pour le moment il n'est pas question de tuer nos appelants.
il faut attendre la parution de l'arreté en début de semaine.
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pour le moment il n'est pas question de tuer nos appelants.
il faut attendre la parution de l'arreté en début de semaine.
Aux dernières nouvelles (gassaugi-gassaua), il y aurait 2 options sur la table du ministre de l'agriculture:
- tout tuer
- réactiver les mêmes mesures que lors de la dernière crise. Confinement, eau de boisson sous abri, etc...
A voir
qu'ils aient ce faire fourrés ,ors de question de tuer quoi que ce soit, qu'ils ce démerdent avec leurs usines a merde, leurs élevages a euros , qui pollues tout .
Il va être difficile cependant de mettre un gendarme derrière chaque basse-cour. Tout repose sur la coopération des particuliers et leur solidarité espère Pierre Mallet, le maire de Benquet. Il a commencé le recensement sur sa commune : "[I]Il en va de la survie de plein de communes, de plein de commerces, de plein de familles. Si on impose un vide sanitaire sur tout un territoire et qu'on laisse un canard sur ce territoire porteur de ce virus, quel intérêt de pénaliser tous les autres ? Dans vide sanitaire, il y a sanitaire mais il y a vide aussi.[/I]"
Le recensement concerne tous les palmipèdes y compris les oies et les canards d'ornement. Devront-ils eux-aussi être abattus ? La réponse sera dans l'arrêté ministériel qui doit être publié la semaine prochain
Si le ministre va dans cette direction , c'est tout simplement la fin de la chasse avec appelants :G
A chaque cas avéré , et je reste persuadé qu il y en aura d'autres , on procédera à l’abatage sans distinction
Que conte faire le maire de benquet pour interdire le survole de toutes espèces sauvages sur sa commune ??:/:
Pourquoi ne procède t on pas comme en 2006 à des contrôles vétérinaires pour les éleveurs amateurs ??
Bonjour,
Cela fait maintenant deux semaines que j'ai alerté le GASSAUA et l'ANCGE sur la menace qui pèse sur nos appelants.
Aujourd'hui certains maires et la filaire professionnelle " canards gras " demande le vide sanitaire chez les particuliers , en effet ils ont trouvé un cas dans une basse cour.( Depuis le temps que ça dur cela devait bien arriver un jour !)
La solution proposée est simple on tue tout et on recommence ! Mais qui garanti que dans six mois ou un an le problème ne se reposera pas ?
Quelles mesures vont être prises ? Pour rappel le virus apparaît toujours dans les élevages professionnels , c'est étonnant ! Et ce sont eux qui veulent tuer nos canards et oies appelants et d'ornement !
Ils devraient peut être aussi se poser les bonnes questions, non ?
- D'ou viennent ces virus ?
- D'où viennent les jeunes de leurs élevages ?
- Qu'elles sont les conditions sanitaires d'élevage , on voit toujours des centaines de canards entassés dans des parcs sans un brin d'herbe pour ne pas dire dans la boue.
- Quelle alimentation donnent ils à leurs oiseaux , 75% de céréales et le reste ?
- Ne se transmettent t-ils pas le virus entre élevages ? Jusqu'à présent on a accusé les oiseaux migrateurs, c'était le plus simple.
Les chasseurs élèvent des palmipèdes bien avant les élevages intensifs et n'on jamais eu de problème , doit on vraiment tuer des milliers de palmipèdes dans 18 départements ? Pourquoi ? Est on sur du résultat ? Pour qui ? Pour faire plaisir à des grands groupes ?
Qui va indemniser les chasseurs ? Des années de sélection pour obtenir des compagnons de chasse aux quels nous sommes attachés , que nous avons fait naître et élevé avec passion.
En plus de la valeur sentimentale voici quelques chiffres :
Un couple de sarcelle d'hiver de 50€ à 80€
un couple de siffleur, chipeau, souchet ... 80€
un couple d'oie cendré 100€
un couple d'oie rieuse 300€ ......etc
Je pense que si les chasseurs font les comptes, la note risque d'être très salée.
Je comprend bien l'enjeux économique des éleveurs professionnels (surtout les petits ) qui se sont endettés pour suivre des normes toujours plus drastiques.
Mais n'oublions pas que les chasseurs eux aussi jouent un rôle économique important , une étude à ce sujet vient de sortir .
