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Sujet : communiqué FNC

  1. #1
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    communiqué FNC

    ----- Mail transféré -----
    De : Jean-Pierre ARNAUDUC <jparnauduc@chasseurdefrance.com>
    À :

    Envoyé le : Jeudi 20 juillet 2017 17h10
    Objet : Plomb - Consultation publique européenne


    A l’ATTENTION de ANCGE, OMPO, UNFDCC, LSF

    Monsieur le Président, Monsieur,

    Au niveau international, la question du plomb dans les munitions ne cesse de s’accélérer.
    L’Agence Européenne des Produits Chimiques (ECHA) avait été saisie par la Commission Européenne pour rendre un rapport d’expertise et de propositions de restrictions concernant les munitions au plomb dans les Zones Humides.
    En France, l’emploi de ces munitions est déjà interdit dans les zones humides, mais les nouvelles restrictions proposées par l’ECHA vont encore plus loin (par ex : non pas seulement interdire l’emploi des munitions au plomb en zones humides mais interdire aussi la simple possession de celles-ci dès lors que le chasseur se trouve en zone humide ou aux abords).
    Suite à son Rapport et ses propositions, l’ECHA lance une consultation publique européenne et, dès lors, y répondre est très important.
    Les documents de consultation sont uniquement en anglais et la FNC a procédé à la traduction en français des questions.
    La FNC vous propose également des réponses qu’elle a aussi traduites en anglais, car il est recommandé que les réponses à la consultation soient en anglais (cf PJ). Vous pouvez reprendre tout ou partie de ces propositions de réponses, tout en essayant si cela vous est possible de varier les formulations, vous comprenez pourquoi.
    La FNC a également relayée cette consultation à la filière armes-munitions.
    La consultation a lieu jusqu’au 21 août.
    Vous trouverez également en pièces jointes à cette circulaire les pièces qu’il faudra télécharger pour la réponse (module de téléchargement dans le formulaire de la consultation)
    La FNC s’oppose aux nouvelles restrictions proposées par l’ECHA :
    - Zones humides définies et délimitées selon la définition Ramsar des zones humides
    - Interdiction de possession de munitions au plomb en zones humides.

    Vous en souhaitant bonne réception
    Considérations les meilleures
    Jean-Pierre Arnauduc
    Directeur technique
    Fédération Nationale des Chasseurs
    Association agréée au titre de la protection de l'environnement
    13, rue du Général Leclerc - 92136 Issy les Moulineaux Cedex
    Tél 01 41 09 65 10 - Fax 01 41 09 65 20 - jparnauduc@chasseurdefrance.com
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  2. #2
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    salut cousin ,

    je ne trouve pas les canevas de réponses ?
    t'as les leins pour y accéder en direct
    j'suis en congés dans le Var et j'ai pas d'imprimante , je ne dois pas être le seul hors
    de ma résidence principale en cette période estivale .
    merci
    et très belle journée à toi , t'es en congés aussi ?

  3. #3
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    https://www.reussir.fr/volailles/inf...eurs-volailles

    A suivre les communications de la FNC et FDC.

  4. #4
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    Leur website semble en panne cousin

  5. #5
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    Bon alors pour terminer , c'est une connerie ce sondage ou non ?

  6. #6
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    ÉLÉVATION DU NIVEAU DE RISQUE D’INFLUENZA AVIAIRE


    Catégorie : Actualités gibier d'eauPublication : 26 octobre 20202020 sera hélas définitivement l’année des virus !

    En premier lieu, l’épidémie de Covid est repartie dans une deuxième vague qui risque bien d’impacter de nouveau toute notre vie professionnelle, familiale, sociale et… Bien entendu cynégétique ! Restrictions sociales et couvre-feux, voire même de nouveaux confinements, le menu des semaines, et sans doute des mois qui viennent, s’annonce difficile à digérer.

    Mais, face à ce défi majeur pour la santé de nos compatriotes et l’économie de notre pays, l’ANCGE a dès le début de l’épidémie accompagné les chasseurs de gibier d’eau dans la gestion de leur passion, en particulier par la publication d’un guide pratique des mesures adaptées en période de pandémie, très apprécié par tous les chasseurs.

