J'ouvre ce post en espérant que nous aurons des conditions hivernales, ce qui est loin d'être évident.
J'ouvre ce post en espérant que nous aurons des conditions hivernales, ce qui est loin d'être évident.
http://nsidc.org/arcticseaicenews/
JJB:
Bon, il suffit d'ouvrir le lien pour déjà savoir comment la fonte de la banquise a été active, cet été.
Même si celle-ci est en déficit depuis les années 1980, on pourra néanmoins remarquer que malgré un été annoncé particulièrement chaud en Europe, la banquise arctique a subi une fonte qui correspond à la moyenne des années 2000sans atteindre les records de fonte ce ces dernières années.
L'intérêt de suivre l' évolution des glaces de la banquise réside dans le fait qu'elle est la réserve de froid qui, le cas échéant, fournira de l'air glacial sur l'Europe cet hiver, si le régime des vents venant du grand Nord nous est favorable.
Restons confiant..........
vu les prévisions saisonnières à longue échéance, agricole,il est possible que ?????????
Il est vrai que je suis toujours positif, mais, cette année est totalement différente du point de vue de la reproduction, du temps, et de la réserve de froid qui................
Moi, j'y crois.
De toute façon "Y'a pas, faut y êtr"
Banquise Arctique : fin de la fonte estivale
Article publié le 23/09/2018 par Guilaume Sechet
Avec l'arrivée de l'automne, la saison froide débute officiellement dans l'hémisphère Nord. Du côté de l'Arctique, l'equinoxe correspond approximativement au minimum annuel de l'étendue de la banquise, après plusieurs mois consécutifs de fonte estivale (minimum enregistré en moyenne au 17 septembre).Depuis plusieurs jours, cette fonte semble s'être stoppée, avec les prémices du début de la reformation des glaces hivernales. Même si quelques fluctuations mineures peuvent encore se réaliser, ce minimum glaciaire "provisoire" a été atteint lors de la journée du 19 septembre avec une superficie de 4.594 millions de km2.Etendue de la banquise Arctique (en millions de km2) - Zachary LabeCe mnimum annuel est le 6e plus bas observé en Arctique depuis le début des observations satellitaires en 1979, bien en deçà de la moyenne (6.334 millions de km2 sur la période 1981-2010, soit un déficit de 27%). Malgré ces chiffres particulièrement pessimistes, il est toutefois à noter une "très légère" amélioration par rapport aux précédentes années (déficit moindre qu'en 2017, 2016 et 2015).Surtout, cette valeur est très éloignée du triste record de l'année 2012, où la banquise avait perdu plus d'un million de km2 supplémentaire (minimum de 3.387 millions de km2, déficit de 47% par rapport à la moyenne).Superficie minimale annuelle de la banquise Arctique (en millions de km2) - Zachary LabeLe déficit le plus important se manifeste le long des côtes Russes (mer de Laptev, mer de Sibérie orientale ainsi que mer des Tchouktches), mais également en mer de Beaufort (nord de l'Alaska). Une fonte majeure et une libération des glaces rendant la navigation possible dans ces eaux.Etendue de la banquise Arctique et rapport à la normale - 17 septembre 2018 - NSIDCMais qui dit minimum Arctique, dit maximum Antarctique. En effet, l'hiver austral se termine dans l'hémisphère Sud, et le printemps débute. La glaciation de l'Antarctique arrive bientôt à son terme (en moyenne au 21 septembre sur la période 1981-2010, mais toujours pas atteinte en cette année 2018). Celle-ci devrait néanmoins se situer à l'instar de l'Arctique parmi les plus bas observés en 40 ans de mesures.Etendue de la banquise Antarctique (en millions de km2) - Zachary LabeNote importante : la notion de « superficie » des glaces correspond aux zones où l'océan est glacé à 15% minimum.
Même si quelques fluctuations mineures peuvent encore se réaliser, ce minimum glaciaire "provisoire" a été atteint lors de la journée du 19 septembre avec une superficie de 4.594 millions de km2.Etendue de la banquise Arctique (en millions de km2) - Zachary LabeCe mnimum annuel est le 6e plus bas observé en Arctique depuis le début des observations satellitaires en 1979, bien en deçà de la moyenne (6.334 millions de km2 sur la période 1981-2010, soit un déficit de 27%). Malgré ces chiffres particulièrement pessimistes, il est toutefois à noter une "très légère" amélioration par rapport aux précédentes années (déficit moindre qu'en 2017, 2016 et 2015).Surtout, cette valeur est très éloignée du triste record de l'année 2012, où la banquise avait perdu plus d'un million de km2 supplémentaire (minimum de 3.387 millions de km2, déficit de 47% par rapport à la moyenne).
. 2012 restant la valeur la plus basse.Comme je l'écrivais, cette année la fonte est moindre que certaines années, 2012 restant la va
lan de l'été 2018 : exceptionnellement chaud et orageux
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Article publié le 16/09/2018
Même si l'été calendaire n'est pas encore fini (il durera jusqu'au 22 septembre inclus), et que les températures n'ont rien d'automnales, l'été météorologique est quant à lui bel et bien terminé (période juin-juillet-août). L'heure d'établir un bilan définitif d'une saison marquée notamment par des épisodes caniculaires, mais également par les orages ! TEMPERATURES :
Avec une anomalie à l'échelle nationale de +2.0°C, cet été 2018 est tout simplement le 2e plus chaud jamais observé en métropole depuis le début des relevés, derrière l'historique été 2003 (+3.2°C) et devant l'été 2017 lui aussi très chaud (+1.5°C). En certains secteurs notamment dans les Hauts-de-France et le Grand-Est, cet été est même devenu le plus chaud jamais observé, du même acabit que 2003.Même si quelques records, parfois absolus tous mois confondus ont été battus (exemple à Lille avec une maximale de 37.6°C le 27 juillet, et à Perpignan avec une minimale de 30.3°C le 4 août), cet été n'a pas été marqué par des pics de chaleurs exceptionnels, mais plutôt par la durée interminable de ces fortes chaleurs. Des températures quasi-continuellement au dessus des normales durant l'intégralité des 3 mois, illustrées par des canicules durables (>>). A Paris-Montsouris, un record du nombre de journées de chaleur (>25°C) devrait être battu dès ce mardi, pour une station pourtant centenaire (>>).
Une bonne rimée ce matin, on gratte le pare brise en plaine, signe d'un gros hiver précoce ?
signe surtout d'une pleine lune et d'une baisse des t° 0° a 7h00
j’espère surtout qu'aprés un été caniculaire , on aura un hiver "normal"
un cacheur et un pêckeur ça fait 2 minteurs !!!
ya bin trop d'cravates ...
Bonjour JJB,
a part dénoncer ce qui déjà admis, je me demande à quoi bon ??? (Sinon avoir tort et attendre ,comme dans le désert des Tartares... ?)
Observateur de terrain
On a gratté les pare-brises en baie des Veys, mardi matin. Et le visage pâle va couper du bois. ...
Observateur de terrain
vla !!! les norvégiennes...
Ce qui est intéressant c'est justement une fonte relative de la banquise arctique cet été alors que la chaleur a été intense en Europe et continue ces jours ci.
Quant au gibier, lui, il descend comme en ce moment par ce temps encore estival.
Il sera intéressant de voir l'arrivée , ou non, de la neige dans le Grand nord. On verra s'il se forme des réserves de froid.....
Chaque chose dans l'ordre....et en son temps.