Si par malheur on devait tuer tous les appelants de ces 18 départements les fédérations des chasseurs elles aussi seraient impactees , bon nombres de chasseurs raccrocheraient leurs fusils.
Mais les chasseurs ne seraient pas non plus " in gras " ! On pourrait oublier de piéger ou ne plus faire de battues aux nuisibles dans certains secteurs et j'en passe des meilleures comme on dit.
Les fédérations départementales , régionales ,nationales et toutes les associations cynégétique doivent réagir dés à présent pour front à cette menace avant qu'il soit trop tard.
J'espère que tout le monde aura bien prit conscience des enjeux qui pèsent sur les chasseurs .
Merci de faire suivre à vos amis chasseurs.
Cordialement
Fagondo Jean-François
tout est dit ...ça va pas être possible.
je peux vous assurer qu'il y aura une levée de bouclier de la part des chasseurs de g.e dans la semaine car nous ne sommes pas du tout disposes a laisser tuer nos appelants.
les mesures sanitaires et le baguage de nos canards nous l'appliquons depuis 2007.
nous n'avons pas de leçons à recevoir de la part du représentant des eleveurs de canards gras.
s'ils avaient eu les contraintes identiques aux notres en 2007,nous n'en serions peut etre pas là.
dans les jours à venir il va falloir se mobiliser et ne rien lacher.
à tres bientot.
Bon si j'ai bien compris les coin coin sauvages sont responsables.............donc il est question de passer par les armes nos appelants..........pourquoi pas..........mais l'autre solution de bon sens,puisse que les sauvages sont responsables,chassons les jusqu'a mars voir avril......moi j'dis sa j'dis rien mais j'en pense pas moins.
Ils veulent éliminer nos appelants, mais pourquoi ???????????????
Sur ma mare, en permanence, une cinquantaine d'aigrettes, plus 2 bihoreaux, sans compter mon couple de cigogne qui niche pas loin et qui est revenu prendre possession des lieux.
Je ne parle même pas des poules d'eau, foulques et autres ralidés.
Peut-on penser qu'en éradiquant mes anatidés, on va faire disparaitre une G.A. non affirmées ??
Je n'y crois pas; Mais, on risque par contre de tuer beaucoup "d'anciens", qui, eux, risquent de laisser tomber la chasse......................
Je suis un peu, pour ne pas dire beaucoup, dégouté par la connerie humaine, par celles de nos grands dirigeants......
[url]http://www.sudouest.fr/2016/01/24/grippe-aviaire-des-eleveurs-du-sud-ouest-se-mobilisent-sur-facebook-2252329-7496.php[/url]
[QUOTE=pioupiou64;1714991][URL]http://www.sudouest.fr/2016/01/24/grippe-aviaire-des-eleveurs-du-sud-ouest-se-mobilisent-sur-facebook-2252329-7496.php[/URL][/QUOTE]
Mobilisez vous , contactez vos ami(e)s, et signez la pétition.
Peut-être pourrions nous obtenir une "réduction de peine" et éviter la connerie monumentale du massacre de tous nos oiseaux (petits producteurs, chasseurs, éleveurs amateurs d'agrément ou autres)
[IMG]http://img.xooimage.com/files110/a/a/7/canards-en-col-re-4e34d64.jpg[/IMG]
Le 25 janvier 2016, communiqué relatif à la grippe aviaire
Madame, Monsieur,
Depuis quelques jours courent des rumeurs, relayées par les médias, de mesures de « vide sanitaire » pour les particuliers détenant des palmipèdes, afin de compléter celles destinées aux professionnels.
Par ce courrier, je tiens à vous adresser notre point de vue, celui de plusieurs milliers de chasseurs de gibier d’eau du Sud-Ouest, avant qu’une décision qui pourrait s’avérer dramatique, ne soit prise.
Depuis la précédente crise de grippe aviaire, les chasseurs de gibier d’eau avaient été lourdement mis à contribution afin d’endiguer le risque d’épizootie. Nous nous sommes scrupuleusement pliés à toutes ces règles, telles que confinement des appelants en volière fermée (sur les lieux d’élevage et de chasse), isolement de l’eau de boisson et de la nourriture sous abris, baguage pour la traçabilité des oiseaux, registres de détention, recensement des élevages d’appelants, aucun contact avec les espèces migratrices, etc.
Notre sérieux et notre rôle de sentinelle avaient été alors reconnus. Nous avions également procédé à des tests sur nos appelants par échantillonnage, qui se sont toujours révélés négatifs.