    Mais depuis quelques jours, c’est bien le retour de l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène qui va nous empêcher de profiter d’une saison qui semblait prometteuse.

    En effet, après une année entière de calme, le virus avait marqué une forte présence entre décembre 2019 et avril 2020, en Hongrie, Pologne, République tchèque et même Allemagne à 700 km de nos frontières.

    Les foyers étaient nombreux autant dans l’avifaune sauvage que dans les élevages. Cependant l’ANSES, consultée à cette occasion avait jugé en février 2020, après une analyse très étayée, qu’il n’était pas opportun de relever immédiatement le niveau de risque de « négligeable » à « modéré ».

    La baisse du nombre de cas dans ces régions et l’absence de tout développement vers l’ouest a conforté la justesse de cette analyse.

    Par contre, on a vu apparaître en septembre un grand nombre de cas en Russie, au nord du Kazakhstan et quelques cas en Israël, bien loin de nos frontières.

    Malheureusement les Pays-Bas viennent d’annoncer avoir constaté deux cas positifs chez le cygne et un ou plusieurs canards siffleurs.

    Le ministère de l’Agriculture, après consultation de la FNC et de la filière avicole, a immédiatement décidé de prendre un arrêté relevant le niveau de risque de négligeable à modéré, avec des conséquences importantes en particulier pour les chasseurs de gibier d’eau et détenteurs d’appelants.

    À compter du 26 octobre, les mesures de prévention suivantes sont rendues obligatoires dans les communes situées dans des zones dites à risque particulier (ZRP), c’est-à-dire abritant des zones humides fréquentées par les oiseaux migrateurs. La liste des communes concernées est définie par l’arrêté ministériel du 16 mars 2016.


    • Claustration ou protection des élevages de volailles par un filet avec réduction des parcours extérieurs pour les animaux.
    • Interdiction de rassemblement d’oiseaux (exemples : concours ou expositions).
    • Interdiction de faire participer des oiseaux originaires de ZRP à des rassemblements organisés dans le reste du territoire.
    • Interdiction des transports et lâchers de gibiers à plumes.
    • Interdiction d’utilisation d'appelant.


    Des mesures sont également rendues obligatoires sur tout le territoire :


    • Surveillance clinique quotidienne dans les élevages commerciaux.
    • Interdiction des compétitions de pigeons voyageurs au départ ou à l'arrivée d'un département cité.
    • Vaccination obligatoire dans les zoos pour les oiseaux ne pouvant être confinés ou protégés sous filet.


    L’ANCGE comprend parfaitement la nécessité de protéger notre filière avicole qui se remettait à peine des précédents épisodes d’IAHP.

    Cependant, n’ayant été ni informée, ni consultée avant ces décisions qui impactent fortement l’exercice de leur passion, les chasseurs de gibier représentés par l’ANCGE s’interrogent sur certains aspects des fondements scientifiques les justifiant :


    • À ce jour, aucune preuve de la responsabilité notable des appelants et de leur utilisation n’a été démontrée dans une épidémie d’IAHP.
    • Les détenteurs d’appelants ont depuis de longues années mis en œuvre des mesures de biosécurité lourdes et contraignantes pour renforcer encore cette absence de responsabilité dans la transmission virale. Comment leur expliquer qu’elles sont nécessaires à la prévention globale tout en leur niant de fait toute efficacité individuelle ?
    • Les chasseurs de gibier d’eau par leur répartition nationale et leur présence continue dans les milieux humides sont les meilleures sentinelles pour détecter l’apparition de cas éventuels dans la faune sauvage, avec une rapidité dont tous les épidémiologistes reconnaissent l’importance essentielle dans le contrôle d’une épidémie. Pourquoi se priver de leur efficacité, en particulier dans les zones humides majeures ou le risque de retrouver le virus est plus important ?
    • L’absence d’autres cas positifs intermédiaires entre les zones de la Russie et du Kazakhstan et les quelques cas des Pays-Bas permettent une fois de plus de s’interroger sur la responsabilité des seuls oiseaux migrateurs comme vecteurs de l’épidémie.
    • Comment expliquer que soit retenu un avis de l’ANSES de 2017 pour prendre ces décisions, alors qu’un avis plus récent de février 2020 avait démontré sa rigueur et sa fiabilité ? Si une adaptation aux données précises actuelles s’imposait, l’urgence était-elle si importante pour se priver de l’expertise d’un nouvel avis, en particulier en analysant plus précisément la souche actuelle et ses origines ?
    • Enfin la répartition des Zones à Risque Particulier avait déjà fait l’objet d’une vive critique sur sa pertinence lors de l’arrêté de 2016, comment ne pas avoir saisi cette occasion pour avoir révisé ces zones avec l’aide et le soutien des partenaires de terrain que sont les associations locales de chasse au gibier d’eau, l’ANCGE et la FNC ?

