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Ils ont fait du bon boulot à l'ISNEA en publiant ce communiqué à quelques semaines de l'émergence de 2 virus HP en France.
Je cite :
"[I]En revanche, d’après les données issues de nos 4 siffleurs, équipés eux aussi de balises GPS au printemps dernier dans le Nord de la France, 2 d’entre eux ont rejoint des sites de nidification appartenant aux voies de migrations « Mer noire/Méditerranée » et « Afrique de l’Est/Ouest asiatique ». C’est par exemple dans cette dernière zone que des foyers infectieux de H5N1 avaient été notés en août 2005 après que des origines épidémiques avaient été déclarées en janvier 2005 en Asie du Sud-Est. Il se pourrait donc que la voie de migration Afrique de l’Est/Ouest Asiatique soit une zone de rencontre privilégiée entre des canards qui peuvent se déplacer jusqu’en France, en Afrique ou en Asie de l’Est, suggérant ainsi également des échanges transversaux importants..."
[/I]
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Grippe aviaire : trois nouveaux foyers en Dordogne et dans les Landes
Après la Dordogne, deux élevages des Landes sont touchés pour la première fois. Des mesures de protection ont été prises immédiatement.
Trois nouveaux foyers de grippe aviaire ont été détectés dans le Sud-Ouest, dont un en Dordogne, où un premier foyer avait été découvert fin novembre, et deux dans les Landes, épargnées jusqu'ici, annonce le ministère de l'Agriculture ce lundi 7 décembre, confirmant une information de Sud-Ouest.
[B]"Trois nouveaux foyers d'influenza aviaire hautement pathogène pour les volailles ont été confirmés, deux dans les Landes (pintades et canards) et un en Dordogne (canards)", [/B]précise le ministère dans un communiqué. Le gouvernement a "décidé immédiatement du déploiement des mesures de protection destinées à prévenir le risque de propagation de la maladie dans les nouveaux foyers et dans les nouveaux départements touchés". Ces mesures comprennent la mise en place de "zones de protection et de surveillance, mesures de biosécurité, abattage des animaux des foyers".
"L'influenza aviaire n'est pas transmissible à l'homme par la consommation de viande, oeufs, foie gras et plus généralement de tout produit alimentaire", rappelle le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll.
Fin novembre, un cas de grippe aviaire H5N1, le premier depuis 2007, a été repéré sur des poules élevées chez des particuliers en Dordogne. Dans la foulée, le gouvernement a interdit l'exportation d'oiseaux vivants et d'oeufs à couver depuis la Dordogne. Il a ausis mis en place des restrictions de transports dans l'Hexagone des volailles, poussins et oeufs à couver, mais aussi de viandes de gibier à plumes provenant de 87 communes de Dordogne et de Haute-Vienne.
Depuis, huit pays d'Asie et d'Afrique du Nord ont fermé leurs frontières aux volailles et autres produits avicoles français, dont le foie gras. Parmi eux figure le Japon, premier importateur mondial de foie gras français. Mais Tokyo a accepté d'importer les produits fabriqués avant le 23 octobre (dont le foie gras congelé), une date choisie en prenant en considération la période de 21 jours d'incubation de la maladie
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[QUOTE=coinc59;1710889]Grippe aviaire : trois nouveaux foyers en Dordogne et dans les Landes
Après la Dordogne, deux élevages des Landes sont touchés pour la première fois. Des mesures de protection ont été prises immédiatement.
Trois nouveaux foyers de grippe aviaire ont été détectés dans le Sud-Ouest, dont un en Dordogne, où un premier foyer avait été découvert fin novembre, et deux dans les Landes, épargnées jusqu'ici, annonce le ministère de l'Agriculture ce lundi 7 décembre, confirmant une information de Sud-Ouest.
[B]"Trois nouveaux foyers d'influenza aviaire hautement pathogène pour les volailles ont été confirmés, deux dans les Landes (pintades et canards) et un en Dordogne (canards)", [/B]précise le ministère dans un communiqué. Le gouvernement a "décidé immédiatement du déploiement des mesures de protection destinées à prévenir le risque de propagation de la maladie dans les nouveaux foyers et dans les nouveaux départements touchés". Ces mesures comprennent la mise en place de "zones de protection et de surveillance, mesures de biosécurité, abattage des animaux des foyers".