A ce jour, nous appliquons toujours les mêmes règles pour l’élevage et l’utilisation de nos appelants, sans discontinuer.
Pour cette dernière période 2015/2016, aucun de nos oiseaux, ni aucun anatidé sauvage n’ont été détectés porteurs de ces nouvelles souches de virus, toutes issues d’élevages avicoles où les conditions de détention ne sont en rien comparables (surdensité, origines douteuses, absence de bassin d’eau claire, peu de verdure, en parcours ouvert où viennent se nourrir étourneaux, corneilles, vanneaux, goélands…, épandage de lisier en pleine nature…). Cependant nous avons déjà été impactés plus que de raison par des mesures qui ont visé à limiter les transports et l’utilisation de nos appelants sur certains secteurs. La chasse aux oiseaux a même été fermée sur certaines communes alors que la faune sauvage n’a rien à voir avec cette crise avicole !
Nous sommes très ferment opposés à des mesures qui viendraient encore restreindre l’utilisation de nos appelants (même temporairement), qui mettraient en péril notre devenir pour des raisons qui nous sont étrangères. Nous comprenons bien les problèmes qu’ont les éleveurs professionnels de canards gras, mais il ne faut pas faire d’amalgame. Nos oiseaux (espèces sauvages) sont sélectionnés depuis des décennies pour leur chant, leur phénotype, leur rusticité… A contrario des palmipèdes de la filière gras qui sont des espèces domestiques sélectionnées pour leur productivité, au détriment de toute rusticité.
Sachez que vu la valeur commerciale et surtout sentimentale de nos appelants, nous n’accepterons aucun abattage à l’aveugle. A l’heure où les cas d’influenza aviaire se font de plus en plus rares, toutes mesures prises en ce sens seraient contre-productives car elles entraineraient des flux d’appelants vers des zones ou des départements non concernés par l’euthanasie. Nous entendons déjà parler de telles démarches, qui ne sont pas souhaitables mais tout à fait légitimes pour des sauvaginiers aimant leurs appelants.
Le ras-le-bol des mesures de biosécurité qui nous ont déjà tant coûté se fait sentir. Nous ne sommes ni responsables, ni vecteurs de cette maladie, mais bien des victimes collatérales de dispositions prises sous la pression de quelques-uns. Nous conserverons nos appelants et nous continuerons à les utiliser comme nous l’avons toujours fait, tant que la preuve irréfutable d’un possible rôle de propagation n’aura pas été établi de manière certaine.
Dans une éventuelle hypothèse d’appelants contaminés, une détection, élevage par élevage, devra prévaloir sur toute mesure systématique, qui si elle était prise devrait en toute logique également concerner la faune sauvage (si difficile à cloîtrer, vous en conviendrez) ; auquel cas, une indemnisation devra être envisagée, financée par les responsables de cette crise. En parallèle, nous nous réservons le droit de poursuites pour dommages et intérêts à la vue des préjudices subis cette saison et si la crise venait à perdurer, puisque certains de nos chasseurs n’auraient pu exercer leur passion. Au nom des associations qui composent le groupement des sauvaginiers d’Aquitaine, je sollicite des élus et responsables cynégétiques, une prise en compte de cette problématique et je leur demande de nous aider, afin que ne soient pas prises des mesures radicales, infondées que nous n’accepterons jamais !
Comptant sur votre soutien, veuillez recevoir, Madame, Monsieur, mes respectueuses salutations.
Le Président, JF. Séguy
coinc 59.
pour information c'est le president du GASSOA qui a fait parvenir ce communiqué à nos élus ,aux présidents des fédés concernés et à la FNC.
[QUOTE=pie40;1715030]coinc 59.
pour information c'est le president du GASSOA qui a fait parvenir ce communiqué à nos élus ,aux présidents des fédés concernés et à la FNC.[/QUOTE]
et si nous boycotions tous leurs produits?
Les produits de qui Sarcillon?
[QUOTE=YV40;1715033]Les produits de qui Sarcillon?[/QUOTE]
si j'ai bien compris c'est un representant d'eleveurs du sud_ouest qui demande ca n'achetons plus leurs produits donc
[QUOTE=sarcillon;1715034]si j'ai bien compris c'est un representant d'eleveurs du sud_ouest qui demande ca n'achetons plus leurs produits donc[/QUOTE]
A mon avis il faut garder de bonnes relations avec le monde rural afin de ne pas nous isoler davantage...
