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[COLOR=#000000][FONT=Arial][I]Quand on suit un camion de canards prêts à gaver, il y a un nuage de lisier qui vole, c’est visible. Et il y a ce que l’on ne voit pas, les déjections qui sont aussi semées le long de la route »[/I], précise t-il.[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=Arial]Un autre éleveur confie à [I]Basta ![/I] avoir appris lors des réunions d’informations que des camions passaient d’un élevage industriel à l’autre sans nettoyer les caisses.
JJB:
C'est toujours ce que j'ai mis en avant. merci Guy pour ce document qu tu mets en ligne.[/FONT][/COLOR]
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[COLOR=#000000][FONT=Arial]Les conditions d’élevage pourraient aussi être un terrain favorable à l’expression du virus. [/FONT][/COLOR][I]« Là où y a des fortes densités d’élevage, ça peut se diffuser très vite, précise Denis Fric. [I]Si les animaux ont des types génétiques très forts, la porte est grande ouverte au virus ». Or, comme le montre notre [URL="http://www.bastamag.net/Comment-les-multinationales-font-main-basse-sur-les-genes-des-animaux-de-ferme"]enquête sur la reproduction animale[/URL], les animaux de ferme sont sélectionnés en fonction de critères productifs pour l’industrie, ce qui aboutit à une très forte érosion de la biodiversité animale. Ce manque de diversité génétique des animaux d’élevage pourrait favoriser l’apparition et la diffusion de microbes pathogènes.[/I][/I]
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[h=3]Omerta sur le rôle de la filière industrielle dans la diffusion du virus[/h][COLOR=#000000][FONT=Arial]Que sait-on exactement de la manière dont s’est faite la propagation du virus ? [I]« [B]Tout le monde s’accorde pour dire que les oiseaux migrateurs n’ont rien à voir là-dedans »[/B][/I][B], [/B]pointe Denis Fric, vétérinaire.
JJB:
Bien evidemment[/FONT][/COLOR]
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Que dois faire le gouvernement ?
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[QUOTE=Philippe 62;1715464]Que dois faire le gouvernement ?[/QUOTE]
JJB:
Son boulot pour lequel il a été élu. Gérer au mieux l'intérêt commun.
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[URL="http://www.aqui.fr/mobile"]image: [/URL][URL]http://www.aqui.fr/bib/images/bandeau_mobile.jpg[/URL]
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[B]Aqui.fr - Partageons l'information en Aquitaine et bien au delà[/B] [CENTER]
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Agriculture[B]Virus aviaire : quid des basses-cours ?[/B]
image: [URL]http://www.aqui.fr/bib/photos/img_id_24214.jpg[/URL]
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[B]Les professionnels de la filière gras de 18 départements du grand Sud-Ouest se préparent au vide sanitaire imposé par le gouvernement pour éradiquer le virus aviaire. Qu'en est-il des basses-cours des campagnes, propriétés de particuliers, et souvent de professionnels agricoles ? Elles vont aussi être soumises à des règles de biosécurité plus strictes par un arrêté ministériel imminent. Le recensement de tous les palmipèdes est donc lancé mais beaucoup y vont à reculons, doutant parfois de l'intérêt de ces mesures. Exemple dans les Landes.[/B]
Les mairies des Landes ont jusqu'à fin février pour fournir à la préfecture le nombre de palmipèdes présents dans les basses-cours de leur commune. Les administrés ayant des canards ou des oies chez eux sont donc priés de se faire connaître mais vont-il jouer le jeu ? Jusqu'ici, à Banos au cœur de la Chalosse comme sans doute ailleurs, « les gens ne se bousculent pas à l'entrée de la mairie », reconnaît Pierre Junca, adjoint au maire : « on a quelques retours, mais je ne pense pas qu'on aura l'ensemble des éléments, c'est évident ».
