no souci ;) !
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no souci ;) !
faudrait un bon coup de froid pour tuer les microbes ou un coup de neige pour purger
[QUOTE=coinc59;1712970]Merci de respecter les parents mon lapin. Ils n'en peuvent rien[/QUOTE]
Et pourquoi mon dernier comment a été viré ???? Décidément même l'humour potache vous dépasse... Alors de la a parler de second degré ...
merci coin
[QUOTE=couacpc;1712979]Alors c'est quoi cette AG ?
ANCGE = "sauvagine" ?[/QUOTE]
C'est fou ce que tu peux te mêler de ce qui ne te regarde pas.
T'es vraiment un grand malade, toi. :/:
Laisse donc JJB gérer sa vie ! Il est assez grand pour ça... ;)
Pour revenir au sujet et expliquer plus en détail en quoi les élevages de volaille, de canards et d'oies posent problème, il faut absolument distinguer la lutte contre les virus de la lutte contre les infection bactériennes.
Comme je l'ai rapidement évoqué tout à l'heure, les animaux d'élevages sont très exposés et sensibles aux uns et aux autres, en raison d'une sélection focalisée sur la production recherchée : viande, oeufs, foie gras... peu importe !
En sélectionnant à outrance des variété très productives, on sacrifie, car on s'interdit, le brassage génétique qui améliorerait les défenses immunitaires des souches élaborées.
Les volailles et anatidés produits dans les élevages intensifs ou industriels sont donc dotés d'un système immunitaire qu'on pourrait qualifié de déficient, comparé aux oiseaux traditionnels et aux espèces sauvages.
De surcroît, les quantités et les densité d'oiseaux dans ces élevages sont telles que les virus et agents infectieux ont tout le loisir d'y émerger, ou d'y entrer puis de s'y développer et diffuser très rapidement.
Les modes de production modernes sont donc des systèmes d'exploitation à très hauts risques sanitaires.
Ces risques sont réduits par le confinement des oiseaux dans des hangars qui sont supposés les mettre à l'abri des agents infectieux et viraux. Mais on constate en permanence depuis toujours que les barrières sanitaires dressées entre les agents pathogènes et les volailles ne sont jamais efficace à 100%. Ce qui est normal puisque ces exploitations ne peuvent fonctionner en vase clos.
Quand on sait cela, on perçoit immédiatement que les élevages de plein air sont sur-exposées aux risques sanitaires. Mais ce n'est pas pour autant que les épizooties apparaissent plus souvent dans les élevages en plein air que dans les élevages confinés, car les éleveurs de plein air n'utilisent pas les mêmes souches d'oiseaux : en exploitant des variétés plus rustiques, ils minimisent les risques, car celles-ci sont protégées par des système immunitaires plus performants que les variétés exploitées dans les élevages confinés.
Le problème de la production avicole internationale tient au fait que les virus aviaires ont beaucoup évolué depuis 10 ans, et des souches de virus beaucoup plus résistantes, pathogènes, et volatiles sont apparues, notamment depuis 2013. Et ces virus évoluent en permanence pour devenir de plus en plus redoutables. Ils s'adaptent rapidement et de nouveaux apparaissent qui sont capables de déjouer tous les obstacles qui leur sont opposés.
On pourrait dire que nous assistons à une course effrénée entre les éleveurs et les scientifiques mis à leur service, et que les virus en sortent toujours vainqueurs.
Mais coinc 59 n'a pas complétement tort quand il attire notre attention sur les antibiotiques, car une autre course se court entre les agents infectieux bactériens et les éleveurs, qui produit les mêmes effets pour les mêmes raisons.
Le recours excessif aux antibiotiques est aussi risqué que le recours systématique aux anti-viraux et aux vaccins, car il provoque une adaptation des agents pathogènes qui s'adaptent et deviennent de plus en plus résistants.
Toutes les études qui sont publiées vont dans le même sens et conduisent aux mêmes conclusions.
Les pratiques sanitaires des éleveurs industriels du monde entier nous envoient dans le mur. Et nous connaîtrons des crises sanitaires très graves dans les toutes prochaines années.