Ovin , bovins, caprins, canards, sécheresse, les étrennes du gouvernement pour des productions intensives...vive les épizooties entretenues avec les deniers publics.
[URL]http://www.lepoint.fr/economie/de-nouvelles-aides-pour-les-eleveurs-26-01-2016-2012901_28.php[/URL]
[QUOTE=allouette;1715035]A mon avis il faut garder de bonnes relations avec le monde rural afin de ne pas nous isoler davantage...[/QUOTE]
si a cause d'eux tes appelants sont abattus c'est parce qu'ils veulent garder de bonnes relations avec nous aussi alors?
[QUOTE=sarcillon;1715044]si a cause d'eux tes appelants sont abattus c'est parce qu'ils veulent garder de bonnes relations avec nous aussi alors?[/QUOTE]
En parlant de monde rural je pensais aux agriculteurs et non aux groupes volailler pour qui oui je suis d accord ne sont pas nos amis... Mais ne confond pas avec l agriculteur qui te prête CES terres pour un euros symbolique l hectare.
COMMUNIQUE DE PRESSE DE L’ANCGE, DU 26-01-2016
« Influenza aviaire : Quel avenir pour nos appelants ? »
L’angoisse monte depuis plusieurs jours dans le Sud-ouest : nos appelantsvont ils subir le même sort que leurs homologues au foie gras ? Le videsanitaire imposé aux éleveurs professionnels pourrait il, sans aucune raisonscientifique sérieuse, s’appliquer à nos oiseaux ?
Ne faisons pas durer le suspense…Malgré la rumeur qui se propage sur lesréseaux sociaux, notre Ministère n’a aucunement l’intention aujourd’hui deprendre de telles mesures.
L’ANCGE a contacté Eva Faure, vétérinaire de la Fédération Nationale desChasseurs, qui a clairement évoqué hier avec les représentants du ministèrenotre préoccupation :
- Bonne nouvelle : il n’est, pour l’instant, pas question dans l’esprit desreprésentants du ministère, d’appliquer de mesures d’abattage ou de videsanitaire aux détenteurs d’appelants.
- Le ministère n’avait semble-t-il pas vraiment conscience du problème posépar les détenteurs d’appelants et de l’importance de l’inquiétude de ceux-ci…
Evidemment, il n’est pas question de faire prendre le moindre risque à unefilière qui fait la fierté et la richesse de tout le Sud-ouest : nous devronsdonc prendre les mesures nécessaires pour assurer le contrôle de l’étatsanitaire de nos oiseaux.
Le projet en cours consisterait donc à créer une catégorie spécialed’éleveurs pour les appelants, avec un système de suivi sanitaire par tirage ausort annuel, comme pour les autres éleveurs, mais adapté aux conditionsd’élevage de nos oiseaux.
Ce suivi pourrait consister en la réalisation de prises de sang oud’écouvillonnages, ces modalités n’étant pas encore définies.
Ces suivis ne concerneraient pas la totalité des détenteurs, mais un nombrerestreint de ceux-ci (qui reste par ailleurs à négocier).
La charge financière de cette surveillance pourrait s’intégrer dans le cadrede la surveillance sanitaire de la faune sauvage par les instancescynégétiques, pour mutualiser la dépense.
Par ailleurs, pour mieux pérenniser l’aspect spécifique des élevagesd’appelants et des mesures qui leur sont ou non applicables, la FNC a proposéau ministère d’établir, en collaboration étroite avec l’ANCGE, un guidesanitaire tenant compte des différents modes d’élevage et d’utilisation de nosoiseaux.
Les représentants locaux de l’ANCGE seraient mis à contribution pour adapterles mesures sanitaires aux particularités régionales de nos élevages. Il s’agitlà, d’une véritable reconnaissance de notre implication et de notreimplantation sur le terrain.
Je pense que l’élaboration d’un tel projet est une excellente idée quipermettra, face aux différents problèmes sanitaires qui ne manqueront pas de seproduire un jour où l’autre, d’avoir une réaction adaptée auxspécificités de notre exercice.
La participation active de l’ANCGE et de ses représentants permettra deproposer ce qui est réalisable, tout en refusant ce qui ne l’est manifestementpas.