    L’ANCGE est encore une fois parfaitement consciente de l’importance des enjeux économiques et ne souhaite évidemment pas réduire le moins du monde l’efficacité potentielle des mesures destinées à protéger une filière agricole sensible. Cependant, dans une période ou la compréhension de l’importance de l’action gouvernementale par les citoyens est nécessaire pour en obtenir l’efficacité maximale, l’ANCGE se serait félicitée de constituer un partenaire actif de nos dirigeants cynégétiques et ministériels.

    Pour conclure ce communiqué avec optimisme, l’ANCGE espère retrouver rapidement ce rôle efficace de partenaire attentif auprès de ceux-ci, pourquoi pas en étant invitée à participer aux discussions sur les possibilités de dérogation prévue dans l’arrêté qui permettront sans nul doute, à la fois d’adapter les mesures aux diverses situations et pratiques de notre passion, mais aussi d’apporter aux chasseurs les réponses adéquates à leurs interrogations.

    L’équipe de l’ANCGE

  7. #7
    chanteuse
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    Citation Envoyé par coinc59 Voir le message
    ÉLÉVATION DU NIVEAU DE RISQUE D’INFLUENZA AVIAIRE


    Catégorie : Actualités gibier d'eauPublication : 26 octobre 20202020 sera hélas définitivement l’année des virus !

    En premier lieu, l’épidémie de Covid est repartie dans une deuxième vague qui risque bien d’impacter de nouveau toute notre vie professionnelle, familiale, sociale et… Bien entendu cynégétique ! Restrictions sociales et couvre-feux, voire même de nouveaux confinements, le menu des semaines, et sans doute des mois qui viennent, s’annonce difficile à digérer.

    Mais, face à ce défi majeur pour la santé de nos compatriotes et l’économie de notre pays, l’ANCGE a dès le début de l’épidémie accompagné les chasseurs de gibier d’eau dans la gestion de leur passion, en particulier par la publication d’un guide pratique des mesures adaptées en période de pandémie, très apprécié par tous les chasseurs.

    Mais depuis quelques jours, c’est bien le retour de l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène qui va nous empêcher de profiter d’une saison qui semblait prometteuse.

    En effet, après une année entière de calme, le virus avait marqué une forte présence entre décembre 2019 et avril 2020, en Hongrie, Pologne, République tchèque et même Allemagne à 700 km de nos frontières.

    Les foyers étaient nombreux autant dans l’avifaune sauvage que dans les élevages. Cependant l’ANSES, consultée à cette occasion avait jugé en février 2020, après une analyse très étayée, qu’il n’était pas opportun de relever immédiatement le niveau de risque de « négligeable » à « modéré ».

    La baisse du nombre de cas dans ces régions et l’absence de tout développement vers l’ouest a conforté la justesse de cette analyse.

    Par contre, on a vu apparaître en septembre un grand nombre de cas en Russie, au nord du Kazakhstan et quelques cas en Israël, bien loin de nos frontières.

    Malheureusement les Pays-Bas viennent d’annoncer avoir constaté deux cas positifs chez le cygne et un ou plusieurs canards siffleurs.

