la loutre et son plan d'action
[url]http://www.sfepm.org/pdf/PNALoutre.pdf[/url]
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la loutre et son plan d'action
[url]http://www.sfepm.org/pdf/PNALoutre.pdf[/url]
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: L’avenir des oiseaux en milieu littoral
[url]http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/66/76/20/PDF/chapitre_10.pdf[/url]
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35 ans de protection des zones humides landaises par les chasseurs
[url]http://www.fedechasseurslandes.com/IMG/pdf/zh_bassedef.pdf[/url]
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LES EFFETS NÉGATIFS DES PRODUITS AGROCHIMIQUES
SUR LES OISEAUX D’EAU MIGRATEURS EN AFRIQUE
[url]http://www.unep-aewa.org/meetings/fr/mop/mop5_docs/info_pdf/mop5_inf_5_5_agrochemicals_report_fr.pdf[/url]
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observatoire national scientifique et citoyen
site sympa
[url]http://www.observatoirenationalmigrateurs.net/[/url]
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notion sanitaire d'un nuisible
[url]http://www.unapaf.com/docs/Rapport-mission-lang-def.pdf[/url]
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region zone humide
[COLOR=#000000][FONT=Times New Roman] l’Afrique de l’Ouest. Cette région comprend les onze pays maritimes de l’Afrique de l’Ouest (Bénin, Côte-d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Libéria, Nigéria, Sénégal, Sierra Léone, Togo) auxquels s’ajoutent trois pays sans débouché sur la mer (Burkina Faso, Mali, Niger) ; le Tchad étant inclus pour des raisons d’intégrité géographique. La région couvre 4510 km d’Est en Ouest, de la frontière orientale du Tchad (24°E) jusqu’au Cap vert au Sénégal (17° 31’O), et environ 2330 km du Nord au Sud, de la frontière nord du Mali (25° N) au point le plus méridional du delta du Niger (4° 17’ N). La surface totale de la région est de 6275 782 km2 et les trois pays sahéliens (Tchad, Mali, Niger) constituent 59% (3 710 550 km2) de la surface totale. Le drainage de toute la région est assuré par une série de bassins hydrographiques intérieurs dont les cours d’eau s’écoulent directement vers la mer ou vers le fleuve Niger au Nord. A l’extrême Ouest, les eaux de toute la région couvrant le Sénégal, la Gambie et la Guinée-Bissau se jettent directement dans l’Océan Atlantique. A l’extrême Ouest, les eaux du sud tchadien, du Niger oriental et du Nord-Est du Nigéria s’écoulent vers le lac Tchad. Le Chari et ses affluents drainent les zones montagneuses du sud (au Cameroun et en République Centrafricaine), situées pour la plupart en dehors de la région 3. Les cours d’eau drainant les zones désertiques du Niger et du Tchad sont saisonniers, et leur influence sur l’hydrologie du lac est peu importante. Quant aux zones humides proprement dites, les mangroves, soumises à l’influence des marées, sont présentes sur toute la côte de la région ; les mieux développées sont celles de Gambie, de Guinée-Bissau, de Sierra Léone et du Nigéria où elles peuvent atteindre une largeur de 50 km. Dans le delta du Niger, la mangrove est bordée d’étendues de forêt marécageuses d’eau douce couvrant 1 760 000 ha. De grandes étendues de forêts marécageuses occupent également la zone bordant les mangroves de Guinée-Bissau, de Sierra Léone, du Libéria et, dans une moindre mesure, de la Côte d’Ivoire. Certaines prairies secondaires de la zone côtière basse sont sujettes à des inondations saisonnières, comme par exemple aux environs d’Accra au Ghana. Les lagunes littorales sont bordées de zones marécageuses comprenant de nombreux lacs côtiers. Les forêts-galeries qui s’étendent jusque dans les savanes de l’intérieur sont en partie sujettes aux inondations saisonnières. D’autres zones humides de la zone soudanienne sont indépendantes des cours d’eau. Il en est ainsi des nombreuses cuvettes et mares à fonds argileux qui retiennent de l’eau de manière permanente la plupart des années, comme les [/FONT][/COLOR][I]‘’firiki’’, les [I]‘’fako’’, les [I]‘’kabe’’ ou les [I]‘’fabki’’, ainsi qu’on les appelle au Nigéria.[/I][/I][/I][/I]
region zone humide