Cette proposition me paraît tout à fait s’inscrire dans la perspective depro-activité qui doit gouverner une association nationale, responsable etmoderne…
Il est certes encore trop tôt pour être définitivement rassurés sur le sortde nos appelants, mais il est certain que la collaboration étroite entre laFédération Nationale des Chasseurs et l’ANCGE, permet d’affirmer une foisencore que notre présence active sur le terrain, associée à une attituderéactive et responsable vis-à-vis d’une crise sanitaire majeure donne toutesles chances à nos chasseurs de préserver leur passion et leurs appelants.
Soyez certains que nous continuerons à défendre avec détermination unegestion de cette crise, non seulement efficace mais surtout respectueuse denotre chasse et des auxiliaires qui nous permettent de la pratiquer.
Plus ambitieuse mais tout aussi réaliste, notre véritable perspectiveest aussi d’établir dans l’avenir, les fondements d’un statut durable de lachasse aux appelants face aux menaces sanitaires qui existeront toujours.
Jean-Michel François pour l’ANCGE
J-M François est vétérinaire
seul les éleveurs de canards sont concernés nous sauvaginiers nous sommes des détendeurs et non des éleveurs !!!!!! pour l'instant aucun canards sauvage n'a était trouver avec le virus seul des canards domestique ont étaient toucher
attention,à partir du mois de mai des controles sont prévus pour controler les conditions sanitaires de détention ainsi que des écouvillonnages pour verifier que nos oiseaux ne sont pas porteur du virus.
mais attendons demain pour voir l'arreté.
[url]http://www.bastamag.net/Guerre-commerciale-elevages-intensifs-genetique-les-dessous-de-la-grippe[/url]
[COLOR=#000000][FONT=Arial][I]Quand on suit un camion de canards prêts à gaver, il y a un nuage de lisier qui vole, c’est visible. Et il y a ce que l’on ne voit pas, les déjections qui sont aussi semées le long de la route »[/I], précise t-il.[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Arial]Un autre éleveur confie à [I]Basta ![/I] avoir appris lors des réunions d’informations que des camions passaient d’un élevage industriel à l’autre sans nettoyer les caisses.
JJB:
C'est toujours ce que j'ai mis en avant. merci Guy pour ce document qu tu mets en ligne.[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Arial]Les conditions d’élevage pourraient aussi être un terrain favorable à l’expression du virus. [/FONT][/COLOR][I]« Là où y a des fortes densités d’élevage, ça peut se diffuser très vite, précise Denis Fric. [I]Si les animaux ont des types génétiques très forts, la porte est grande ouverte au virus ». Or, comme le montre notre [URL="http://www.bastamag.net/Comment-les-multinationales-font-main-basse-sur-les-genes-des-animaux-de-ferme"]enquête sur la reproduction animale[/URL], les animaux de ferme sont sélectionnés en fonction de critères productifs pour l’industrie, ce qui aboutit à une très forte érosion de la biodiversité animale. Ce manque de diversité génétique des animaux d’élevage pourrait favoriser l’apparition et la diffusion de microbes pathogènes.[/I][/I]
[h=3]Omerta sur le rôle de la filière industrielle dans la diffusion du virus[/h][COLOR=#000000][FONT=Arial]Que sait-on exactement de la manière dont s’est faite la propagation du virus ? [I]« [B]Tout le monde s’accorde pour dire que les oiseaux migrateurs n’ont rien à voir là-dedans »[/B][/I][B], [/B]pointe Denis Fric, vétérinaire.
JJB:
Bien evidemment[/FONT][/COLOR]
Que dois faire le gouvernement ?
[QUOTE=Philippe 62;1715464]Que dois faire le gouvernement ?[/QUOTE]
JJB:
Son boulot pour lequel il a été élu. Gérer au mieux l'intérêt commun.
