je te demande pardon
tout avait si bien commencé ::::::::::::
je savourai quelques jours de répit , début decembre et cette bande d'oies qui remontait l'étang me remplissait de bohneur , elle s'éloignait a present , l'idée d'un cafè me vint et au retour , stupéfaction ! alors que je regagnai mon poste ;c'est toute une troupe qui s"affalait en bordure a une centaine de métres de la OU je me tenais ;
j'avise mon partenaire et voila un quintal de nonoré a quatre pattes , bravant la douleur de ses genoux et les écorchures aux doigts
j'apperçoie désormais les mémères a travers les roseaux a une trentaine de mètres , les trois ogives nucléaires que j'ai glissé dans le beretta , ajoutées a celle du collègue devraient faire du dégat , elles me voient maintenant , ce n'est pas l'affollement , étonnant !
et c'est le fracas , une tourne en rond et quatre autres vont se déclaquer au fond de l'étang , les gamins vont au rapport , mon coéquipier est aux anges moi je suis dubitatif
trois pruneaux et méme pas séchées , c'est du coriace et la mémère qui tourne en rond ; ca sent la boulette , mais tout le monde est heureux , j'évite ostensiblement la photo et une désailée va au parc
elle deviendra l'ojon eud gros canard , mais plus le temps passe et plus ses origines s'étalent , comme Nougaro , elle chante la ville rose
les gamins , pris de compassion , veulent la lacher dans un étang voisin plutôt que de la tuer , comme si la leçon ne leur avait pas suffit
je leur donnerais ce courage
je t'en donnerais une autre mon poussin