...mais on a beaucoup parlé de hutte à table. A suivre...ca mijote.
...mais on a beaucoup parlé de hutte à table. A suivre...ca mijote.
ces fait
fait interessant
MP gug
TI YÉ. UN DEUX BRAOUMMMM
Bonjour à tous
Hello
Encore un grand merci à tous. Les résultats, le mémoire et donc votre participation ont grandement contribué à un Master 1 obtenu haut la main.
Pas peu fier, le mari chasseur
Message de la dame :
"Je remercie tout d’abord les 277 participant(e)s qui ont répondu à l’ensemble des questions de mon étude. Cela m’a permis d’avoir un échantillon très important et donne du poids statistique à mes résultats. Ils n’en sont que plus intéressants !
Mon étude s’inscrivait dans le cadre de mon Master I de psychologie et psychopathologie. Mon but était d’étudier chez les chasseurs français, les différentes intensités de pratique, et la proportion éventuelle de chasseurs présentant ce qu’on appelle en psychopathologie « une addiction » à la chasse. En effet, alors que vous êtes très nombreux à vous dire « passionnés » de chasse (et à évoquer avec « passion » vos actions de chasse), certains d’entre vous ne seraient-ils pas « addictes » à la chasse ? A cette question, j’ai ajouté un travail sur les émotions à la chasse.
Vous avez donc répondu à quatre « échelles » qui sont des questionnaires dont les qualités (psychométriques) ont été validées, permettant des résultats quantitatifs fiables. Certaines questions cherchaient à savoir si vous aviez une passion ou une addiction pour la chasse. D’autres donnaient une mesure de l’émotion positive intense (« le flow ») ressentie à la chasse. Un dernier questionnaire visait à vérifier si la recherche de sensations est une caractéristique de la personnalité du chasseur.
Vos réponses ont démontré que la grande majorité d’entre vous êtes des passionnés de chasse. Cela signifie que la chasse est une activité très importante dans votre vie ; vous y consacrez beaucoup de temps et d’énergie. Elle participe à la construction de votre identité personnelle et permet de vous épanouir car elle reste une source de joie de vivre.
Cependant, il apparaît aussi qu’un quart de l’échantillon aurait une « addiction » à la chasse. Pour ceux-ci, la pratique de la chasse n’est plus contrôlée (malgré des efforts fournis dans ce but), elle ne permettrait plus un bon équilibre de vie. Ces chasseurs pourraient vivre une « centration » sur cette unique activité (temps dédié supérieur au temps « raisonnable » ou même voulu au départ, ceci au détriment d’engagement professionnels ou familiaux par exemple), une envie irrépressible d’aller à la chasse et un manque lorsqu’ils ne peuvent pas chasser. Cette intensité de pratique ayant alors des conséquences négatives (financières, professionnelles, conjugales..) est alors source de souffrance.
Il apparaît aussi que les chasseurs expérimentent ce qui est appelé en psychologie, l’expérience optimale (flow en anglais). Les sportifs parlent de « la zone ». Il s’agit de l’état d’esprit (euphorisant) atteint lorsque l’on est totalement concentré dans son activité, excluant toute distraction. Rien d’autre n’ayant plus d’importance, la notion de temps est perdue, le « quotidien » est oublié, le contrôle de la situation est total ! Ce qui explique que beaucoup de chasseurs soient des passionnés ! Mais peut aussi expliquer que certains vivent une addiction à la chasse…
Pour finir, vos réponses permettent de penser que la recherche de sensations n’est pas un trait de personnalité qui caractériserait les chasseurs. Si les chasseurs vivent des sensations intenses à la chasse, le but de la pratique relève plus de l’envie d’évasion et de partage. Elle permet de s’évader du quotidien dans une activité, où prévalent la nature et la convivialité entre amis.
Je tiens à vous remercier pour votre participation qui m’a donc permis de valider une étape essentielle pour obtenir mon Master 1."
salut Gug, félicitions pour le Master et merci de nous avoir fait un retour
TI YÉ. UN DEUX BRAOUMMMM
Félicitation pour le Master
de plus sa fait plaisir d'avoir d'avoir des new