Bonne Ouverture 2020

(2020-08-01)

Bonne ouverture aux sauvaginiers du DPM.

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  1. #31
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    exact!
    vivent les vaches!!
    et la pluie

  2. #32
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    la référence est incontestable Raz62 mais je suis pas fan ne serait-ce que d'un point de vue durable !

    bof l'ivomec, David, le pb c'est que ce vermifuge a une forte rémanence et subsiste dans la bouse et nique les invertébrés du sol... donc moins grande population de ver et larves donc pas top pour la bécassine...

    bien placé pour connaître la problématique bassin versant David ! je n'en milite pas moins pour conserver un fonctionnement naturel au sens où je n'accepte pas les assecs d'entretien qui démontre une vision très intensive et très artificielle de la chasse !!!

  3. #33
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    Tu as entièrement raison David !
    Les marais dont je parle sont assez grands pour permettre de laisser des endroits au repos pendant 1 ou 2 années et ne pas exploiter toute la superficie....et les tracteurs utilisés pour l'entretien sont énormes, roues doubles et ne laissent pas plus de traces que le pas d'un homme !!!!! Mais cela nécessite des moyens énormes !!!! (on en revient toujours à ça)
    Economiquement et écologiquement, la vache, le poney etc...sont très efficaces !

  4. #34
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    David, je ne suis pas sûr qu'ivomec soit à conseiller pour la gestion d'un milieu naturel. D'après ce que je sais, il est trés nocif pour la faune du sol et en particulier les décomposeurs des bouses.
    D'autres produits peut -être moins nocifs ?

  5. #35
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    le mieux étant de parvenir à un écosystème le plus autorégulateur possible...

  6. #36
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    tu as été plus vite que moi ambroise

  7. #37
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    faudrait demander a damien mais je connais pas grand chose d'autre que l'ivomec

    après on peut s'en dispenser mais les animaux sont pas super heureux!

  8. #38
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    et la rusticité dans un environnement sans autres élevages, c'est pas suffisant pour les conserver en bonne santé ???

    Damien, tes lumières ?

    (désolé Vincent )

  9. #39
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    Ambroise, tu disposes de quelle superficie pour tes futures highlands?

  10. #40
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    le varron se développe sur tous les ruminants (chevreuils, ......) c d'ailleurs une des raisons qui me font penser que sa prophylaxie en bovin est inutile puisque les chevreuils par exemple sont porteurs!

  11. #41
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    pas trop suivi les cours de zoot' alors le varron, je connais pas...

    y a bien une solution moins intensive pour vermifuger le bétail

    environ 1ha80 pour commencer avec la possibilité de pâturage hors zone inondable en plus

  12. #42
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    faut trouver une pyrethrinoïde de synthèse ou pyrèthre associée dans le genre deltamétrine (produit utilisé en anti poux) qui je crois ont une rémanence moins forte que l'ivermectine

  13. #43
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    le premier qui trouve la solution la donne sur ce post !

  14. #44
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    Parasitisme - Christian Mage, Institut de l'élevage : « Pour conduire un troupeau sans avoir recours aux anti parasitaires, il faut être un éleveur performant »


    Se passer des antiparasitaires peut s'avérer être un bien pour la santé des bovins ! Selon Christian Mage, ingénieur à l'Institut de l'élevage, un éleveur qui souhaite conduire un troupeau en bonne santé cohabite de manière intelligente avec les parasites naturels des bovins, tout au moins avec les parasites internes dominants que sont les strongles digestifs et pulmonaires. Un animal sera protégé contre ces parasites lorsqu’il aura développé une immunité au contact de ces mêmes parasites. C’est bien une nécessité pour les bovins de se confronter à ces parasites. Et les risques pour leur santé d’un interventionnisme pharmacologique sont au contraire bien réels. Explications et conseils pratiques de Christian Mage.



    Christian Mage : « Les jeunes animaux doivent être confrontés aux parasites. C’est la base même du développement de l’immunité parasitaire. Son principe est celui de la prémunition »
    (© Institut de l'élevage)

    « Une absence de confrontation aux parasites est nuisible et dangereuse pour la santé des bovins », souligne Christian Mage, ingénieur à l’Institut de l’Elevage, région Limousin, auteur de documents pratiques et de synthèses sur le parasitisme et les techniques d’élevage (voir encadré en fin d'article).