[COLOR=#000000][FONT=Times New Roman] l’Afrique du Nord-Est constituée des pays suivants : Burundi ; Djibouti ; Egypte ; Ethiopie ; Kenya ; Ouganda ; Rwanda ; Somalie ; Soudan ; Tanzanie. Cette région qui est la plus grande des cinq, couvre 6 995 265 km2 et comprend les pays dont les eaux s’écoulent pour la plupart vers le Nil, excepté Djibouti et la Somalie. C’est aussi la région la plus peuplée, avec plus de 166 055 000 ha en 1983. Cette région possède 10 370 km de littoral. Les plaines côtières sont en général étroites, de 3 à 30 km de large, à l’exception du Kenya ou du Sud de la Somalie où elles peuvent atteindre jusqu’à 150 km de large. Les montagnes, derrière les plaines côtières bordant les anciennes vallées du Rift de la mer Rouge et de ses golfes au Nord, atteignent 2637 m d’altitude à Gabel Katherina. Plus au Sud, le lac Victoria est flanqué à l’Est et à l’Ouest de puissants massifs montagneux. Les zones humides comprennent des marais salés sur les côtes de l’océan Indien, de la mer Rouge et de la mer Méditerranée et localement sur de grandes surfaces au Kenya et en Tanzanie derrière les mangroves. Les lagunes côtières représentent un trait principal du delta du Nil, et on les rencontre aussi au bord de la mer Rouge, mais les lacs côtiers sont rares dans cette région. Les marais herbacés ou à cypéracées sont exceptionnellement fréquents dans les zones centrales et équatoriales de la région le long des rivières, par exemple le Sudd au bord du Nil, dans les vallées dont le drainage est empêché et autour des lacs à variations de niveau importantes. On trouve des forêts permanentes marécageuses autour du lac Victoria et des forêts sujettes à des inondations saisonnières le long de plusieurs rivières de la zone équatoriale. Comme les pluies sont saisonnières, les plaines d’inondation fluviales sont fréquentes, et beaucoup d’entre-elles sont une végétation dominante d’herbacées. Les lacs sont très nombreux, qu’ils soient endoréiques et extrêmement salés, comme le lac Natron, de grands lacs peu profonds, comme le lac Victoria, ou profonds, comme le lac Tanganyika, ou des lacs de retenue, à l’instar du lac Nasser. On rencontre des tourbières moussues en haute montagne, des oasis dans les déserts, des oueds sujets à avalasses, des rivières asséchées pendant plusieurs mois chaque années et des lacs temporaires dont les eaux souterraines ramollissent la surface après de fortes pluies sur des bassins de réception éloignés.[/FONT][/COLOR]
region zone humide
[COLOR=#000000][FONT=Times New Roman] l’Afrique du Nord, comprenant six pays, à savoir : l’Algérie, la Libye, le Maroc, la Mauritanie, le Sahara Occidental[/FONT][/COLOR][COLOR=#000000][FONT=Times New Roman][/FONT][/COLOR][URL="http://theses.univ-lyon3.fr/documents/getpart.php?id=lyon3.2011.bendegue_jmv&part=314240#Noteftn278"][SUP]278[/SUP][/URL][COLOR=#000000][FONT=Times New Roman], la Tunisie, qui possède chacun, une façade maritime de grande taille. Cette région couvre plus de 5 896 000 km2 dont la majeure partie se trouve au nord du Tropique du Cancer. Elle fait partie de la plus grande zone aride du monde. A l’exception des montagnes, l’intérieur est dominé par les étendues désertiques sableuses ou rocheuses du Sahara, qui sont parsemées de grandes dépressions salées asséchées. La pluviosité est inférieure à 100 mm/an sur 90% de la région. Sur une grande partie de l’intérieur, la densité est inférieure à 1 hab./km2, et de vastes régions sont inhabitées. Dans ce contexte, les zones humides sont principalement constituées de mangroves, principalement situées sur la côte mauritanienne, des marais saumâtres, sur la côte atlantique nord, des marais et marécages à herbacées qui bordent les plages de la région depuis le delta du Sénégal jusqu’à Tarfaya dans le sud du Maroc. L’Atlas marocain est également parsemé d’un grand nombre de lacs naturels, ainsi que de quelques retenues. En Algérie et en Tunisie, les principales zones humides sont les chotts, qui sont de grandes étendues de marais saumâtres situées à l’intérieur des terres. On recense également des zones humides côtières au cours de l’hiver, ainsi que des plaines d’inondation autour des oueds, [/FONT][/COLOR][I]‘’wadi’’ au Sahara Occidental, et des [I]‘’gueltas’’, mares d’eau qui se forment autour des rivières au fond des gorges des massifs. Dans le désert se trouvent également des oasis alimentés par des nappes souterraines qui se trouvent parfois à plusieurs centaines de kilomètres de leur bassin versant.[/I][/I]
