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[QUOTE=Vincent L;1743571]Celui-ci aussi pourrait te plaire, bien que...
[URL]https://www.lemonde.fr/sciences/article/2019/11/17/moules-et-phoques-victimes-d-epidemies-engendrees-par-les-humains_6019504_1650684.html[/URL][/QUOTE]
Je n'ai pas accès à l'ensemble de l'article, je te remercie de bien vouloir le copier qu'on sache de quoi il s'agit.
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[QUOTE=pioupiou64;1743576]quel dommage que les chats ne bouffent pas les cormorans.[/QUOTE]
Ils m'ont pas le droit.
[URL]https://www.lavoixdunord.fr/671913/article/2019-11-27/laisser-son-chat-sortir-dehors-est-contraire-au-droit-europeen-assure-deux?fbclid=IwAR1qyPZX_d1TEq_T2WaSZ0bXFlbPkoqsJqZSx4E6j9Ci8NO2lCy28fsmCII[/URL]
[IMG]https://www.lavoixdunord.fr/671913/article/2019-11-27/laisser-son-chat-sortir-dehors-est-contraire-au-droit-europeen-assure-deux?fbclid=IwAR1qyPZX_d1TEq_T2WaSZ0bXFlbPkoqsJqZSx4E6j9Ci8NO2lCy28fsmCII[/IMG]
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[QUOTE=pioupiou64;1743576]quel dommage que les chats ne bouffent pas les cormorans.[/QUOTE]
Je te conseille un excellent film sur le sujet au delà des clivages et des clichés.
[URL]http://www.lemiroir.com/film/chat-tueur-mignon/[/URL]
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[QUOTE=Philippe 62;1743578]Je n'ai pas accès à l'ensemble de l'article, je te remercie de bien vouloir le copier qu'on sache de quoi il s'agit.[/QUOTE]
Malheureusement, je ne suis pas sûr que cela soit légal. Je vais voir si je peux trouver un article accessible à tous qui parle aussi du sujet (virus des phoques).
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[QUOTE=Philippe 62;1743580]Je te conseille un excellent film sur le sujet au delà des clivages et des clichés.
[URL]http://www.lemiroir.com/film/chat-tueur-mignon/[/URL][/QUOTE]
celui-ci est pas mal aussi, se méfier des lapins blancs ! (joke)
[URL]https://www.dailymotion.com/video/x58ich[/URL]
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[QUOTE=Vincent L;1743581]Malheureusement, je ne suis pas sûr que cela soit légal. Je vais voir si je peux trouver un article accessible à tous qui parle aussi du sujet (virus des phoques).[/QUOTE]
Rooooooohhhhhhh, les autres articles, on en veut pas, on veut celui que tu cites. Tu n'aurais quand même pas eu l'outrecuidance de faire référence à un article que tu n'aurais pas lu , hein ! Tu ne vas pas nous refaire le coup de Raoul l'élégant, je sais rien mais je dirai tout.
Parce qu'on en a soupé de tes congénères toujours prêts à sauver la planète sur les réseaux avec le titre de 2 articles qu'ils n'ont pas lus, auxquels ils n'ont évidemment rien compris mais pour lesquels ils vont écrire une thèse maniant la désinformation et la dérision quand ils n'ont rien d'autres à offrir.
Tiens ce n'est pas moi qui le dit à propos de perte de biodiversité mais un président de syndicat national
[QUOTE][SIZE=3][FONT=book antiqua][COLOR=#000000][I]Il y a pour partie une responsabilité des pratiques agricoles, mais aussi une responsabilité d’autres faunes, notamment les chats[/I][/COLOR][/FONT][FONT=arial][FONT=book antiqua]Christiane Lambert[/FONT][/FONT][/SIZE]
[SIZE=2][FONT=book antiqua][I]présidente de la FNSEA[/I][/FONT][/SIZE][/QUOTE]
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[QUOTE=Philippe 62;1743583]Rooooooohhhhhhh, les autres articles, on en veut pas, on veut celui que tu cites. Tu n'aurais quand même pas eu l'outrecuidance de faire référence à un article que tu n'aurais pas lu , hein ! Tu ne vas pas nous refaire le coup de Raoul l'élégant, je sais rien mais je dirai tout.