"L'influenza aviaire n'est pas transmissible à l'homme par la consommation de viande, oeufs, foie gras et plus généralement de tout produit alimentaire", rappelle le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll.
Fin novembre, un cas de grippe aviaire H5N1, le premier depuis 2007, a été repéré sur des poules élevées chez des particuliers en Dordogne. Dans la foulée, le gouvernement a interdit l'exportation d'oiseaux vivants et d'oeufs à couver depuis la Dordogne. Il a ausis mis en place des restrictions de transports dans l'Hexagone des volailles, poussins et oeufs à couver, mais aussi de viandes de gibier à plumes provenant de 87 communes de Dordogne et de Haute-Vienne.
Depuis, huit pays d'Asie et d'Afrique du Nord ont fermé leurs frontières aux volailles et autres produits avicoles français, dont le foie gras. Parmi eux figure le Japon, premier importateur mondial de foie gras français. Mais Tokyo a accepté d'importer les produits fabriqués avant le 23 octobre (dont le foie gras congelé), une date choisie en prenant en considération la période de 21 jours d'incubation de la maladie[/QUOTE]
Le pire n'est jamais sûr, dit-on...
Mais cette fois, c'est bien mal parti.
Alors on a 2 solutions ici,
- soit on continue d'échanger sur le sujet et de suivre l'actualité dans l'intérêt de tous : en essayant de bien comprendre la situation et son évolution et en tentant d'anticiper les mesures à venir;
- soit on se voile la face et on continue de lire les message à la con de gens qui n'ont rien compris au film et qui négligent les très hauts risques de crise majeure auquel les chasseurs sont désormais confrontés.
Je n'ai pas encore eu le temps de chercher des infos sur ces foyers mais je peux anticiper en vous avertissant :
- si c'est le H5N1 qui est en cause, c'est très grave mais pas dramatique;
- si c'est le H5N2, c'est catastrophique.
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Aucune publication sur la souche du virus en cause dans les Landes pour le moment.
Ce qui est inquiétant, malgré le communiqué rassurant du ministère, c'est la distance qui sépare les foyers.
Compte tenu de l'aptitude de ces virus à contaminer de nouveaux foyers (le H5N2 en a fait une éclatante démonstration aux USA et en Asie), la distance qui sépare les foyers repéré porte à penser que le virus a déjà largement circulé dans la région.
Dans ces conditions, je vois mal comment on va pouvoir l'éradiquer maintenant sans passer par une épizootie d'ampleur d'autant plus difficile à imaginer que le modèle d'élevage de cette région est assez particulier : beaucoup d'élevages en plein air disséminés dans tout le sud-ouest...
La situation est donc explosive...
[URL]http://agriculture.gouv.fr/influenza-aviaire-la-france-confirme-la-securite-sanitaire-des-exportations-de-la-filiere-volailles[/URL]
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embargo japonais sur le foie gras!!! si ca continue ca va faire tres mal....
on riz jaune chez les eleveurs:/:
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Quand la vérité éclatera vous serez surpris car pour moi c est des attentats sur les élevages français cela est impossible car il n y aurait pas que le sud ouest de toucher c est une énorme mascarade economique
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[B]Qu’est-ce que l’Influenza aviaire?[/B]
L’influenza aviaire est une maladie animale infectieuse, virale, très contagieuse. Elle affecte les oiseaux chez lesquels elle peut provoquer, dans sa forme hautement pathogène, des atteintes importantes pouvant aboutir rapidement à la mort. L’influenza aviaire fait partie des dangers sanitaires de première catégorie , sa déclaration est donc obligatoire.
[LIST][*][B]Quelles sont les espèces concernées?[/B][/LIST]
Toutes les espèces d’oiseaux, domestiques ou sauvages sont sensibles à cette maladie. Les oiseaux migrateurs constituent un vecteur de diffusion des virus qui peuvent atteindre les élevages de volaille. Dans certaines circonstances, les virus peuvent être transmis à d’autres espèces animales (notamment le porc) et dans certains cas à l’homme. Cependant la transmission à l’homme est extrêmement rare, elle nécessite un contexte épidémiologique exceptionnel (transmission par voie respiratoire, en atmosphère confinée avec les oiseaux infectés, caractères particuliers de virulence du virus).
