pitpit deutsh
03/05/2013, 21h50
Vendredi 11 Novembre 2011, dans l’après-midi : on arrive, mon père, moi, et sont collègue sur le parking de la baie. Après 20 minutes de marche, chargé comme des mules, on atteint enfin notre gabion, pour notre nuit hebdomadaire.
Le vent, quasiment inexistant, est orienté au sud, comme beaucoup trop de fois depuis la saison, et les nuits n’ont pas était très mouvementées depuis le début de saison… Enfin, on ne raterait pour rien notre nuit, en plus, c’est la pleine lune !!
Attache des appelants, principalement des colverts, agrémenté de quelque sarcelles et quelques siffleurs. Et oui, il faut les porté les bétails en traversant l’herbu : /
La passé fut calme, aperçu une 20 aine de siffleurs, remontant le canal, comme souvent, et malheureusement, on blessée une sarcelle, qui tombe dans l’herbu derrière, impossible de la retrouvé, sa commence plutôt mal… mais ce n’est que le début
A la tombé de la nuit, le vent ce coupe, comme pratiquement toute les nuit !! A l’apéro, sa tire régulièrement sur Brévand, la meilleur partie de la baie, quels bande de veinards ! Le repas ce termine, toujours très calme de notre coté, et toujours cette activité régulière, de l’autre coté.
La nuit ce poursuit, les tir sont toujours régulier, environs 3 ou 4 par heure, mais ajouté aux tir de brévand, des détonations ce font entendre de notre coté, chez les voisins.
Vers 5h, les tirs s’intensifient, sa tire de plus en plus, partout dans la baie, et nous, toujours rien, de gros coup de gueule, mais rien…
Sur le coup de 6h, là, c’est le bouquet final, sa tire pratiquement toute les 2 ou 3 minute, et toujours rien pour nous !!! Sortir pour changer la pique ?? Impossible, les cages sont de l’autre coté d’un noe, et impossible de traverser du fait de la marrée. De plus, on va bien réussir à accroché une ou deux paire de canards, ce dit-on..
Le collègue qui est chargé de veillé fait les 100 pas, il rentres dans la cuisine, nous fait un petit briffing, retourne au guignette, revient au bout de 5 minutes, la tête déconfite, on est littéralement en train de prendre un bouillon !!!!
Le jours pointe, c’est décidé, on sort faire la volée dehors. A peine sortir, attaque de l’attelage, suivi de nombreux « trutt trutt trutt !!! ». On scrute la flaque, rien…. Un coup d’accord déchire l’aube, elles ont continués leur route, et se sont posé chez le voisin… Il n’y a pas à dire, on est vraiment mal piqué :’(
7h10, coup de grâce, 6 Sarcelles arrivent de la mer, comme des bombes, passe au dessus de notre gabion, trop haut pour être tiré, font leur tour dans l’herbu derrière, et nous reviennes droit dessus. Elles tombent littéralement sur notre marre, et vienne pour ce posé juste devant nous, mais… il y a un mais, arrivées a 5m de l’eau, elle font brusquement un virage a gauche, longe la ligne de canne, et ce poses a 80m, laissant ainsi 3 chasseurs vert de rage !! Dans la matinée, de nombreux paquets de canards, sarcelle siffleur souchet entre dans la baie, a haute altitude… et nous somme toujours bredouille !!!
10H ; ce n’est pas la peine d’insister, le canards volent beaucoup trop haut, pour espérer en décroché un. Je décide d’appeler mon oncle pour prendre des nouvelles de sa nuit.
Au bout du fils, il s’attend à ce que l’on ait fait une belle nuit, mais je lui raconte la très mauvaise nuit que l’on a passés…
« Et toi alors ???? Il chasse non loin de la baie, dans un grand marais.
Moi ?? J’était tout seul, je n’ai pas put fermé l’oeil de la nuit, il y en avait partout !!! En effet, quel nuit !!! Plus de 60 canards à la pose, principalement des sarcelles, par petit paquet de 2, 3, 4, mais aussi une pose de 15 sarcelles, et une superbe pose de 19 chipeau. Et tout ce petit monde, venait systématiquement sur sa marre, a peine tirer t’il, que des sarcelle ressortait des jonc du bord de marre !! La, sur le coup, il m’a mit le coup de grâce !!!!
Retour a la maison, les queues entre les pattes !!
Ce soir, le gabion que je loue le long du canal est libre, je décide donc d’aller y passer la nuit, sa ne sera pas pire de tout façon !!!
