En col ses cour cri et demi son bonne
En col ses cour cri et demi son bonne
Cc et demi cri ça va surtout c hybride de pilet par contre ses amassoire c vraiment du brin
il achete certainement a d'autre pour revendre également
Comme tous.....
Après il te dit se kil veut
Moi perso je lui achèterai plus de canard
pourquoi
nuit de tempete nuit sous la couète
Donc du brin
Je pense que c'est comme chez tout éleveur, tu as du bon et du moins bon. Pour la repro, faut tout prendre en compte, y compris la façon dont tu penses les faire reproduire.
Question chant, des jeunes de l'année il faut les préserver au maximum, pour le reste, le chant change d'un canard à un autre.
Mieux vaut une escapade avec une Sal-ope qu'une escalope avec une salade...
sauf que chez lui c'est 35 euros la chanteuse et sur 10 acheter 7 ont perdu leur voix et je suis pas le seul plusieurs personne avec qui jai parlez ont u le meme tour
ares j ees chanteuse ne nuit par semaine et j'y fait uper attention
Aïe, ça fait mal. Sans citer de nom, ces ensembles poétiques me font penser à la plume d'un autre artiste que j'ai connu il n'y a pas si longtemps sur ce site. Mais bon, pas envie de réveiller ceux qui dorment, et puis qui sait, il parait que la nuit porte conseil, peut-être aurait-il changé en bien...
Quoi qu'il en soit, une chanteuse ça chante en effet.
En voici une définition...
A.− Subst. Celui, celle qui chante et plus spécialement qui fait métier de son talent. Les auteurs et le directeur avaient fait appel à une vraie chanteuse d'opéra-comique, Madame Vaillant-Couturier (L. Schneider, Les Maîtres de l'opérette fr.,Lecocq, 1924, p. 219):1. Le chanteur est le seul des interprètes musiciens qui soit à la fois instrument et instrumentiste. Un pianiste ou un violoniste peut à son gré choisir son instrument, qu'il fera entretenir, préparer, remplacer aussi souvent qu'il le faudra. Le chanteur, lui, ne dispose que de l'instrument donné par la nature. Arts et litt. dans la société contemp.,1936, p. 6005.
SYNT. Chanteur amateur, ambulant, comique, flamenco, populaire, professionnel, réaliste, virtuose; chanteur de charme, de concert, de cour, de jazz, d'opéra, de psaume, de romance, de salon, de théâtre; un petit chanteur à la croix de bois, de la manécanterie; les chanteurs des rues.
Rem. On rencontre ds la docum. 1. le composé chanteur-improvisateur. Celui que l'on voulait chansonner montait sur un banc, et le chanteur-improvisateur à côté de lui (Sainte-Beuve, Volupté, t. 2, 1834, p. 222); 2. l'emploi subst. fém. chanteresse. Marie d'Arras. « chanteresse » récompensée pour avoir chanté devant Charles VI (1383), est la plus ancienne cantatrice française dont l'histoire ait retenu le nom (M. Brenet, Dict. pratique et hist. de la mus., 1926, p. 70). Chanteuse semble péjoratif. Cantatrice, est éclatant et théâtral. Alors que chanteresse semble désigner une prêtresse du chant : une enchanteresse (G. Migot, Lex. de qq. termes utilisés en mus., 1935, p. 21). 3. On rencontre au Canada la variante (phonétique plutôt que morphologique) chanteux. Les noces (...) où les chanteux se provoquent (L. Groulx, Chez nos ancêtres, Montréal, 1920, p. 31).
− Péj. Maître-chanteur. Celui qui se sert abusivement d'autrui pour parvenir à ses fins, qui pratique le chantage. Ce Morin était un ignoble maître chanteur, justement abattu par une de ses victimes, fort honnête femme qu'il avait traînée dans la boue (L. Daudet, Bréviaire du journ.,1936, p. 139):2. Mais Coty avait gagné beaucoup d'argent, le dépensait avec prodigalité, et, en conséquence, avait à ses trousses une bande d'approbateurs, de flatteurs, de maîtres chanteurs et d'aigrefins comme on en voit dans les comédies de Plaute, de Ben Jonson et les fabliaux. L. Daudet, Bréviaire du journ.,1936p. 140.
B.− Adjectif :3. Les races les plus heureusement nées, nos jolies races du Midi, par exemple, si vives et si chanteuses, sont tristement courbées par le travail. Michelet, Le Peuple,1846, p. 194.
− [Le plus souvent en parlant d'un animal] Coq, crapaud, cygne, rossignol chanteur :4. Très-heureusement, il n'y avait là ni fauve redoutable, ni indigène dangereux, mais tout simplement une demi-douzaine de ces oiseaux moqueurs et chanteurs, que l'on reconnut être des « faisans de montagne ».Verne, L'Île mystérieuse,1874, p. 108.
Prononc. et Orth. : [ʃ ɑ ̃tœ:ʀ], fém. [-ø:z]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. A. Subst. masc. 1. 1154-73 chanteor« personne qui fait métier de chanter » (B. de Ste Maure, Troie, éd. L. Constans, 5190); 2. 1732 ornithol. « sorte d'oiseau » (Trév.) d'où 1805 adj. (Cuvier, Leçons d'anat. comp., t. 4, p. 458); 3. v. maître-chanteur; B. Subst. fém. ca1170 chanteresse (Rois, 195 ds T.-L.); 1680 chanteuse (Rich.). Du lat. cantorem acc. de cantor, v. chantre. Fréq. abs. littér. : 951. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 877, b) 1 635; xxes. : a) 1 873, b) 1 293. Bbg. Goug. Mots t. 1, 1962, pp. 24-25. − La Landelle (G. de). Le Lang. des marins. Paris, 1859, p. 56, 292. − Mat. Louis-Philippe 1951, p. 105. −Sain. Lang. par. 1920, p. 519.
Mieux vaut une escapade avec une Sal-ope qu'une escalope avec une salade...