doudou
01/04/2005, 18h45
Bon ben donc pour Florent je retente le coup, mais pas con, ce coup la, comme promis, je passe par Word. Et je met l’histoire de ma vie la ou elle doit être pour rester totalement immortelle .Ici. Dans petites histoires entre amis.
J’ai tout de suite compris que je serais un grand tireur le jour ou j’ai tué ma première(et ma seule) hirondelle à l’élingue. Je n’étais alors âgé que d’une dizaine d’année à peine. L ‘oiseau qui était l’objet de mes pensées était encore intouchable car il ne se laissait pas enfermer bêtement dans les granges. J’en suis désolé aujourd’hui, mais il fallait que je sache. J’étais encore ignorant des choses de la vie.
Aucune personnes dans ma famille n’ayant d’affinité pour le trucidage d’hirondelles ou de quelquonques autres volatile que ce soit, il me fut assez compliqué d’acquérir une arme un peu plus perfectionnée. mais après moult caca nerveux j’obtint enfin le jour de mes 12 ans la carabine à plomb de mes rêves.
Mes parents qui comme je l’ai dit ne chassai pas et ne pouvant s’imaginer ce que j’allai devenir m’offrirent également des petites cibles rouges et blanches pour que je m’amuse joyeusement comme un petit enfant « normal » de mon age. Mais voilà. Je ne suis pas normal.
Le petit Edouard , 12 ans, lui avait un esprit sportif. Ben oui. C’est plus marrant quand ça bouge(personne n’aurait idée de tirer sur un truc qui bouge pas et qui plus est rouge…). Le petit Edouard , 12 ans, lui était avide de sang .Il aimait cette relation de cause à effet qui lui paraissait bien plus logique : Ca bouge. Tu tires. Ça devient rouge et ça bouge plus. Le contraire étant bien trop monotone.
Le petit Edouard, 12 ans, était en plus gâté par la nature. Il savait par exemple reconnaître le gibier noble. Le gibier auquel on peut vouer tout une vie de traque, de désillusions, de joies, de déceptions sans même s’en lasser. Ce que le petit Edouard, 12ans, ne savait pas c’est que le gibier qu’il avait dans le collimateur était LE gibier noble par excellence .Le fin du fin. Le must…
Depuis ça plus tendre enfance, il l’avait repéré lors des ballades dominicales à bord de sa poussette, et il avait apprit son cri, qu’il s’amusait souvent à imiter, bien avant même qu’il ne sache dire maman.
Alors même que tous les enfants normaux de son age profitaient du seul effort sportifs hebdomadaire de leurs mères pour se reposer au rythme des klaxon et des piétons (pour les défavorisés) ou des chemins terreux et des vaches pour les autres, le petit Edouard lui, toujours aux aguets mettait se temps à profit pour se familiariser avec ce gibier mythique qui était l’objet de ses rêves les plus fou. Au cours de ses longues ballades, outre le piaillement de l’animal, il étudiait avec intérêt ses habitudes alimentaires, situait comme il le pouvait les endroits propice à son observation, et restai immanquablement sidéré(et sur le cul, même si il n’en avait pas le choix dans sa poussette) à chaque fois qu’il lui était donné d’observer des nuées de ces volatiles en quête de nourriture ou d’un endroit digne de les accueillir pour la nuit.
