Punaise il a nous reereerererereerereerereere souler toute la saison il me fait penser a tf1 ou tous les ans ils nous rediffusent les bronzes
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DGAL/SDSPA/2017-482
du 31-05-2017
Statut : EnVigueur
OBJET : Plan de surveillance vis-à-vis de l'influenza aviaire hautement pathogène et plan de contrôle du respect des mesures de biosécurité imposées chez les appelants utilisés pour la chasse au gibier d'eau.
(Télécharger le PDF (298ko))
RESUME : La présente instruction décrit un plan de surveillance, par dépistage sérologique, des appelants utilisés pour la chasse au gibier d'eau dans des départements dits "à risque" en termes de diffusion d'H5N8HP. Un plan de contrôle du respect des mesures de biosécurité sur le lieu de détention des appelants est également définit en parallèle. Ce plan est mené avec les services de l'ONCFS qui réalise les visites d'inspection.
DGAL/SDSPA
Bureau Santé AnimaleInstruction technique
DGAL/SDSPA/2017-482
Publiée le 31-05-2017Date de fin de validité : 30-09-2017 Diffusion : Tout public
Relations avec les autres instructions
Cette instruction n'abroge aucune autre instruction.
Cette instruction ne modifie aucune autre instruction. Cette instruction n'est abrogée par aucune instruction. Cette instruction n'est modifiée par aucune instruction. Cette instruction n'a jamais été rectifiée.
Oui, informez-vous, effectivement mais certainement pas pour sombrer dans la sinistrose, f
Oui, informez-vous, effectivement mais certainement pas pour sombrer dans la sinistrose, le misérabilisme et une forme de voyeurisme à citer tous les cas de GA dans le monde.
Pour Coinc 59, prends contact avec Pierre, il est dedans depuis 15 jours avec les services de l'Etat.
Ce qu'il faut comprendre c'est que vu le risque sanitaire,….à titre préventif,... des dépistages sont à venir et ont déjà commencé dans les élevages. A ce titre, compte tenu du transport des nos appelants et la mise en contact avec des oiseaux sauvages et migrateurs, il est du devoir des services vétérinaires et autres de prévenir tout risque de propagation de la GA.
En conséquence, en toute logique, nous ne pouvons échapper à des sondages en tant que détenteurs ou éleveurs d'oiseaux pour la chasse. C'est pas la peine d'en faire un plat. C'est ainsi, normal et souhaitable.
Par conséquent, les services habilités rendront compte aux services d'Etat (Préfectures, Ministères,…). Il sera intéressant de connaitre combien de lieux de détention ont été visités et le nbx de foyer de GA découverts.
C'est comme ça et il faut faire avec !!!
Mais personne ici n'a jamais fait preuve de sinistrose. C'est un avis qui n'engage que toi.
Pour ma part, je ne suis qu'un lanceur d'alerte, malheureusement trop souvent pris à parti ici par des personnes qui nient la réalité d'un phénomène naturel (biologique) inquiétant.
Il est logique que les appelants soient contrôlés, et ça faisait partie des engagements (ou du contrat) pris par la FNC et l'ANCGE en 2014 et l'hiver dernier.
Il est normal qu'on teste les "sentinelles", sinon, elles ne servent à rien.
Le problème, c'est que la note n'est pas assez claire. Il est fixé :
"Une partie des appelants utilisés pour la saison de chasse 2016-2017, fortement exposés au risque de contact avec l'avifaune sauvage détectée vecteur d'H5N8 HP à cette saison, a pu être contaminée par ce virus. L'objectif est de détecter une contamination H5N8 HP des appelants dans des départements de chasse au gibier d'eau, identifiés comme «à risque» vis-à-vis de l'IAHP, avec une prévalence limite de 5 % et un risque d'erreur de 5%.