Parce qu'on en a soupé de tes congénères toujours prêts à sauver la planète sur les réseaux avec le titre de 2 articles qu'ils n'ont pas lus, auxquels ils n'ont évidemment rien compris mais pour lesquels ils vont écrire une thèse maniant la désinformation et la dérision quand ils n'ont rien d'autres à offrir.
Tiens ce n'est pas moi qui le dit à propos de perte de biodiversité mais un président de syndicat national[/QUOTE]
Ta haine t'aveugle, Philippe...
C'est certainement illégal mais comme tu insistes, voici l'article in extenso :
[h=1]Moules et phoques victimes d’épidémies engendrées par les humains[/h] [h=2][URL="https://www.lemonde.fr/idees-chroniques/"]Chronique[/URL][/h] [URL="https://www.lemonde.fr/signataires/nathaniel-herzberg/"] Nathaniel Herzberg
[/URL] Un cancer transmissible frappe les mollusques, et qu’un virus mortel se répand chez les mammifères marins à la faveur du réchauffement climatique.
Publié le 17 novembre 2019 à 18h30 - Mis à jour le 18 novembre 2019 à 05h30 Temps de Lecture 3 min.
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[IMG]https://img.lemde.fr/2019/11/18/0/0/5568/3712/688/0/60/0/a6c8cca_Y_Cv6loEFx05cFzE-dTjzRGP.jpg[/IMG] Un élevage de moules, le 1er octobre à Nador, au nord du Maroc. FADEL SENNA / AFP [B]Zoologie.[/B] Habituellement, cette chronique célèbre la beauté de la nature et le génie des chercheurs à en dévoiler les mystères. Cette semaine, pourtant, l’actualité impose un autre regard. Deux équipes internationales ont mis en évidence des épidémies, de nature très différente et frappant des groupes d’animaux éloignés – des mollusques d’un côté, des mammifères marins de l’autre, avec toutefois un point commun : la responsabilité des humains dans leur propagation.
Michael Metzger, du Pacific Northwest Research Institute de Seattle, et l’équipe qu’il a coordonnée ont montré qu’un cancer frappait des moules à travers le monde. Cette [I]« sorte de leucémie »[/I], observée il y a quelques années chez divers mollusques vivant sur la côte pacifique du Canada, présente la particularité d’être transmissible – comme quelques très rares cancers chez les animaux et les humains. Son mode de contamination demeure mystérieux. Mais l’étude de l’ADN des moules [I]Mytilus trossulus[/I] de Colombie-Britannique avait apporté la preuve qu’il s’agissait bien d’une transmission d’un individu à l’autre. [I]« Nous avons alors été contactés par Nuria Vasquez, en Argentine, et Nicolas Bierne, à Montpellier, qui avaient observé des cancers chez deux autres espèces de moules de leur région »[/I], raconte le biologiste américain.
[h=2]Comparaison de cellules cancéreuses[/h] Un article publié dans[URL="https://www.nature.com/articles/s41598-019-51699-4"] [/URL][I][URL="https://elifesciences.org/articles/47788"]eLife[/URL][/I] fournit les résultats de leur enquête conjointe. Dans l’ADN des moules communes ([I]M. edulis[/I]) françaises et néerlandaises contaminées, comme dans celui des moules bleues d’Argentine et du Chili ([I]M. chilensis[/I]), la signature de [I]M. trossulus [/I]a été retrouvée. Mais c’est en comparant les cellules cancéreuses que survient la vraie surprise : [I]« Les deux souches isolées en Europe et en Amérique du Sud étaient identiques mais différaient de celle retrouvée au Canada »[/I], s’étonne encore Michael Metzger. Le scénario s’est imposé : un nouvel épisode cancéreux est apparu chez [I]M. trossulus[/I], quelque part dans l’hémisphère Nord, et, à la faveur d’un contact, a contaminé les moules communes européennes. Accrochées aux coques de cargos, ces dernières auraient fait le voyage vers le sud et disséminé la maladie. Le commerce des hommes, vecteur d’épizooties.