    Le ministère de l’Agriculture, après consultation de la FNC et de la filière avicole, a immédiatement décidé de prendre un arrêté relevant le niveau de risque de négligeable à modéré, avec des conséquences importantes en particulier pour les chasseurs de gibier d’eau et détenteurs d’appelants.

    À compter du 26 octobre, les mesures de prévention suivantes sont rendues obligatoires dans les communes situées dans des zones dites à risque particulier (ZRP), c’est-à-dire abritant des zones humides fréquentées par les oiseaux migrateurs. La liste des communes concernées est définie par l’arrêté ministériel du 16 mars 2016.


    • Claustration ou protection des élevages de volailles par un filet avec réduction des parcours extérieurs pour les animaux.
    • Interdiction de rassemblement d’oiseaux (exemples : concours ou expositions).
    • Interdiction de faire participer des oiseaux originaires de ZRP à des rassemblements organisés dans le reste du territoire.
    • Interdiction des transports et lâchers de gibiers à plumes.
    • Interdiction d’utilisation d'appelant.


    Des mesures sont également rendues obligatoires sur tout le territoire :


    • Surveillance clinique quotidienne dans les élevages commerciaux.
    • Interdiction des compétitions de pigeons voyageurs au départ ou à l'arrivée d'un département cité.
    • Vaccination obligatoire dans les zoos pour les oiseaux ne pouvant être confinés ou protégés sous filet.


    L’ANCGE comprend parfaitement la nécessité de protéger notre filière avicole qui se remettait à peine des précédents épisodes d’IAHP.

    Cependant, n’ayant été ni informée, ni consultée avant ces décisions qui impactent fortement l’exercice de leur passion, les chasseurs de gibier représentés par l’ANCGE s’interrogent sur certains aspects des fondements scientifiques les justifiant :


    • À ce jour, aucune preuve de la responsabilité notable des appelants et de leur utilisation n’a été démontrée dans une épidémie d’IAHP.
    • Les détenteurs d’appelants ont depuis de longues années mis en œuvre des mesures de biosécurité lourdes et contraignantes pour renforcer encore cette absence de responsabilité dans la transmission virale. Comment leur expliquer qu’elles sont nécessaires à la prévention globale tout en leur niant de fait toute efficacité individuelle ?
    • Les chasseurs de gibier d’eau par leur répartition nationale et leur présence continue dans les milieux humides sont les meilleures sentinelles pour détecter l’apparition de cas éventuels dans la faune sauvage, avec une rapidité dont tous les épidémiologistes reconnaissent l’importance essentielle dans le contrôle d’une épidémie. Pourquoi se priver de leur efficacité, en particulier dans les zones humides majeures ou le risque de retrouver le virus est plus important ?
    • L’absence d’autres cas positifs intermédiaires entre les zones de la Russie et du Kazakhstan et les quelques cas des Pays-Bas permettent une fois de plus de s’interroger sur la responsabilité des seuls oiseaux migrateurs comme vecteurs de l’épidémie.
    • Comment expliquer que soit retenu un avis de l’ANSES de 2017 pour prendre ces décisions, alors qu’un avis plus récent de février 2020 avait démontré sa rigueur et sa fiabilité ? Si une adaptation aux données précises actuelles s’imposait, l’urgence était-elle si importante pour se priver de l’expertise d’un nouvel avis, en particulier en analysant plus précisément la souche actuelle et ses origines ?
    • Enfin la répartition des Zones à Risque Particulier avait déjà fait l’objet d’une vive critique sur sa pertinence lors de l’arrêté de 2016, comment ne pas avoir saisi cette occasion pour avoir révisé ces zones avec l’aide et le soutien des partenaires de terrain que sont les associations locales de chasse au gibier d’eau, l’ANCGE et la FNC ?

    L’ANCGE est encore une fois parfaitement consciente de l’importance des enjeux économiques et ne souhaite évidemment pas réduire le moins du monde l’efficacité potentielle des mesures destinées à protéger une filière agricole sensible. Cependant, dans une période ou la compréhension de l’importance de l’action gouvernementale par les citoyens est nécessaire pour en obtenir l’efficacité maximale, l’ANCGE se serait félicitée de constituer un partenaire actif de nos dirigeants cynégétiques et ministériels.