Au vu du temps écoulé depuis le retour des appelants en zone d'élevage depuis la fin de la période de chasse, de la diminution de l'exposition des appelants à la contamination par l'avifaune sauvage depuis leur retour en élevage et, de la fenêtre d'excrétion virale individuelle d'une dizaine de jours, un dépistage sérologique a été choisi comme le moyen le plus pertinent de détecter une contamination IA passée. La surveillance se traduit par un dépistage sérologique de 5 appelants par détenteur échantillonné. Ce nombre permet, dans un troupeau d'appelants dont la taille médiane est d'environ 30, de détecter un passage de H5N8 HP avec l'hypothèse que ce virus entraîne une séroconversion rapide et massive au sein du troupeau. "
Qu'entend-on par "avec une prévalence limite de 5 % et un risque d'erreur de 5%." ?
Que fera-t-on si les appelants sont séropositifs mais vironégatifs ?
Comment analyse-t-on le risque d'exposition des appelants maintenus sur les sites de chasse, en contact direct avec l'avifaune ?
Observateur de terrain
A toutes fins utiles, et pour être bien compris, une note de la DGAL publiée en février dernier a fait monter d'un cran les mesures de lutte contre les virus aviaires.
L'abattage du troupeaux (ou bande) est admissible - et parfois pratiqué - dès lors qu'une "séropositivité" est constatée au sein de l'élevage, quand bien même l'analyse ne révèlerait pas d'activité virale au niveau des excrétions (virologie négative).
La question qui va se poser sera aussi d'arbitrer entre diverses options de prophylaxie face à la circulation probable de virus FP H5 et H7.
Observateur de terrain
L'avant dernière alerte était à 28km de la frontière.
Cette fois, c'est carrément la frontière avec le 59.
Personne n'a noté que les cas se déclaraient chez les particuliers?
Quiévrain: un cas de grippe aviaire détecté
E. Brl. Publié le jeudi 15 juin 2017 à 16h29 - Mis à jour le jeudi 15 juin 2017 à 17h46
<img src="http://r1.ldh.be/image/ad/594299b1cd702b5fbf2b9aad.jpg " alt="" title="© FLEMAL JEAN-LUC">
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Mons-Centre Une zone tampon a été établie autour du cas de contamination pour éviter la propagation
Mardi, un cas de grippe aviaire était confirmé au sein d'un élevage amateur à Soignies. Ce jeudi, c'est du côté de Quiévrain, à Baisieux plus précisément, que des mesures particulières sont prises. En effet, des analyses effectuées chez un éleveur amateur sont revenues positives mercredi soir. Une zone tampon temporaire est désormais d'application.
Concrètement, les déplacements de volailles, oiseaux et œufs à couver dans la zone sont interdits. Cette interdiction ne s'applique cependant pas au transit à travers la zone. Les volailles et autres oiseaux captifs doivent être à tout prix nourris et abreuvés à l'intérieur et les propriétaires doivent envoyer, dans les 48 heures, un inventaire de leurs animaux à la bourgmestre, Véronique Damée (MR).
L'agence fédérale pour la sécurité de la chaîne alimentaire (AFSCA), à l'initiative de ces mesures de précautions, se veut rassurante. « Les consommateurs ne doivent en aucun cas s'inquiéter, la viande de volaille et les œufs sont sains », insiste Cathy Prison, en charge de la communication. « Il s'agit d'un problème de santé animal, c'est pour cela que des mesures sont prises. »
Si des contrôles sont régulièrement opérés dans les élevages professionnels, l'Afsca invite les amateurs à redoubler de vigilance. « Le virus est extrêmement pathogène et fait atrocement souffrir l'animal. Les éleveurs doivent absolument respecter les consignes et ne nourrir leurs animaux qu'à l'intérieur car ce virus est transmis par les animaux sauvages. En cas de décès suspect, nous les invitons également à faire appel à un vétérinaire le plus rapidement possible. »
Ces derniers jours, les cas de grippe aviaire se multiplient donc dans la région. Mais des cas sont également à déplorer dans d'autres provinces (notamment le Luxembourg) et en Flandre. « Ce n'est pas quelque chose d'habituel mais la situation est sous contrôle grâce au plan de surveillance mis en place. » Il est par contre difficile de se prononcer sur les causes de cette recrudescence de cas.