Ces ballades, outre le fait qu’elles aient permit à sa mère de garder des cuisses fines et élancées, ont eu le mérite d’avoir fourni au petit Edouard , 12 ans, une connaissance quasiment sans failles sur le bel animal. Au cours de toutes ces années il avait acquit des tonnes de renseignements le concernant. Il avait mit un point d’honneur à savoir tout ce qui lui incombait. Il avait donc, des qu’il fut à même de lire, recherché les nom que l’on donnait à ce fier animal à la robe noire tachetée de points de diverse couleur et répartis de façon inégale sur son plumage luisant, lui donnant un air encore plus mystérieux. Il trouva ce qu’il cherchait dans une encyclopédie à coté d’une photo le représentant : étourneau sansonnet. Appelé aussi macbouze, razorback ou macbrun. « Macbrun ». Ce nom résonnait dans sa tête comme le glas de son innocence passée…
Ce jour d’octobre, le 22 exactement, le petit Edouard, 12 ans tout juste, s’en souviendra toute sa vie. Il reçut de la part de ses parents cette carabine à plomb Diana qu’il espérait tant. Ce fut le jours ou il mit le plus d’ardeur à souffler sur les petits objets incandescents se trouvant sur le gâteau, gâteau qui d’habitude l’intéressait grandement mais qui en cette occasion le désintéressait totalement. Il trouva dans le carton, après avoir fébrilement enlevé le papier cadeau, l’engin qui allait s’avérer être l’objet de son attention la plus complète durant plusieurs années ainsi qu’une boite de 200 plombs et des petits bouts de carton rouge rayés de blanc avec des numéros inscrits dessus(les seuls objets à priori totalement inutiles dans le lot).
Quand il sortit de sa maison après avoir enfilé ses bottes, et la carabine chargée à la main, le petit Edouard, 12 ans, savait exactement ou aller pour trouver un macbrun. Il savait que mis à part les excréments de vaches dont le macbrun était friand (le petit Edouard avait même été jusqu'à goûter une de ces bouses pour mieux situer les attentes de la bête), il se nourrissait aussi du mais fraîchement ensilé par son papa .Il se dirigea donc d’un pas assuré vers le silos. Il ne fut donc pas surpris de pouvoir admirer, posé majestueusement sur l’un des peupliers astucieusement placé par un agriculteur sans doute ami de l’animal, un macbrun isolé(le petit Edouard, 12 ans, de par ses connaissances savait que s’était sans doutes l’éclaireur du groupe) qui vraisemblablement avait remarqué l’intrus mais qui ne semblait pas vouloir bouger pour autant de son perchoir qui s’avérait être un lieu remarquable tant au niveau stratégique qu’au niveau sécurité. Du haut de son peuplier, perché à une hauteur de 35 mètres, le macbrun eu donc tout le loisir d’observer le jeune Edouard, 12 ans, le viser de son plein gré et appuyer sur la détente. On peut difficilement imaginer quelle fut la surprise du macbrun (contrastant avec la joie du jeune Edouard)lorsqu’un projectile vint le heurter à un endroit mal déterminé lui faisant perdre son équilibre (ainsi que sa grâce naturelle) et provoquant sa chute du perchoir qui il y a quelques instants encore lui procurait un sentiment de sécurité absolue. Le jeune Edouard quand à lui exultait. Il se voyait déjà ramassant le bel animal au plumage luisant, qui lui inspirait tant de rêves depuis déjà longtemps. S’était sans compter sur la résistance physique et le degré de fourberie du macbrun.
En effet, le macbrun, étant d’une intelligence remarquable, se rendit vite compte qu’il n’avait pas été touché à un organe vital, et après avoir heurter quelques branches(chose assez déplaisante pour lui inspirer quelques petits piaillements de douleurs) il se ressaisit, et dans un élan de courage, alors qu’il arrivait à quelques mètres du sol, il déploya ses ailes et fit route vers l’ouest, laissant le petit Edouard, 12 ans, muet de stupeur.
Le petit Edouard ne se remit jamais réellement de cette épisode terrible de sa vie. Se grand bouleversement changea à tout jamais l’idée qu’il se faisait de cet oiseau. Alors qu’il l’admirait et le respectait plus que tout autre être vivant, ce 22 octobre fut la date qui changea à tout jamais sa vision des choses.
Ce jour la, une haine incommensurable naquit dans l’esprit du petit Edouard.
Ce jour la, à l’instar du macbrun qui avait chuté du peuplier, l’ensemble des étourneaux sansonnets chutèrent du piédestal sur lequel ils étaient placé .Mais contrairement à leur infortuné collègue, eux n’eurent pas l’occasion de se reprendre pour faire route vers l’ouest. Ils tombèrent à n’en plus finir. Jusqu’ou il était possible de tomber.