    Pour conclure ce communiqué avec optimisme, l’ANCGE espère retrouver rapidement ce rôle efficace de partenaire attentif auprès de ceux-ci, pourquoi pas en étant invitée à participer aux discussions sur les possibilités de dérogation prévue dans l’arrêté qui permettront sans nul doute, à la fois d’adapter les mesures aux diverses situations et pratiques de notre passion, mais aussi d’apporter aux chasseurs les réponses adéquates à leurs interrogations.

    L’équipe de l’ANCGE
    qu'en pense le premier ministre de la chasse(fnc) a macron?

  8. #8
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    Citation Envoyé par scooby Voir le message
    qu'en pense le premier ministre de la chasse(fnc) a macron?
    il en est OU dans tout ca toutou willy?
    celui qui hurlait a qui voulait l'entendre au salon du migrateur que copain manu avait promi la chasse des oies en fevrier celui la meme qui fustigait les gilets jaunes pour donner credit a copain manu
    il nous a bien e....é et maintenant il s'occupe a la place de copain manu des degats causés par maitre goret

  9. #9
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    C'est un politicien le Willy, il fait des promesses mais ne les tiens pas
    TI YÉ. UN DEUX BRAOUMMMM

  10. #10
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    Tout le monde ou personne a la chasse, nous devons être solidaire.

    Faisons en sorte que les sangliers prolifèrent dans les villes et que la LPO les régulent.

    en attendant on montre encore l'exemple

    https://reporterre.net/Confinement-p...-les-chasseurs
    TI YÉ. UN DEUX BRAOUMMMM

  11. #11
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    A moins qu'il invite tout le monde au Sénégal tirer des oies ?
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  12. #12
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    Citation Envoyé par SR Voir le message
    A moins qu'il invite tout le monde au Sénégal tirer des oies ?
    ca c'est pour leur pomme
    comment va stephane?,ca fait un bail

  13. #13
    court cri
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    Citation Envoyé par scooby Voir le message
    ca c'est pour leur pomme
    comment va stephane?,ca fait un bail
    Moi la solidarité entre chasseur j'y crois plus depuis les ouvertures décalée DPM/marais intérieur
    L'ouverture d'esprit n'est pas une fracture du crane

  14. #14
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    Citation Envoyé par vince27 Voir le message
    Moi la solidarité entre chasseur j'y crois plus depuis les ouvertures décalée DPM/marais intérieur
    t'as raison
    encore un exemple pas de hutte mais regulation de cochons il a son os a rogner
    c'est pas notre probleme si le sanglier pululle

  15. #15
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    ce jour, mail de la FDC 64:
    ... Pour l’essentiel, la proposition de l’Administration du 64 reprend l’esprit de la Circulaire ministérielle. Il est donc proposé aux chasseurs des Pyrénées-Atlantiques :
    - De pouvoir chasser le cerf, chevreuil et sanglier à l’affût ou en battue, dans la limite de 30 chasseurs maximum, avec respect d’un protocole sanitaire strict ;- De pouvoir réguler les ESOD (corneille, renard, etc…) uniquement sur dégâts avérés.
    La Fédération des chasseurs et la profession agricole, tout en étant conscientes des enjeux, ont fermement rappelé qu’il était pour le moins dangereux d’opposer les genres, et de considérer que les chasseurs ne seraient finalement « utiles » que lorsqu’on a besoin d’eux ! Oubliant au passage que le chasseur de sanglier est aussi chasseur de petit gibier, de migrateur, etc…
    En l’état, nous avons solidairement avec la Chambre d’Agriculture voté CONTRE cette proposition de l’Administration.... et en accord avec nos amis des Fédérations voisines, nous confirmons notre communication initiale :
    La chasse comme toute autre activité physique individuelle des personnes, demeure autorisée de manière INDIVIDUELLE, à pied à partir du domicile, dans un rayon d’1 km à vol d’oiseau de ce dernier, et dans la limite d’une heure par jour.
    .......

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