[URL="http://www.aqui.fr/mobile"]image: [/URL][URL]http://www.aqui.fr/bib/images/bandeau_mobile.jpg[/URL]
[IMG]http://www.aqui.fr/bib/images/bandeau_mobile.jpg[/IMG]
[B]Aqui.fr - Partageons l'information en Aquitaine et bien au delà[/B] [CENTER]
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Agriculture[B]Virus aviaire : quid des basses-cours ?[/B]
image: [URL]http://www.aqui.fr/bib/photos/img_id_24214.jpg[/URL]
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[B]Les professionnels de la filière gras de 18 départements du grand Sud-Ouest se préparent au vide sanitaire imposé par le gouvernement pour éradiquer le virus aviaire. Qu'en est-il des basses-cours des campagnes, propriétés de particuliers, et souvent de professionnels agricoles ? Elles vont aussi être soumises à des règles de biosécurité plus strictes par un arrêté ministériel imminent. Le recensement de tous les palmipèdes est donc lancé mais beaucoup y vont à reculons, doutant parfois de l'intérêt de ces mesures. Exemple dans les Landes.[/B]
Les mairies des Landes ont jusqu'à fin février pour fournir à la préfecture le nombre de palmipèdes présents dans les basses-cours de leur commune. Les administrés ayant des canards ou des oies chez eux sont donc priés de se faire connaître mais vont-il jouer le jeu ? Jusqu'ici, à Banos au cœur de la Chalosse comme sans doute ailleurs, « les gens ne se bousculent pas à l'entrée de la mairie », reconnaît Pierre Junca, adjoint au maire : « on a quelques retours, mais je ne pense pas qu'on aura l'ensemble des éléments, c'est évident ».
Vide sanitaire aussi?Est considéré comme une basse-cour, un élevage détenu par un particulier ou un professionnel (souvent ayant d'autres activités agricoles) comptant de 1 à 249 volatiles (palmipèdes, volailles, espèces de collection, appelants pour la chasse...). L’objectif de ce recensement est de préparer la mise en œuvre de mesures d’assainissement en cours de détermination au ministère de l’Agriculture. C'est d'ailleurs au cœur d'une basse-cour que le virus aviaire avait été découvert en novembre dernier en Dordogne. Des lieux souvent perçus comme des sentinelles en cas d'épidémie, très utile dans la surveillance.
Les particuliers à qui les règles de bon sens ont déjà été rappelées par les services de l'Etat (faire attention à ce qui est introduit et sorti de sa basse-cour, laver ses mains, changer ses vêtements...) seront-ils alors, eux aussi, contraints au vide sanitaire ? L'arrêté le précisera. « C'est complexe d'un point de vue vétérinaire, il faut trouver des solutions intelligentes et prendre des mesures de biosécurité qui fassent que les efforts faits par les éleveurs professionnels ne soient pas anéantis par les basses-cours », explique Laurent Monbrun de la préfecture des Landes. Lors de ses récents vœux à la presse, la préfète Nathalie Marthien avait prévenu qu'elle serait « très ferme vis-à-vis des particuliers » : « on ne peut pas imaginer un assainissement des exploitations commerciales, et pas des basses-cours ».
Et la faune sauvage?Mais dans les fermes, le scepticisme est fréquemment observé. « On dit qu'il faut le faire mais est-ce bien utile ? », « boh boh boh, il y a toujours eu des bêtes qui sont mortes, on va pas en mourir », « c'est souvent bien plus propre et sain chez les particuliers qui gavent à l'ancienne que chez les gros avec leurs milliers de canards », entend-on ici ou là. Et les palmipèdes des lacs et rivières, il va aussi falloir faire le vide ?, demandent d'autres, alors qu'a priori, [B]le ministère s'oriente peu vers une souche liée à la faune sauvage. [/B]Dans ce territoire où le canard gras est roi, les questionnements autour de l'efficacité des mesures anti-influenza aviaire se multiplient. Dans le même temps, la Chalosse bruisse de rumeurs de canetons passant sous le manteau alors qu'ils sont censés ne plus entrer nulle part depuis le 18 janvier. Des contrôles sont quoi qu'il en soit menés partout pour que les règles soient assurées par tous car prendre des libertés avec ces mesures mettrait en danger la filière toute entière, assure-t-on à la préfecture.
Une chose est sûre en tout cas, les accouveurs gardent actuellement bien à l'abri leur cheptel de reproducteurs sains afin de redémarrer à fond la production au printemps et fournir toutes les exploitations en canetons dès la reprise officielle début mai.
Julie Ducourau
Photo: JD
Publié le 05/02/2016
En savoir plus sur [URL]http://www.aqui.fr/mobile/article.php?id_article=13141#4m808xO01Ghu4kqC.99[/URL]
Ben oui, comme ça c'est de la faute à personne, ça exonère certaines filières et évite un éventuel conflit social…..
