Il se dirait dans les milieux autorisés à penser que l'espèce Fuligule milouin ne serait plus chassable au 1er janvier 2019... Oui oui on me l'a dit... Qui a des informations sur ça ?
Il se dirait dans les milieux autorisés à penser que l'espèce Fuligule milouin ne serait plus chassable au 1er janvier 2019... Oui oui on me l'a dit... Qui a des informations sur ça ?
Dans la vie il faut être têtu mais aussi écouter les autres.
J'ai entendu le même son de cloche à plusieurs reprises.
Les retours d'ailes seraient les très bienvenus.
M'enfin, j'dis ça...
Je doute que les lectures d'ailes infirment le long travail sans appel et très objectifs des experts internationaux
http://www.ducksg.org/2018/01/global...-north-africa/
On peut connaitre le nom des bedots qui jouent avec les cloches? Sans doute les mêmes qui jouerent avec les courlis.
N'at on pas lu dans l'acte fondateur de la chasse adaptative que l'arrêt de la chasse n'est pas la réponse a une baisse d'effectif.
Couinez jeunesse, Ça ne fait que commencer
Sinon bonjour philou, je l, ai parcouru ton lien, toujours la même litanie, on pense qu'il est en declin, mais on cherche l'information, et c, est en partie une evidence, comme beaucoup d'autres oiseaux, il s'est adapte, on le voit moins ici mais plus ailleurs
On a bien du mal à avoir la liste rouge dans sa gkobalite de l, aewa, on append que l, ensemble des oiseaux d, eau sont en declin, que pour les plus menaces, la chasse n, y est pour rien, il faut aussi ramener le problème a l, echelle Nationale.
Qui est le plus menace, la perdrix ou le milouin?
Je suis complètement d'accord avec toi mais la France est obligée de suivre l'accord signé avec les instances internationales... OU alors derogâtions mais vu le très très faible retour de carnet limicole sur le dpm elle ne peut pas prouver qu'elle sache faire... Et j'en suis navré
Dans la vie il faut être têtu mais aussi écouter les autres.
on a eu la méme histoire avec le chipeau , et la sarcelle d' hiver !!!
fais ce que je fait , pas ce que je dit !!!
Bonjour Nono,
Je crois qu’il ne faut pas agiter le chiffon. A l’instar de la directive oiseaux, L’AEWA à propos de la chasse c’est l’utilisation durable tenant des cycles biologiques. Évidemment,ça change de chasser sans se soucier en prenant ce qui vient. Pour certains ce sont des souvenirs qui s’envolent, pour d’autres,dont je suis, c’est la continuité, différente, mais la continuité en s’adaptant. On a perdu l’essentiel des zones humides en un siècle, forcement, on a perdu les oiseaux qui allaient avec, qu’on soit directement responsable ou pas, on ne peut pas ne pas en tenir compte. C'est l'objet des réglementations.
Pour le reste il n’y a pas de liste rouge mais une classification et pour reprendre l’exemple des moissons elles sont classées 3 c *.C’est à dire :
-3 : Populations comptant approximativement entre 25 000 et 100 000 individus et considérées comme menacées en raison de :
- c : Signes importants de leur déclin à long terme
-* A titre exceptionnel, les populations figurant dans les catégories 2 et 3 de la colonne A et marquées d’un astérisque peuvent continuer à être chassées sur une base durable (...) qui devra chercher à mettre en œuvre les principes de gestion adaptative des prélèvements (voir le paragraphe 2.1.1 ).
- 4 du 2.1.1 définition chasse adaptative : La gestion adaptative des prélèvements correspond à la procédure périodique de mise en place de réglementations sur la chasse,basées sur un système de suivi des populations et des habitats, un suivi des niveaux de prélèvement, une analyse des données et la définition d’options réglementaires.
Tu as un lien internet à nous filer Philippe pour retrouver la classification des espèces par l'AEWA ?
Je pense que pour l'oie des moissons, il s'agit vraisemblablement de celle de la taiga (fabalis fabalis). Il faut la distinguer de celle de la toundra (fabalis rossicus) qui, à la différence de la précédente, se porte plutôt bien.
Etat des populations et tendances d’évolution des effectifsLe statut de conservation de l’Oie des moissons est favorable en Europe. Les deux sous-espèces précitées présententdes effectifs stables à l’échelle de leur répartition globale [bg17]. Les effectifs sont même, pour la fin des années1990, un peu supérieurs à ce qu’ils étaient dans les années 1980 [bg55], mais il s’agit peut-être de l’effet d’unemeilleure couverture géographique des recensements.La taille de la population européenne de la forme fabalis est estimée entre 5 000 et 9 400 couples, soit 50 à 200couples en Norvège, 800 à 1 200 en Suède, 1 500 à 2 000 couples en Finlande et 3 000 à 6 000 couples en Russie[bg2 ; bg30]. La population hivernante étaient estimés à 80 000-90 000 individus [6], puis révisée à 90 000-110 000individus [9], soit environ 100 000 au début des années 2000 [bg17].Les estimations de la taille de la population nicheuse de la forme rossicus sont mal connues, mais se situentprobablement entre 25 000 et 75 000 couples [bg30], peut-être davantage, aux environs de 135 000 couples [bg2].Les effectifs européens étaient estimés en hiver à environ 300 000 oiseaux dans les années 1990 [bg55], mais les plusrécentes estimations font état de 600 000 individus [15 ; bg17].En France, le statut de l’espèce est actuellement stable ou en très légère augmentation [bg12 ; bg19], alors qu’elleétait considérée « Vulnérable » et en « diminution probable de 20 à 50% » au début des années 1990 [bg53].L’Oie des moissons de la toundra (A. f. rossicus) montre en effet des effectifs plutôt stables, voire en progression :1 883 oiseaux comptés en moyenne en France pour la période 1967-1976, 2 930 pour 1978-1987, 2 495 pour 1998-1997, enfin 2 704 pour la période 1997-2002 [bg40-non publié]. En revanche, et comme le soulignent ROCAMORA& YEATMAN-BERTHELOT [bg53], il est probable qu’il y ait eu dans ce même laps de temps une régression del’aire de distribution hivernale (20 à 50% selon ces auteurs). L’espèce se concentre aujourd’hui principalement enAlsace, peut-être au dépend de sites comme les grands lacs champenois et sans doute également de sites secondaires(Nièvre, Somme, Lorraine, etc.).
le vent se lève...
http://www.unep-aewa.org/sites/defau...2018_FINAL.pdf
à partir de la page 37, tu as les définitions, classifications et zones.
J'ai connu des articles qui vantaient l'explosion des milouins dans la Dombe ( étangs au dessus de Lyon-) où d'ailleurs les locaux ont du mal à trouver des actions de chasse vu les prix pratiqués suite à l'intérêt des chasseurs suisses et allemands pour ce coin de paradis. Là encore, info source humaine de Lyonnais qui venaient chasser avec nous sur des étangs de la Nièvre, faute de moyens fin
Donc pour dire que la pop du milouin ne s'est pas toujours bien porté en France. Mais c'est parcellaire effectivement.
Pour la forte augmentation observée dans la Dombe de cet oiseau, voir les les années 1970.
Phiphi qui est septuagénaire doit bien avoir quelques souvenirs...à ce propos.