Dans le cas présent, une saisine de l’Anses va être effectuée pour évaluer le pouvoir pathogène de cette souche.
Le caractère hautement pathogène d’une souche pour les volailles n’implique pas nécessairement son caractère pathogène pour les humains. D’ailleurs, fin 2014/début 2015 une souche européenne hautement pathogène pour les volailles avait été détectée dans plusieurs Etats membres de l’Union européenne et il avait été établi son absence de dangerosité pour l’homme.
[LIST][*][B]Comment circule le virus?[/B][/LIST]
La maladie peut être introduite dans un élevage par l’intermédiaire des véhicules, du matériel, des personnes, des fientes, des résidus d’élevage et d’oiseaux malades sauvages ou domestiques.
[LIST][*][B]La consommation des produits de la volaille présentent-elle un risque?[/B][/LIST]
Non. La viande, le foie gras, les œufs ne présentent aucun risque pour la consommation au regard de cette maladie.
[LIST][*][B]Comment protéger son élevage?[/B][/LIST]
Pour protéger votre exploitation, vous ne devez y laisser entrer que des camions et du matériel nettoyés et désinfectés. Le transporteur doit vous présenter une attestation de nettoyage et désinfection. Évitez de faire entrer des personnes extérieures dans vos bâtiments d’élevage. En fonction du niveau de risque de la zone dans laquelle votre exploitation se situe, il peut être nécessaire de maintenir les oiseaux enfermés ou de protéger les parcours par des filets protecteurs vis à vis de la faune sauvage.
Pour connaître le niveau de risque de votre zone, contactez votre direction départementale chargée de la protection des populations.
[LIST][*][B]Quels sont les signes cliniques?[/B][/LIST]
Les formes graves se traduisent par une atteinte importante de l’état général des oiseaux, surtout chez les poules et les dindes, les canards et les oies expriment peu de symptômes. Des symptômes respiratoires, digestifs ou nerveux, peuvent y être associés. En cas de baisse de productivité ou de mortalité anormale, même faible, les éleveurs doivent contacter leur vétérinaire.
[LIST][*][B]Quelles sont les mesures de lutte?[/B][/LIST]
Les mesures de lutte sont définies au niveau européen. Elles prévoient :
En cas de suspicion, la mise sous surveillance de l’exploitation, la réalisation de prélèvements pour analyse, la réalisation d’une enquête épidémiologique.
En cas de confirmation, l’abattage et la destruction sur place de toutes les volailles et des œufs de l’exploitation, le nettoyage et la désinfection de l’exploitation suivis d’un vide sanitaire de 21 jours, la mise en place de zones de protection (rayon de 3 km) et de surveillance (rayon de 10 km) autour de l’exploitation, la mise en œuvre de ces mesures dans les exploitations suspectes identifiées lors de l’enquête épidémiologique.
[LIST][*][B]La vaccination est-elle possible?[/B][/LIST]
[B]La grande diversité des virus influenza [/B]limite la portée d’une vaccination préventive. En France, la vaccination influenza aviaire est actuellement interdite. Elle ne peut être autorisée que dans des cas exceptionnels et pour des programmes de vaccination ponctuels, comme les parcs zoologiques, et après information de la Commission. Il est cependant possible, en cas de foyers particulièrement importants, de fabriquer en urgence un [B]vaccin à partir de la souche en cause dans un délai de quelques mois.[/B]
[LIST][*][B]Les professionnels du secteur avicole bénéficieront-ils d’une aide financière, si des millions de volailles devaient être abattus ou confinés?[/B][/LIST]
La confirmation de la maladie entraîne des mesures de police sanitaire, dont l’abattage. Dans ce cas, une indemnisation des éleveurs est prévue par arrêté ministériel. L’Etat prend également en charge le financement des mesures de surveillance et de nettoyage et désinfection.
Conséquences sur les échanges
Des conséquences sur l’exportation vers les pays tiers sont à prévoir, et notamment dans le domaine de l’exportation de génétique aviaire (principaux pays concernés : Algérie, Egypte, Maroc, Tunisie) et potentiellement de viande de volaille.
[LIST][*][B]Quelles est la situation en France ?[/B][/LIST]
A ce stade, 3 foyers ont été détectés en Dordogne. L’Anses confirme la présence du virus influenza aviaire hautement pathogène pour les volailles.