[IMG]https://img.lemde.fr/2019/11/17/0/0/5349/3459/688/0/60/0/02d9d94_hmOkj5JIHLVdiggO6XgFknGd.jpg[/IMG] Des lions de mer, le 23 novembre 2018 à San Antonio, au Chili. MARTIN BERNETTI / AFP Le pathogène qui frappe plusieurs espèces de mammifères marins du Grand Nord est moins mystérieux. Ce virus, proche de celui de la maladie de Carré des chiens ou de notre rougeole, est apparu en 1988, quand une épidémie a tué des phoques dans l’Atlantique Nord. Des années d’absence, puis, en 2002, une nouvelle souche du virus ressurgit, mortelle encore. Cette fois, on la retrouve deux ans plus tard de l’autre côté de l’Arctique, en Alaska, sur des cadavres de loutres de mer. Comment ces dernières, réputées casanières, ont-elles été contaminées ?
[INDENT] Des échantillons ont été collectés pendant quinze ans dans tous les pays du cercle arctique[/INDENT]Une équipe rassemblée autour de Tracey Goldstein, de l’université de Californie à Irvine, a réexaminé des échantillons collectés pendant quinze ans dans tous les pays du cercle arctique : quatre espèces de phoques, des otaries, des loutres et des lions de mer, 165 cadavres et 2 530 animaux vivants, prélevés entre 2001 et 2016. Les scientifiques ont croisé leurs résultats avec l’état de la glace au fil des ans. Le constat, dressé dans la revue[I][URL="https://elifesciences.org/articles/47788"] [/URL][URL="https://www.nature.com/articles/s41598-019-51699-4"]Scientific Reports[/URL],[/I] est spectaculaire : les pics de contamination coïncident toujours avec les minimums glaciaires. [I]« La fonte des glaces ouvre des passages et augmente les contacts entre populations, favorisant du même coup la transmission du morbillivirus »[/I], résume Tracey Goldstein.
On savait le commerce mondial responsable des épidémies qui déciment les amphibiens depuis les années 1990. C’est encore la circulation humaine qui aurait importé, dans les années 2000, un champignon d’Europe vers les Etats-Unis, déclenchant la terrible [URL="https://www.lemonde.fr/planete/article/2012/04/09/aux-etats-unis-les-chauves-souris-continuent-de-mourir_1682806_3244.html"]maladie du nez blanc des chauves-souris[/URL] et ses millions de victimes. Trafic maritime, encore, et réchauffement climatique, cette fois : les humains consomment, la faune trinque.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi [URL="https://www.lemonde.fr/sciences/article/2016/04/04/sale-temps-pour-les-grenouilles_4895475_1650684.html"]La grande crise des amphibiens[/URL] [URL="https://www.lemonde.fr/signataires/nathaniel-herzberg/"] Nathaniel Herzberg [/URL]
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c'est la même qui a traité WS d'écolo quand il a parlé à la fnsea des néonicotinoïdes.
Après sa réponse sur les chats vient après une question posée sur la chute spectaculaire de la biodiversité.On a bien compris les consignes sur les éléments de langage...
Dans la même émission elle dit faire confiance aux scientifiques...Petite précision, elle fera confiance aux scientifiques qui diront qu'il n'y a aucun risque à traiter les zones a proximité des habitations.Mais pour les scientifiques qui mettent en cause les néonicotinoïdes, ça va être plus compliqué...
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[QUOTE=Vincent L;1743587]Ta haine t'aveugle, Philippe...