Bonjour,
bien qu'on n'en parle pas, ou si peu, la situation en Belgique semble plus grave qu'on n'ose l'avouer, et hors de contrôle.
Les déclarations officielles sont publiées en retard, comme toujours, mais moins qu'en France, reconnaissons-le.
Quoiqu'il en soit, des foyers nouveaux ont été découverts, tous relativement proches de la frontière, et toujours chez des éleveurs amateurs et petits détenteurs.
Selon le ministère belge, l'introduction initiale du virus serait survenue par l'introduction d'oiseaux sauvages au sein d'un élevage, et la propagation des foyers aurait été favorisée par la vente d'oiseaux sur des marchés locaux.
Je vous offre un lien qui permet de voir évoluer en temps réel l'établissement des zones tampons autour des foyers. Parmi les commune concernée récemment, on citera : Ostkamp (Flandres) et Ath, Courtrai et tout récemment Couvin.
Voir par ce lien : http://www.afsca.be/santeanimale/gri...re/mesures.asp
Observateur de terrain
Extraordinaire ce fait de voir la maladie introduite par les oiseaux "sauvages"........................
C'est tellement plus facile de rejeter la faute sur la faune sauvage. Bientôt on élimineras tous les (petits) élevages, puis on essaiera d'éliminer les oiseaux sauvages porteur du virus ( ils seront repérés en vert fluo).
Et, malgré tout ça, on aura toujours autant d'élevage (dit "pro") de touché;
Il ne restera plus qu' abattre tous ces petits cons de "petits éleveurs", et ainsi de suite............................................. ....
Jusqu'au jour ou ..................
Je vous laisse décider de la suite;
Quel beau feuilleton.......................... Ou nous sommes dans le viseur.
Bonjour,
j'espère que ça vous intéresse.
Rien de nouveau en Belgique depuis 2 jours.
Le point de la situation au 27/06 :
http://www.afsca.be/_pictures/users/...170627_000.jpg
Observateur de terrain
GRIPPE AVIAIRE
Baisieux, Camphin-en-Pévèle et Willems, trois nouvelles communes sous surveillance
Ce mardi, en fin d’après-midi, la préfecture du Nord a mis en place une deuxième zone de surveillance, à la suite du signalement d’un nouveau foyer de grippe aviaire en Belgique. Trois communes françaises limitrophes entrent dans ce périmètre : Baisieux, Camphin-en-Pévèle et Willems.
Par Nord Eclair | Publié le27/06/2017
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Le mouvements ou le transport d’oiseaux et de volailles sont interdits dans la zone ou en provenance ou à destination de celle-ci. PHOTO JEAN-PIERRE BRUNET
Ce mardi, les autorités belges ont identifié un nouveau foyer d’influenza aviaire (H5N8 - hautement pathogène) sur la commune d’Hertain (B), chez un particulier détenant des volailles domestiques. Un premier foyer était apparu dans la commune de Menin.
Compte tenu de la localisation frontalière de ce foyer, le département du Nord met en place une deuxième zone réglementée qui inclut les communes de Baisieux, Camphin-en-Pevèle et Willems. Une première zone de surveillance qui englobait les communes de Bousbecque, Halluin, Neuville-en-Ferrain, Roncq, Tourcoing et Wattrelos avait été mise en place le 20 juin.
Les autorités belges ont confirmé par ailleurs que les volailles et oiseaux captifs des deux foyers (Menin et Hertain) avaient été abattus.