Ce que nous vivons en France en ce moment n'est que le prélude à des crises plus sérieuses et personne ne peut prédire si la crise majeure sera provoquée par un virus (aviaire, porcin, ou issu le la faune sauvage) ou par un agent infectieux devenu hyper-résistant aux antibiotique.
La seule chose qui est certaine, c'est qu'à vouloir bouffer de la viande tous les jours, les hommes des pays riches vont provoquer une catastrophe. Tous les voyants sont passé au rouge, mais rien ne semble pouvoir arrêter la course où sont engagés des trompe-la-mort qui font du business de tout et de rien, de l'élevage et de la santé...
Alors, faites de beaux rêves...
:cri:
Adpm entre la seules et la touque
D après Google dpt 14
juste une petite intervention pour dire que avant de nous déballer vos théories pleines de certitudes,venez sur place dans une zone de protection (3 km) et vous pourrez constater que rien ne se passe comme vous dites.
quand vous avez des milliers de canards dans cette zone,il est impossible de les confiner dans des locaux,et donc ils sont tous en liberté dans des grands enclos à ciel ouvert.
quand je dis des milliers ce sont plutot des dizaines de milliers.
pour information dans ma zone de protection les canards abattus l'ont étés a la suite de controles obligatoires avant leur départ pour l'abattage.
ils ne présentaient aucun signe visible de la maladie.
[QUOTE=pie40;1712995]juste une petite intervention pour dire que avant de nous déballer vos théories pleines de certitudes,venez sur place dans une zone de protection (3 km) et vous pourrez constater que rien ne se passe comme vous dites.
quand vous avez des milliers de canards dans cette zone,il est impossible de les confiner dans des locaux,et donc ils sont tous en liberté dans des grands enclos à ciel ouvert.
quand je dis des milliers ce sont plutot des dizaines de milliers.
pour information dans ma zone de protection les canards abattus l'ont étés a la suite de controles obligatoires avant leur départ pour l'abattage.
ils ne présentaient aucun signe visible de la maladie.[/QUOTE]
Merci de remettre la vérité à sa place... Il y a t il de nouveaux cas à ta connaissance ?
[QUOTE=pie40;1712995]juste une petite intervention pour dire que avant de nous déballer vos théories pleines de certitudes,venez sur place dans une zone de protection (3 km) et vous pourrez constater que rien ne se passe comme vous dites.
quand vous avez des milliers de canards dans cette zone,il est impossible de les confiner dans des locaux,et donc ils sont tous en liberté dans des grands enclos à ciel ouvert.
quand je dis des milliers ce sont plutot des dizaines de milliers.
pour information dans ma zone de protection les canards abattus l'ont étés a la suite de controles obligatoires avant leur départ pour l'abattage.
ils ne présentaient aucun signe visible de la maladie.[/QUOTE]
Pardon Pie40, mais tu me prêtes des arguments que je n'ai pas énoncés.
Je suis plus conscient que beaucoup de l'incapacité où vous êtes de confiner vos canards, et c'est même pourquoi je considère depuis le début que la situation est incontrôlable et catastrophique.
Et j'ai expliqué ici du mieux que j'ai pu que les virus circulent partout et en permanence au sein de vos élevages de plein air, mais aussi parmi les appelants des sauvaginiers, et que si on commence à les rechercher sérieusement, on va fatalement les trouver.
C'est encore ce raisonnement qui m'a amené à dénoncer la malhonnêteté avec laquelle on a accusé une "écloserie" d'être responsable de cette épizootie.
J'ai par ailleurs fourni de multiples liens qui renvoient à des études et rapports grâce auxquels on peut faire une meilleure appréciation de la situation.
Je ne suis pas responsable de l'hypocrisie des autorités et de la corporation des éleveurs.
J'explique depuis le début comment et pourquoi on nous ment et on nous "roule dans la farine".
Ce que tu n'as pas compris, c'est que si on cherche des virus, ou des traces de leur circulation (anticorps), chez tes appelants, on va en trouver autant si ce n'est plus que partout dans les élevages.