Vide sanitaire aussi?Est considéré comme une basse-cour, un élevage détenu par un particulier ou un professionnel (souvent ayant d'autres activités agricoles) comptant de 1 à 249 volatiles (palmipèdes, volailles, espèces de collection, appelants pour la chasse...). L’objectif de ce recensement est de préparer la mise en œuvre de mesures d’assainissement en cours de détermination au ministère de l’Agriculture. C'est d'ailleurs au cœur d'une basse-cour que le virus aviaire avait été découvert en novembre dernier en Dordogne. Des lieux souvent perçus comme des sentinelles en cas d'épidémie, très utile dans la surveillance.
Les particuliers à qui les règles de bon sens ont déjà été rappelées par les services de l'Etat (faire attention à ce qui est introduit et sorti de sa basse-cour, laver ses mains, changer ses vêtements...) seront-ils alors, eux aussi, contraints au vide sanitaire ? L'arrêté le précisera. « C'est complexe d'un point de vue vétérinaire, il faut trouver des solutions intelligentes et prendre des mesures de biosécurité qui fassent que les efforts faits par les éleveurs professionnels ne soient pas anéantis par les basses-cours », explique Laurent Monbrun de la préfecture des Landes. Lors de ses récents vœux à la presse, la préfète Nathalie Marthien avait prévenu qu'elle serait « très ferme vis-à-vis des particuliers » : « on ne peut pas imaginer un assainissement des exploitations commerciales, et pas des basses-cours ».
Et la faune sauvage?Mais dans les fermes, le scepticisme est fréquemment observé. « On dit qu'il faut le faire mais est-ce bien utile ? », « boh boh boh, il y a toujours eu des bêtes qui sont mortes, on va pas en mourir », « c'est souvent bien plus propre et sain chez les particuliers qui gavent à l'ancienne que chez les gros avec leurs milliers de canards », entend-on ici ou là. Et les palmipèdes des lacs et rivières, il va aussi falloir faire le vide ?, demandent d'autres, alors qu'a priori, [B]le ministère s'oriente peu vers une souche liée à la faune sauvage. [/B]Dans ce territoire où le canard gras est roi, les questionnements autour de l'efficacité des mesures anti-influenza aviaire se multiplient. Dans le même temps, la Chalosse bruisse de rumeurs de canetons passant sous le manteau alors qu'ils sont censés ne plus entrer nulle part depuis le 18 janvier. Des contrôles sont quoi qu'il en soit menés partout pour que les règles soient assurées par tous car prendre des libertés avec ces mesures mettrait en danger la filière toute entière, assure-t-on à la préfecture.
Une chose est sûre en tout cas, les accouveurs gardent actuellement bien à l'abri leur cheptel de reproducteurs sains afin de redémarrer à fond la production au printemps et fournir toutes les exploitations en canetons dès la reprise officielle début mai.
Julie Ducourau
Photo: JD
Publié le 05/02/2016
En savoir plus sur [URL]http://www.aqui.fr/mobile/article.php?id_article=13141#4m808xO01Ghu4kqC.99[/URL]
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Ben oui, comme ça c'est de la faute à personne, ça exonère certaines filières et évite un éventuel conflit social…..
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[h=1]Grippe aviaire : de nouvelles contraintes pour les éleveurs[/h]Par Nelly Assenat et Claire Flochel, [URL="https://www.francebleu.fr/gascogne"] France Bleu Gascogne[/URL] et [URL="https://www.francebleu.fr/"] France Bleu[/URL] mercredi 10 février 2016 à 16:38
[IMG]https://www.francebleu.fr/cruiser-production/2016/02/1e4f2785-0388-416f-9cca-e07446e8d987/x870x489_maxwatier014868.jpg.pagespeed.ic.tdWJ6TXHxH.jpg[/IMG]Les particuliers s'en sortent bien, les éleveurs suivront de nouvelles règles © Maxppp Les arrêtés ministériels fixant les modalités du plan de lutte contre la grippe aviaire sont publiés ce mercredi 10 février. Les particuliers échappent aux abattages de leurs oies et canards mais les éleveurs voient le renforcement des mesures sanitaires qui leur sont désormais imposées.
Après cinq reports, le ministère de l'agriculture a publié ce mercredi 10 février 2016 deux arrêtés qui fixent les modalités du plan de lutte contre la grippe aviaire.