voici les zones principales d'hivernage des oiseaux d'eau (entre autre ) en afrique
zones humides sibériennes
[url]http://www.chantier-arctique.fr/fr/uploads/Permafrost_5_Zakharova.pdf[/url]
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peut etre l'avenir
L'économie des écosystèmes et de La biodiversité
pour L'eau et Les zones humides
[url]http://www.ramsar.org/pdf/TEEB/TEEB_WaterWetlands_ExecSum_2013-FR.pdf[/url]
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reseau castor france
[url]http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/file/mammiferes/autres-especes/castor_synthese_nationale_oncfs_2012.pdf[/url]
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journée mondiale des zones humides 2013
rapport
[url]http://www.zones-humides.eaufrance.fr/sites/default/files/bilan_jmzh_2013_-_vf-reduit.pdf[/url]
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Peu de zones humides échappent à la colonisation
par des espèces envahissantes et proliférantes
[url]http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/fileadmin/documents/Produits_editoriaux/Publications/Le_Point_Sur/2013/lps-165-especes-envahissantes-corrige.pdf[/url]
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Guide d’identification et de délimitation
des sols des zones humides
[url]http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/Guide_hors-sol_02-05-13_light-1.pdf[/url]
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[B]droit de chasse au gibier d'eau sur son domaine public fluvial pour la période du 1er juillet 2013 au 30 juin 2019
[/B][url]http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=?cidTexte=JORFTEXT000027140843&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id[/url]
[CENTER][COLOR=#000000][FONT=arial][/FONT][/COLOR][/CENTER]clic
alerte mnhn
[h=2]Wanted ! Recherche de vers plats[/h][COLOR=#252525][FONT=Arial]Le 31.10.2013[/FONT][/COLOR][COLOR=#919191][FONT=Verdana]Par:
Lisa Garnier
[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#B6C930][FONT=Arial]Catégorie: [/FONT][/COLOR]
[LIST][*][URL="http://vigienature.mnhn.fr/category/type-darticle/actualites"]ACTUALITÉS, [/URL][*][URL="http://vigienature.mnhn.fr/category/categories/jardins"]JARDINS,[/URL][/LIST]
[COLOR=#252525][FONT=Arial][IMG]http://vigienature.mnhn.fr/sites/vigienature.mnhn.fr/files/uploads/imagecache/image_content_full/Plathelminthes%20invasifs%20terrestres%20en%20France%20-%20carte%20au%2025-10-2013.jpg[/IMG]
[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#919191][FONT=Verdana]©Jessica Thévenot | MNHN
[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]Ce post exceptionnel pour épauler le Professeur Jean-Lou JUSTINE du [URL="http://www.mnhn.fr/le-museum/"]Muséum national d’Histoirenaturelle[/URL] qui s'est lancé dans un état des lieux des populations envahissantes de vers plats, lesplathelminthes terrestres.[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial][B][I]Une quête récente[/I][/B][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]En mai 2013, Jean-Lou a été informé de la présence d'un ver étrange, inconnu de la faune française, par des amateurs naturalistes. Après avoir étudié en détail les photographies, il est convaincu que c'est uneespèce de plathelminthe terrestre, un animal vivant normalement dans l'hémisphère sud. Plusieurs de cesespèces exotiques ont été introduites de façon non intentionnelle en Grande Bretagne et sont devenuesenvahissantes. Leur principal problème est d'être des prédateurs des vers de terre, limaces et cloporteseuropéens, utiles dans le recyclage des matériaux organiques (compost, par exemple) nécessaire à lafertilisation des sols.[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]De fil en aiguille, Jean-Lou crée [URL="https://sites.google.com/site/jljjustine/plathelminthe-terrestre-invasif"]son blog (ici)[/URL] et informe sur ses découvertes françaises. Comme personnene s'est encore intéressé à ces animaux en France, il découvre qu'il y a probablement quatre espècesdistinctes, mais il ne pourra en être sûr que lorsque la période de « relève des données » sera passée....