C'est certainement illégal mais comme tu insistes, voici l'article in extenso :
[B]Moules et phoques victimes d’épidémies engendrées par les humains[/B]
[B][URL="https://www.lemonde.fr/idees-chroniques/"]Chronique[/URL][/B]
[URL="https://www.lemonde.fr/signataires/nathaniel-herzberg/"] Nathaniel Herzberg
[/URL] Un cancer transmissible frappe les mollusques, et qu’un virus mortel se répand chez les mammifères marins à la faveur du réchauffement climatique.
Publié le 17 novembre 2019 à 18h30 - Mis à jour le 18 novembre 2019 à 05h30 Temps de Lecture 3 min.
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Michael Metzger, du Pacific Northwest Research Institute de Seattle, et l’équipe qu’il a coordonnée ont montré qu’un cancer frappait des moules à travers le monde. Cette [I]« sorte de leucémie »[/I], observée il y a quelques années chez divers mollusques vivant sur la côte pacifique du Canada, présente la particularité d’être transmissible – comme quelques très rares cancers chez les animaux et les humains. Son mode de contamination demeure mystérieux. Mais l’étude de l’ADN des moules [I]Mytilus trossulus[/I] de Colombie-Britannique avait apporté la preuve qu’il s’agissait bien d’une transmission d’un individu à l’autre. [I]« Nous avons alors été contactés par Nuria Vasquez, en Argentine, et Nicolas Bierne, à Montpellier, qui avaient observé des cancers chez deux autres espèces de moules de leur région »[/I], raconte le biologiste américain.
[B]Comparaison de cellules cancéreuses[/B]
Un article publié dans[I][URL="https://elifesciences.org/articles/47788"]eLife[/URL][/I] fournit les résultats de leur enquête conjointe. Dans l’ADN des moules communes ([I]M. edulis[/I]) françaises et néerlandaises contaminées, comme dans celui des moules bleues d’Argentine et du Chili ([I]M. chilensis[/I]), la signature de [I]M. trossulus [/I]a été retrouvée. Mais c’est en comparant les cellules cancéreuses que survient la vraie surprise : [I]« Les deux souches isolées en Europe et en Amérique du Sud étaient identiques mais différaient de celle retrouvée au Canada »[/I], s’étonne encore Michael Metzger. Le scénario s’est imposé : un nouvel épisode cancéreux est apparu chez [I]M. trossulus[/I], quelque part dans l’hémisphère Nord, et, à la faveur d’un contact, a contaminé les moules communes européennes. Accrochées aux coques de cargos, ces dernières auraient fait le voyage vers le sud et disséminé la maladie. Le commerce des hommes, vecteur d’épizooties.
[IMG]https://img.lemde.fr/2019/11/17/0/0/5349/3459/688/0/60/0/02d9d94_hmOkj5JIHLVdiggO6XgFknGd.jpg[/IMG] Des lions de mer, le 23 novembre 2018 à San Antonio, au Chili. MARTIN BERNETTI / AFP Le pathogène qui frappe plusieurs espèces de mammifères marins du Grand Nord est moins mystérieux. Ce virus, proche de celui de la maladie de Carré des chiens ou de notre rougeole, est apparu en 1988, quand une épidémie a tué des phoques dans l’Atlantique Nord. Des années d’absence, puis, en 2002, une nouvelle souche du virus ressurgit, mortelle encore. Cette fois, on la retrouve deux ans plus tard de l’autre côté de l’Arctique, en Alaska, sur des cadavres de loutres de mer. Comment ces dernières, réputées casanières, ont-elles été contaminées ?[INDENT] Des échantillons ont été collectés pendant quinze ans dans tous les pays du cercle arctique[/INDENT]
Une équipe rassemblée autour de Tracey Goldstein, de l’université de Californie à Irvine, a réexaminé des échantillons collectés pendant quinze ans dans tous les pays du cercle arctique : quatre espèces de phoques, des otaries, des loutres et des lions de mer, 165 cadavres et 2 530 animaux vivants, prélevés entre 2001 et 2016. Les scientifiques ont croisé leurs résultats avec l’état de la glace au fil des ans. Le constat, dressé dans la revue[I][URL="https://www.nature.com/articles/s41598-019-51699-4"]Scientific Reports[/URL],[/I] est spectaculaire : les pics de contamination coïncident toujours avec les minimums glaciaires. [I]« La fonte des glaces ouvre des passages et augmente les contacts entre populations, favorisant du même coup la transmission du morbillivirus »[/I], résume Tracey Goldstein.