[B]Le premier arrêté fixe à un mois la durée du vide sanitaire[/B] dans le Sud-Ouest et le second met en place des mesures préventives pérennes pour éviter toute nouvelle épidémie.
[h=2]Un vide sanitaire jusqu'au 16 mai 2016[/h]Ce premier arrêté fixe donc la durée du [B]vide sanitaire[/B] imposé aux éleveurs et sans surprise, [B]il va durer un mois, **[/B]du 18 avril au 16 mai 2016**. Durant cette période les professionnels n'auront plus aucun canard ou caneton sur leurs exploitations et devront nettoyer et désinfecter toutes leurs structures (parcours, bâtiments etc.).
►►►[URL="https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=D85C1B428588FA326953755D2514BBB0.tpdila13v_2?cidTexte=JORFTEXT000032000273&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000031999976"]Le premier arrêté qui fixe les conditions du vide sanitaire[/URL]
A partir du 16 mai, les canetons pourront être réintroduits dans les exploitations landaises mais le temps de leur évolution, [B]on ne verra des canards en extérieur qu'à partir de début juin.[/B]
[h=2]Les particuliers échappent à l'abattage de leurs animaux[/h]C'était une demande de beaucoup de professionnels : que les particuliers soient soumis aux mêmes mesures afin d'éradiquer durablement le virus. Ils n'ont pas été entendus. Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire[/B]. S'ils ne les enferment pas ils peuvent les protéger en extérieur par des filets sur un parcours limité. Après cette date, les animaux pourront sortir en extérieur, mais sans être en totale liberté. Il faudra donc prévoir des grillages par exemple ou des enclos.
[h=2]Des mesures drastiques à partir du 1er juillet[/h]Les plus grands changements pour les éleveurs interviendront après le 1er juillet 2016. En effet, après cette date, ce sont de [B]nouvelles mesures[/B] qui entrent en vigueur pour l'élevage des palmipèdes et des volailles et [B]elles concernent tout le territoire français[/B] afin d'éviter une nouvelle apparition du virus.
Les mesures sanitaires sont renforcées. Il faudra notamment protéger les élevages de toute entrée potentielle du virus dans l'élevage, via l'homme, les véhicules ou le contact avec d'autres oiseaux. [B]L'arrêté recommande donc d'avoir une "bande unique"[/B] par unité de production, c'est-à-dire un ensemble homogène d'animaux qui vont vivre ensemble de la naissance à l'abattage. Si le producteur veut élever des canards d'âges différents, il sera soumis à des règles d'hygiène très strictes (changement de tenue des éleveurs, matériel réservé à chaque bande de canards ou alors nettoyage, suivi d'une désinfection et d'un vide sanitaire...).
►►►[URL="https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=D85C1B428588FA326953755D2514BBB0.tpdila13v_2?cidTexte=JORFTEXT000032000306&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000031999976"]Le second arrêté qui fixe les nouvelles règles sanitaires[/URL]
Certains dénoncent déjà des mesures qui pénaliseraient les plus petits producteurs.
Ces mesures demanderont des [B]investissements notamment dans les bâtiments [/B]et l'arrêté, qui entrera en application le 1er juillet 2016, fixe à deux ans le délai pour atteindre les objectifs.
Le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (Cifog), a pour sa part estimé à 220 millions d'euros les investissements que nécessiteront ces mesures de biosécurité et prévient déjà qu'elles entraîneront dans l'immédiat "une diminution des capacités de production".
L'épizootie d'influenza aviaire découverte fin novembre 2015 en Dordogne s'est étendue et, à ce jour, 70 foyers d'influenza aviaire hautement pathogène pour les volailles ont été détectés dans huit départements du Sud-Ouest
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Comme quoi, après enquête, ce sont uniquement la filière avicole et les modes d'élevage qui sont désignés comme responsables de la propagation du virus.
Quant à a faune sauvage, comme le soutien la LPO, elle n'est pas tenue responsable de la GA dans le SO, tout comme les volailles des particuliers, les oiseaux d'ornements et appelants.