[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial][IMG]http://vigienature.mnhn.fr/sites/vigienature.mnhn.fr/files/uploads/images/%40Christian%20BartholinP1100278.jpg[/IMG][LEFT][COLOR=#000000][FONT=verdana][/FONT][/COLOR][/LEFT][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]Le plathelminthe [I]Bipalium kewense[/I] avec un lombric ©Christian Bartholin[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial][B][I]Comment l’aider dans ses recherches ?[/I][/B][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]Alors que l'hiver approche, il demande à toute personne découvrant dans son potager, dans son verger ou ses pots de fleurs, des vers plats ([URL="https://sites.google.com/site/jljjustine/plathelminthe-terrestre-invasif/que-faire-si-je-trouve-un-plathelminthe"]pour s'en assurer cliquer ici[/URL]) de[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]1- noter l'endroit de la découverte (jardin? dans la terre? sous un pot de fleurs? ailleurs? )[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]2- Faire des photos de près (avec un smartphone, par exemple) et lui les envoyer par email[EMAIL="justine@mnhn.fr?subject=plathelminthe%20terrestre"]justine@mnhn.fr[/EMAIL][/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]Il a particulièrement besoin de données dans le Sud-Ouest de la France, le Centre, l'Est et le Nord ![/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]Avec l'aide précieuse de Jessica Thévenot du [URL="http://www.mnhn.fr/spn/"]Service du Patrimoine Naturel[/URL] (SPN) au Muséum qui s'occupe de mettre en forme les données et de réaliser une cartographie, Jean-Lou pourra donner des nouvelles de ses découvertes scientifiques au printemps 2014.[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#252525][FONT=Arial]______________________________________________________________________________________[/FONT][/COLOR]
[h=2]Des oiseaux dans 8117 jardins[/h][COLOR=#252525][FONT=Arial]Le 21.10.2013[COLOR=#919191][FONT=Verdana]Par:
Lisa Garnier
[/FONT][/COLOR]
[COLOR=#B6C930]Catégorie: [/COLOR]
[LIST][*][URL="http://vigienature.mnhn.fr/category/type-darticle/actualites"]ACTUALITÉS, [/URL][*][URL="http://vigienature.mnhn.fr/category/categories/oiseaux"]OISEAUX,[/URL][/LIST]
[IMG]http://vigienature.mnhn.fr/sites/vigienature.mnhn.fr/files/uploads/imagecache/image_content_full/004%20%289%29.jpg[/IMG]
[COLOR=#919191][FONT=Verdana]Merle noir ©Collectif [url]www.faune-maine.org[/url] | Observateur de Oiseaux des jardins
[/FONT][/COLOR]
Alors que les oiseaux sont de plus en plus visibles dans les jardins, le moment est bienvenu pour vousdonner quelques nouvelles de l'observatoire des [URL="http://vigienature.mnhn.fr/observatoire-des-oiseaux-des-jardins"]Oiseaux des jardins de Vigie-Nature[/URL] mis en place par le[URL="http://www.mnhn.fr/le-museum/"]Muséum national d’Histoire naturelle[/URL] et la [URL="http://www.lpo.fr/"]Ligue pour la Protection des Oiseaux[/URL] (LPO). Les résultats que jevous présente sont issus des données envoyées par les observateurs du 1er avril 2012 à la fin du moisd'août 2013.
[B][I]L'observation des oiseaux se pratique partout en France[/I][/B]
8117, c'est le nombre de jardins (balcons, terrasses compris) ayant été scruté par des observateurslocalisés un peu partout en France métropolitaine, comme le prouve cette carte :
[IMG]http://vigienature.mnhn.fr/sites/vigienature.mnhn.fr/files/uploads/images/carte%20jardins.jpg[/IMG]
Comme sur l’énorme quantité d’observations, des espèces généralement peu présentes dans les jardinsont été répertoriées (tadorne de Belon, sarcelle d'hiver, guêpier), les statistiques ont été réalisées à partir des espèces d'oiseaux ayant fait l’objet d’au moins 1000 observations. Ce qui représente 367 000 observations de 46 espèces soit 1 287 000 individus !
[B][I]Quelles espèces d'oiseaux dans les jardins ?[/I][/B]
Cinq à neuf espèces sont en moyenne observés dans les jardins lors des séances de suivi. Les cinq espèces les plus fréquentes sont dans l'ordre, la mésange charbonnière, le merle, la mésange bleue, le moineau domestique et le pinson des arbres.