Ce jour la, le petit Edouard, 12 ans, qui avait beaucoup mûrit, ce jura de ne plus jamais laissé en paix une seule de ces maudites bestioles et de tenter, si ce n’est de réussir, de les tuer ou de leur faire mener la vie dure par tout les moyens qui lui serait donné.
Ce jour la, le petit Edouard, 12 ans et le cœur emplit de haine, devint le pire cauchemar des macbruns à plusieurs kilomètre à la ronde.
Ce jour la,( mais 3 ans plus tard) le petit Edouard, 15 ans, acquit une 12 mm et commença à s’attaquer aux macbruns volant à des distance relativement raisonnable
.
Ce jour la,(mais 3 ans encore plus tard), après avoir acquis un permis de tuer les macbruns de manière légale, et beaucoup travaillé, le jeune Edouard, 18 ans se paya un fusil 3 coups après avoir calculé astucieusement que plus on tire de cartouches dans une nuée moins il reste de témoins susceptibles de prévenir les amis, voire bien pire : se reproduire. Il allai de soit que des lors, il tirerai les macbruns, et même à des distance pas raisonnables du tout.
Ce jour la, le statut de l’étourneau sansonnet passa d’espèce protégée à espèce nuisible…
Il est écrit que ce jour la(mais encore beaucoup plus tard), l’étourneau sansonnet est définitivement rayé des livres et des mémoires , suite à une expédition punitive, menée par un certain Edouard, les traits marqués par la haine, visant à bouter l’espèce précitée hors des espaces colonisés par l’être humain. Cette expédition aurait eut lieu dans le dernier havre de paix du macbrun, un marais côtier de la baie de somme, le Hâble d’ault.
_ « Macbrun . Macbrun. Ce mot résonne dans ma tête comme le glas d’une haine passée… »
Edouard, dit Doudou.
ps:j'ai pas le temps de foutre des smileys.tant pis pour le contraste. :)) :))
J’ai tout de suite compris que je serais un grand tireur le jour ou j’ai tué ma première(et ma seule) hirondelle à l’élingue. Je n’étais alors âgé que d’une dizaine d’année à peine. L ‘oiseau qui était l’objet de mes pensées était encore intouchable car il ne se laissait pas enfermer bêtement dans les granges. J’en suis désolé aujourd’hui, mais il fallait que je sache. J’étais encore ignorant des choses de la vie.
Aucune personnes dans ma famille n’ayant d’affinité pour le trucidage d’hirondelles ou de quelquonques autres volatile que ce soit, il me fut assez compliqué d’acquérir une arme un peu plus perfectionnée. mais après moult caca nerveux j’obtint enfin le jour de mes 12 ans la carabine à plomb de mes rêves.
Mes parents qui comme je l’ai dit ne chassai pas et ne pouvant s’imaginer ce que j’allai devenir m’offrirent également des petites cibles rouges et blanches pour que je m’amuse joyeusement comme un petit enfant « normal » de mon age. Mais voilà. Je ne suis pas normal.
Le petit Edouard , 12 ans, lui avait un esprit sportif. Ben oui. C’est plus marrant quand ça bouge(personne n’aurait idée de tirer sur un truc qui bouge pas et qui plus est rouge…). Le petit Edouard , 12 ans, lui était avide de sang .Il aimait cette relation de cause à effet qui lui paraissait bien plus logique : Ca bouge. Tu tires. Ça devient rouge et ça bouge plus. Le contraire étant bien trop monotone.