Il s’agit d’une souche européenne qui a évolué par mutation de la forme faiblement pathogène à la forme hautement pathogène pour les volailles.
Ce n’est pas une souche asiatique, et ce n’est donc pas la souche asiatique détectée il y a quelques années.
Le 7 décembre 2015, à la suite de la détection de 3 foyers d’influenza aviaire dans le département de la Dordogne une surveillance renforcée a été mise en place sur l’ensemble du territoire national, avec notamment une surveillance active des signes cliniques évocateurs de l’influenza aviaire chez les espèces sensibles. Les mortalités anormales détectées par les éleveurs ont elles aussi conduit à des prélèvements systématiques.
De nombreuses suspicions sont d’ores et déjà levées mais trois nouveaux foyers d’influenza aviaire hautement pathogène pour les volailles ont été confirmés, deux dans les Landes (pintades et canards) et un en Dordogne (canards).
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Pour en savoir plus sur les conséquences de l'évolution de la situation, reportez vous à ce documents et à ses annexes en bas de page dans "[I][B]Pour aller plus loin[/B][/I]"...
[URL]http://agriculture.gouv.fr/lutter-contre-la-grippe-aviaire-un-exercice-reussi-en-auvergne[/URL]
Sur le papier, les services étaient prêts, mais dans la pratique, le résultat n'est pas probant.
En effet, je ne comprends toujours pas comment il a été possible qu'une alerte lancée vers le 14/11, aboutissent à la déclaration de 3 foyers 15 jours plus tard mettant en évidence la présence dans le même secteur de 2 virus aviaire HP. C'est simplement inouï...
La suite était prévisible car comme le mettent en évidence les documents édités par les services compétents, la rapidité d'intervention est primordiale pour éviter une flambée épizootique.
Mais, bien en amont, la prévention est le meilleur rempart contre une infection silencieuse qui dégénère.
Je rappelle que les américains n'ont cessé d'alerter leurs homologues en communiquant en toute transparence et largement à propos de l'adaptation de leur politique sanitaire suite à l'épisode catastrophique qu'ils ont affronté au printemps dernier : leur industrie avicole ayant subi de très lourdes pertes au cours d'une épizootie de H5N2.
Leurs communications officielles étaient parfaitement claires : ils attendent le retour du H5N2 cet automne. Ils ne savent pas où ni quand, mais ils sont certain qu'il émergera sur un des principaux flyway des anatidés nord-américains.
Non seulement ils s'y sont préparés en investissant des sommes colossales (y compris en stocks de vaccins), mais ils ont mis en œuvre un véritable suivi de l'avifaune en se fondant notamment sur les chasseurs de gibier d'eau.
Qu'en a-t-il été en Europe ? Et en France ?
...
Quoi qu'il en soit, le mal est fait et nous sommes visiblement pris au dépourvu et relativement démunis alors que le risque était connu, et considéré comme critique outre atlantique.
Si le H5N2 HP est d'ores et déjà répandu dans 2 départements, il est désormais improbable que l'on parvienne à enrayer l'épizootie. C'est certainement trop tard...
Par ailleurs, le type d'élevage pratiqué dans le sud-ouest rend illusoire la mise en œuvre des mesures qui permettent couramment de lutter contre le prolifération des foyers. En effet, c'est déjà très délicat quand il s'agit de traiter des élevages confinés, mais c'est impossible dans le cas d'élevages de plein-air.
Il est possible que l'épizootie ne flambe pas dans l'immédiat car les canards et les oies sont moins sensibles que les volailles aux virus de type H5 . Mais il ne faut pas s'en réjouir car cette résistance fait que les élevages et parcs de canards, quels qu'ils soient , sont au mieux de vrais bombes à retardement.
Au risque de paraître encore une fois alarmiste, l'implantation de virus tels que le H5N2 et le H5N1 dans le sud-ouest devrait aboutir à une situation au pire semblable à celle du Vietnam ou de la Chine, où ils sont endémiques et persistants, ou au mieux comme au Japon, en Corée, ou aux USA, où ils sont récurrents...
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Je ne c est pas par chez vous , mais nous en Normandie il y a des milliers d étourneau ,a ma connaissance,personne ou peut ne s en préoccupe.