[IMG]http://vigienature.mnhn.fr/sites/vigienature.mnhn.fr/files/uploads/images/Schema2-2.png[/IMG]
En revanche, ces espèces ne sont pas forcément les plus abondantes. Ainsi le moineau domestique, qui n'est pas le plus fréquent, détient la médaille du nombre d'individus observés. En analysant plus attentivement[URL="http://vigienature.mnhn.fr/sites/vigienature.mnhn.fr/files/uploads/images/ODJ_Classement-especes-frequence.pdf"] les oiseaux fréquents (ici)[/URL] et [URL="http://vigienature.mnhn.fr/sites/vigienature.mnhn.fr/files/uploads/images/ODJ_Classement-especes-abondance.pdf"]abondants (là)[/URL], on note que l'accenteur mouchet (classé 12e dans le tableau des oiseaux fréquents) et la sitelle torchepot (classé 14e dans le tableau des oiseaux fréquents) visitent régulièrement les jardins sans pour autant être nombreux puisqu'ils n'apparaissent pas dans le tableau des 14 espèces abondantes.
Inversement, les tarins des aulnes et les pinsons du nord, arrivent en groupe : plus inhabituels dans les jardins, leur présence ne passe pas inaperçue au vu de leur nombre, supérieurs pour chacun d’eux aux effectifs d’accenteurs ou de sitelles !
[B][I]Espèces solitaires, espèces grégaires[/I][/B]
Les espèces les plus abondantes et fréquentes en hiver, comme les mésanges bleue et charbonnière, sont celles qui se regroupent dès l'automne pour rechercher de la nourriture. Dès la belle saison, elles se consacrent à la reproduction et perdent ce caractère grégaire pour n’apparaître qu’en couples ! Le rouge-gorge, solitaire et très territorial, est un familier des jardins toute l'année. Tout comme la sitelle et l'accenteur.
[/FONT][/COLOR]
[url]http://adhcges.skyrock.com/[/url]
on peut aider des amis
aller voir ;)
ONCFS ces quoi ?
que font t'ils ?
[url]http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/DRH/bilan_social_ONCFS_2012.pdf[/url]
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les lagunes du sud
video
[url]http://www.youtube.com/watch?v=BXgdcoiLUcc[/url]
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[QUOTE=bambimboum;1643558]simulateur de l’élévation du niveau de la mer pour x raison...
[URL]http://flood.firetree.net/[/URL]
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Super précis ton lien, j'habite dans un marais, et il donne précisément les points bas OU l'eau stagne actuellement, c'est très impressionnant!
Et perso avec 4 mères d'élévation, je pourrai attacher dans ma cour et tirer depuis mon canapé, cool!!!!!:))
[h=1]Effets de l'élevage sur le succès de nidification de vanneaux [I]Vanellus vanellussur le pâturage des marais côtiers à Elmley Marais, Kent, Angleterre[/I][I][/I][/h][B][I]Publié détails de la source[/I][/B]
[I]Hart JD, Milsom TP, Baxter A., Kelly PF et Parkin WK (2002) L'impact de l'élevage sur vanneau [I]de Vanellus les densités et les performances élevage sur pâturage des marais côtiers. [I]Bird Study , 49, 67-78[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Fond[/I][/I][/I][/h][I][I][I]La zone écologiquement sensible du Nord Kent marais contient la plus grande étendue restante de pâturage des marais côtiers en Angleterre, et l'une des plus importantes populations reproductrices de vanneaux[I]Vanellus vanellus[/I] sur les prairies humides de plaine. Cette étude a examiné l'impact de l'élevage sur le succès de la nidification des vanneaux à Elmley Marais (51 ° 22'N, 0 ° 47'E) sur l'île de Sheppey, Kent, Angleterre.[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Action[/I][/I][/I][/h][I][I][I]Vanneau données de nidification ont été recueillies entre le 15 Avril et le 14 Juin 1997, 18 marais, qui étaient largement similaires dans la topographie, les caractéristiques de sward et l'humidité (et avaient tous été pâturées l'année précédente). Entre le 6 et le 21 Avril, moutons, bovins ou allaitantes bovins ont été introduits à 12 des marais, et faibles densités de 0,20 à 0,51 (c.-unités de gros bétail / ha) ont ensuite été maintenus lorsque cela est possible. Les six marais restants ont été laissés non pâturées. Nest et la survie des poussins ont été estimés à partir des données de marais avec cinq ou plusieurs tentatives de nidification: 50 nids de quatre marais non pâturées; 36 nids de quatre pâturées des marais. L'observation du comportement d'incubation ont également été effectuées pour 14 nids sur les marais non pâturées et neuf nids sur les marais pâturés.
