Tout à fait d'accord, le problème doit se traiter au niveau européen. D'ailleurs c'est l'objectif de l'AEWA, dont les membre vont se réunir cette année pour discuter des mesures à prendre concernant l'oie cendrée.
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Tout à fait d'accord, le problème doit se traiter au niveau européen. D'ailleurs c'est l'objectif de l'AEWA, dont les membre vont se réunir cette année pour discuter des mesures à prendre concernant l'oie cendrée.
Nous sommes au courant.
Et les décisions seront des décisions d'Etat. L'E.U n'aura que sa voix propre et la décision prise sera contraignante partie prenante.
La hutte virtuelle est la nouvelle tribune de France Nature Environnement ?
Non seulement Plumette réapparaît histoire de bien gentillement se foutre de nous mais en plus vous lui faites la conversation..
Bref...
[QUOTE=coinc59;1738906]Nous sommes au courant.
Et les décisions seront des décisions d'Etat. L'E.U n'aura que sa voix propre et la décision prise sera contraignante partie prenante.[/QUOTE]
Si tu as bien lu les documents issus de la négociation au sein de l'AEWA, tu auras fatalement observé les liens qui ont été établi par les parties entre les 3 entités de pays liés par l'exploitation de la ressource.
Il en ressort que la France est liée à l'Espagne et considérée comme marginale pour les parts de la population globale qui concernent plus spécifiquement les pays nordiques, l'Allemagne et les Pays Bas.
La gestion de la population qui sera arrêté par les parties adhérentes de l'AEWA prendra nécessairement en considération ce constat, or la part de population qui intéresse prioritairement la France et la péninsule ibérique est jugée stable ou en déclin depuis 2010, à l'inverse de la part de la population plus nordique, qui est en forte expansion sur la même période.
L'AEWA c'est aussi et surtout ça, et il serait judicieux d'en prendre connaissance et conscience, car la répartition des quotas alloués par zone géographique en sera affectée.
En déclin depuis 2010? Je serais curieux de voir ça.
A l'origine c'est la population norvégienne qui était concernée.
Or celle-ci parait en pleine expension
[QUOTE=le kid;1738907]La hutte virtuelle est la nouvelle tribune de France Nature Environnement ?
Non seulement Plumette réapparaît histoire de bien gentillement se foutre de nous mais en plus vous lui faites la conversation..
Bref...[/QUOTE]
Et oui a force sur ce site beaucoup s'y sont habitués de parler aux ecolos de service alors pourquoi pas elle
[h=3]Une gestion européenne de l’anatidé ?[/h]La promesse vient buter sur la directive européenne oiseaux : si cette espèce n’est pas, globalement, considérée comme menacée, il est interdit de la chasser quand elle se déplace pour se reproduire. Donc, en février. En 2017, le Conseil d’État avait déjà empêché que l’on en abatte après le 31 janvier. Mais les chasseurs arguent toujours que ces animaux sauvages, après avoir échappé à leurs fusils, sont massivement régulés plus au nord, notamment aux Pays-Bas.
[URL="https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Sciences-et-ethique/gestion-adaptative-especes-autre-chasse-2018-09-11-1200967797?from_univers=lacroix"]La gestion adaptative des espèces, une autre chasse[/URL]
L’anatidé, dont les effectifs peuvent être très nombreux localement, provoque en effet d’importants dégâts dans les cultures, tout en posant des problèmes de sécurité dans les aéroports. Dans ces conditions, disent les amateurs de ce gibier, pourquoi ne pas les autoriser à les chasser en février dans le ciel français, dans le cadre d’une gestion transfrontalière à l’échelle européenne, en faisant collaborer plusieurs pays ?
[h=3]La question des oiseaux migrateurs[/h]La gestion adaptative est déjà appliquée depuis quelques années sur le Vieux Continent pour l’oie à bec court et l’oie des moissons de la taïga, et un plan est à l’étude pour l’oie cendrée, qui est la plus grande d’Europe. Il devrait être entériné en décembre sous l’égide de l’AEWA, l’organisme gérant l’accord sur la conservation des oiseaux d’eau migrateurs d’Afrique-Eurasie. [I]« Nous professons l’idée qu’il faut gérer une espèce à l’échelle de sa voie migratrice et d’avoir une approche globale »[/I], rappelle son secrétaire exécutif, Jacques Trouvilliez.
