et le faucon pelerin vu dans la video de mickael 50
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et le faucon pelerin vu dans la video de mickael 50
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[COLOR=#000000][FONT=Verdana][h=1]Cérémonie de lancement du 1er guide sur les oiseaux aquatiques d'Afrique du Nord[/h][COLOR=#A66C08]Lancement du 1er guide d’identification des oiseaux d’eau migrateurs du Nord de l’Afrique en langue arabe.[/COLOR][COLOR=#5A5A5A][FONT=verdana][B]Tunis[/B][B]
Tunisie[/B][/FONT][/COLOR]
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[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B][IMG]http://www.ornithomedia.com/images_spaw/130322cdc0df42120045-guide-oiseaux-adn-200x1000.jpg[/IMG][COLOR=#A66C08]Lancement du 1er guide d’identification des oiseaux d’eau migrateurs du Nord de l’Afrique en langue arabe[/COLOR][/B][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]Lors d’un atelier organisé le samedi 2 mars 2013 à Tunis par l’Association "Les Amis des Oiseaux" (AAO) en présence de ses partenaires nationaux et internationaux, un nouveau guide d’identification des oiseaux d’eau en langue arabe a été présenté au public. La soixantaine de participants de l’événement, majoritairement des représentants d’institutions et d’organisations œuvrant pour la biodiversité et les milieux naturels, s’est accordée à constater que ce bel ouvrage va combler un besoin ressenti dans le domaine de la conservation des oiseaux d’eau et des zones humides au Nord de l’Afrique, celui de disposer d’outils de travail en langue arabe.
La publication de ce guide a été réalisée en partenariat entre l’AAO et l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage français (ONCFS) avec le soutien financier du Ministère français de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie3 et de la fondation MAVA pour la Nature.
Au cours des allocutions les représentants du Ministère tunisien de l’Environnement, M. Boubaker Houman, et du Ministère de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie, Mme Marianne Courouble, ont souligné l’importance de cet ouvrage notamment dans le cadre de la mise en œuvre de l’Accord pour la Conservation des Oiseaux d’eau migrateurs en Afrique-Eurasie (AEWA), dont la Tunisie et la France sont signataires. A la même occasion le représentant de la Direction Générale des Forêts (DGF), M. Habib Abid, a rappelé que les oiseaux d’eau sont parmi les indicateurs et les bénéficiaires de la désignation de zones humides d’importance internationale sous la convention Ramsar et que la Tunisie compte désormais 40 sites reconnus par cette convention.
Richement illustré, le petit guide de poche permet l’identification de 200 espèces d’oiseaux d’eau présentes du nord du Soudan jusqu’à la Mauritanie, en passant par l’Egypte, la Libye, la Tunisie, l’Algérie et le Maroc. Chaque espèce est présentée avec ses noms arabes vernaculaires utilisés dans les 7 pays, des dessins et des textes d’identification, une carte de répartition ainsi que des informations sur son statut dans la région. Entre auteurs, dessinateurs, traducteurs, experts nationaux, experte SIG et infographistes, plus que 20 personnes ont contribué à la réalisation de cet ouvrage.
Ce guide a notamment vocation à stimuler le recensement international des oiseaux d’eau dans la région et constitue, à ce titre, une contribution à la mise en œuvre de l’AEWA et en particulier à l’initiative africaine visant à promouvoir cet accord sur le continent africain.
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[COLOR=#000000][FONT=Verdana][h=1]Journée mondiale des oiseaux migrateurs 2013 à Oulan-Bator (Mongolie)[/h][COLOR=#A66C08]La Mongolian Ornithological Society et ses partenaires organisent la journée mondiale des oiseaux migrateurs à Oulan-Bator.[/COLOR][COLOR=#5A5A5A][FONT=verdana][B]Oulan-Bator[/B][B]
Mongolie[/B][/FONT][/COLOR]
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[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B][IMG]http://www.ornithomedia.com/images_spaw/13031693989084090504-world-migratory-bird-day-20-200x1000.jpg[/IMG][COLOR=#A66C08]Journée mondiale des oiseaux migrateurs 2013 à Oulan-Bator (Mongolie)[/COLOR][/B][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]Sur les 476 espèces d'oiseaux recensées en Mongolie, 391 sont migratrices.