N y aurait il pas plus de risque que c est oiseaux importe le virus que les canards.
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[QUOTE=mignonblanc;1710916]Je ne c est pas par chez vous , mais nous en Normandie il y a des milliers d étourneau ,a ma connaissance,personne ou peut ne s en préoccupe.
N y aurait il pas plus de risque que c est oiseaux importe le virus que les canards.[/QUOTE]
En fait, l'étourneau fait partie des espèces auxquels les scientifiques compétents s’intéressent, car on ignore le rôle qu'il joue en cas d'épizootie.
Mais c'est principalement au niveau des foyers que les étourneaux (et les moineaux, par exemple) peuvent jouer un rôle important.
S'agissant du transport des virus sur les longues distances, on sait avec certitude désormais que les canards jouent un rôle majeur.
Inutile de chercher des boucs émissaires chez des espèces que l'on classe arbitrairement comme nuisibles. C'est faire fausse route.
Ci-joint un document qui y revient, et qui fait de nouveau une démonstration éclatante du sérieux des américains, comparé à la France et à l'Europe : [URL]https://www.aphis.usda.gov/wps/portal/aphis/home/!ut/p/a1/04_Sj9CPykssy0xPLMnMz0vMAfGjzOK9_D2MDJ0MjDz9vT3NDDz9woIMnDxcDA2CjYEKIoEKDHAARwNC-sP1o8BKnN0dPUzMfYB6TCyMDDxdgPLmlr4GBp5mUAV4rCjIjTDIdFRUBADp5_lR/?1dmy&urile=wcm%3apath%3a%2Faphis_content_library%2Fsa_newsroom%2Fsa_stakeholder_announcements%2Fsa_by_date%2Fsa_2015%2Fsa_12%2Fct_hpai_preparedness[/URL]
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Outre le témoignage des recherches approfondie menée dans l'avifaune, cette phrase mérite l'attention :
[I]This recent finding of Eurasian H5 was in a wild, hunter-harvested mallard duck in Morrow County, Oregon in November. No HPAI has been identified in any commercial or backyard poultry since June 17, 2015.
[/I]Comme au Canada, les américains ont récemment trouver du H5N2 chez des canards sauvages (ici un colvert), alors que ce virus n'était plus signalé sur leur territoire depuis juin.
Au moins, eux, ils ne seront pas surpris par l'émergence d'un foyer[I].[/I] Et ils s'y sont parfaitement préparés.
Et pendant ce temps, les cigales chantaient...
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Pas besoin de grand discours. Pour en venir a se que tout le monde sais!!!! Bla bla bla bla bla bla .........! A les elevages intenssif pollue les especes sauvage. Rien a ajouter
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[QUOTE=Thesound;1710920]Outre le témoignage des recherches approfondie menée dans l'avifaune, cette phrase mérite l'attention :
[I]This recent finding of Eurasian H5 was in a wild, hunter-harvested mallard duck in Morrow County, Oregon in November. No HPAI has been identified in any commercial or backyard poultry since June 17, 2015.
[/I]Comme au Canada, les américains ont récemment trouver du H5N2 chez des canards sauvages (ici un colvert), alors que ce virus n'était plus signalé sur leur territoire depuis juin.
Au moins, eux, ils ne seront pas surpris par l'émergence d'un foyer[I].[/I] Et ils s'y sont parfaitement préparés.
Et pendant ce temps, les cigales chantaient...[/QUOTE]oui est les bee gees chanter c est ca!!!rien d alarment !!!! va voir dans ton assos de protection de l environnement si ils sont pas un poulet au h5 ![URL]http://baron-sur-odon.fr/associations/association-de-defense-de-lenvironnement-et-de-la-qualite-de-vie-des-baronnais/[/URL]
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[QUOTE=Beuze50;1710921]Pas besoin de grand discours. Pour en venir a se que tout le monde sais!!!! Bla bla bla bla bla bla .........! A les elevages intenssif pollue les especes sauvage. Rien a ajouter[/QUOTE]
oui beuze;) la c est clair est precis pas besoin de baratin!!!!
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Le SO, c'est plus fréquentable….LOL
Rien ne vaut le canard de cholon qui animait la vie des cantonnements de nos légionnaires du temps de l'Indo.