En quittant l'Europe, la France se libèrerait des Directives, mais pas des Conventions antérieures (Berne ou Bonn).
D'autre part, l'AEWA ayant été reconnu par la communauté européenne en qualité d'accord susceptible de faire évoluer son droit, il deviendrait délicat de s'appuyer sur cet accord pour faire évoluer le droit français, d'autant qu'il pourrait devenir plus contraignant sous la pression des États de l'UE parlant d'une seule voix et laissant la France en marge des discussions.