[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Conséquences[/I][/I][/I][/h][COLOR=#333333][FONT=Tahoma][I][I][I]La taille des couvées était plus grande sur l'absence de broutage de marais pâturés, avec trois œufs (par opposition à quatre œufs) embrayages significativement plus fréquentes sur ce dernier. survie de nid était significativement plus faible pour les embrayages de trois œufs (21 ± 1,3%; [I]n[/I] = 18) que pour les embrayages à quatre oeufs (57 ± 0,8%; [I]n[/I] = 43). Dans l'ensemble, la survie au nid moyenne sur les marais non pâturées était de 63,6 ± 19,6%, comparativement à 33,8 ± 9,4% sur les marais pâturés. Il y avait des éléments de preuve d'un risque accru de prédation sur les marais pâturés: 58% des nids ont été perdus à la prédation sur les marais pâturés par rapport à 36% des nids sur pâturé. Trois des 15 nids unpredated sur les marais pâturés ont été perdus au piétinement par le bétail. Incubation des oiseaux dans les marais pâturés ont également laissé leurs œufs significativement plus souvent (en raison de la perturbation de l'élevage, des prédateurs et des travaux agricoles) que ceux sur les marais non pâturées. [B]Remarque:[/B] Si vous utilisez ou se référant à cette étude publiée, s'il vous plaît lire et citer le document original, l' résumé de ce qui peut être consulté à:
[B][/B][/I][/I][/I][/FONT][/COLOR]
[h=1]L'efficacité d'une mesure agroenvironnementale visant à fournir un habitat de nidification pour les Vanneaux huppés [I]Vanellus vanellus en terres arables dans le Shropshire et Staffordshire, Angleterre[/I][I][/I][/h][B][I]Publié détails de la source[/I][/B]
[I]Sheldon RD, Chaney K. & Tyler GA (2007) Facteurs influant sur la survie au nid de Vanneaux huppés [I]Vanellus vanellus en terres arables: une prescription de mesures agro-environnement peut améliorer la survie au nid.[I]Bird Study , 54, 168-175[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Fond[/I][/I][/I][/h][I][I][I]Au Royaume-Uni, le Vanneau huppé [I]Vanellus vanellus[/I] est l'un de seulement quelques espèces répandues d'oiseaux des champs pour nicher dans les champs cultivés ouverts, et en tant que tel de ses nids peuvent être vulnérables aux activités agricoles telles que la culture et le hersage pendant la saison de reproduction.Cette étude a évalué l'efficacité d'une mesure de gestion arables spécialement conçu pour offrir un habitat de nidification pour les vanneaux, ce qui était disponible sous un programme agroenvironnemental pilote introduite en Angleterre en 1998.[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Action[/I][/I][/I][/h][I][I][I]Les données sur le succès (ou non) des nids de vanneaux ont été recueillies au cours des saisons de 28 fermes dans le Shropshire et Staffordshire, centre-ouest de l'Angleterre élevage 1999 et 2000. Dix des fermes avaient mis en œuvre la mesure agroenvironnementale visant à bénéficier vanneaux élevage, qui se composait d'une céréale de hivernent ou lin chaume, suivis par la culture lumière du sol à la profondeur de c.75-100 mm (pour créer un rude surface avec beaucoup de sol nu) au cours de Mars, puis laisser le champ en jachère jusqu'à la mi-Juillet.[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Conséquences[/I][/I][/I][/h][I][I][I]Quatre-vingt-cinq pour cent des nids de vanneaux ( [I]n[/I] = 34) dans les domaines gérés en vertu de la mesure agroenvironnementale ciblée éclos au moins un poussin, comparativement à 64% des nids ( [I]n[/I] = 154) dans les domaines relevant d'autres régimes de gestion. Pas de nids ont été perdus aux exploitations agricoles dans les champs sous gestion de vanneau-amicale, alors que plus de 50% ont été perdus dans les céréales de printemps et les chaumes (par exemple, au matériel et labour). Les estimations des taux de survie des nids dans des domaines relevant de l'action ciblée étaient élevés (survie quotidienne = 0,992), et significativement plus élevés que ceux des céréales de printemps (0,950), chaumes (0.961) et des habitats d'herbe (0,955).[/I][/I][/I]
[h=1]Impact de pré restauration sur Vanneau huppé [I]Vanellus vanellus élevage dans les terres agricoles mixte près Västerfärnebo, Västmanland, Suède[/I][I][/I][/h][B][I]Publié détails de la source[/I][/B]