Le petit Edouard, 12 ans, était en plus gâté par la nature. Il savait par exemple reconnaître le gibier noble. Le gibier auquel on peut vouer tout une vie de traque, de désillusions, de joies, de déceptions sans même s’en lasser. Ce que le petit Edouard, 12ans, ne savait pas c’est que le gibier qu’il avait dans le collimateur était LE gibier noble par excellence .Le fin du fin. Le must…
Depuis ça plus tendre enfance, il l’avait repéré lors des ballades dominicales à bord de sa poussette, et il avait apprit son cri, qu’il s’amusait souvent à imiter, bien avant même qu’il ne sache dire maman.
Alors même que tous les enfants normaux de son age profitaient du seul effort sportifs hebdomadaire de leurs mères pour se reposer au rythme des klaxon et des piétons (pour les défavorisés) ou des chemins terreux et des vaches pour les autres, le petit Edouard lui, toujours aux aguets mettait se temps à profit pour se familiariser avec ce gibier mythique qui était l’objet de ses rêves les plus fou. Au cours de ses longues ballades, outre le piaillement de l’animal, il étudiait avec intérêt ses habitudes alimentaires, situait comme il le pouvait les endroits propice à son observation, et restai immanquablement sidéré(et sur le cul, même si il n’en avait pas le choix dans sa poussette) à chaque fois qu’il lui était donné d’observer des nuées de ces volatiles en quête de nourriture ou d’un endroit digne de les accueillir pour la nuit.
Ces ballades, outre le fait qu’elles aient permit à sa mère de garder des cuisses fines et élancées, ont eu le mérite d’avoir fourni au petit Edouard , 12 ans, une connaissance quasiment sans failles sur le bel animal. Au cours de toutes ces années il avait acquit des tonnes de renseignements le concernant. Il avait mit un point d’honneur à savoir tout ce qui lui incombait. Il avait donc, des qu’il fut à même de lire, recherché les nom que l’on donnait à ce fier animal à la robe noire tachetée de points de diverse couleur et répartis de façon inégale sur son plumage luisant, lui donnant un air encore plus mystérieux. Il trouva ce qu’il cherchait dans une encyclopédie à coté d’une photo le représentant : étourneau sansonnet. Appelé aussi macbouze, razorback ou macbrun. « Macbrun ». Ce nom résonnait dans sa tête comme le glas de son innocence passée…
Ce jour d’octobre, le 22 exactement, le petit Edouard, 12 ans tout juste, s’en souviendra toute sa vie. Il reçut de la part de ses parents cette carabine à plomb Diana qu’il espérait tant. Ce fut le jours ou il mit le plus d’ardeur à souffler sur les petits objets incandescents se trouvant sur le gâteau, gâteau qui d’habitude l’intéressait grandement mais qui en cette occasion le désintéressait totalement. Il trouva dans le carton, après avoir fébrilement enlevé le papier cadeau, l’engin qui allait s’avérer être l’objet de son attention la plus complète durant plusieurs années ainsi qu’une boite de 200 plombs et des petits bouts de carton rouge rayés de blanc avec des numéros inscrits dessus(les seuls objets à priori totalement inutiles dans le lot).
Quand il sortit de sa maison après avoir enfilé ses bottes, et la carabine chargée à la main, le petit Edouard, 12 ans, savait exactement ou aller pour trouver un macbrun. Il savait que mis à part les excréments de vaches dont le macbrun était friand (le petit Edouard avait même été jusqu'à goûter une de ces bouses pour mieux situer les attentes de la bête), il se nourrissait aussi du mais fraîchement ensilé par son papa .Il se dirigea donc d’un pas assuré vers le silos. Il ne fut donc pas surpris de pouvoir admirer, posé majestueusement sur l’un des peupliers astucieusement placé par un agriculteur sans doute ami de l’animal, un macbrun isolé(le petit Edouard, 12 ans, de par ses connaissances savait que s’était sans doutes l’éclaireur du groupe) qui vraisemblablement avait remarqué l’intrus mais qui ne semblait pas vouloir bouger pour autant de son perchoir qui s’avérait être un lieu remarquable tant au niveau stratégique qu’au niveau sécurité. Du haut de son peuplier, perché à une hauteur de 35 mètres, le macbrun eu donc tout le loisir d’observer le jeune Edouard, 12 ans, le viser de son plein gré et appuyer sur la détente. On peut difficilement imaginer quelle fut la surprise du macbrun (contrastant avec la joie du jeune Edouard)lorsqu’un projectile vint le heurter à un endroit mal déterminé lui faisant perdre son équilibre (ainsi que sa grâce naturelle) et provoquant sa chute du perchoir qui il y a quelques instants encore lui procurait un sentiment de sécurité absolue. Le jeune Edouard quand à lui exultait. Il se voyait déjà ramassant le bel animal au plumage luisant, qui lui inspirait tant de rêves depuis déjà longtemps. S’était sans compter sur la résistance physique et le degré de fourberie du macbrun.