En collaboration avec le Ministère de la Nature, de l'Environnement et du Tourisme, du Muséum d'Histoire Naturelle de Mongolie, de l'East-Asian Australia-Asian Flyway Partnership, du Secrétariat de la Convention sur la conservation des espèces migratrices d'animaux sauvages et du laboratoire d'ornithologie de l'université de Mongolie, la Mongolian Ornithological Society organise les 11 et 12 mai 2013 la journée mondiale des oiseaux migrateurs.
Le thème de cette année est le travail en réseau pour les oiseaux migrateurs.
Le programe est varié : lectures et conférences présentées par des ornithologues mongols et internationaux, projections de films, sorties sur le terrain, expositions de photographes, activités pour le public.[/B][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B][IMG]http://www.ornithomedia.com/images/puce/separateur.gif[/IMG][/B][B][B]Renseignement(s) complémentaire(s)[/B][/B][B][B][B]Contact et informations[/B][/B][/B][B][B]Mongolian Ornithological Society - Ornithological Laboratory of the National University of Mongolia
P.O. Box 537, Ulaanbaatar 210646A
E-mail : [EMAIL="info@mos.mn"]info@mos.mn[/EMAIL]
Site web : [URL="http://www.mos.mn/"]http://www.mos.mn[/URL][/B][/B][/FONT][/COLOR]
des nouvelles de l’étranger ,comme notre gibier est migrateur.
état et tendances des populations d'oiseau en France
.[COLOR=#000000][FONT=Verdana]en partenariat avec le Muséum national d’histoire naturelle une analyse de l’état et de l’évolution des populations des oiseaux nicheurs de France métropolitaine.[/FONT][/COLOR][COLOR=#000000][FONT=Verdana]Sur 287 espèces nicheuses régulières en France, 234 bénéficient de suivis permettant d’analyser les tendances de leurs effectifs au niveau national. D’une manière globale, après une baisse moyenne de 1989 à 2001, une amélioration s’est amorcée, principalement due à la progression des espèces protégées et l’arrivée de nouvelles espèces. Toutefois, la tendance finale reste cependant négative sur vingt ans, avec une chute de 12%.
Si la situation d’une majorité d’espèces nicheuses rares s’améliore, les pressions sur les écosystèmes en général restent importantes et particulièrement dans les milieux agricoles.
Les programmes de conservation ont été bénéfiques aux espèces rares et localisées. La Directive Oiseaux y a contribué, au même titre que la loi de protection de la nature de 1976, instaurant la protection des espèces et la création de sites protégés. L’essor des espèces rares et menacées reste cependant plus qualitatif que quantitatif, leurs effectifs demeurant faibles. Le déclin des oiseaux communs mis en évidence par les données du programme STOC correspond à la disparition d’un grand nombre d’individus. Les effectifs de ces oiseaux ont globalement diminué de 14% en 20 ans. Seules les espèces généralistes augmentent. Cela illustre un phénomène d’homogénéisation de la faune aviaire au profit des espèces les moins spécialisées.
Ces résultats reposent sur les données issues du travail de nombreux ornithologues professionnels ou bénévoles émanant des associations et organismes qui agissent pour l'étude et la conservation de la Nature en France.
L’étude de laquelle sont tirés ces résultats est intitulée « Etat et tendances de l’avifaune nicheuse de France métropolitaine ». Elle a été réalisée avec le soutien du Ministère de l’Ecologie, du Développement durable, des Transports et du Logement.