Et quand certains croient et affirment ici que la crise est finie et que la situation est sous contrôle, je ne cesse d'exprimer mes doutes, car c'est tellement improbable que je pourrais carrément écrire "impossible".
Alors effectivement tuas bien perçu que quelque chose cloche, car on n'a trouvé des virus que là où on les a recherchés : non pas au hasard et partout, mais en ciblant certaines productions.
Je pense que c'est une grave erreur, et même un faute, en réalité. Et que cela prouve simplement qu'[B]on est incapable de contrôler la situation[/B].
En effet, on n'est pas capable d'appliquer les restrictions, mais surtout, les contrôles qui seraient nécessaires pour enrayer une épizootie.
Parce qu'on n'en a [B]ni la volonté ni les moyens[/B].
Alors on fait semblant et on fanfaronne et nos autorités nous rejouent la scène que les anglais affectionnent : celle du coq qui chante sur son tas de fumier.
Et tout ce joli monde hypocrite croise les doigts et sert les fesses en priant : "mon Dieu, faites que ça s'arrête !"
Or ça ne s'arrêtera pas tout seul au stade où on en est aujourd'hui........
[QUOTE=allouette;1712996]Merci de remettre la vérité à sa place... Il y a t il de nouveaux cas à ta connaissance ?[/QUOTE]
Si on ne les recherche pas, on n'en découvrira pas.
Pie 40 nous a rappelé que les virus circulent chez des hôtes asymptomatiques, c'est à dire sans signes cliniques de maladie.
Alors, si on suspend les contrôles, on pourra faire croire que le problème est réglé.
C'est ce qu'il se passe à mon avis depuis 8 jours.
[B]Les services de contrôle sont en vacances, mais peut-être pas les virus.[/B]
A titre comparatif, nous vivons en France depuis cet été sous la menace d'une autre épizootie chez les ovins et caprins : celle de la fièvre catarrhale ou "maladie de la langue bleue".
Alors que c'est beaucoup plus facile à contrôler qu'une épizootie de grippe aviaire, les services vétérinaires et autorités sanitaires n'ont pas réussi à contrôler ni enrayé cette maladie.
Mais on n'en parle pas. Comme si c'était réglé...
Récemment, c'est la tuberculose bovine qui a fait sa réapparition dans mon département (14). Là encore, malgré les risques, on en parle peu, le moins possible en fait.
Il en va ainsi de toutes les maladie animales, et surtout des plus dangereuses :
- parce que nos gouvernants et nos services de contrôle ne sont pas aussi efficace et compétents qu'ils le disent;
- parce qu'il ne faut surtout pas inquiéter les consommateurs;
- parce que les conséquences économiques sont lourdes.
Ce qui est gênant, c'est qu'en réalité, moins on contrôle la situation, plus elle risque de déraper et de déboucher sur une crise sanitaires majeure.
Mais chut ! Dormez tranquille...
:cri:
[QUOTE=Thesound;1713000]A titre comparatif, nous vivons en France depuis cet été sous la menace d'une autre épizootie chez les ovins et caprins : celle de la fièvre catarrhale ou "maladie de la langue bleue".
Alors que c'est beaucoup plus facile à contrôler qu'une épizootie de grippe aviaire, les services vétérinaires et autorités sanitaires n'ont pas réussi à contrôler ni enrayé cette maladie.
Mais on n'en parle pas. Comme si c'était réglé...
Récemment, c'est la tuberculose bovine qui a fait sa réapparition dans mon département (14). Là encore, malgré les risques, on en parle peu, le moins possible en fait.
Il en va ainsi de toutes les maladie animales, et surtout des plus dangereuses :
- parce que nos gouvernants et nos services de contrôle ne sont pas aussi efficace et compétents qu'ils le disent;
- parce qu'il ne faut surtout pas inquiéter les consommateurs;
- parce que les conséquences économiques sont lourdes.
Ce qui est gênant, c'est qu'en réalité, moins on contrôle la situation, plus elle risque de déraper et de déboucher sur une crise sanitaires majeure.
Mais chut ! Dormez tranquille...[/QUOTE]chuut l etat complote contre le grand thesound !! c est pas un symptome de la skizo ca!!!:))