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[COLOR=#000000][FONT=arial]Les préfets organisent et mettent en œuvre une enquête de [B]surveillance nationale[/B] impliquant des exploitations désignées par tirage au sort ou en fonction d'une analyse de risque ou en fonction de considérations logistiques afin d'évaluer le niveau d'infection de l'influenza aviaire hautement pathogène, les liens épidémiologiques entre exploitations et l'extension de l'infection.[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#000000][FONT=arial]Cette enquête peut porter sur l'analyse du registre d'élevage, sur les flux d'animaux, de personnels et de matériels en lien avec l'élevage avicole, sur l'état de santé des animaux présents et, le cas échéant, sur des analyses de laboratoire. Le préfet peut exiger toutes les informations utiles dans ce cadre auprès des entreprises concernées.
Ca nous pend au nez, nous devons théoriquement nous conformer aux directives de 2006.
Maintenant, j'espère bien que ça ne nous empêchera pas de chasser, c'est juste
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Qui respecte cet arrêté?[B]
Les chasseurs pas oubliés[/B]
Les chasseurs ne sont pas oubliés par le ministre, qui dans les mesures de biosécurité, prend le soin de préciser, « pour les détenteurs non commerciaux d'appelants pour la chasse au gibier d'eau,[B] les mesures de biosécurité s'appliquant sont celles de l'arrêté du 1er août 2006 ». C'est-à-dire qu'elles restent inchangées[/B]. Prudence toutefois, car « la conservation ou le lâcher de gibier à plumes est conditionné à l'obtention d'un [B]dépistage virologique[/B] et sérologique favorable sur des prélèvements effectués entre le 18 janvier et le 31 mars 2016 ».
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[h=1]Antibiorésistance: les élevages français sont aussi touchés[/h]DR
[B]Décrite fin 2015 en Chine, l’inquiétante mutation mcr-1, qui confère une résistance à un antibiotique crucial pour la santé humaine, est bel et bien présente dans l’élevage français, révèle une nouvelle étude menée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses).[/B]
C’est ce qui s’appelle une découverte fulgurante: décrite pour la première fois [URL="http://www.journaldelenvironnement.net/article/antibioresistance-les-porcs-de-l-angoisse,64365"]fin novembre 2015[/URL] dans de la viande chinoise, mais aussi chez des patients hospitalisés, la mutation mcr-1 s’avère depuis présente partout où on la cherche, sur les cinq continents. [URL="http://www.journaldelenvironnement.net/article/antibioresistance-la-colistine-debut-d-une-histoire,65451"]Et même en France[/URL], comme l’a révélé en décembre une étude menée par l’Anses sur des échantillons de salmonelles isolées sur de la viande.
Si l’antibiorésistance inquiète autant les autorités sanitaires, c’est que ce phénomène atteint un tel niveau qu’il pourrait bientôt rendre de nombreux antibiotiques totalement inefficaces en santé humaine.
De plus en plus, les médecins doivent recourir à des médicaments qui n’étaient quasiment plus utilisés, dont la colistine, depuis peu cruciale pour lutter contre les souches bactériennes multirésistantes. Or la colistine est aussi un médicament très utilisé dans les élevages, particulièrement en prévention et en traitement des diarrhées chez le porc (adulte, porcelet), ainsi que chez le veau et la volaille.
Malgré les appels à réfréner son usage, de la part de l’Agence européenne du médicament (EMA) en 2013 et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2012, rien n’a changé. La découverte de la mcr-1, qui s’est mondialisée avant même qu’on ait pris connaissance de son existence, est donc considérée comme une grave menace pour la santé mondiale.
5,9% d’E. coli positifs chez la dinde
Publiée jeudi 11 février dans le bulletin du Centre européen pour la prévention et le contrôle des maladies (ECDC), [I]Eurosurveillance[/I], une [URL="http://www.eurosurveillance.org/ViewArticle.aspx?ArticleId=21380"]nouvelle étude[/URL] de l’Anses (Laboratoire de Fougères, Ille-et-Vilaine) révèle une fréquence élevée de la mutation mcr-1 dans les élevages français. Menée sur 1.696 isolats d’[I]Escherichia coli[/I], elle montre que 5,9% des 239 souches prélevées sur des dindes en 2014 étaient résistantes à la colistine, toutes du fait de mcr-1.