[/FONT][/COLOR][COLOR=#000000][FONT=Verdana]La brochure est disponible en télécharement sur le site atlas :[/FONT][/COLOR][COLOR=#000000][FONT=Verdana]http://www.atlas-ornitho.fr/index.php?m_id=214[/FONT][/COLOR][COLOR=#000000][FONT=Verdana]Source : Bernard Deceuninck & Vincent Dupuis[/FONT][/COLOR]
[url]http://www.ramsar.org/cda/fr/ramsar-news-archives-2013-iceland-three/main/ramsar/1-26-45-590%5E26132_4000_1__[/url]
jmax: miam miam le site ,pour les oies:C
[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]Le Sahara occidental est un territoire situé au sud du Maroc et bordé par l’Atlantique. Cette ancienne colonie espagnole n'a toujours pas trouvé de statut définitif sur le plan juridique, plus de trente-sept ans après le départ des Espagnols en 1976. [/B][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]Le Sahara occidental est en proie à un conflit opposant les indépendantistes sahraouis du Front Polisario au Maroc qui revendique sa souveraineté sur l'ensemble du territoire. Le royaume occupe aujourd'hui près de 80 % du territoire, les 20 % restants étant sous administration sahraouie. Une bonne route goudronnée longe la côte atlantique et permet d’atteindre facilement le secteur de la baie de Dakhla, et il est fortement déconseillé de s’écarter de celle-ci sans un accord préalable de la gendarmerie marocaine ou des Forces Armées Royales (F.A.R.). [/B][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]Etant donné cette situation politique particulière et l’éloignement des grandes régions touristiques marocaines, le Sahara occidental est très peu visité par les observateurs, et logiquement, les informations disponibles sur son[/B][/FONT][/COLOR][B]avifaune[/B][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B] sont relativement peu nombreuses. Il s’agit pourtant d’une région fascinante, où il est possible d’observer des [/B][/FONT][/COLOR][B]oiseaux[/B][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B] pratiquement invisibles ailleurs dans le Paléarctique occidental comme la [/B][/FONT][/COLOR][B]Sterne royale[/B][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B], la[/B][/FONT][/COLOR][B]Moinelette à front blanc[/B][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B], la [/B][/FONT][/COLOR][B]Prinia à front écailleux[/B][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B] ou le[/B][/FONT][/COLOR][B]Corbeau pie[/B][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]. [/B][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]Nous vous présentons dans cet article plusieurs bons secteurs pour [/B][/FONT][/COLOR][B]observer les oiseaux[/B][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]. Nous remercions Alexandre Beauquenne ([/B][/FONT][/COLOR][URL="http://www.voyageschezlesoiseaux.eu/"]Voyageschezlesoiseaux.eu[/URL][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]), Dan Brown et Alex Lees ([/B][/FONT][/COLOR][URL="http://www.freewebs.com/punkbirder"]Punkbirder[/URL][COLOR=#000000][FONT=Verdana][B]) pour leurs informations et leurs photographies.[/B][/FONT][/COLOR]
sahara occidentale(suite)
[h=3]La baie de Dakhla (Ad-Dakhla)[/h][COLOR=#000000][FONT=Verdana]Les échancrures sont rares le long de la côte du Sahara occidental, plutôt rectiligne, mais on y trouve un endroit unique en Afrique du Nord, la baie de Dakhla. Il s'agit d'une grande étendue marine atlantique allongée (37 sur 13,5 km) abritée qui constitue une enclave paléarctique à la limite nord du domaine tropical.
Une langue de terre haute de cinq mètres en moyenne et large de 1,5 à 4 km, couverte de dunes sableuses, sépare la baie de la mer ; la rive orientale est formée de falaises escarpées relativement élevées. La profondeur de la baie varie de 1 à 20 mètres (les plus fortes profondeurs sont atteintes au niveau de quelques chenaux entretenus par le balancement des marées). Une vaste sebkha, située au nord-ouest de la baie, est coupée en deux parties par la route goudronnée menant à la ville d’Ad-Dakhla. Un nouveau port a été construit près de l’embouchure de la baie sur la rive orientale à 12 km au sud de la ville d ’Ad-Dakhla.
Plusieurs habitats se succèdent le long de ses rives : bancs de sable, herbiers marins à zostères, steppes salées à [I]Spartina[/I]et à salicornes, vasières.[/FONT][/COLOR][TABLE="class: photoetlegendedroite, width: 100"]
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[TD][IMG]http://www.ornithomedia.com/magazine/voyages/sahara-limicoles.jpg[/IMG]
Rassemblement de limicoles dans la baie de Dakhla (Sahara occidental), janvier 2010.