Lui-même est un partisan du concept, qu’il définit comme [I]« un outil très pragmatique, où on apprend en faisant »[/I]. [I]« Pour moi, c’est la deuxième grande révolution après toutes les lois de protection des oiseaux,[/I] plaide-t-il. [I]Si on veut vraiment sauvegarder la biodiversité, il faut aller vers cela. On sait que cela marche, dès lors que tout le monde s’implique. »[/I]
[h=3]Des dégâts dans les pays scandinaves[/h]Mais la question est complexe. [I]« Pour l’oie cendrée, il reste un point à éclaircir,[/I] indique Matthieu Guillemain, de l’ONCFS. [I]Dans quelle mesure les oiseaux qui passent au-dessus de la France sont ceux qui font des dégâts aux Pays-Bas, alors qu’il existe aussi une population d’oie cendrée résidente sur place ? Appliquer une gestion adaptative à cette espèce nécessite de comprendre le fonctionnement de ces différentes populations. »[/I]
[URL="https://www.la-croix.com/Sciences-et-ethique/Environnement/VIDEO-Comment-etablit-risque-dextinction-especes-2017-11-28-1200895270"]VIDÉO – Comment établit-on le risque d’extinction des espèces ?[/URL]
Reste aussi la directive oiseaux. Pour les chasseurs français, la solution pourrait venir d’Oslo. La France est surtout survolée par des oies dites norvégiennes, également accusées de faire trop de dégâts dans leur pays d’accueil scandinave. [I]« On ne voit pas comment les Français pourraient en tuer plus en l’état actuel des choses,[/I] explique Jacques Trouvilliez. [I]Une des pistes est d’allonger la période de chasse. Cela peut être possible si la Norvège demande une dérogation. »[/I] La Ligue pour la protection des oiseaux a déjà annoncé qu’elle s’y opposerait.
[QUOTE=coinc59;1738910]En déclin depuis 2010? Je serais curieux de voir ça.
A l'origine c'est la population norvégienne qui était concernée.
Or celle-ci parait en pleine expension[/QUOTE]
[SIZE=3][FONT=sans-serif]One exception may be Spain, where large inter[/FONT][FONT=sans-serif]-[/FONT][FONT=sans-serif]annual fluctuations in wintering numbers have been observed [/FONT][FONT=sans-serif]in recent years in the south in Doñana, the main wintering grounds for Greylag Geese in Spain. The f[/FONT][FONT=sans-serif]luctuations [/FONT][FONT=sans-serif]seem to be related to changing climatic conditions (annually fluctuations and long[/FONT][FONT=sans-serif]-[/FONT][FONT=sans-serif]term climate change) and [/FONT][FONT=sans-serif]the highly variable level of flooding in the temporary marshes of Doñana (Rendón et al. 2008; Almaraz et al. [/FONT][FONT=sans-serif]2012; Ramo et al. 2015; unp[/FONT][FONT=sans-serif]ublished data from Equipo de Seguimiento de Procesos Naturales de la Estación [/FONT][FONT=sans-serif]de Doñana), combined with a growing demand for water extraction for agriculture, [/FONT][FONT=sans-serif]which [/FONT][FONT=sans-serif]may put the future [/FONT][FONT=sans-serif]of the Doñana marshes under threat, unless new climate change adaptation[/FONT][FONT=sans-serif]measures are taken (Green et al. [/FONT][FONT=sans-serif]2017). There have been steady declines in wintering numbers also in the north of Spain during the last decade [/FONT][FONT=sans-serif](Villafafila: from 24,600 wintering bird in 2004 to 6,800 in 2015; Zamora and Palencia, in Castilla[/FONT][FONT=sans-serif]-[/FONT][FONT=sans-serif]Leon: from [/FONT][FONT=sans-serif]5[/FONT][FONT=sans-serif]8,700 in 2004 to 13,100 in 2017; unpublished data from Junta de Andalucía). In addition, geese are not [/FONT][FONT=sans-serif]counted outside of wetlands in Spain, similar to many other countries in the flyway (B. Molina, National IWC [/FONT][FONT=sans-serif]coordinator in Spain, [/FONT][FONT=sans-serif]pers. comm.[/FONT][FONT=sans-serif]). However,[/FONT][FONT=sans-serif]recent data show an estimate of 73,367 wintering geese in [/FONT][FONT=sans-serif]Doñana (in 2017), suggesting an increase after a reduction observed between 2009 and 2012 on this site.
