bonjours a vous; je me suis inscris afin de pouvoir répondre plusieurs question, je suis chasseur passionné et militant anti-aeroport; effectivement que font les chasseurs? He bien ils se prennent des baffes dans la gueule, gazer la tronche et mis en garde à vue parce qu'ils ne veulent pas perdre un magnifique territoire de chasse; l'état dis qu'ils vont déplacer les espèces protégées, franchement je suis curieux de voir comment ils vont s'y prendre et surtout ou? nous sommes nombreux (chasseurs) à nous battre depuis des mois et à être actifs, les manifestants ne sont pas spécialement des écolos, ou des anarchiste assoiffé de désordre, la realité sur le terrain est que tout le monde aide tout le monde sans clivage politique ou idéologique. A aucun moment nous avons eu réflexions négative sur le fait que l'un d'entre nous chasse, au contraire: le dialogue est ouvert et plutôt rassurant, il suffi d'expliquer notre travail et comme par magie ils se rendent compte que nous somment complémentaire...
pour hirondelle 85:maxime,non.moi gamin, plus depuis bien longtemps. pourquoi ce réveiller 2 mois avant le début des travaux?ça fait 10 ans qu'ils on fait les Etudes et tout le monde a signer.
a zadiste : pourquoi votre fd a rien dit depuis 10 ans?pourquoi les agri n'ont rien dit depuis 10 ans?je suis avec vous mais ça vous me semblez fébrile dans votre argumentation.si l argument de l aéroport ces l"emploi ça vas être dur de vous faire comprendre .
y a t'il du soutient prevu par les chasseurs? afin de proteger
Eh bien il se trouve que je connais bien... l'aéroport actuel, car la piste oriente les avions juste au dessus de la maison qu'habitaient mes grands-parents. A l'époque (1970) c'était la campagne. Aujourd'hui il y a des maisons partout, et je ne vous dis pas le bordel pour se garer vu que les parkings sont trop petits.
Alors protéger des territoires bien sûr, mais il ne faut pas oublier les aspects sécurité publique. Des avions ça peut tomber, il y a des exemples même en France. Or par vent de nord-est les avions qui partent passent pile au dessus de Nantes. Et ils passent également au dessus du lac de Grandlieu pour atterrir, plus grand lac naturel de France pour ceux qui ne sauraient pas, et zone humide d'importance internationale.
Et quant aux tractations en sous-main, nous sommes des gamins sur le sujet. Ainsi que le dit tryan, les écolos ont largement la main là dessus.
Et, pour ne pas tomber dans les travers que nous décrions, n'oublions pas que nous sommes bien contents de prendre l'avion (pour certains d'entre nous) pour aller au Canada, ou en Ecosse, ou même ... parfois ... en vacances
Alors une fois de plus tout n'est pas tout noir, tout n'est pas tout blanc
Je me suis fait bouffer mon post........
Je disais en gros merci à Tryan et Zadiste.
Ben oui faut défendre notre patrimoine. J'ai écouté des sécialistes qui disent que cet aéroport ne se justifie pas et ne fera pas venir davantage d'avions, ni de fret. Antifer fut un échec couteux. Ne recommençons pas les mm erreurs.
remarque avec un peu de chance y auras peut être un hivernage de 6000 oies comme a amsterdam a ben non il vont embaucher des ecolos pour les gazer plutot de les faire chasser
Pour Jeannot. Orly et Roissy sont construits au milieu de zones très urbaine. L'utilité d'un aéroport est d'être près d'une ville. Autant rendre laid ce qui y est déjà et préserver les ssites naturels. Nous ne vivons pas aux USA ou en Russie pour avoir le luxe de nous échapper dans de grands espaces sauvages. ne construison que là où c'est inddispensable. Lla France perd un département par année en construction. Faut-il continuer dans cette voie ?
lire un département ts les 7 ans
Terres agricoles
La France perd un département tous les sept ans
Selon Agreste Primeur, l’agriculture perd 86 000 hectares par an, au profit de l’urbanisation, soit un département tous les sept ans. Et le phénomène a tendance à s’accélérer au cours des années récentes.
L’artificialisation des sols se poursuit et même s’accélère selon Agreste Primeurs, qui vient de publier une étude sur l’utilisation du territoire entre 2006 et 2009. Sur trois ans, les sols agricoles (terres cultivées et toujours en herbe) ont perdu 279 000 hectares, ce qui correspond à une baisse annuelle de 93 000 hectares. Une petite partie de ces terres 20 000 hectares, a été rendu à la nature pour devenir des espaces boisés, landes, friches, maquis, garrigues, zones humides...
La plus grosse partie, 259 000 ha, ce qui correspond à une perte de 86 000 ha par an, a été grignotée par l’urbanisation Il s’agit de terres qui ont été affectées à la construction qu’il s’agisse d’immeubles de bureaux ou d’habitation, de maisons individuelles, d’usines, de locaux commerciaux… de sols dédiées aux infrastructures : création de routes, d’autoroutes, de voies de chemins de fer, de squares, ronds points, et autres parcs de stationnement…, ou de surfaces consacrées à la création d’espaces verts urbains et des équipements sportifs et de loisirs.
236 ha par jour
Au final, Agreste Primeur estime que les espaces agricoles perdent 236 hectares par jour, ce qui correspond à la superficie d’un département moyen (610 000 hectares) tous les sept ans. L’avancée des sols artificialisés s’est accélérée au cours des dernières années : elle était de 61 000 hectares par an au cours de la période 1992-2003, soit un département tous les dix ans. Entre 2006 et 2009, le taux d’artificialisation du territoire est passé de 8,4 % à 8,8 %, mais la progression est inégale selon les départements. Si par exemple Paris et la petite couronne ne s’artificialisent pratiquement plus, l’Alsace à l’est (le Bas-Rhin notamment), la façade maritime à l’ouest (Vendée, Côte-d’Armor, Manche surtout) enregistrent une forte artificialisation des sols. Comme d’ailleurs les départements moyennement urbanisés ou très agricoles.
Un autre enseignement de cette étude concerne les forêts. Alors que les surfaces forestières avaient tendance à croître, de 14,2 millions d’hectares en 1992, elles ont tendance à plafonner depuis 2006 à 15,1 millions d’hectares. Ce que l’on appelle la France « chauve » étant localisé essentiellement dans le Nord et l’Ouest avec un taux de boisement inférieur à 20 %, et même 10 % dans le Pas de Calais. Alors qu’il est beaucoup plus élevé dans le Sud Ouest et dans les massifs montagneux, dépassant même 50 % dans sept départements (Landes, Vosges, Jura, Var, Alpes Maritimes, Drôme et Ardèche).