Photographie : Alex Lees / [URL="http://www.freewebs.com/punkbirder"]Punkbirder[/URL][/TD]
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[COLOR=#000000][FONT=Verdana]Il s’agit d’une Zone d’Importance Internationale pour la Conservation des Oiseaux et un parc national y a été créé. Elle constitue en effet un site d’hivernage d’importance internationale pour les limicoles, en particulier pour le Bécasseau variable ([I]Calidris alpina[/I]), la Barge rousse ([I]Limosa lapponica[/I]), le Bécasseau maubèche ([I]Calidris canutus[/I]) et le Pluvier argenté ([I]Pluvialis squatarola[/I]), le Grand Gravelot ([I]Charadrius hiaticula[/I]), le Gravelot à collier interrompu ([I]Charadrius alexandrinus[/I]), les Laridés, notamment le Goéland brun ([I]Larus fuscus[/I]) et le Goéland d’Audouin ([I]L. audouinii[/I]), le Flamant rose ([I]Phoenicopterus ruber[/I]), le Grand Cormoran marocain ([I]Phalacrocorax carbo maroccanus[/I]), la Sterne caspienne ([I]Sterna caspia[/I]).
Parmi les nicheurs, citons le Grand Cormoran marocain, le Gravelot à collier interrompu ([I]Charadrius alexandrinus[/I]), le Goéland railleur ([I]Larus genei[/I]), les Sternes caspienne ([I]Sterna caspia[/I]) et pierregarin ([I]S. hirundo[/I]) ...[/FONT][/COLOR]
en plein désert du sahara des zones humides temporaires
[COLOR=#000000][FONT=Verdana]La plupart d’entre elles sont temporaires, les sebkhas (ou sebkhets). Il s’agit de dépressions fermées ou parfois en communication avec le milieu marin. Dans la plaine côtière, certaines sont bordées d’une ceinture de végétation palustre qui peut être étendue (par exemple autour de la Sebkha Imlily, au sud de la baie de Dakhla), où se développent des efflorescences salines durant les périodes sèches, et qui peuvent être inondées par des eaux de crue ou des remontées d'eaux profondes. L’évaporation est toutefois importante. [/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana]Des poissons peuvent tout de même vivre dans ces milieux : les biologistes ont ainsi découvert des populations de Tilapias de Guinée ([/FONT][/COLOR][I]Tilapia guineensis[/I][COLOR=#000000][FONT=Verdana]) dans la Sebkha Imlily. Ils se nourrissent en particulier des larves de moustiques.[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana] Quand elles sont en eau, essentiellement en hiver, ces dépressions peuvent accueillir de nombreux oiseaux aquatiques (canards, limicoles). [/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Verdana]75 sebkhas majeures figurent sur les cartes routières : citons parmi les plus riches la Sebkhet Arridal, à l’est de Boujdour, qui est alimentée par de petits cours d’eau intermittents, la Sebkhet Tah, à l’est de Trafaya, qui mesure 28 km de long et 6 km de large, qui est fréquemment inondée. Dans les lits de certains oueds peuvent se former des gueltas, qui correspondent à des mares qui subsistent après la crue ou qui sont alimentées par des sources. Elles sont fréquentées par les oiseaux du désert (gangas, alouettes, traquets, …) et par les migrateurs qui doivent traverser le Sahara.[/FONT][/COLOR]
la Loire un fleuve libre
documentaire
[url]http://www.youtube.com/watch?v=8GSXeVm75o0[/url]
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la loire fleuve sauvage et sans pub
ces mieux
[url]http://www.youtube.com/watch?v=kNUVTPWZuX8&playnext=1&list=PLEDz10d-mv5_yoij9ecDkt8FzRl8blJWQ[/url]
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Une question pour Bambimboum : pourquoi tu nous abreuves de données en vrac ? Chacune d'elles est intéressante mais quelle est la cohérence ? Que veux-tu dire TOi au travers de tous ces résultats d'études diverses et variées ? Parce que ça m'intéresse de connaître tes idées à toi qui as l'air bien affuté sur tous ces sujets...;)
[QUOTE=ri-ri;1612791]Une question pour Bambimboum : pourquoi tu nous abreuves de données en vrac ? Chacune d'elles est intéressante mais quelle est la cohérence ? Que veux-tu dire TOi au travers de tous ces résultats d'études diverses et variées ? Parce que ça m'intéresse de connaître tes idées à toi qui as l'air bien affuté sur tous ces sujets...;)[/QUOTE]
bonjour ri ri
-la cohérence est l'intitulé du post
-j'essai de ne pas mettre les études en entier, car personnes ne les liraient (parfois 100 pages).