    Le spécialiste avait déjà tiré la sonnette d’alarme en 1984 quant à la réapparition dans les élevages français des strongyloses pulmonaires chez les vaches laitières. « Si tous les jeunes bovins ne s’infestent pas par des strongles pulmonaires, la réaction immunitaire n’a pas lieu. A deux ou trois ans, la jeune vache laitière peut être amenée à développer une primo-infection pour laquelle son organisme n’aura aucune réponse immunitaire. La prospective que j’avais faite en 1984 se révèle fort juste. On constate aujourd’hui de sérieux problèmes de maladies de strongyloses pulmonaires chez les vaches laitières avec quelques graves catastrophes en élevage », déplore-t-il.




    La gestion du pâturage est le premier outil pour maîtriser le parasitisme

    Le recours actuel réflexe aux molécules chimiques tend à faire oublier la conduite d’élevage. Le savoir-faire développé par les éleveurs bio et les expériences réelles d’élevage montrent à quel point il est tout à fait possible et réalisable de maîtriser le parasitisme (strongles, douve et paramphistome) sans avoir recours aux anti parasitaires. « Pourtant, encore aujourd’hui, des éleveurs bio pratiquent des interventions à base d’ivermectine », constate le spécialiste.

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    « Un éleveur qui veut conduire son troupeau sans pratiquer d’intervention anti parasitaire doit être performant sur la production de l’herbe et sur sa gestion », renseigne Christian Mage. La gestion du pâturage est le premier outil pour maîtriser le parasitisme.

    « Les jeunes animaux doivent être confrontés aux parasites. C’est la base même du développement de l’immunité parasitaire. Son principe est celui de la prémunition », rappelle-t-il. « Il est nécessaire qu’il y ait un passage, au sein de l’organisme des ruminants, des stades larvaires des parasites aux stades adultes. C’est cette migration qui stimule les réactions immunitaires. »


    Le travail de l’éleveur va être de mettre en contact les jeunes animaux avec les parasites mais de doser ce contact et de réagir très vite en fonction de la hauteur d’herbe, de la saison de pâture,...

    La hauteur d'herbe joue un rôle crucial

    « Bien plus que la fertilisation des pâtures ou la qualité de l’herbe, c’est la hauteur d’herbe qui va jouer un rôle crucial pour la contamination des parasites », précise Christian Mage. « Les parasites se cantonnent dans les niveaux inférieurs de l’herbe. Plus l’éleveur fera pâturer ses animaux à des hauteurs d’herbe supérieures à 5 cm et moins les vaches s’infesteront. Au contraire, s’il propose une hauteur d’herbe proche de 5 cm, et a fortiori comprise entre 2 et 5 cm, l’infestation va s’aggraver. »

    « De plus, il faut savoir que les prairies pâturées sont fortement contaminantes fin septembre. Faire surpâturer pendant les phases de fin d’été et d’automne est une pratique à proscrire. En même temps, il convient de maintenir les défenses maximales de l’animal en lui apportant suffisamment de nourriture pour qu’il garde un bon état et ne pas le faire traverser de période de sous alimentation. »

    En élevage allaitant

    « En élevage allaitant, l’éleveur peut adopter deux conduites, selon les périodes de vêlage », détaille le spécialiste. « Dans le cas des veaux nés sous la mère en hiver ou au début du printemps, ils sont allaités pendant cette période de printemps. Ils vont pâturer un peu au printemps », poursuit Christian Mage. « A partir du sevrage, c’est à dire les mois de septembre, octobre, il conviendra de les mettre sur des repousses, après fauchage de regain, ou de les compléter au pâturage. Cette complémentation peut même avoir débutée mi-août. Si ces pratiques sont respectées, l’affaire « strongles » sera résolue pour la première année », précise l’ingénieur.


  15. #45
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    septembre 2003
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    D'ici 3 semaines je vais tester l'indroduction de chèvres naine sur une zone de carex et de jonc.Je vous dirais le résultat avec photos à l'appui, avant et aprés le passage des chèvres.
    Sinon pour ceux qui ont suivis l'évolution de l'amènagement de ma zone humide.Résultat plus que prometteur car j'ai multiplié par 2 la présence de canards en 1 ans ainsi que la diversité des espèces( nette rousse, sarcelles d'été)

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- Page modifiée le 18/10/2017