[I]Dynamique et la reproduction de Vanneaux huppés Berg a., Jonsson M. Lindberg T. & Källebrink KG (2002) Population [I]Vanellus vanellus dans une zone pré de restauration dans le centre de la Suède. [I]Ibis , 144, 131-140[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Fond[/I][/I][/I][/h][I][I][I]Cette étude a examiné les effets d'un programme de restauration de la prairie sur le choix du site de nidification, le succès d'éclosion et les numéros locaux de Vanneau huppé Vanellus vanellus élevage dans une zone de terres agricoles mixte 59 km ² autour du village de Västerfärnebo (c. 59 ° 57'N, 16 ° 17'E), Västmanland, centre-sud de la Suède.[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Action[/I][/I][/I][/h][I][I][I]En 1985-1986 (au début de la période d'étude), la plupart des prairies ont été abandonnés et envahis par les arbustes, mais un vaste programme de restauration a été lancé en 1987, qui a entraîné une augmentation de la superficie des prairies gérées à partir de 163 ha en 1985 à 530 ha en 1994. En 1994, 42% des prairies gérées ont été coupées pour le foin, et 58% ont été légèrement pâturées par des bovins (<1 vache / ha dans la plupart des régions).[/I][/I][/I]
[I][I][I]Chaque année (1984-1994), le site d'étude (prés, prairies cultivées et les terres arables) a été étudiée pour la reproduction des vanneaux à partir du 1er Avril à la fin de Juin. Motifs de la sélection du site de nidification ont été analysés en comparant le nombre de nids dans chaque habitat avec le nombre attendu sur la base de la disponibilité (c'est à dire de surface moyenne) des habitats. Les estimations de succès d'éclosion ont été calculées en utilisant la méthode de Mayfield.[/I][/I][/I]
[h=2][I][I][I]Conséquences[/I][/I][/I][/h][I][I][I]Au total, 1 503 nids premier embrayage (et plus de 2600 nids généraux) ont été trouvés au cours de 1984 à 1994, la grande majorité d'entre eux étaient dans les champs cultivés (cultures notamment semées au printemps). Bien que plus ont été trouvés dans les prairies gérées ( [I]n[/I] = 40) de prairies non gérés ( [I]n[/I] = 14), les deux habitats ont été utilisés pour la nidification moins souvent que prévu en fonction de leur disponibilité, et il n'y avait aucune preuve de tout changement important dans la sélection du site de nidification (par exemple, une augmentation du nombre de tentatives d'emboîtement sur les prairies gérées) au cours de l'étude.Néanmoins, le succès d'éclosion moyenne (les deux premier et second embrayages) en gestion (c.78%) et non gérés (90%) des prairies a été jugée nettement plus élevé que dans l'habitat préféré de printemps semé des cultures / sol (c.29%) .[/I][/I][/I]
[I][I][I]Malgré l'augmentation substantielle dans le domaine des prairies gérées, aucune augmentation significative n'a été observée dans le nombre de couples reproducteurs de vanneau dans la zone d'étude, qui varie entre 152 (2,7 paires / km ²) en 1986 et 1993, et 297 (5,3 paires / km ² ) en 1988 (apparemment en accord avec la mesure annuelle des inondations du printemps, qui pourrait avoir influencé la disponibilité alimentaire pour les adultes).[/I][/I][/I]
Contrat d’objectifs 2012-2014
oncfs
[url]http://www.oncfs.gouv.fr/IMG/pdf/contrat_objectif_ONCFS_2012_2014_BD.pdf[/url]
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Manuel d’étude et de gestion des oiseaux et de leurs habitats
en zones côtières
[url]http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/66/61/78/PDF/gestion_littorale.pdf[/url]
clic ;)
le goeland et les poubelles . etude
[url]http://www.ridr.qc.ca/fr/regie/etudes_rapports/pdf/etude_effectif_oiseaux_dec2010.pdf[/url]
clic
[COLOR=#000000][FONT=SourceSansProRegular]Chaque année, le 2 février, la Journée mondiale des zones humides commémore la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne. Des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l’occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier.[/FONT][/COLOR]
operation loire propre
[B]Une matinée Nature au Service de la Biodiversité[/B]La Fondation pour la Protection des Habitats de la Faune Sauvage s'appuie sur les Fédérations des Chasseurs des 12 départements traversés par la Loire pour réaliser cette cinquième édition de nettoyage des berges du plus grand Fleuve d'Europe le [B]Samedi 1er Mars 2014.[/B] Le Président de la Fondation, Edouard-Alain Bidault, nous précise que "[I]Les chasseurs de gibier d'eau ont été les précurseurs de cette initiative et sont d'une fidélité sans faille pour ce rendez-vous labellisé par l'Unesco[/I]".Du Mont gerbier de Jonc à St Nazaire, il y aura plus de 50 points de Rendez-vous. Plusieurs acteurs aux côtés des chasseurs participent et contribuent à cette action de nettoyage, à travers de nombreuses associations ou de particuliers comme les randonneurs, les pêcheurs, les kayakistes, les mariniers, les cyclistes sans oublier les riverains et les amoureux de la Loire...