-un chasseur averti en vaut 2.
bonne journée.
ISRAEL
[COLOR=#000000][FONT=Verdana][h=3]Depuis l'International Birdwatching Center (kibboutz Kfar Ruppin, vallée du Jourdain)[/h][TABLE="class: photoetlegendedroite, width: 100"]
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[TD][IMG]http://www.ornithomedia.com/magazine/etudes/israel0313-echasses.jpg[/IMG]
Echasses blanches ([I]Himantopus himantopus[/I]), vallée du Jourdain (Israël), mars 2013.
Photographie : Oren Yehuda[/TD]
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Le mois de mars correspond à un pic migratoire dans la vallée du Jourdain : les hivernants quittent la région et les mouvements d'oiseaux aquatiques sont importants. Des groupes de Cigognes blanches ([I]Ciconia ciconia[/I]) de Cigognes noires ([I]C. nigra[/I]), des Pélicans blancs ([I]Pelecanus onocrotalus[/I]) et des rapaces sont vus presque tous les jours. Les bruyantes Grues cendrées ([I]Grus grus[/I]), qui hivernent ici (en particulier un peu plus au nord, près de la réserve naturelle d'Hula - lire [URL="http://www.ornithomedia.com/magazine/voyages/hula-bird-festival-2012-grues-aigles-compagnie-00481.html"]Hula Bird Festival 2012 : grues, aigles et compagnie[/URL]), survolent la vallée jour et nuit. Parmi les nombreux oiseaux qui font une halte près des étangs, citons la Spatule blanche ([I]Platalea leucorodia[/I]), la Cigogne noire, le Héron pourpré ([I]Ardea purpurea[/I]), la Buse des steppes ([I]Buteo vulpinus[/I]), le Bécasseau minute ([I]Calidris minuta[/I]), le Grand Gravelot ([I]Charadrius hiaticula[/I]), l'Echasse blanche ([I]Himantopus himantopus[/I]) et le Combattant varié ([I]Philomachus pugnax[/I]). Au cours d'une visite, 10 Balbuzards pêcheurs ([I]Pandion haliaetus[/I]) ont été comptés dans les piscicultures de Kfar Ruppin et de Tirat Zvi.
La saison de nidification de plusieurs espèces a débuté et l'on peut entendre les chants et les cris du Bulbul d'Arabie ([I]Pycnonotus xanthopygos[/I]), du Moineau domestique ([I]Passer domesticus[/I]), de la Prinia gracile ([I]Prinia gracile[/I]), Souimanga de la Palestine ([I]Nectarinia osea[/I]), de la Huppe fasciée ([I]Upupa epops[/I]), du Vanneau éperonné ([I]Vanellus spinosus[/I]) et du Francolin noir ([I]Francolinus francolinus[/I]). La population de cette dernière espèce a augmenté au cours des dernières années, et des couples ont été vus dans la vallée d'Harod et même à Tel Adashim, à l'ouest d'Afula (au centre-nord du pays). Le chant monotone du Petit-duc scops ([I]Otus scops[/I]) est entendu tous les soirs et même pendant la journée, et les cris de l'Effraie des clochers ([I]Tyto alba[/I]) sont audibles depuis le début du mois de mars.[h=3]Depuis la réserve naturelle de Gamla[/h]La réserve naturelle des gorges de Gamla, sur le plateau du Golan (nord d'Israël) accueille la plus importante colonie de Vautours fauves (Gyps fulvus) du pays, mais elle est hélas en déclin depuis plusieurs années : 20 oiseaux ont été comptés en mars dans les gorges de Gamla et de Daliyot, et sept nids (deux avec des poussins, cinq avec des oeufs) sont actifs. Deux jeunes vautours (nés en 2010 et 2011) sont présents dans les volières de réhabilitation de la réserve, ils seront relâchés quand ils auront 4 ans environ. Des congénères viennent les visiter de temps en temps ...
Au cours du mois, la station de nourrissage a été très fréquentée, et les oiseaux marqués "A44", "L94" et "A68" y ont été notés.
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