Un amis sera de la partie, et il sera accompagné de sont père. C’est moi qui vais piquer, et mon pote emmène ces oies, sait ton jamais !!
Cette nuit, il y aura plus de sauvagine piquée, l’accès est plus facile, et 2 oies, complètement à droite, le long de la berge. Dans l’après-midi, les vols de canards continus a traversé le ciel, mais le passage est moins intense que ce matin.
Passer du soir sans histoire.
Apéro, repas, et forcément, discutions de chasse !!!
Mon pote me raconte sa nuit de la veille, il tue une sarcelle a la jourie, et on la chance de prélever une cendré en début de nuits, quel chanceux !!
Le repas ce termine, et les veille sont décidé, c’est le père du pote qui va veillé en premier, ensuite il ira ce couché, ce n’est pas vraiment un chasseur de canards, et les longues veillé nocturne, ce n’est pas vraiment sont truc.
Je dors comme une souche. Tout a coup, la lumière s’allume, il est 23h45. « Debout les gars, il y a 4 siffleur de poser en face dans les forme !!!! »
Un peu septique, pensant plutôt a une farce, ni moi ni mon collègue ne nous levons, et trouvons plutôt la blague de mauvais goût. A force d’insister, nous nous levons, et en effet, il y a bien 4 siffleurs de poser, mais maintenant hors porté, le long de la berge.
Il vont bien finir par ce rapprocher !!
Le pote décide de prendre la veille, quant à moi, je me recouche. Partit fumer sa clopes de l’autre coté, les guignette sont donc fermé. Tout a coup, un gros recriage des oies ce fait entendre. Mon pote arrive en trombe, entrouvre la guignette, la referme aussitôt, et me secoue
« Dépêche toi, c’est posé juste devant, change de douille, c’est gros !!!! » la, pas de temps de perdu, c’est du rapide !!! Réouverture des guignettes :
En effet, c’est posé juste devant, à pas plus de 15m du gabion, pile en face, l’endroit idéal ! On met la pose en joue, elle est immanquable, dans ma lunette, j’arrive à voir son gros bec orange, tellement la nuit est clair.
Le fameux 1, 2 et brooouuuummmm, les deux coup ne font qu’un, rien ne bouge, une fois les remous dispersé, elle apparaît, étalé, la sur l’eau !!
Je sort en trombe dehors, pas le temps de mettre de cuissarde, ni de pantalon (et oui, je dors en caleçon : /…) je cour dans la marre, et arrive sur mon oie, ma première, à la pose en plus, et juste en face, le rêve !! Un beau jars d’oie cendrée.
Quel morceau, elle est énorme, une masse immense étalé sur l’eau !! Retour au gabion, c’est la fête, félicitation mutuelle, coup de téléphone au copain, a droite et gauche, et je me suis même permis de réveillé la grand mère, pour lui annoncée la nouvelle (le lendemain elle m’apprendra qu’elle eu beaucoup de mal a retrouvé le sommeille, et avait en tête la chanson des oie sauvage de Michel Delpeche).
Cette fois, la nuit est faite, plus rien ne viendra troublé les tour de veille, même si durant le mien, je passa plus de temps dans la cuisine a contemplé mon oie qu’aux guignette.
Arrive alors la passée du matin. Mon pote reste posté au cul du gabion, moi je me place dans le poste de tir.
Au bout de quelque minute, 3 gros volatile arrive en face, a 20 m de haut, elle coupe la marre, et vont passer entre nous 2. Mais qu’est ce que c‘est ? Ni des cormorans, ni des bernache, sa c’est sur… Des oies alors ? Sa parait assez petit quand même
Un premier coup de fusil claque, elle encaisse le coup « ggggllliiikkk gggllliiikk », merde des rieuse !!! Une rafale suit, elle prend 3 cartouches, mais forcément, c’est du petit numéro de grenailles L
Les deux autres changent de cap, et prennent de l’altitude, quant a notre oie, elles, fait demis tour, plane, plane en perdant de la hauteur, et fini par disparaître dans l’obscurité, et MERDE !!!!!
Retour au gabion, déjeuner dehors, on rejoue la pose de la nuit, et le loupé de la passé, quant tout a coup, 2 sarcelle posent en fond de marre, hors porté. Au bout de 30 sec., elles re décolle, et ce dirigent droit sur nous. Bon tir, 2 sarcelles de plus au tableau !!! Quelle nuit !!