Paul Bourrieau : Directeur de la Fondation pour la Protection des Habitats de la Faune Sauvage nous informe "[I]qu'en 2013, plus de 2500 bénévoles ont participé à cette mission éco-citoyenne avec 700 m3 de détrituts ramassés[/I]".Toutes les personnes sensibles à la nature, à l'environnemenr, aux lieux privilégiés, ou encore aux questions relatives à la pollution sont invitées gratuitement à participer à cette expérience utile, conviviale, nécessaire pour tous les territoires traversés par le Fleuve Royal, sans oublier les autres rivières comme le Cher, la Vienne et la Creuse. [I]Tous les points de Rendez-Vous sur[/I] : [URL="http://www.jaimelaloirepropre.com/"]www.jaimelaloirepropre.com[/URL][U]Contact presse[/U] :
Michel Deledeuille
Tel : 07 88 22 57 80 - [EMAIL="m.deledeuille@fondationfaunesauvage.com"]m.deledeuille@fondationfaunesauvage.com[/EMAIL]
[COLOR=#444444][FONT=Verdana]
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Résumé
[FONT=Calibri][SIZE=3][COLOR=#000000]La France est traditionnellement une zone de transit pour les oies cendrées (oies Anser anser) en migration d'Europe du Nord-Ouest vers les sites d'hivernage en Espagne, bien qu'un nombre croissant ait passé l'hiver en France au cours des trois dernières décennies. Cet article examine les observations, à travers la France, d’individus marqués ailleurs en Europe depuis les années 1980, afin de déterminer l'origine des oies cendrées aperçues et qui, maintenant, hivernent dans notre pays. Les oies inclues dans cette étude étaient toutes capturées l’été durant la mue annuelle, soit en groupes familiaux, soit en troupeaux non reproducteurs. La plupart des observationsd'oies baguées provenaient de Poitou-Charentes. La plupart des oiseaux identifiés provenaient de zones pays nordiques ou, dans une moindre mesure, auxPays-Bas où elles s’étaient reproduites. La région du Lac du Der dans nord-est de la France est une zone d'hivernage pour une population d’oies grises introduite au sud-ouest de Stockholm en Suède. Les oies qui hivernent en Camargue, dans le sud de la France, ont été baguées principalement en Europe centrale. [/COLOR][/SIZE][/FONT]
[FONT=Calibri][SIZE=3][COLOR=#000000]Le nombre d’hivernants en France a augmenté en parallèle avec l'augmentation générale de la population européenne de cendrées, tandis que les bagues repérées en France n’ont pas augmenté de la même façon. Peut-être en raison d'un déplacement vers le Nord en hiver de la distribution des oies cendrées à travers l'Europe. Le nombre des hivernantes en France est, cependant,encore faible comparé à d'autres régions le long de la ligne de migration.[/COLOR][/SIZE][/FONT]
c'est sympatique d'avoir plein d'oiseaux différents qui fréquentent son jardin ( sauf le merle qui te pique tes fruits ) mais bon avec de l'imagination je fabrique des choses qui les éloignent .
ACTUALISATION DES CONNAISSANCESSUR LA MIGRATION ET L'ECOLOGIE SPATIALE DESOIES CENDREES EN EUROPE DE L'OUEST______________________________________SYNTHESE ET ANALYSE (2010-2015) FAISANT SUITE AUXPERMIERS RESULTATS PUBLIES DANS LE RAPPORT DUPROGRAMME NATIONAL SUR l'AMELIORATION DESCONNAISSANCES DE L'OIE CENDREERAPPORT TECHNIQUE ET SCIENTIFIQUE DU VOLET "OIE CENDREE"DE LA CONVENTION DE RECHERCHE P.R.O.C.E.E.D - FNC.JANVIER 2016
[url]http://www.fdc80.com/userfiles/files/SYNTHESE%20ET%20ANALYSES%20OIE%20version%20de%206%20janvier%202016.pdf[/url]
[URL="http://www.fdc80.com/userfiles/files/SYNTHESE%20ET%20ANALYSES%20OIE%20version%20de%206%20janvier%202016.pdf"]http://www.fdc80.com/…/SYNTHESE%20ET%20ANALYSES%20OIE%20ver…[/URL]
JJB:
Salut BBB
[url]http://www.wwf.eu/media_centre/?uNewsID=341990[/url]
Yesssssssssssssssss:d:))
encore un pays qui va quitter l'Europe...