sanguinet33
25/11/2014, 18h31
BOUGRAIN DUBOURG ET SES ACOLLYTES DU CONSEIL MONDIAL POUR LA NATURE D’AIDER A UNE « TRISTE BESOGNE » CONTRE LES OISEAUX !…
C’est l’histoire de l’arroseur arrosé. Et là, il prend une sacrée douche, M. Bougrain-Dubourg, car c’est de lui dont il s’agit.
Voilà notre chevalier blanc de l’ornithologie médiatique, grand protecteur autoproclamé des oiseaux, adversaire public N°1 des chasseurs, sommé par le Conseil mondial pour la nature (WCFN) de sortir d’un silence qui deviendrait vite « coupable » s’il se prolongeait face à « l’extinction en France d’oiseaux protégés », extinction devant laquelle la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) fermerait plus ou moins les yeux … par « conflits d’intérêt » !
Jamais accusation aussi grave n’avait encore été portée contre l’une des principales associations militantes de la mouvance anti-chasse française.
Qu’elle le soit au niveau mondial par des écologistes reconnus, fortement engagés dans la protection des oiseaux (l’association Save The Eagles International est cosignataire de la lettre ouverte adressée à la LPO par le WCFN), est un sacré pavé dans la mare du vert gourou français !
Le Président du Conseil mondial pour la nature, Mark Duchamp en personne, n’apprécie pas, c’est le moins qu’on puisse dire, que notre donneur de leçons national, d’ordinaire si prompt à monter au créneau pour défendre les gentils oiseaux tués par de vilains chasseurs, reste étonnamment silencieux face aux « millions d’oiseaux et chauves-souris » s’échouant chaque année au pied des éoliennes.
On pourrait ajouter : tout aussi silencieux qu’il l’est et tout aussi étonnamment face aux 500 000 spécimens de la faune sauvage européenne (oies et canards) ignoblement gazés aux Pays-Bas dans l’indifférence générale de nos écologistes bien-pensants.
En cause ? L’étonnante passivité de la LPO sur la question des dégâts occasionnés aux oiseaux par les éoliennes. Le réquisitoire du WCFN contre la LPO est des plus cinglants :
Premier point : pour obtenir les autorisations d’implantation des lucratives éoliennes, les promoteurs doivent convaincre élus et Préfets. Ils mettent en avant que les oiseaux classés espèces « protégées » ou « en danger d’extinction » ne risquent pas grand-chose. En cela, « ils sont aidés dans leur triste besogne, ne craint pas d’affirmer le Conseil mondial pour la nature, par une faible opposition de la part de la LPO ».
Deuxième point : selon le WCFN, la protection offerte par les études d’impact, obligatoires en cas d’implantation d’éoliennes, serait « nulle ». Or, on sait que ces études ont été réalisées – de façon très lucrative, elles aussi – par certaines associations de protection de la nature, très actives dans la région Rhône-Alpes.
Troisième point : la Société Espagnole d’Ornithologie (SEO) qui dénonce un « carnage » (« de 6 à 18 millions d’oiseaux et chauve-souris tués par les éoliennes chaque année en Espagne ») est affiliée à Birdlife International … Comme la LPO. D’où cette constatation qui vaut suspicion : « Le carnage révélé par la SEO est bizarrement passé sous silence par votre ONG (organisation non gouvernementale) qui, pourtant, fait partie de Birdlife International ».
Quatrième point : le soupçon de complaisance à l’égard du lobby éolien, sous-jacent dans la démonstration du Conseil mondial pour la nature, est le coup de massue final.
Si la LPO (mais aussi, d’après le WCFN, « d’autres organisations analogues » et même certains ornithologues) agissent ainsi, c’est parce qu’ils seraient « aveuglés par des conflits d’intérêt ».
« Conflits d’intérêt » ! La formule est juridiquement lourde. On imagine pourtant mal le Conseil mondial pour la nature prendre le risque de l’utiliser sans avoir en réserve de sérieux arguments à faire valoir pour le cas où …
Nos impayables (si l’on peut dire !) protecteurs d’oiseaux étaient déjà connus pour être de redoutables chasseurs de primes dans la course folle aux subventions d’Etat et autres subventions de collectivités locales. Voilà maintenant que le Président du WCFN suggère fortement que de drôles d’oiseaux seraient prêts en France à beaucoup plus pour satisfaire leur légendaire goinfrerie !