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[COLOR=#333333]C[/COLOR][COLOR=#b22222][SIZE=3]'était une demande de beaucoup de professionnels : que les particuliers soient soumis aux mêmes mesures afin d'éradiquer durablement le virus. Ils n'ont pas été entendus. Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [/SIZE][SIZE=3][B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire.[/B][/SIZE][/COLOR]
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[LIST][*][COLOR=#FFFFFF]04/12/2015 12h41[RIGHT][URL="http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/showthread.php?43589-grippe-aviaire-2015-2016&p=1710570&viewfull=1#post1710570"]#48[/URL][/RIGHT]
[/COLOR]
[URL="http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/member.php?4253-JJB"]JJB[/URL]
chanteuse enrouéeInscrit mars 2005Messages15 878
[COLOR=#333333][INDENT]
JJB:
Interessant cet article. Mais n'existe t-il pas de porteurs sains du sidas, par ex ?
Je ne suis pas biologiste mais ce cas de figure n'est pas une nouveauté….
Sinon il est évident que la filière d'élevage de volailles préfère désigner une source extérieure plutôt que d'admettre des manquements d'hygiène ou autres mais dont la responsabilité engage les éleveurs et mode d'élevage.
Et pourquoi pas demander alors des indemnisations de l'Etat ?[/INDENT]
[/COLOR]
[B][RIGHT][COLOR=#FFFFFF]04/12/2015 12h33[/COLOR][/RIGHT]
[/B][*]
[URL="http://www.huttevirtuelle.com/la_communaute_des_sauvaginiers/member.php?4253-JJB"]JJB[/URL]
chanteuse enrouéeInscrit mars 2005Messages15 878
[COLOR=#333333][INDENT]Les migrateurs ont beau dos pour disculper les élevages intensifs en plein air. J'en ai vu un qui dévide sa merde sur les Bartles de l'Adour en toute impunité.
Je ne vous par le pas de l'odeur pestilentielle, de la pollution et l'agression du milieu !
Le législateur et les services vétérinaires seraient bien inspirés de définir des quotas d'oiseaux au mètre carré et une gestion écologique des fientes.[/INDENT]
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"[COLOR=#333333]Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [/COLOR][B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire. S'ils ne les enferment pas ils peuvent les protéger en extérieur par des filets sur un parcours limité. Après cette date, les animaux pourront sortir en extérieur, mais sans être en totale liberté. Il faudra donc prévoir des grillages par exemple ou des enclos.
[B]Des mesures drastiques à partir du 1er juillet"
[/B][/B]Donc, on va se retrouver, à terme, sous la législation de 2006 en matière de confinement des appelants
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[QUOTE=coinc59;1716369]"[COLOR=#333333]Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [/COLOR][B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire. S'ils ne les enferment pas ils peuvent les protéger en extérieur par des filets sur un parcours limité. Après cette date, les animaux pourront sortir en extérieur, mais sans être en totale liberté. Il faudra donc prévoir des grillages par exemple ou des enclos.
[B]Des mesures drastiques à partir du 1er juillet"
[/B][/B]Donc, on va se retrouver, à terme, sous la législation de 2006 en matière de confinement des appelants[/QUOTE]ca nous empecheras pas de chasser!!!de plus d ici juillet y aurat core du changement!!
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et je suis d accord avec jjb ca seras sur les zones infectées;)
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[QUOTE=coinc59;1716369]"[COLOR=#333333]Tous les particuliers qui détiennent chez eux des oies ou des canards pour leur consommation ou seulement pour l'ornement, ne sont pas obligés de les abattre. Ils devront en revanche [/COLOR][B]enfermer leurs palmipèdes et leurs volailles (poules, pintades etc.) durant toute la durée du vide sanitaire. S'ils ne les enferment pas ils peuvent les protéger en extérieur par des filets sur un parcours limité. Après cette date, les animaux pourront sortir en extérieur, mais sans être en totale liberté. Il faudra donc prévoir des grillages par exemple ou des enclos.
[B]Des mesures drastiques à partir du 1er juillet"
[/B][/B]Donc, on va se retrouver, à terme, sous la législation de 2006 en matière de confinement des appelants[/QUOTE]en mettant ca ta pas lu l annexe qui dit que ces dans les zones atteinte seulement