Comme quoi, à la chasse, il faut toujours y croire, et ne pas ce laisser abattre !!
Le vent, quasiment inexistant, est orienté au sud, comme beaucoup trop de fois depuis la saison, et les nuits n’ont pas était très mouvementées depuis le début de saison… Enfin, on ne raterait pour rien notre nuit, en plus, c’est la pleine lune !!
Attache des appelants, principalement des colverts, agrémenté de quelque sarcelles et quelques siffleurs. Et oui, il faut les porté les bétails en traversant l’herbu : /
La passé fut calme, aperçu une 20 aine de siffleurs, remontant le canal, comme souvent, et malheureusement, on blessée une sarcelle, qui tombe dans l’herbu derrière, impossible de la retrouvé, sa commence plutôt mal… mais ce n’est que le début
A la tombé de la nuit, le vent ce coupe, comme pratiquement toute les nuit !! A l’apéro, sa tire régulièrement sur Brévand, la meilleur partie de la baie, quels bande de veinards ! Le repas ce termine, toujours très calme de notre coté, et toujours cette activité régulière, de l’autre coté.
La nuit ce poursuit, les tir sont toujours régulier, environs 3 ou 4 par heure, mais ajouté aux tir de brévand, des détonations ce font entendre de notre coté, chez les voisins.
Vers 5h, les tirs s’intensifient, sa tire de plus en plus, partout dans la baie, et nous, toujours rien, de gros coup de gueule, mais rien…
Sur le coup de 6h, là, c’est le bouquet final, sa tire pratiquement toute les 2 ou 3 minute, et toujours rien pour nous !!! Sortir pour changer la pique ?? Impossible, les cages sont de l’autre coté d’un noe, et impossible de traverser du fait de la marrée. De plus, on va bien réussir à accroché une ou deux paire de canards, ce dit-on..
Le collègue qui est chargé de veillé fait les 100 pas, il rentres dans la cuisine, nous fait un petit briffing, retourne au guignette, revient au bout de 5 minutes, la tête déconfite, on est littéralement en train de prendre un bouillon !!!!
Le jours pointe, c’est décidé, on sort faire la volée dehors. A peine sortir, attaque de l’attelage, suivi de nombreux « trutt trutt trutt !!! ». On scrute la flaque, rien…. Un coup d’accord déchire l’aube, elles ont continués leur route, et se sont posé chez le voisin… Il n’y a pas à dire, on est vraiment mal piqué :’(
7h10, coup de grâce, 6 Sarcelles arrivent de la mer, comme des bombes, passe au dessus de notre gabion, trop haut pour être tiré, font leur tour dans l’herbu derrière, et nous reviennes droit dessus. Elles tombent littéralement sur notre marre, et vienne pour ce posé juste devant nous, mais… il y a un mais, arrivées a 5m de l’eau, elle font brusquement un virage a gauche, longe la ligne de canne, et ce poses a 80m, laissant ainsi 3 chasseurs vert de rage !! Dans la matinée, de nombreux paquets de canards, sarcelle siffleur souchet entre dans la baie, a haute altitude… et nous somme toujours bredouille !!!
10H ; ce n’est pas la peine d’insister, le canards volent beaucoup trop haut, pour espérer en décroché un. Je décide d’appeler mon oncle pour prendre des nouvelles de sa nuit.
Au bout du fils, il s’attend à ce que l’on ait fait une belle nuit, mais je lui raconte la très mauvaise nuit que l’on a passés…
« Et toi alors ???? Il chasse non loin de la baie, dans un grand marais.
Moi ?? J’était tout seul, je n’ai pas put fermé l’oeil de la nuit, il y en avait partout !!! En effet, quel nuit !!! Plus de 60 canards à la pose, principalement des sarcelles, par petit paquet de 2, 3, 4, mais aussi une pose de 15 sarcelles, et une superbe pose de 19 chipeau. Et tout ce petit monde, venait systématiquement sur sa marre, a peine tirer t’il, que des sarcelle ressortait des jonc du bord de marre !! La, sur le coup, il m’a mit le coup de grâce !!!!
Retour a la maison, les queues entre les pattes !!
Ce soir, le gabion que je loue le long du canal est libre, je décide donc d’aller y passer la nuit, sa ne sera pas pire de tout façon !!!
Un amis sera de la partie, et il sera accompagné de sont père. C’est moi qui vais piquer, et mon pote emmène ces oies, sait ton jamais !!