On savait le commerce mondial responsable des épidémies qui déciment les amphibiens depuis les années 1990. C’est encore la circulation humaine qui aurait importé, dans les années 2000, un champignon d’Europe vers les Etats-Unis, déclenchant la terrible [URL="https://www.lemonde.fr/planete/article/2012/04/09/aux-etats-unis-les-chauves-souris-continuent-de-mourir_1682806_3244.html"]maladie du nez blanc des chauves-souris[/URL] et ses millions de victimes. Trafic maritime, encore, et réchauffement climatique, cette fois : les humains consomment, la faune trinque.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi [URL="https://www.lemonde.fr/sciences/article/2016/04/04/sale-temps-pour-les-grenouilles_4895475_1650684.html"]La grande crise des amphibiens[/URL] [URL="https://www.lemonde.fr/signataires/nathaniel-herzberg/"] Nathaniel Herzberg [/URL][/QUOTE]
La haine ! C'est vraiment un sentiment que j'ignore. Tu confonds avec sarcasme, dérision, humour. M'enfin l'essentiel c'est que tu aies acheté l'article :))
Concernant les phoques, c'est à l'instar des cochons, tout est bon. Il n'y a rien de nouveau dans ton article. La circulation des phoques résultant de la fonte des glaces fut déjà avancée pour expliquer ces mortalités. Certains scientifiques pensaient même à une époque qu'ils se noyaient ne pouvant plus se reposer sur la glace. Bref.
Tout est bon pour culpabiliser l'être humain. Avant t'avais la religion, maintenant c'est l'écologie et le réchauffement climatique d'origine anthropique. Les biens pensants remplacent les curetons et facebook la chaire...
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[QUOTE=pioupiou64;1743589]c'est la même qui a traité WS d'écolo quand il a parlé à la fnsea des néonicotinoïdes.
Après sa réponse sur les chats vient après une question posée sur la chute spectaculaire de la biodiversité.On a bien compris les consignes sur les éléments de langage...
Dans la même émission elle dit faire confiance aux scientifiques...Petite précision, elle fera confiance aux scientifiques qui diront qu'il n'y a aucun risque à traiter les zones a proximité des habitations.Mais pour les scientifiques qui mettent en cause les néonicotinoïdes, ça va être plus compliqué...[/QUOTE]
Comme il est compliqué de faire admettre l'énorme prédation des populations exponentielles de chats sur la petite faune en régression.
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[QUOTE=Philippe 62;1743592]La haine ! C'est vraiment un sentiment que j'ignore. Tu confonds avec sarcasme, dérision, humour. M'enfin l'essentiel c'est que tu aies acheté l'article :))
Concernant les phoques, c'est à l'instar des cochons, tout est bon. Il n'y a rien de nouveau dans ton article. La circulation des phoques résultant de la fonte des glaces fut déjà avancée pour expliquer ces mortalités. Certains scientifiques pensaient même à une époque qu'ils se noyaient ne pouvant plus se reposer sur la glace. Bref.
Tout est bon pour culpabiliser l'être humain. Avant t'avais la religion, maintenant c'est l'écologie et le réchauffement climatique d'origine anthropique. Les biens pensants remplacent les curetons et facebook la chaire...[/QUOTE]
T'inquiètes, je n'ai pas acheté l'article pour l'occasion, je suis abonné depuis bien longtemps.