Toujours cette année-là, 1,8% des 227 souches provenant de poulets étaient aussi porteuses de mcr-1, contre 1,6% des 193 prélevées en 2013. En 2012, aucune des 395 souches d’E. coli, aussi bien issues de porcs que de poulets, n’était positive. Selon une autre étude de l’Anses, publiée en janvier et menée chez le veau, c’est en 2005 que l’on retrouve pour la première fois la présence de mcr-1 en France.
Suite à l’avalanche de rapports sur le sujet, issus d’un nombre croissant de pays, l’Agence européenne du médicament (EMA) s’est décidée à revoir son dernier avis sur l’usage de la colistine en médecine vétérinaire, publié en 2013: elle y recommandait de ne réserver le médicament qu’au traitement des animaux malades et de ceux en contact avec eux, mais de bannir tout usage préventif –un avis qui n’était en rien contraignant. De nouvelles recommandations devraient être publiées dans les six prochains mois, a annoncé l’agence mi-janvier.
Jeudi 11 février, l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) a publié son [URL="http://www.efsa.europa.eu/en/efsajournal/pub/4380"]nouveau rapport annuel[/URL] sur l’antibiorésistance dans l’UE. Sans surprise, la situation continue à se dégrader. Notamment pour de banales infections alimentaires: 60,2% des campylobactérioses, les plus courantes, sont résistantes à la ciprofloxacine. Et 26% des salmonelloses sont qualifiées de multirésistantes aux antibiotiques.
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grippe aviaire: état des lieux:
[url]http://www.ladepeche.fr/article/2016/02/14/2276988-les-migrateurs-hors-de-cause.html[/url]
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Pour l'emploi systématique dans les élevages à titre préventif d'antibiotiques mais aux conséquences immunitaires préjudiciables, je m'en était longuement exprimé fin novembre début décembre.
Mes sources étaient celles d'un vétérinaire…Malgré cette fiabilité de premier ordre , cela avait été contesté (comme tout le restant) par quelques esprits grincheux et cherchant à nuire à la collectivité tonnayre du secteur atteint par la GE (Landes tout particulièrement).
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lire: GA
Merci Guy pour ce suivi de l'information.
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[url]http://www.sudouest.fr/2016/02/23/deux-nouveaux-cas-de-grippe-aviaire-detectes-en-dordogne-2282056-7496.php[/url]
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[QUOTE=pioupiou64;1717197][URL]http://www.sudouest.fr/2016/02/23/deux-nouveaux-cas-de-grippe-aviaire-detectes-en-dordogne-2282056-7496.php[/URL][/QUOTE]
La tronche des piafs :G:G
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un élevage touché pour la seconde fois...., j'ai du loupé un épisode: abattage,vide sanitaire,..ect..:/:
2 fois en 2 mois cela semble étonnant.
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Vous trouverez par ce lien les mesures de biosécurité (visite des parcs) dans le Sud-Ouest. Ceci risque d'être étendu à toute la France
[url]http://www.fedechasseurslandes.com/Grippe-aviaire-controle-des.html[/url]
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[QUOTE=couacpc;1718357]En bref, ça va bien suer le petit détenteur d'appelant qui doit faire comme dans les gros élevage de daube.
Changer de vêtement, de bottes, mangeoire strictement réservée... :))[/QUOTE]salut couacp pis ca devait etre la fin des appellants pis la mort du chasseurs de gibiers d eau pour certains j avais affirme le contraire!!
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Ils vont contrôler les détenteurs d'appelants certe , mais ils font quoi avec les basses cours des particuliers et autre ??? :/:
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les contraintes actuelles ne sont ni plus ni moins que celles que l'on doit appliquer depuis 2006.
surtout ne pas mélanger appelants et volailles de basse-cour.
Je peux vous en parler,le premier controle a été réalisé chez moi.
Pour ce qui est des controles dans les basse-cours des particuliers,ce sont les maires qui vont s'en occupper pendant le vide sanitaire.
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Pour résumer ils vont débarquer et nous soumettre à des règles drastiques :G
Et à contrario foutre la paix aux voisins qui a 2/3 poules ?? :/:
Fumisterie tout ça une fois de plus :fou:
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si on veut que les appelants gardent un statut à part,il faut conserver le baguage et le carnet appelants,ainsi que les contrainte de fermeture des volieres et de protection de l'alimentation.