[h=1]Grippe aviaire : de nouvelles contraintes pour les éleveurs[/h]Par Nelly Assenat et Claire Flochel, [URL="https://www.francebleu.fr/gascogne"] France Bleu Gascogne[/URL] et [URL="https://www.francebleu.fr/"] France Bleu[/URL] mercredi 10 février 2016 à 16:38
[IMG]https://www.francebleu.fr/cruiser-production/2016/02/1e4f2785-0388-416f-9cca-e07446e8d987/x870x489_maxwatier014868.jpg.pagespeed.ic.tdWJ6TXHxH.jpg[/IMG]Les particuliers s'en sortent bien, les éleveurs suivront de nouvelles règles © Maxppp Les arrêtés ministériels fixant les modalités du plan de lutte contre la grippe aviaire sont publiés ce mercredi 10 février. Les particuliers échappent aux abattages de leurs oies et canards mais les éleveurs voient le renforcement des mesures sanitaires qui leur sont désormais imposées.
Après cinq reports, le ministère de l'agriculture a publié ce mercredi 10 février 2016 deux arrêtés qui fixent les modalités du plan de lutte contre la grippe aviaire.
[B]Le premier arrêté fixe à un mois la durée du vide sanitaire[/B] dans le Sud-Ouest et le second met en place des mesures préventives pérennes pour éviter toute nouvelle épidémie.
[h=2]Un vide sanitaire jusqu'au 16 mai 2016[/h]Ce premier arrêté fixe donc la durée du [B]vide sanitaire[/B] imposé aux éleveurs et sans surprise, [B]il va durer un mois, **[/B]du 18 avril au 16 mai 2016**. Durant cette période les professionnels n'auront plus aucun canard ou caneton sur leurs exploitations et devront nettoyer et désinfecter toutes leurs structures (parcours, bâtiments etc.).
►►►[URL="https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=D85C1B428588FA326953755D2514BBB0.tpdila13v_2?cidTexte=JORFTEXT000032000273&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000031999976"]Le premier arrêté qui fixe les conditions du vide sanitaire[/URL]
A partir du 16 mai, les canetons pourront être réintroduits dans les exploitations landaises mais le temps de leur évolution, [B]on ne verra des canards en extérieur qu'à partir de début juin.[/B]
[h=2]Les particuliers échappent à l'abattage de leurs animaux[/h]C'était une demande de beaucoup de professionnels : que les particuliers soient soumis aux mêmes mesures afin d'éradiquer durablement le virus. Ils n'ont pas été entendus. Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire[/B]. S'ils ne les enferment pas ils peuvent les protéger en extérieur par des filets sur un parcours limité. Après cette date, les animaux pourront sortir en extérieur, mais sans être en totale liberté. Il faudra donc prévoir des grillages par exemple ou des enclos.
[h=2]Des mesures drastiques à partir du 1er juillet[/h]Les plus grands changements pour les éleveurs interviendront après le 1er juillet 2016. En effet, après cette date, ce sont de [B]nouvelles mesures[/B] qui entrent en vigueur pour l'élevage des palmipèdes et des volailles et [B]elles concernent tout le territoire français[/B] afin d'éviter une nouvelle apparition du virus.
Les mesures sanitaires sont renforcées. Il faudra notamment protéger les élevages de toute entrée potentielle du virus dans l'élevage, via l'homme, les véhicules ou le contact avec d'autres oiseaux. [B]L'arrêté recommande donc d'avoir une "bande unique"[/B] par unité de production, c'est-à-dire un ensemble homogène d'animaux qui vont vivre ensemble de la naissance à l'abattage. Si le producteur veut élever des canards d'âges différents, il sera soumis à des règles d'hygiène très strictes (changement de tenue des éleveurs, matériel réservé à chaque bande de canards ou alors nettoyage, suivi d'une désinfection et d'un vide sanitaire...).
►►►[URL="https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=D85C1B428588FA326953755D2514BBB0.tpdila13v_2?cidTexte=JORFTEXT000032000306&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000031999976"]Le second arrêté qui fixe les nouvelles règles sanitaires[/URL]
Certains dénoncent déjà des mesures qui pénaliseraient les plus petits producteurs.
Ces mesures demanderont des [B]investissements notamment dans les bâtiments [/B]et l'arrêté, qui entrera en application le 1er juillet 2016, fixe à deux ans le délai pour atteindre les objectifs.
Le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (Cifog), a pour sa part estimé à 220 millions d'euros les investissements que nécessiteront ces mesures de biosécurité et prévient déjà qu'elles entraîneront dans l'immédiat "une diminution des capacités de production".