C’est l’histoire de l’arroseur arrosé. Et là, il prend une sacrée douche, M. Bougrain-Dubourg, car c’est de lui dont il s’agit.
Voilà notre chevalier blanc de l’ornithologie médiatique, grand protecteur autoproclamé des oiseaux, adversaire public N°1 des chasseurs, sommé par le Conseil mondial pour la nature (WCFN) de sortir d’un silence qui deviendrait vite « coupable » s’il se prolongeait face à « l’extinction en France d’oiseaux protégés », extinction devant laquelle la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) fermerait plus ou moins les yeux … par « conflits d’intérêt » !
Jamais accusation aussi grave n’avait encore été portée contre l’une des principales associations militantes de la mouvance anti-chasse française.
Qu’elle le soit au niveau mondial par des écologistes reconnus, fortement engagés dans la protection des oiseaux (l’association Save The Eagles International est cosignataire de la lettre ouverte adressée à la LPO par le WCFN), est un sacré pavé dans la mare du vert gourou français !
Le Président du Conseil mondial pour la nature, Mark Duchamp en personne, n’apprécie pas, c’est le moins qu’on puisse dire, que notre donneur de leçons national, d’ordinaire si prompt à monter au créneau pour défendre les gentils oiseaux tués par de vilains chasseurs, reste étonnamment silencieux face aux « millions d’oiseaux et chauves-souris » s’échouant chaque année au pied des éoliennes.
On pourrait ajouter : tout aussi silencieux qu’il l’est et tout aussi étonnamment face aux 500 000 spécimens de la faune sauvage européenne (oies et canards) ignoblement gazés aux Pays-Bas dans l’indifférence générale de nos écologistes bien-pensants.
En cause ? L’étonnante passivité de la LPO sur la question des dégâts occasionnés aux oiseaux par les éoliennes. Le réquisitoire du WCFN contre la LPO est des plus cinglants :
Premier point : pour obtenir les autorisations d’implantation des lucratives éoliennes, les promoteurs doivent convaincre élus et Préfets. Ils mettent en avant que les oiseaux classés espèces « protégées » ou « en danger d’extinction » ne risquent pas grand-chose. En cela, « ils sont aidés dans leur triste besogne, ne craint pas d’affirmer le Conseil mondial pour la nature, par une faible opposition de la part de la LPO ».
Deuxième point : selon le WCFN, la protection offerte par les études d’impact, obligatoires en cas d’implantation d’éoliennes, serait « nulle ». Or, on sait que ces études ont été réalisées – de façon très lucrative, elles aussi – par certaines associations de protection de la nature, très actives dans la région Rhône-Alpes.
Troisième point : la Société Espagnole d’Ornithologie (SEO) qui dénonce un « carnage » (« de 6 à 18 millions d’oiseaux et chauve-souris tués par les éoliennes chaque année en Espagne ») est affiliée à Birdlife International … Comme la LPO. D’où cette constatation qui vaut suspicion : « Le carnage révélé par la SEO est bizarrement passé sous silence par votre ONG (organisation non gouvernementale) qui, pourtant, fait partie de Birdlife International ».
Quatrième point : le soupçon de complaisance à l’égard du lobby éolien, sous-jacent dans la démonstration du Conseil mondial pour la nature, est le coup de massue final.
Si la LPO (mais aussi, d’après le WCFN, « d’autres organisations analogues » et même certains ornithologues) agissent ainsi, c’est parce qu’ils seraient « aveuglés par des conflits d’intérêt ».
« Conflits d’intérêt » ! La formule est juridiquement lourde. On imagine pourtant mal le Conseil mondial pour la nature prendre le risque de l’utiliser sans avoir en réserve de sérieux arguments à faire valoir pour le cas où …
Nos impayables (si l’on peut dire !) protecteurs d’oiseaux étaient déjà connus pour être de redoutables chasseurs de primes dans la course folle aux subventions d’Etat et autres subventions de collectivités locales. Voilà maintenant que le Président du WCFN suggère fortement que de drôles d’oiseaux seraient prêts en France à beaucoup plus pour satisfaire leur légendaire goinfrerie !