Tant mieux, si tu sais déjà tout.
Une chose tout de même, à la différence de l'écologie qui est une science, la religion est une croyance. C'est bien différent !
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[QUOTE=Philippe 62;1743593]Comme il est compliqué de faire admettre l'énorme prédation des populations exponentielles de chats sur la petite faune en régression.[/QUOTE]
En fait, j'ai l'impression que tant que cette petite faune était abondante, la prédation par les chats ne posait pas vraiment de problème. Aujourd'hui, on se rend compte que même certaines espèces banales sont en chute libre (hirondelles, moineaux,...) et donc on creuse un peu plus pour trouver les responsables et parmi eux, il y a le chat. Mais, pas que...
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Pour te parler des minous, un petit exemple .
Cette année, comme beaucoup d'autres, au début de l'été, j'avais une bonne cinquantaine de moineaux qui venaient tous les jours se gaver de blé dans les mangeoires de mes canards.
A ce jour, il en reste tout au plus une dizaine..........
J'ai eu aussi, trois à quatre nichées de merle qui ont fait leur ailes dans mon jardin.
A ce jour, il doit rester deux couples .........
J'ai eu aussi 2 couples de mésange charbonnière qui ont commencé leur nid, que je leur avais préparé, dans mes arbres fruitiers.
Jamais elles n'ont eu la chance de pondre..........
Par contre, une armée de chats trainent dans mon quartier et font "la police"........
Je n'en dirais pas plus, mais c'est juste une constatation.........
Alors qu'en j'entends que 75% des moineaux ont disparus des territoires depuis quelques années, je n'ai pas besoin qu'on me donne des "directions", j'en connais une et elle est TERRIBLE.......
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[QUOTE=Vincent L;1743595]En fait, j'ai l'impression que tant que cette petite faune était abondante, la prédation par les chats ne posait pas vraiment de problème. Aujourd'hui, on se rend compte que même certaines espèces banales sont en chute libre (hirondelles, moineaux,...) et donc on creuse un peu plus pour trouver les responsables et parmi eux, il y a le chat. Mais, pas que...[/QUOTE]
Effectivement ! Pas que ...
Mais les autres facteurs sont également connus depuis longtemps, donc y'a t-il un des responsables qui est de plus en plus nuisible ou un autre sous estimé ?
La réponse qui dirait que la population de chat à augmenté ne peut suffire, I think ;)
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[QUOTE=Vincent L;1743594]
Tant mieux, si tu sais déjà tout.
[/QUOTE]
Ne pas apprendre par ton article que les phoques sont victimes de mortalité ne fait de moi quelqu'un d'imbu...M'enfin!
[QUOTE][COLOR=#333333]En fait, j'ai l'impression que tant que cette petite faune était abondante, la prédation par les chats ne posait pas vraiment de problème.[/COLOR][/QUOTE]
Après avoir déjà mentionné que le chat était un prédateur du rat, j'ai tout de même l'impression que tu n'as jamais vraiment fréquenté de chasseurs impliqués dans la défense du petit gibier. Nos vieux gardes ont depuis toujours dénoncé les "exactions " des minous tuant pour le plaisir, lapereaux et autres couvées très faciles à capturer sans parler des piafs .
Ce n'est pas une critique mais il faut savoir dépasser les préjugés et les idées reçues. Parce que des chasseurs dénoncent depuis longtemps ( ce que des études récentes mettent en lumière ) ce sont des GROC avinés contre lesquels tous les chats doivent protégés.
Encore une fois, dans un contexte exponentiel des populations de chats et une petite faune en régression sur laquelle porte une prédation non négligeable, une situation ne souffrant d'aucune contestation valable, des solutions doivent être trouvées. Je ne dis pas qu'il faut tirer les chats bien entendu ! mais il faut responsabiliser les propriétaires. Mettre en place des dispositifs de captures et stérilisation, un dispositif dissuasif en cas de divagation, un puçage obligatoire et que sais je encore.