L'épizootie d'influenza aviaire découverte fin novembre 2015 en Dordogne s'est étendue et, à ce jour, 70 foyers d'influenza aviaire hautement pathogène pour les volailles ont été détectés dans huit départements du Sud-Ouest
Comme quoi, après enquête, ce sont uniquement la filière avicole et les modes d'élevage qui sont désignés comme responsables de la propagation du virus.
Quant à a faune sauvage, comme le soutien la LPO, elle n'est pas tenue responsable de la GA dans le SO, tout comme les volailles des particuliers, les oiseaux d'ornements et appelants.
[COLOR=#333333]C[/COLOR][COLOR=#b22222][SIZE=3]'était une demande de beaucoup de professionnels : que les particuliers soient soumis aux mêmes mesures afin d'éradiquer durablement le virus. Ils n'ont pas été entendus. Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [/SIZE][SIZE=3][B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire.[/B][/SIZE][/COLOR]
[LIST][*][COLOR=#FFFFFF]04/12/2015 12h41[RIGHT][URL="http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/showthread.php?43589-grippe-aviaire-2015-2016&p=1710570&viewfull=1#post1710570"]#48[/URL][/RIGHT]
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[URL="http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/member.php?4253-JJB"]JJB[/URL]
chanteuse enrouéeInscrit mars 2005Messages15 878
[COLOR=#333333][INDENT]
JJB:
Interessant cet article. Mais n'existe t-il pas de porteurs sains du sidas, par ex ?
Je ne suis pas biologiste mais ce cas de figure n'est pas une nouveauté….
Sinon il est évident que la filière d'élevage de volailles préfère désigner une source extérieure plutôt que d'admettre des manquements d'hygiène ou autres mais dont la responsabilité engage les éleveurs et mode d'élevage.
Et pourquoi pas demander alors des indemnisations de l'Etat ?[/INDENT]
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[B][RIGHT][COLOR=#FFFFFF]04/12/2015 12h33[/COLOR][/RIGHT]
[/B][*]
[URL="http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/member.php?4253-JJB"]JJB[/URL]
chanteuse enrouéeInscrit mars 2005Messages15 878
[COLOR=#333333][INDENT]Les migrateurs ont beau dos pour disculper les élevages intensifs en plein air. J'en ai vu un qui dévide sa merde sur les Bartles de l'Adour en toute impunité.
Je ne vous par le pas de l'odeur pestilentielle, de la pollution et l'agression du milieu !
Le législateur et les services vétérinaires seraient bien inspirés de définir des quotas d'oiseaux au mètre carré et une gestion écologique des fientes.[/INDENT]
[/COLOR][/LIST]
"[COLOR=#333333]Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [/COLOR][B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire. S'ils ne les enferment pas ils peuvent les protéger en extérieur par des filets sur un parcours limité. Après cette date, les animaux pourront sortir en extérieur, mais sans être en totale liberté. Il faudra donc prévoir des grillages par exemple ou des enclos.
[B]Des mesures drastiques à partir du 1er juillet"
[/B][/B]Donc, on va se retrouver, à terme, sous la législation de 2006 en matière de confinement des appelants
[QUOTE=coinc59;1716369]"[COLOR=#333333]Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [/COLOR][B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire. S'ils ne les enferment pas ils peuvent les protéger en extérieur par des filets sur un parcours limité. Après cette date, les animaux pourront sortir en extérieur, mais sans être en totale liberté. Il faudra donc prévoir des grillages par exemple ou des enclos.
[B]Des mesures drastiques à partir du 1er juillet"
[/B][/B]Donc, on va se retrouver, à terme, sous la législation de 2006 en matière de confinement des appelants[/QUOTE]ca nous empecheras pas de chasser!!!de plus d ici juillet y aurat core du changement!!
et je suis d accord avec jjb ca seras sur les zones infectées;)
[QUOTE=coinc59;1716369]"[COLOR=#333333]Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [/COLOR][B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire. S'ils ne les enferment pas ils peuvent les protéger en extérieur par des filets sur un parcours limité. Après cette date, les animaux pourront sortir en extérieur, mais sans être en totale liberté. Il faudra donc prévoir des grillages par exemple ou des enclos.
[B]Des mesures drastiques à partir du 1er juillet"
[/B][/B]Donc, on va se retrouver, à terme, sous la législation de 2006 en matière de confinement des appelants[/QUOTE]en mettant ca ta pas lu l annexe qui dit que ces dans les zones atteinte seulement