ok, je retelephone a andre et lui annonce la bonne nouvelle.
"je prevois le repas andre. On se rejoind au marais a 15h30.
Arrivé au marais, il fait un vent de nord soutenu, ca s'annonce plutot bien. En plus nous aurons de la lune...
On piquent les oiseaux et rentrons dans le gabion. C'est alors sue l'on commence a parler migration etc...
A la passee du soir, j'apercois une sarcelle qui trace sa route a toutes allures.
Nous passons une bonne demi heure aux guichettes.
Rien, mis a part ce vent de nord que noud prennons en pleine poire, mais que c'est bon...
Aller, a table apres un petit apero quand meme.
Nous mangeons et une fois le repas terminé, je decide de jeter un oeil, j'ai entendu le chant d'une sarcelle dans le micro qui m'intrigue. J'ouvre, et là, c'est posé a droite. Une sarcelle.
Je m'empresse d'aller le dire a andre. J'ouvre la porte de cuisine " c'est posé mon general, une sarcelle.
Mon general car notre amis est un ancien combattant parachutiste de la seconde geurre mondiale. Et oui 90 ans, le Monsieur.
Je prends le temps de bien expliquer où est cette sarcelle afin qu'il la tire.
On ouvre et ce n'est pas une mais trois qui sont posées.
Malheuresement notre general ne les trouve pas!
Apres plus de cinq minutes d'explications pour lui indiquer où elles se situent, on decident que je tire seul avant quelle repartent. Elles sont a trente metres, j'epaule le canardouze, tire et tur les trois d'un coup. Nous sommes heureux, deja trois sarcelles.
Un peu plus tard une autre sarcelle vient nous rendre visite, cette fois ci elle est a gauche mais andre toujours aveuglé par ce vent qui nous fouette le visage, ne la voit pas. Donc je m'apprete a tirer et la tue.
Idem avec une autre qui restera 45 minutes a 10 metres du gabion. Nous sommes ravi de la voir faire chier les appelants, allant meme jusqu'a piquer le plateau d'un des piafs.
Et là, c'est le drame mon portable sonne et dans un "quink quink" la demoiselle decolle et repose a 20 metres en face. Celle ci viendra rejoindre les autres dans le gabion.
Des tirs se font entendre a intervals reguliers toute la nuit.
C'est "la nuit"apres un mois de novembre assez creux...
Andre decide d'aller se coucher, je reste au guichettes, je suis remonté a bloque.
Et tout les dix minutes, andre me repete"tu n'as pas froid? Allonge toi tu sera mieux...
Je lui repond"ca va andre,vous en faites pas".
En milieu de nuit pose de 8 siffleurs a 60 metres. Je les regarde manger pendant plusieurs minutes, andre dort comme un bebe. Lol. Il dort mieux au gabion que chez lui, malgres les crampes qui le tiraille.
Et tout a coup,c'est bon, ils approchent."andre reveillez vous, 8 siffleurs.
Il se leve afin d'assister au spectacle que nous offre cette belle bande.
Andre ne prefere pas tirer car il craind de faire une betise sur les appelants, je lui dis que c'est bon, mais rien a y faire.
Arrivé a 25 metres, je lache mes deux coups, ils sont tous dans ma lunette.
Braoummmmm, 5 reste net a l'endroit du tir et 2 partent sur la gauche en claquant des ailes, je recharge et tue les deux blessés.
Je n'y crois pas et recompte les oiseaux inerte. Je viens de tuer 7 siffleurs d'un coup sur 8. Nous n'en revenons pas et andre me repete"bah mon vieux" lol.
Je m'empresse d'enfiler les cuissardes pour aller les chercher et reviens fier comme un pape.
Apres cette pose je reussirais a trouver le sommeil durant un heure pendant que coequipier veille. A mon reveil une sarcelle de posee dans la ligne de droite qui restera 5 minutes avant de repartir.
Voila une nuit en compagnie d'un ami qui restera gravee dans ma memoire.