En tout cas c'est à vivre, ça c'est une chose plus que sûre
En tout cas c'est à vivre, ça c'est une chose plus que sûre
Il fallait faire un trou d'eau, alors avec ma scie je commence à couper la glace face à la hutte; ca y est, j'ai couper un gros morceaux, çà fait faire un joli clair face à nous, une belle aire de pose.
Alors je pousse ce gros morceau de plaque de glace pour le faire glisser sous les autres.
Tellement content de moi de voir partir ce beau morceau que je le pousse franchement, oui tellement franchement que je me couche et laisse rentrer dans mon scaphandre une eau presque à -10°; complètement gelée et frigorifié, je fais demi-tour pour tenter de rejoindre la berge.
J'ai 7 ou 8 mètres à faire, et déjà les articluations gelées, je trébuche et tombe allongé dans l'eau, je rame pour m'en sortir, je me couche et me rélève diffcilement.
Cà y est je suis la berge, complètement frigorifié, avec un vent d'est à - 10 °.
J'arrive dans la hutte, je me déssappe vite fait, je m'essuie avec ce que je peux et je me lance dans ma voiture, je rentre chez moi, je me réchauffe, je me change et je repars à la hutte.
Cette nuit là on à 18 courlis qui posent à glace, une 20aine de siffleurs.
Le matin, à 08h30 appel de ma femme qui me dit que la chaudière a pété. Je repars chez moi et quand je revien à la hutte, ils me font voir 5 riris qu'ils venaient de tirer au vol......
Celle là je ne l'oublierais pas .....