« Les microbes ne connaissent ni les frontières, ni les murs. » À Camphin-en-Pévèle, un industriel qui élève des volailles, travaille depuis quinze ans tout près de la frontière.« Il n’y a jamais eu de soucis avec cet éleveur, indique Michel Dufermont, le maire de la commune. Je le connais depuis le début. C’est quelqu’un de sérieux. Qui fait de l’élevage en batterie avec toutes les conditions d’hygiène et de sécurité sanitaire exigées. On entre dans son élevage par des pédiluves. Alors, en ce moment, ça va être encore plus contrôlé. »
Mais cet élevage est situé à environ 1 kilomètre de la frontière belge et du village d’Hertain concerné par le premier foyer. Et pour le maire, qui, ce mardi après-midi, ne disposait pas d’autres informations que celles de la préfecture et n’avait rencontré ni la chambre d’agriculture, ni l’éleveur : « Les microbes ne connaissent ni les frontières, ni les murs. »
Quant à Baisieux, la commune ne compte pas de gros élevages sur son territoire. « Nous avons pris contact avec un agriculteur qui pratique un peu d’élevage et un particulier qui a des oiseaux, pour les informer des précautions à mettre en place », explique le maire, Paul Dupont. Selon lui, pas d’inquiétude : aucun des deux sites ne serait touché par l’influenza aviaire.
Le maire de Willems n’a pas répondu ce mardi à nos sollicitations.
Comment éviter la propagation du virus ?
Voici les mesures à suivre lorsqu’on se trouve dans ces zones de surveillance : tout détenteur commercial d’oiseaux est tenu de se déclarer auprès de la direction départementale des populations (DDPP) et de signaler toute apparition de signes cliniques évocateurs d’influenza aviaire ou d’augmentation de la mortalité ainsi que de renforcer les mesures de bio-sécurité adaptées à la prévention du risque de diffusion de la maladie.
Le mouvements ou le transport d’oiseaux et de volailles sont interdits dans la zone ou en provenance ou à destination de celle-ci sauf dérogation accordée par la DDPP.
Les rassemblements d’oiseaux sont interdits dans la zone.
Leslâchers de gibier à plumes sont interdits.
Des mesures de précaution et de surveillance renforcées sont mises en place dans les élevages avicoles de la zone ainsi que des restrictions de mouvements des œufs, des sous-produits et des lisiers et fumiers sous le contrôle de la DDPP.
Des mesures de nettoyage et de désinfection des véhicules doivent être mises en place dans tous les établissements en lien avec l’élevage avicole dans la
Étonnants ces virus, de mémoire, la Belgique n'avait pas été touchée cet automne/hiver et maintenant, il y a plusieurs cas !
Mais si Vincent, même si on n'en a que peu parlé.
De même que du foyer chez un éleveurs des Moëres, qui s'est transformé en "maladie inconnue" selon les services dits "compétents.
En Belgique, ça a commencé par un foyer chez un détenteur d'oiseaux d'ornements dont des anatidés, le 26 janvier, puis 2 foyers ont été déclaré en février : 1 cygne puis 1 colvert trouvés mort dans l'environnement.
Il est possible que le virus ait circulé à bas bruit et qu'il soit de nouveau plus actif après la reproduction, sachant que les juvéniles sont plus sensibles. Ou bien, cela signifie qu'il est présent dans l'environnement.
Ce qui est certain, c'est que le H5N8 a acquis le même potentiel de persistance que la souche la plus active de H5N1 HP. C'est ce qui explique son activité en Afrique, et, partant, en Europe à cette saison.
Une récente étude a montré que le H5N1 HP peut se maintenir dans certains tissus pendant des semaines, même à des températures assez élevées. Et, comble de difficultés à lutter contre, c'est dans les plumes qu'il se maintient le plus longtemps...
Voir les rapports à l'OIE, ici : http://www.oie.int/wahis_2/public/wa...reportid=22703
Observateur de terrain
Toujours est-il que la G.A est sur la ligne frontière française