[SIZE=2]Si on compare avec les données publiée dans le tableau de chcamarade pour les années 2008 à 2010 (123 000 en moyenne), on constate que l'hivernage espagnol a décliné d'environ [B]20 000[/B] oies cendrées entre 2010 et 2017, malgré un léger mieux dans la réserve de la Donana après 2012.[/SIZE]
[SIZE=2]Page 40 en suivant ce lien : [URL]https://www.unep-aewa.org/sites/default/files/document/aewa_mop7_27_draft_gg_issmp_en.pdf[/URL]
[/SIZE][/FONT][/SIZE]
j'ai un très beau graphique de l'hivernage espagnol depuis les années 80, malheureusement je n'arrive pas a le mettre ici!
avec bien sur l'explication des ornitho du coin, qui ont constaté la "dérive" et le grand déclin des zones humides sur ces périodes, bien que depuis peu la riziculture, commence a changer la donne ;)
t es loin d etre mon moderateur prefere......mais le voici ton graph
de rien!
[IMG]https://scontent-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-9/48358113_1265897810216885_4206786240114065408_o.jpg?_nc_cat=110&_nc_ht=scontent-cdt1-1.xx&oh=2767db18cccb6d16b2cfae4c9fa8168e&oe=5CE53A58[/IMG]
[QUOTE][I]« Nous professons l’idée qu’il faut gérer une espèce à l’échelle de sa voie migratrice et d’avoir une approche globale », rappelle son secrétaire exécutif, Jacques Trouvilliez.[/I][/QUOTE]
C'est ce que beaucoup réclament.
[QUOTE][COLOR=#333333] La Ligue pour la protection des oiseaux a déjà annoncé qu’elle s’y opposerait.[/COLOR][/QUOTE]
Tout est résumé, la stratégie c'est le maintien d'un climat de terreur à l'aide des contentieux.
ah un tableau de gaspar
[QUOTE=le kid;1738907]La hutte virtuelle est la nouvelle tribune de France Nature Environnement ?
Non seulement Plumette réapparaît histoire de bien gentillement se foutre de nous mais en plus vous lui faites la conversation..
Bref...[/QUOTE]
Nous ne sommes pas non plus contraints de nous comporter à l'instar de ses coreligionnaires sur les réseaux proférant insultes et menaces de mort à notre égard avec la bénédiction de leurs mentors .
Quand on lit que Brigitte bardot nous compare à des nazis, plume sur hv, cela prouve que nous sommes encore un peu fréquentable, et puis avec la montée de tout ces groupes animalistes, elle prend conscience qu'elle risque de pointer au chomdu.
Sinon il y a un webmasteur.,des modos, si ils estiment qu'elle a le droit de citer
Bienvenue choupette !
Dans une publication datée du dimanche 27 janvier [2019], sur Twitter, Brigitte Bardot de la cause animale invite les internautes à signer une pétition en ligne sur le site internet de sa fondation.
Elle y explique : « À tous ceux qui, comme moi, méprisent, vomissent, haïssent la lâcheté, la vulgarité des chasseurs qui, armés jusqu’aux dents, assassinent pour le plaisir et par milliers, l’innocence, la faiblesse d’animaux sans défense avec l’appui du Président Macron. »
Brigitte Bardot écrit : « Signez en masse la pétition contre la chasse, ce nazisme nouvelle vague