Cette nuit, il y aura plus de sauvagine piquée, l’accès est plus facile, et 2 oies, complètement à droite, le long de la berge. Dans l’après-midi, les vols de canards continus a traversé le ciel, mais le passage est moins intense que ce matin.
Passer du soir sans histoire.
Apéro, repas, et forcément, discutions de chasse !!!
Mon pote me raconte sa nuit de la veille, il tue une sarcelle a la jourie, et on la chance de prélever une cendré en début de nuits, quel chanceux !!
Le repas ce termine, et les veille sont décidé, c’est le père du pote qui va veillé en premier, ensuite il ira ce couché, ce n’est pas vraiment un chasseur de canards, et les longues veillé nocturne, ce n’est pas vraiment sont truc.
Je dors comme une souche. Tout a coup, la lumière s’allume, il est 23h45. « Debout les gars, il y a 4 siffleur de poser en face dans les forme !!!! »
Un peu septique, pensant plutôt a une farce, ni moi ni mon collègue ne nous levons, et trouvons plutôt la blague de mauvais goût. A force d’insister, nous nous levons, et en effet, il y a bien 4 siffleurs de poser, mais maintenant hors porté, le long de la berge.
Il vont bien finir par ce rapprocher !!
Le pote décide de prendre la veille, quant à moi, je me recouche. Partit fumer sa clopes de l’autre coté, les guignette sont donc fermé. Tout a coup, un gros recriage des oies ce fait entendre. Mon pote arrive en trombe, entrouvre la guignette, la referme aussitôt, et me secoue
« Dépêche toi, c’est posé juste devant, change de douille, c’est gros !!!! » la, pas de temps de perdu, c’est du rapide !!! Réouverture des guignettes :
En effet, c’est posé juste devant, à pas plus de 15m du gabion, pile en face, l’endroit idéal ! On met la pose en joue, elle est immanquable, dans ma lunette, j’arrive à voir son gros bec orange, tellement la nuit est clair.
Le fameux 1, 2 et brooouuuummmm, les deux coup ne font qu’un, rien ne bouge, une fois les remous dispersé, elle apparaît, étalé, la sur l’eau !!
Je sort en trombe dehors, pas le temps de mettre de cuissarde, ni de pantalon (et oui, je dors en caleçon : /…) je cour dans la marre, et arrive sur mon oie, ma première, à la pose en plus, et juste en face, le rêve !! Un beau jars d’oie cendrée.
Quel morceau, elle est énorme, une masse immense étalé sur l’eau !! Retour au gabion, c’est la fête, félicitation mutuelle, coup de téléphone au copain, a droite et gauche, et je me suis même permis de réveillé la grand mère, pour lui annoncée la nouvelle (le lendemain elle m’apprendra qu’elle eu beaucoup de mal a retrouvé le sommeille, et avait en tête la chanson des oie sauvage de Michel Delpeche).
Cette fois, la nuit est faite, plus rien ne viendra troublé les tour de veille, même si durant le mien, je passa plus de temps dans la cuisine a contemplé mon oie qu’aux guignette.
Arrive alors la passée du matin. Mon pote reste posté au cul du gabion, moi je me place dans le poste de tir.
Au bout de quelque minute, 3 gros volatile arrive en face, a 20 m de haut, elle coupe la marre, et vont passer entre nous 2. Mais qu’est ce que c‘est ? Ni des cormorans, ni des bernache, sa c’est sur… Des oies alors ? Sa parait assez petit quand même
Un premier coup de fusil claque, elle encaisse le coup « ggggllliiikkk gggllliiikk », merde des rieuse !!! Une rafale suit, elle prend 3 cartouches, mais forcément, c’est du petit numéro de grenailles L
Les deux autres changent de cap, et prennent de l’altitude, quant a notre oie, elles, fait demis tour, plane, plane en perdant de la hauteur, et fini par disparaître dans l’obscurité, et MERDE !!!!!
Retour au gabion, déjeuner dehors, on rejoue la pose de la nuit, et le loupé de la passé, quant tout a coup, 2 sarcelle posent en fond de marre, hors porté. Au bout de 30 sec., elles re décolle, et ce dirigent droit sur nous. Bon tir, 2 sarcelles de plus au tableau !!! Quelle nuit !!
Comme quoi, à la chasse, il faut toujours y croire, et ne pas ce laisser abattre !!