En effet, le macbrun, étant d’une intelligence remarquable, se rendit vite compte qu’il n’avait pas été touché à un organe vital, et après avoir heurter quelques branches(chose assez déplaisante pour lui inspirer quelques petits piaillements de douleurs) il se ressaisit, et dans un élan de courage, alors qu’il arrivait à quelques mètres du sol, il déploya ses ailes et fit route vers l’ouest, laissant le petit Edouard, 12 ans, muet de stupeur.
Le petit Edouard ne se remit jamais réellement de cette épisode terrible de sa vie. Se grand bouleversement changea à tout jamais l’idée qu’il se faisait de cet oiseau. Alors qu’il l’admirait et le respectait plus que tout autre être vivant, ce 22 octobre fut la date qui changea à tout jamais sa vision des choses.
Ce jour la, une haine incommensurable naquit dans l’esprit du petit Edouard.
Ce jour la, à l’instar du macbrun qui avait chuté du peuplier, l’ensemble des étourneaux sansonnets chutèrent du piédestal sur lequel ils étaient placé .Mais contrairement à leur infortuné collègue, eux n’eurent pas l’occasion de se reprendre pour faire route vers l’ouest. Ils tombèrent à n’en plus finir. Jusqu’ou il était possible de tomber.
Ce jour la, le petit Edouard, 12 ans, qui avait beaucoup mûrit, ce jura de ne plus jamais laissé en paix une seule de ces maudites bestioles et de tenter, si ce n’est de réussir, de les tuer ou de leur faire mener la vie dure par tout les moyens qui lui serait donné.
Ce jour la, le petit Edouard, 12 ans et le cœur emplit de haine, devint le pire cauchemar des macbruns à plusieurs kilomètre à la ronde.
Ce jour la,( mais 3 ans plus tard) le petit Edouard, 15 ans, acquit une 12 mm et commença à s’attaquer aux macbruns volant à des distance relativement raisonnable
.
Ce jour la,(mais 3 ans encore plus tard), après avoir acquis un permis de tuer les macbruns de manière légale, et beaucoup travaillé, le jeune Edouard, 18 ans se paya un fusil 3 coups après avoir calculé astucieusement que plus on tire de cartouches dans une nuée moins il reste de témoins susceptibles de prévenir les amis, voire bien pire : se reproduire. Il allai de soit que des lors, il tirerai les macbruns, et même à des distance pas raisonnables du tout.
Ce jour la, le statut de l’étourneau sansonnet passa d’espèce protégée à espèce nuisible…
Il est écrit que ce jour la(mais encore beaucoup plus tard), l’étourneau sansonnet est définitivement rayé des livres et des mémoires , suite à une expédition punitive, menée par un certain Edouard, les traits marqués par la haine, visant à bouter l’espèce précitée hors des espaces colonisés par l’être humain. Cette expédition aurait eut lieu dans le dernier havre de paix du macbrun, un marais côtier de la baie de somme, le Hâble d’ault.
_ « Macbrun . Macbrun. Ce mot résonne dans ma tête comme le glas d’une haine passée… »
Edouard, dit Doudou.
ps:j'ai pas le temps de foutre des smileys.tant pis pour le contraste. :)) :))